• A lire Procès Boyadjian : la Licra de Stasi contre la liberté des artistes

     

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    A lire le procès Boyadjian

     

     


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  • Les racailles de la bac (encore et encore)

     
     En tout, cinq policiers de la brigade anticriminalité du XVIIIe arrondissement ont été mis en examen, après une enquête de l’IGPN. (Illustration).
     
     

    Le 20 juin 2019


    Paris : trois nouvelles mises en examen de policiers de la Bac

    Cinq policiers de la brigade anticriminalité, qui intervient dans le quartier de la Goutte-d’Or, près de Barbès, ont été mis en examen en l’espace d’une semaine.
     
    Extorsion de fonds sur des dealers, trafic de drogue et vols : la Bac du XVIIIe arrondissement de Paris est secouée depuis une semaine par une affaire de corruption, dans laquelle cinq policiers au total ont été mis en examen.
    Le principal suspect, un brigadier de 45 ans désormais en prison, et un gardien de la paix de 38 ans avaient été les premiers mis en cause dans cette affaire.
    Le 11 juin, leurs collègues de l'Inspection générale de la police nationale (IGPN), la « police des polices », avaient procédé à leur interpellation à la demande du juge d'instruction, chargé depuis octobre de cette enquête sur des soupçons de racket contre des dealers du quartier de la Goutte-d'Or.
    Trois jours plus tard, les deux fonctionnaires étaient ressortis du bureau du magistrat avec de lourdes mises en examen : corruption passive par personne dépositaire de l'autorité publique, trafic de stupéfiants, blanchiment, vol, détournement de fichiers de police, faux en écriture publique et association de malfaiteurs, selon une source judiciaire.
    Deux autres hommes, non policiers, avaient été mis en examen en même temps, notamment pour corruption active. 
    « Ils sont notamment soupçonnés d'avoir corrompu Bylka», surnom du brigadier dans le quartier, « considéré par la justice comme l'organisateur des malversations », selon Les Jours.
     
    Des «protections» rémunérées

    Les deux policiers sont soupçonnés d'avoir « protégé des trafiquants de stupéfiants contre rémunération » et d'avoir blanchi l'argent ainsi obtenu, avait expliqué samedi une source proche du dossier à l'AFP.
    « Ils revendaient des informations sur les dispositifs policiers de lutte antidrogue et rackettaient les dealers », selon une source proche de l'enquête.
    Le brigadier et l'un de ses corrupteurs présumés avaient alors été placés en détention provisoire et les deux autres suspects libérés sous contrôle judiciaire.
    Interrogés par Les Jours, des dealers du quartier, « déjà passés par la case prison, affirment que Bylka leur a déjà proposé de prendre l'assurance pour ne plus être arrêtés », en clair de payer.
     
    Deux d'entre eux ne peuvent plus exercer leur métier

    Jeudi, trois autres membres de cette brigade anticriminalité ont été mis en examen pour « faux en écriture publique » ainsi que pour « transport et détention non autorisée de stupéfiants » à l'issue de leur garde à vue, selon la source judiciaire, confirmant une information des Jours et d'Europe 1.

    Deux d'entre eux sont également mis en cause pour « association de malfaiteurs en vue de commettre le délit de corruption passive ». 
    Un des suspects est aussi soupçonné de détournement de fichier de police, a-t-on précisé.
    Les trois ont été placés sous contrôle judiciaire, avec interdiction de paraître dans le XVIIIe arrondissement et, pour deux d'entre eux, interdiction d'exercer leur métier de policier, a-t-il été précisé.
    L'affaire, partie d'une dénonciation pour des soupçons de corruption visant le brigadier de police avait conduit le parquet de Paris à ouvrir en 2018 une enquête préliminaire puis une information judiciaire.

    leparisien

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  • La gigamosquée de Mulhouse sent le soufre

     
    Le centre An-Nour de Mulhouse. Photo © Amaury Brelet     
    Amaury Brelet 
     
    Le Centre An-Nour, le plus important lieu de culte musulman de France et d'Europe, installé à Mulhouse, est financé par le Qatar, géré par une filiale de l'UOIF et loué par des prêcheurs radicaux.
     
