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  • Neuilly : déjà condamné pour agression sexuelle, Mohamed A., infirmier à l’hôpital américain, jugé pour avoir violé une patiente (MàJ)

    (…) Infirmier, ce n’était pas sa vocation. Il voulait devenir architecte mais la vie en a décidé autrement et Mohamed A., qui a grandi et fait ses études d’infirmier en Algérie, a intégré l’hôpital américain, à Neuilly-sur-Seine, en 2003. (…)

    C’est une patiente du prestigieux établissement de Neuilly que Mohamed A. est soupçonné d’avoir violée, en février 2018. Dans sa chambre, en pleine nuit, et alors que cette jeune femme était assommée de médicaments. (…)

    « On est un bon couple, je n’ai pas de problème avec Mohamed, répétera Nadjet, épouse de l’infirmier depuis 2005. C’était un mariage traditionnel, par la famille, mais je l’aime », dit-elle. (…) Peu importe que son mari ait déjà été condamné pour l’agression sexuelle d’une patiente, en 2012. « Je lui ai pardonné », assure encore Nadjet.

    Le Parisien


    16/09/2020

    Un infirmier de l’Hôpital américain de Neuilly jugé pour le viol d’une jeune mannequin

    Un infirmier de 50 ans est jugé à partir de jeudi pour avoir abusé d’une mannequin en convalescence dans la nuit du 4 au 5 février 2018. L’accusé, lui, parle d’un rapport consenti.

    […]

    Déjà condamné pour agression sexuelle sur personne vulnérable

    Lors de sa garde à vue, Mohamed A., 50 ans, a d’abord tout nié en bloc, avant de revenir sur ses déclarations, accablé par les prélèvements ADN effectués dans la chambre de l’Hôpital américain. 

    […]

    « Il admet qu’il a bien eu un rapport sexuel avec la partie civile, résume son avocat, Me Fabien Arakelian. Mais il affirme surtout qu’il s’agissait d’un rapport sexuel consenti. »

    […]

    L’article dans son intégralité sur Le Parisien


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  • Grève à la SNCF : le summum de l’indécence !

     

    On se pince pour y croire : à l’appel de la CGT Cheminots, rejointe par SUD Rail, la FSU, Solidaires et des organisations de jeunesse, la SNCF sera en grève, de ce mercredi 16 septembre à 20 h jusqu’au vendredi 18 septembre à 7 h 55.

    C’est une grève dont on dit qu’elle sera fort peu suivie, et c’est tant mieux, mais qu’importe, au fond, car le seul fait qu’on appelle à la faire est, dans les temps que nous vivons, le summum de l’indécence.

    C’est, encore une fois, le moustachu Martinez, cette figure caricaturale qui ne représente plus rien ni personne de sensé, qui appelle au sabordage. Comme une grinçante boîte à musique, il rejoue son air en mouvement perpétuel : « Après la rencontre avec le Premier ministre, toujours rien de concret pour l’emploi et les salaires. Il faut passer des paroles aux actes », a-t-il tonitrué en sortant de Matignon, vendredi dernier. Qu’importent la crise sanitaire, le climat délétère, l’économie à la ramasse, le disque Martinez est rayé. Sa chanson tourne en boucle, réclamant « hausse des salaires, abandon définitif des réformes de retraites et de l’assurance chômage, réduction du temps de travail sans perte de salaire », à quoi il faudra ajouter, demain, sans doute, la contestation des futurs horaires d’hiver, comme c’est le cas quasiment chaque automne.

    Pour les fameuses « organisations » qui assistent Martinez dans sa tâche de fossoyeur des chemins de fer, c’est la même chanson : « Le plan de relance de 100 milliards d’euros, annoncé en grande pompe, ne s’adresse qu’aux entreprises, qui pourront notamment bénéficier d’une exonération d’impôts de production à hauteur de 10 milliards d’euros par an, et cela sans aucune condition ni contrepartie. » A contrario« les demandeurs d’emploi et les bénéficiaires des minima sociaux sont soumis à des contrôles toujours plus sévères ».

    Qu’importe l’effacement de la dette de la SNCF à hauteur de 35 milliards d’euros – une dette largement creusée par les grèves interminables de l’hiver dernier –, qu’importe l’enveloppe de 5 milliards d’euros attribuée au transport ferroviaire dans le plan de relance, tout cela ne vaut rien au regard de la CGT et de ses affidés.

    Bruno Le Maire, le ministre de l’Économie, s’interroge : « Je pose simplement la question : à quoi sert cette grève à la SNCF ? Quels sont les objectifs ? Pour quelles raisons, aujourd’hui, la CGT appelle-t-elle à la grève à la SNCF et qu’est-ce que ça va améliorer pour les cheminots ? » On connaît tous la réponse : ça ne sert à rien. Ça sert la CGT, c’est tout, du moins, c’est ce que croit ledit Martinez, dinosaure de l’ère préindustrielle qui espère se refaire une santé financière sur la crise sanitaire.

