• Le Medef se couche devant LREM et annule la table ronde avec Marion Maréchal à son université d’été

    Posté Par:Pieds Noirs 9A..

    La polémique était trop forte. Le Medef a annulé ce vendredi la table ronde à laquelle était invitée l’ancienne députée FN Marion Maréchal à son université d’été. Cette invitation, révélée jeudi par L’Express, avait suscité de vives critiques dans la classe politique, les députés LREM invités ayant annoncé leur intention de boycotter l'événement si elle était maintenue. Marion Maréchal devait intervenir dans le cadre d’un débat sur la montée des populismes.

    Il ne fallait évidemment pas attendre la moindre démonstration de courage de la part du grand patronat français...

    Source : http://tvlibertes.com


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  • Traité du Mercosur : un accord scélérat signé par l’UE avec le soutien de Macron

    Posté Par:Pieds Noirs 9A..

    La réunion du G20 qui vient de se tenir a Osaka au Japon, sommet en trompe-l’œil qui aurait pu se solder par de simples décisions de principe telles que la confirmation à 19 (sans les États-Unis qui s'en sont retirés) de l'Accord de Paris sur le climat et par le redémarrage de négociations commerciales entre les USA et la Chine. Le tout émaillé - c'est la loi du genre – de fausses amabilités entre les Présidents américains et nord-coréens, et de vrais antagonismes de fond (les justes remontrances émises par Poutine sur les limites des démocraties libérales et la piteuse réponse de Macron considérant que ces « démocraties libérales avaient encore beaucoup à apporter ». Le Président français pensait sans doute à ce qu'elles apportent à la finance internationale et à la spéculation planétaire…).

    Mais l'essentiel était là où on ne l'attendait pas : dans la signature d'un traité de libre-échange transatlantique entre l'Europe et les quatre pays du Mercosur.

    Emmanuel Macron a cru bon de se féliciter de la conclusion de ces négociations dites du Mercosur entamées depuis plus de vingt ans entre l’Union européenne d’une part, le Brésil, l’Argentine, le Paraguay et l'Uruguay de l'autre, et par la signature d'un "accord politique" sur un vaste traité de libre-échange, touchant près de 770 millions de consommateurs.

    Cet accord constitue pourtant pour les éleveurs bovins français un coup de poignard dans le dos dont beaucoup risquent de ne pas se relever.

    Une fois de plus Bruxelles vient de s’engager dans un marché de dupes que les intérêts français seront les premiers à devoir subir.

    Les pays du Mercosur s'engagent certes à supprimer progressivement les taxes douanières sur leurs importations automobiles comme sur celles de pièces détachées, d'habillements et de produits pharmaceutiques. Autant de secteurs d'activité et de champ d'exportations dont le développement reste très hypothétique pour l'Europe du fait de la proximité de ces pays avec les États Unis et des accords privilégiés depuis longtemps conclus avec eux. L’ouverture du marché automobile qui ne se fera que petit à petit, est, au demeurant, avant tout un cadeau fait à l'Allemagne dont les grands constructeurs comme Mercedes ou BMW sont déjà sur les starting-blocks, et non à la France où Renault est empêtrée dans l’affaire Carlos Ghosn et PSA affaiblie par l’échec de son rapprochement avec Fiat Chrysler.

    En contrepartie, l'Union ouvre totalement son marché à l'importation de viande bovine provoquant la colère et déjà le désespoir de nos paysans.

    En cause, la taxation à un taux préférentiel de 7,5 % des quelque 99.000 tonnes de viande bovine que les quatre pays latino-américains devraient pouvoir exporter vers l’UE, fragilisant un peu plus les 85.000 éleveurs français de vaches allaitantes.

    Déjà très dépendants des subventions européennes, les éleveurs français avertissent qu’ils ne parviendront pas à concurrencer les "usines à viande" latino-américaines.

    D’autant que s'ajoutent à cette concurrence déloyale et faussée les différences de normes appliquées sur les deux continents : antibiotiques utilisés comme hormones de croissance d’un côté assorties de déforestation, contre toujours plus de normes environnementales, coûteuses et drastiques côté européen.