    Une nouvelle mosquée ? Encore une ? Où ça ?
     
    Dans les rues de Mulhouse, des habitants ignorent encore l’existence du Centre An-Nour, plus grand lieu de culte islamique de France et d’Europe.
    Difficile pourtant de manquer ce bâtiment ultramoderne et toujours en travaux, à l’entrée de la ville communautarisée du Haut-Rhin, qui compte 30 % de musulmans.
    « C’est une histoire sans fin. Vivement l’ouverture, ça va être un beau bordel », soupire un riverain. « C’est un sujet tabou, renchérit une mère de famille. Personne ne critique par peur d’être accusé de racisme. »
    Il faut dire que le sujet sensible est explosif.
    Des militants de Génération identitaire ont lancé sur place une campagne d’information alors qu’une première prière a eu lieu à la mosquée, le 25 mai, en plein ramadan, après dix ans d’attente.
    « Ce projet est scandaleux. Les élus sont majoritairement complices et préfèrent se soumettre par lâcheté », dénonce leur représentant Clément Martin. Un livre, Qatar Papers, amis le feu aux poudres.

    Le Centre An-Nour est « le plus important des 140 projets financés par Qatar Charity en Europe », l’ONG sulfureuse de l’émirat, révèlent les journalistes Christian Chesnot et Georges Malbrunot dans leur récent ouvrage, édité chez Michel Lafon, documents confidentiels à l’appui. 
    « Dans ce projet dont la réalisation est devenue hautement symbolique pour la communauté musulmane, ajoutent-ils, on retrouve dissimulation, complaisance des élus locaux et déploiement par ses promoteurs de trésors d’imagination pour le financer. » 
    Le complexe pharaonique coiffé d’un dôme comprend deux salles de prière en marbre de Carrare permettant d’accueillir 3 000 fidèles, une bibliothèque, une médiathèque, 11 salles de classe, une piscine de 25 mètres, une salle de sport, un sauna, un hammam, un spa, un salon de coiffure et même un funérarium !

    Le centre financé par l’étranger est « surveillé » par le renseignement intérieur
    Pour financer son « projet ambitieux » de plus de 10 000 mètres carrés, l’Association des musulmans d’Alsace (Amal) a sollicité l’argent des pays du Golfe. 
    Malgré ses démentis, la filiale locale de l’UOIF (Union des organisations islamiques de France, sous l’appellation Musulmans de France depuis 2017), branche française des Frères musulmans, a fait appel à l’État du Qatar. 
    Dans un courriel daté de 2015 et signé par son dirigeant de l’époque, l’Amal s’adresse à l’émir pour réclamer son « aide », louant « un phare pour l’éducation et le prêche, non seulement en France mais en Europe toute [sic] entière du fait de sa situation stratégique »
    Un mois plus tard, Qatar Charity débloque 1, 25 million d’euros. 
    L’entreprise à l’arrêt depuis trois ans est relancée. 
    « C’est un projet de Qatar Charity, que Dieu la protège », vante alors le directeur exécutif de l’ONG.
    Au total, le coût faramineux du Centre An-Nour était estimé à 26 millions d’euros à l’automne 2018 par Christian Chesnot et Georges Malbrunot, dont 80 % d’origine étrangère (14 millions accordés par le Qatar et 5 à 6 par le Koweït). 
    Un record ! [...]

    valeursactuelles

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  • Message à tous les jeunes cons: Déja vu, mais une petite piqûre de rappel ne peut pas faire de mal.

