• La comédienne Caroline Cellier est décédée

    La veuve de Jean Poiret est morte à l'âge de 75 ans. La nouvelle a été annoncée par son fils Nicolas sur le réseau social Instagram.

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    Caroline Cellier a ete la compagne de Jean Poiret de 1965 jusqu'a sa mort, en 1992.

    Caroline Cellier a été la compagne de Jean Poiret de 1965 jusqu'à sa mort, en 1992. © Jean-Claude Moireau / Collection Christophel via AFP

    Le cinéma français perd une nouvelle fois une de ses étoiles. La comédienne Caroline Cellier est décédée à l'âge de 75 ans. La nouvelle a été annoncée mercredi 16 décembre par son fils Nicolas Poiret sur Instagram. « Aujourd'hui, on se quitte pour quelques minutes, mais tu auras été et tu resteras éternellement ma force, mes fous rires, mes angoisses, ma dérision, mes coups de sang, ma chevalière des injustices, ma détectrice d'hypocrisie, ma lune, ma Moune, ma mère, ma bataille ! », a-t-il écrit.

    Née à Montpellier le 7 août 1945, la comédienne est la veuve du réalisateur Jean Poiret, qu'elle avait rencontré sur le tournage du film La Tête du client. Elle avait également tourné sous la direction de Roger Vadim (Surprise Party), Laurent Tuel (Jean-Philippe) ou encore de Benoît Pétré (Thelma, Louise et Chantal), et d'Alain Chabat (Didier). En 1985, elle avait également obtenu le césar du meilleur second rôle féminin pour le film L'Année des méduses, de Christopher Frank. Elle avait également été nommée dans la catégorie meilleure actrice en 1993 pour son rôle dans le film Le Zèbre, réalisé par son époux avant sa mort, et dans lequel elle donnait la réplique à Thierry Lhermitte.

     

    Caroline Cellier avait également brillé sur les planches : en 1999, elle a été nommée au Molière de la comédienne pour son rôle dans Un tramway nommé Désir.


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  • L’image contient peut-être : 1 personne, texte qui dit ’Quand un mec qui n'a pas fait son service militaire te dit qu'on est en guerre, c'est comme si un puceau te racontait ses histoires de cul.’


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  • Toulouse : il prend le train avec deux pistolets chargés, une cagoule et des sourates du coran mais ne montre pas de signes de radicalité objective

    Un homme de 21 ans a été interpellé en début d’après-midi, vendredi 11 décembre, à la gare de Toulouse-Matabiau.

    Les hommes de la sécurité ferroviaire ont découvert qu’il avait sur lui deux pistolets chargés et une cagoule ainsi que des sourates du Coran et un tapis de prière, rapporte La Dépêche. […]

    Originaire de Mayotte, il « ne présente pas de signe de radicalité objective » […]

    Il aurait récemment été contrôlé par la police dans un quartier de Toulouse alors qu’il surveillait un point de vente de stupéfiants. […]

    Le Progrès via fdesouche.


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  • Rezé (44) : “Regarde le gwer (blanc) ! Wallah f*d*p, jette-lui un pavé dans la tête, tuez-le”. Souhaitant récupérer la moto de son fils, il est agressé et laissé pour mort par une bande de jeunes

    Samedi 12 décembre, entre 19 h et 20 h, un père et son fils âgé de 16 ans déboulent en voiture, avenue de la Vendée. Un peu plus tôt, ils ont appris qu’une moto, qui appartient au fils, volée chez eux à Bouguenais par plusieurs individus, circule dans le quartier. Ils veulent la récupérer. Lorsqu’ils la retrouvent, la moto est entourée de plusieurs hommes. Le père et le fils descendent de leur voiture et les choses s’enveniment en quelques secondes. (…)

    « Pour les faire partir, je leur criais : les flics vont arriver. Le père gisait par terre, le visage tuméfié. Un des jeunes voulait encore lui lancer un pavé dans le dos. J’ai regardé s’il respirait encore. Puis, je lui ai lavé son visage. Il était recouvert de sang. » L’homme, âgé de 52 ans, a été pris en charge par les sapeurs-pompiers, complètement désorienté. Il présentait une plaie saignante et très importante sur le front et a été aussitôt transporté aux Nouvelles cliniques de Nantes.

    L’histoire ne s’arrêtera pas là, craint cette « citoyenne en colère ». « Je suis la seule à être intervenue, les autres voisins sont descendus quand les jeunes sont partis. Je m’insurge, car tout le monde est complice de ce qui arrive. Ces jeunes sont des habitués des lieux, ils squattent l’avenue de la Vendée, entre le numéro 6 et le numéro 12, pour vendre des stups, pour voler des vélos, des motos… Ils jouent les gros bras dans le quartier. Ça fait des années. Mais un jour, ça se terminera très mal. »

    Ouest-France

    10 avenue de la Vendée, Rezé (44) quartier prioritaire “du château”, Photo Google street…

    Fdesouche
     

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