    Cet accord scélérat signe donc une double peine : peine de mort à terme pour de nombreux élevages français ; risque sanitaire pour nos consommateurs de viande.

    Emmanuel Macron a pris là une responsabilité majeure dont les Français devront se souvenir.

    Jean-François Touzé - Délégué national du Parti de la France aux Études et Argumentaire


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  • L’Armée de Terre fait de la propagande LGBT et veut recruter des « transexuels »

    Le déferlement de l’idéologie du « genre » et des mœurs sodomites bat des records en ce mois de juin 2019.

    Le pôle recrutement de l’Armée de Terre prétend maintenant « condamner toutes les formes de discrimination », ce qui est bien sûr faux et impossible (discriminer = choisir, et l’armée fait des choix de recrutement comme tout le monde) ; simplement il cautionne et présente comme égaux des choses et des comportements qui ne le sont pas. Voyez ce charabia presque incompréhensible (posté sur facebook) illustré d’un drapeau du lobby LGBT :

    Les derniers éléments de normalité de la nation sont en train de disparaître officiellement sous les coups de l’idéologie cosmopolite dominante.

    Source : http://contre-info.com


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  • Marion Maréchal interdite au MEDEF : quelques heures auront suffi à faire plier Geoffroy Roux de Bézieux…



    Pour les Français qui doutaient encore de ce que notre pays est en train de sombrer dans une dictature des idées, l’interdiction faite au MEDEF par le parti présidentiel La République en marche de recevoir Marion Maréchal à l’occasion de ses prochaines universités d’été vient d’en apporter la preuve flagrante.
    L’ancienne députée de Vaucluse, actuellement en retrait de la vie politique, faisait en effet partie de ces personnalités de la société civile susceptibles d’intervenir lors de la prochaine réunion annuelle des patrons de France. 

    Mais c’était sans compter sur le sectarisme de certains élus du parti d’Emmanuel Macron, dont le président du groupe LREM à l’Assemblée nationale, Gilles Le Gendre, qui ont aussitôt fait part de leur désapprobation et annoncé qu’ils boycotteraient, au besoin, la réunion patronale programmée pour le mois de septembre. 
    Face à cette levée de boucliers et aux menaces de boycott, Geoffroy Roux de Bézieux, le patron des patrons, a fini par annoncer qu’il renonçait à inviter la petite-fille du fondateur du Front national.
    Le bras de fer entre le président du MEDEF et le parti présidentiel n’aura donc duré que ce que durent les roses. 
    Quelques heures auront suffi pour qu’une poignée de politiciens peu soucieux de démocratie imposent sa conduite au syndicat des patrons français, et le silence à une ancienne élue du peuple.
    Il faut reconnaître que le combat ne s’effectuait pas à armes égales. 
    En effet, que pesait la personne de Marion Maréchal face aux avantages que peut proposer le pouvoir en place au MEDEF ? Rien.
    Il faut savoir que le mouvement patronal, au même titre que les syndicats de salariés et d’autres organisations d’employeurs, reçoit chaque année des subventions grâce au fonds pour le financement du dialogue social. 
    Si la CGT prend la part du lion, avec près de 19 millions d’euros, le MEDEF a perçu pour sa part, en 2018, plus de 12 millions d’euros
    Il reçoit également des fonds dans le cadre de conventions avec les organismes paritaires comme la CNAF, la CNAM ou l’UNEDIC. 
    C’est ainsi qu’à ce titre, il a obtenu près de 4 millions d’euros l’an passé. 
    On le voit donc, les enjeux pour l’organisation patronale sont énormes, et les capacités de nuisance du pouvoir en place à son égard, tout autant.
    Mais là ne s’arrêtent pas les éventuels moyens de pression. 
    Ainsi, nos patrons, qui sont friands d’honneurs et de distinctions, reçoivent-ils chaque année un lot important de Légions d’honneur et de croix de l’ordre national du Mérite. 
    Transgresser l’interdiction faite par les représentants zélés du pouvoir n’aurait certainement pas été sans conséquences sur ce qui, pour beaucoup, peut apparaître comme insignifiant, mais qui, dans certains milieux, constitue l’alpha et l’oméga de la réussite sociale et de la respectabilité..