       
    Seuls les + de 50/60 ans peuvent comprendre !
     Que le mouvement écologie fait grincer les sans dents ! A la caisse d'un supermarché, une vieille dame choisit un sac en plastique pour ranger ses achats.
    La caissière lui reproche de ne pas se mettre à l'écologie et lui dit:
    " Votre génération ne comprend tout simplement pas le mouvement écologique.
    Seuls les jeunes vont payer pour la vieille génération qui a gaspillé toutes les ressources ! "
    La vieille femme s'excuse auprès de la caissière et explique :
    - Je suis désolée, il n'y avait pas de mouvement écologiste de mon temps."
    Alors qu'elle quitte la caisse, la mine déconfite,
    la caissière ajoute :
    "Ce sont des gens comme vous qui ont ruiné toutes les ressources à nos dépens.
    C'est vrai, vous ne considériez absolument pas la protection de l'environnement dans votre temps
    Alors, un peu énervée, la vieille dame fait observer qu'à l'époque on retournait les bouteilles de verre consignées au magasin. 

    Le magasin les renvoyait à l'usine pour être lavées, stérilisées et remplies à nouveau : bouteilles étaient recyclées, mais on ne connaissait pas le mouvement écologique.
    Elle ajoute :
    De mon temps, on montait l'escalier à pied : on n'avait pas d'escaliers roulants et peu d'ascenseurs.
    On ne prenait pas sa voiture à chaque fois qu'il fallait se déplacer de deux rues :
    On marchait jusqu'à l'épicerie du coin.

     
    Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.
    On ne connaissait pas les couches jetables :
    On lavait les couches des bébés.
    On faisait sécher les vêtements dehors sur une corde
    On avait un réveil qu'on remontait le soir.
    Dans la cuisine, on s'activait pour préparer les repas ;
    on ne disposait pas de tous ces gadgets électriques spécialisés pour tout préparer sans efforts et qui bouffent des watts autant qu'EDF en produit.
    Quand on emballait des éléments fragiles à envoyer par la poste, on utilisait comme rembourrage du papier journal ou de la ouate, dans des boîtes ayant déjà servi, pas des bulles en mousse de polystyrène ou en plastique.
    On n'avait pas de tondeuses à essence autopropulsées ou auto portées :
    On utilisait l'huile de coude pour tondre le gazon.
    On travaillait physiquement; on n'avait pas besoin d'aller dans un club de gym pour courir sur des tapis roulants qui fonctionnent à l'électricité.
    Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.
    On buvait de l'eau à la fontaine quand on avait soif.
    On n'utilisait pas de tasses ou de bouteilles en plastique à jeter.
    On remplissait les stylos dans une bouteille d'encre au lieu d'acheter un nouveau stylo.
    On remplaçait les lames de rasoir au lieu de jeter le rasoir entier après quelques utilisations.
    Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.
    Les gens prenaient le bus, le métro, le train et les enfants se rendaient à l'école à vélo ou à pied au lieu d'utiliser la voiture familiale et maman comme un service de taxi 24 H sur 24. 
    Les enfants gardaient le même cartable durant plusieurs années, les cahiers continuaient d'une année sur l'autre, les crayons de couleurs, gommes, taille- crayon et autres accessoires duraient tant qu'ils pouvaient, pas un cartable tous les ans et des cahiers jetés fin juin, de nouveaux crayons et gommes avec un nouveau slogan à chaque rue,
    Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologique !
    On n'avait qu'une prise de courant par pièce, et pas de bande multiprises pour alimenter toute la panoplie des accessoires électriques indispensables aux jeunes d'aujourd'hui.

     ALORS NE VENEZ PAS ME FAIRE CHIER AVEC VOTRE MOUVEMENT ECOLOGISTE !

     Tout ce qu’on regrette, c’est de ne pas avoir eu assez tôt la pilule, pour éviter d’engendrer la génération des jeunes cons comme vous, qui s’imagine avoir tout inventé, à commencer par le travail, qui ne savent pas écrire 10 lignes sans faire 20 fautes d’orthographe, qui n’ont jamais ouvert un bouquin autre que des bandes dessinées, qui ne savent pas qui a écrit le Boléro de Ravel…(pensent même que c’est un grand couturier), qui ne savent pas mieux où passe le Danube quand on leur propose Vienne ou Athènes, etc. mais qui croient tout de même pouvoir donner des leçons aux
    autres,du haut de leur ignorance crasse !

     MERDE à la fin !

     Merci de ne pas imprimer ce message afin de préserver l'environnement, mais ne vous privez pas de faire suivre !



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