-
Burkini : Anne Hidalgo ne parvient pas à noyer le poisson
La gauche a résolu le problème du burkini dans les piscines : il y a plus important en France.
Sujet suivant, s’il vous plaît. Le porc dans les cantines ?
Il y a plus important. Et puis ?
Les prières de rue ?
Il y a plus grave. Et puis ? Je dois mettre une djellaba et voiler ma femme ? Mais bien entendu. Si je ne veux pas, vous me coupez la tête ?
Mais je vous comprends. Puis-je vous offrir un sabre ?
Alors qu’elle recevait son ami Sadiq Khan, maire de Londres, sous la halle Freyssinet, rebaptisée « Station F, incubateur de start-up », Anne Hidalgo s’est livrée à un exercice de relativisation de toute beauté à propos du maillot de bain islamique intégral fermé à double tour devant huissier.
L’aspect dérisoire de l’affaire fut confirmé devant Sadiq en ces termes : « Il y a d’autres choses beaucoup plus importantes en France. »
Alors que l’assistance l’attendait sur la canicule, le réchauffement des trottinettes et bien d’autres sujets brûlants, le maire de Paris s’en fut désigner les thèmes capitaux sur lesquels se concentrer énormément : « Je pense que notamment autour de l’éducation, autour de la cohésion sociale, autour du vivre ensemble… »
Premier bug sous la halle dédiée aux start-up du numérique.
Le disque dur d’Anne Hidalgo ne voit aucun rapport entre l’irruption d’islamistes dans une piscine et le « vivre ensemble ».
Faute d’informaticien présent dans la salle pour rechercher l’origine de la panne, madame Bisounours continua à dérouler son argumentaire : « Autour du vivre ensemble, autour du droit des femmes, il y a encore beaucoup de choses à faire, avant de se jeter tête baissée dans un sujet qui ne laissera que des fractures. »
Sous le verbiage, la plage.
Ses burkinis et ses absences de fractures pour les utilisatrices.
Après tout, les autres ne sont-elles pas impudiques ?
L’invocation du dérisoire est le prétexte pour ne pas prendre position.
Mue, sans doute, par une volonté de rester sur le thème aquatique, Anne Hidalgo s’évertue à noyer le poisson.
Mais entre deux plongées, l’animal confie ce que tout le monde avait déjà deviné.
Madame le maire est pour l’autorisation du burkini dans les piscines.
Sinon, fracture ! Crac ! Et qui c’est qui va plâtrer ? Eh ben, c’est la gauche.
Toujours de permanence aux urgences du vivre ensemble. Alors, merci bien.
Aux piscines contraintes à des mesures d’hygiène, la gauche préfère la nage en eaux troubles. Bermuda interdit : pas fracture.
Burkini : patatras ! Et bon courage au personnel pour justifier ce règlement ubuesque.
L’utilisateur s’efforcera d’expliquer qu’il porte un bermuda islamique.
Que son épouse ne tolère pas qu’il montre ses jambes au-dessus du genou.
Zineb El Rhazoui rappelle que « burqini » doit s’écrire avec un Q et non un K, car le mot vient de « burqa » et non de « bikini ».
Il était impossible de trouver une lettre plus adaptée au niveau de la revendication.
Jany Leroy
votre commentaire -
Violences policières : une plainte collective engagée contre Castaner
Author: Pierrick Tillet
Une « class action » (plainte collective) vient d’être engagée devant la justice contre le ministre Christophe Castaner à propos de violences policières inacceptables commises sur les Gilets jaunes et contre tous ceux qui font mine de vouloir contester un ordre établi insupportable.
Chacun d’entre nous peut s’y joindre et j’invite le maximum de personnes à le faire en remplissant le formulaire en lien avec copie de sa carte d’identité en PJ (moi, c’est fait).
votre commentaire -
Posté par:Pieds Noirs 9A..
Vous avez voulu "INTÉGRATION"
"Le VIVRE ENSEMBLE" depuis des années ...
Maintenant faudra en payer les frais ...
Puis tous ses collabos hommes politiques et médiatiquesl'enrichissement culturel Voila ou nous en sommes
votre commentaire -
Khalid Bouksib, un proche d’Edouard Philippe en garde à vue
Interpellé une première fois dimanche pour des violences sur un policier en civil près de Rouen, il avait été libéré avant d’être arrêté de nouveau ce matin.Il s'était présenté comme le conseiller « diplomatie et communication » du Premier ministre.
Ce qu'il n'est pas, même si sa proximité avec Edouard Philippe semble bien réelle.
Khalid Bouksib est à nouveau en garde à vue ce matin pour « violences volontaires sur personne dépositaire de l'autorité publique ».
Ce consultant sur les relations franco-marocaines est soupçonné d'avoir frappé un policier en civil dans les environs de Rouen (Seine-Maritime).Il avait déjà été interpellé et placé en garde à vue, dimanche 23 juin, par les policiers de la sûreté urbaine de Rouen, comme l'a révélé le site Mediapart.
Mais l'homme avait été libéré quelques heures plus tard, après avoir prétendu être un conseiller diplomatique de Matignon.
Cette fois, ce sont les policiers du SRPJ de Rouen qui l'ont arrêté après avoir récupéré ce dossier sensible.
Khalid Bouksib, qui semble pratiquer la boxe avec Edouard Philippe, a eu une altercation dans la résidence privée Gustave-Flaubert à Darnétal (Seine-Maritime) avec un CRS en civil de la compagnie 31, basée dans la même commune.
Selon plusieurs témoignages cités par Mediapart, Khalib Bouksib aurait insulté et surtout asséné trois coups de poing au visage du policier.Une version totalement contestée par l'intéressé qui évoque une provocation de la part du policier et une réaction de défense.
Contactée, son avocate, Me Isabelle Pinto, se refuse à tout commentaire.
Selon nos informations, des témoins auraient corroboré la version du policier.
Le service régional de police judiciaire (SRPJ) de Rouen avait été saisi, lundi matin, par le procureur de la République, Pascal Prache afin de vérifier les faits.
Contacté ce matin, le magistrat n'a pas donné suite à nos sollicitations.
leparisien
votre commentaire -
Le féminisme républicain, la mauvaise réponse aux harceleurs allogènes
C’est devenu une coutume en France occupée, avec l’arrivée de l’été, les racailles allogènes à faible QI et les apprentis salafistes reprennent leur cycle d’insultes/agressions/attouchements sur les femmes qui osent se promener autrement qu’en tenue islamiquement compatible.
La récurrence de ce type de comportement devrait nous inciter à demander la mise en œuvre de l’expulsion de tous ces individus d’origine étrangère aux mœurs venues d’ailleurs.
Pourtant, au lieu de se lever contre l’islamisation et l'ensauvagement de notre pays, certaines femmes ont décidé de réagir en dénonçant un illusoire danger machiste et en affichant des photos de leurs seins sur les réseaux sociaux.
Si nous saluons cette velléité d’affrontement, nous déplorons la diversion qu’elle opère, en faisant comme si c’était le féminisme républicain qui était mis en danger, alors que ces comportements sont l’un des nombreux avatars de la lutte de la racaille étrangère et islamisée contre la civilisation occidentale et les blancs.
Nous retrouvons ici le travers dans lequel est tombé le Rassemblement National, quand il défendait le nudisme contre le burkini, alors qu’il suffirait de défendre notre civilisation contre celle de nos colonisateurs pour que les choses soient enfin claires.
Source : http://pdf14.com
votre commentaire