    Voilà comment, en France, pays des droits de l’homme, patrie de Voltaire, Rousseau et Hugo, la liberté de parole est désormais monopolisée par une caste politique au détriment de tous ceux et toutes celles qui veulent et souhaitent s’exprimer au nom de la liberté d’opinion. 

    Après la répression féroce des manifestations des gilets jaunes, dénoncée par de nombreuses instances internationales, après la mainmise sur une grande partie de la presse nationale, voici venu le temps des pressions et des mesures d’intimidation sur nos dirigeants syndicaux. 

    Dés lors, que reste-t-il de la France des Lumières ? 

    Que reste-t-il du sacrifice de tous ces Français, résistants de toutes les époques, qui sont morts au nom de la liberté ? 

    Plus grand-chose, en vérité. 

    Olivier Damien

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  • Var : depuis 30 ans, des fonctionnaires "fantômes" continuent d'être payés

    Var : depuis 30 ans, des fonctionnaires "fantômes" continuent d'être payés 
      
    ©Place à Cogolin, Google street view
               
    6Medias, publié le samedi 29 juin 2019 
                       
    Une trentaine de fonctionnaires territoriaux continuent de toucher un salaire alors qu'ils n'ont pas retrouvé une affectation. 

    C'est une fraude qui continue de durer.Var Matin révèle que depuis maintenant 30 ans, des fonctionnaires de la région n'ont cessé de contourner le système. 
    Dans un rapport alarmant, la chambre régionale des comptes Provence-Alpes-Côte d'Azur rappelle que « le centre de gestion du Var rémunère toujours une trentaine d'agents privés d'emploi. » 
    Dans sa ligne de mire, ceux qui proviennent notamment de Cogolin, Toulon ou même La Seyne-sur-Mer. 
    Ils parviennent à exploiter sans scrupules le système actuel.

    Le rapport les qualifie de fonctionnaires « fantômes »
    Ils sont officiellement considérés comme « en position d'activité » sauf que beaucoup ne sont plus actifs. 
    Dans un premier temps, ils étaient employés au centre de gestion de la fonction publique. 
    Elle les payait logiquement mais la dépense était prise en charge par la commune à laquelle ils étaient rattachés. 
    Un entre-deux administratif qui a permis à certains de continuer à toucher un salaire.. alors même qu'ils n'étaient plus affectés à aucun centre de gestion. 
    Une situation rocambolesque qui dure depuis 1989 pour certains.
    Une manière de progresser professionnellement

     Un homme a profité d'être payé pendant huit ans pour devenir entre temps « gérant d'une société commerciale dans les Hautes-Alpes »
    Outre la fraude volontaire de nombreux agents, d'autres ont profité de ce flou pour tenter de s'élever dans la hiérarchie. 
    La chambre régionale confirme que certains « ont pu bénéficier d'avancements d'échelons et de reclassements statutaires. » 
    L'un d'entre eux a même tenté d'obtenir un grade supérieur car il s'estimait « désavantagé dans le déroulement de sa carrière par rapport aux anciens de ses collègues » qui ont, eux, obtenu gain de cause.

    Cette faille dans le système a été exploitée jusqu'au bout. 
    Les fonctionnaires ont trouvé le moyen d'obtenir la meilleure retraite possible. 
    Une partie « importante (d'entre eux) ne demande pas leur admission à la retraite dès l'âge légal de départ, mais attend bien souvent la limite d'âge, restant de ce fait à charge encore plus longtemps pour le centre de gestion. »

    Face à ce surplus de dépenses, la chambre régionale des comptes tente de trouver des solutions. 
    Une loi datant de 2016 doit permettre une dégressivité des rémunérations dans ces situations. 

    Cependant, les centres de gestion n'inciteraient que très peu au reclassement des intéressés « du fait de la prise en charge de l'essentiel de la dépense par la collectivité d'origine. » 

    Au total, le coût pour les finances publiques locales s'élève environ à « plus d'un million d'euros par an. »
     

    actu.orange

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