    La CGT est moribonde, comme tous les syndicats d’extrême gauche qui rament dans son sillage. Leur appel au soulèvement des masses laborieuses fera un bide, comme le précédent, comme le prochain. Leur tour de piste n’a qu’un but : faire passer le chapeau. Dans leur grande majorité, les syndicats français sont d’inutiles machines qui ne vivent que pour elles-mêmes.


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  • Squatteurs désormais expulsés en 3 jours !

     par  

    Beaucoup de choses peuvent se comprendre.

    On peut comprendre qu’un locataire se retrouve sans le sou en raison d’un accident de la vie et cela peut arriver à chacun de nous.

    On peut comprendre que l’on puisse faire de « mauvaises affaires », perdre son travail, se retrouver endetté après la faillite de son petit commerce et tous les autres événements qui peuvent nous frapper dans la vie. C’est tout le sens de la solidarité nationale, de nos impôts et de nos aides.

    Mais on ne peut pas comprendre ni les dégradations réalisées par un locataire, car ne pas pouvoir payer ne signifie pas que l’on doit casser un logement qui ne nous appartient pas, de la même manière que squatter le logement appartenant à d’autres ne doit pas être toléré.

    Après l’affaire du squat à Théoule-sur-Mer (Alpes-Maritimes), d’autres propriétaires font face au même problème à Saint-Honoré-les-Bains (Nièvre). En attendant la décision de justice, les squatteurs ne peuvent être délogés…

    C’est évidemment du délire.

    Un délire lié à une absence de bon sens.

    La ministre en charge du Logement soutient un amendement visant à faciliter l’expulsion de squatteurs. Déposé mercredi à l’Assemblée nationale comme elle l’a confirmé sur l’antenne de RTL : « cet amendement dit une chose très simple : que ce soit une résidence principale ou une résidence secondaire, ou même une résidence occasionnelle, à partir du moment où vous trouvez un squatteur chez vous, vous déposez plainte, vous faites constater que c’est bien chez vous et après vous interpellez le préfet », a-t-elle expliqué. « Le préfet a 48 heures pour vous répondre et au bout de 48 heures le préfet lui-même met en demeure le squatteur de partir », a-t-elle poursuivi, ajoutant que cela « va accélérer très fortement les procédures ».

    Après mise en demeure du Préfet les occupants « irréguliers auraient dès lors 24 heures pour quitter les lieux avant l’intervention de la force publique ».

    Si la loi est modifiée ce sera une bonne chose, mais lorsque l’on fouille, ce n’est pas la première fois que des députés proposent de régler le problème comme Dupont-Aignan en 2018 avec cette proposition que vous pouvez consulter sur le site de l’Assemblée Nationale ici.

    Charles SANNAT

    Source LCI ici


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  •  Sans commentaire Pieds Noirs 9A vous propose ;

    Gérard Boyadjian.. 

    Le "Djihad Judiciaire" est un Film/Documentaire interdit et censuré. Ce documentaire expose le dévoiement dangereux des institutions judiciaires françaises qui consiste aujourd'hui à "intimider, menacer, museler et condamner" tout propos critique vis à vis de l'Islam sur le territoire national. Cela représente une composante cruciale de la structure permettant et organisant l'islamisation de la France. Suite à la condamnation par la Cours d'Appel de Paris du Cinéaste Français : "Gérard Boyadjian" pour son film pamphlétaire : "Chameau Pas d'Amalgame", ce dernier est à l'initiative du documentaire DJIHAD JUDICIAIRE qui met à nu "les Juges de la morale", "les Procureurs de la pensée" et expose les entrailles de cette Magistrature, indéniablement soumise à l'agenda politique de nos dirigeants (collaboration volontaire active), corroborant son inclinaison idéologique incontestable. La liberté d'Expression en France se meurt sur l'autel du "Politiquement correct". Un nouveau cap périlleux pour notre Démocratie a été franchi et désormais l'institution judiciaire s'arroge de pouvoirs inédits en pourchassant des intellectuels, écrivains, historiens, policiers, artistes... qui ne s'alignent pas sur le discours de la "Doxa Dominante". "La Justice n'a jamais eu vocation à rendre la justice. Sa seule et unique fonction est de maintenir l'ordre social. Et cela repose, sur une profonde injustice." Gérard Boyadjian (Le documentaire sera en accès libre afin de le diffuser et le propager sur tout le territoire national. Néanmoins c'est votre contribution financière qui permet à des artistes dissidents, de créer des oeuvres indépendantes, non soumises aux diktats d'une industrie, subordonnée par le pouvoir politique.) paypal.me/pools/c/8fODcnX6xc Musique utilisée dans cette vidéo

    Attention Vidéo longue durée .

     


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