• La pastorale des renseignements ..Publié Par :Pieds Noirs 9A..

    Dans archives du 31 mars 2012..

    LES SERVICES DU RENSEIGNEMENT FRANCAIS GANGRENES

    Affaire Merah : le gouvernement refuse que le Sénat entende les chefs du renseignement.

    La majorité PS souhaitait que ceux-ci soient entendus, mais les ministre de l'Intérieur et de la Défense s'y opposent. Le président de l'assemblée s'indigne.

    La pastorale des renseignements ..

    Le gouvernement a refusé vendredi l’audition des chefs des services du renseignement prévue par la majorité PS du Sénat après les tueries de Mohamed Merah, suscitant l’indignation du président de cette assemblée, Jean-Pierre Bel (PS).

    La commission sénatoriale pour le contrôle de l’application des lois, présidée par David Assouline (PS), souhaitait notamment entendre le mardi 3 avril Erard Corbin de Mangoux, directeur général de la sécurité extérieure (DGSE), et le mercredi 4 avril Bernard Squarcini, directeur central du renseignement intérieur (DCRI).

    Les ministres de la Défense, Gérard Longuet, et de l’Intérieur, Claude Guéant, «ont décidé de ne pas donner de suite favorable à cette demande, les fonctionnaires concernés n’ayant pas de responsabilité en matière d’évaluation des lois, et étant par ailleurs, en cette période pré-électorale, tenus à un strict devoir de réserve».

    Le président de la haute assemblée, le socialiste Jean-Pierre Bel, a demandé vendredi soir «au gouvernement de revenir sur cette décision, qui constituerait un grave précédent, mettant en cause les prérogatives constitutionnelles du Sénat de la République».

    Pour Bel, «compte tenu de l’actualité et des annonces du président-candidat (Nicolas Sarkozy) sur des projets de réformes législatives en matière de lutte contre le terrorisme qui seraient soumis à un prochain Conseil des ministres, il appartient à cette commission de prendre l’initiative d’examiner l’état de la législation et les conditions de sa mise en oeuvre». Selon lui, «un accord avait au demeurant été donné pour une série d’auditions».

    L’annulation de ces auditions «manifeste un mépris pour les prérogatives du Parlement dont le rôle constitutionnel est d’exercer son contrôle sur l’activité du pouvoir exécutif», poursuit le sénateur.

    Le ministre des relations avec le Parlement, Patrick Ollier, a rétorqué que la commission sénatoriale qui voulait entendre les chefs des services de renseignement «n’avait pas les prérogatives» pour le faire. En revanche, la délégation permanente au renseignement, qui en a le pouvoir et est composée de quatre députés et quatre sénateurs, a «prévu d’auditionner dès la semaine prochaine les responsables en question», a-t-il ajouté.

    Pour le président du groupe socialiste au Sénat et spécialiste de la sécurité dans l’équipe Hollande, François Rebsamen, ce refus témoigne que «l’annonce d’une nouvelle loi antiterroriste faite dans la précipitation n’est qu’un effet d’affichage dicté par des préoccupations électoralistes».

    Après les tueries de Toulouse et Montauban, Nicolas Sarkozy avait annoncé des mesures législatives pour lutter notamment contre l’apologie du terrorisme. François Hollande avait appelé à éviter toute «précipitation».

    La DCRI a notamment été la cible de critiques sur la surveillance à laquelle était soumise Mohamed Merah, entendu à l’antenne toulousaine du Renseignement intérieur en novembre 2011 à propos de voyages en 2010 et 2011 en Afghanistan et au Pakistan. Selon M6, Merah était surveillé par les Renseignements généraux depuis 2006.

    Bernard Squarcini a défendu le travail de son service, affirmant qu’il avait été «impossible d’aller plus vite» pour arrêter Mohamed Merah à Toulouse. A son retour d’Afghanistan, «nous faisons une enquête pour voir ce qu’il vaut. Mais il n’y a rien. Pas d’activisme idéologique, pas de fréquentation de la mosquée», avait-il insisté dans un entretien au Monde.

    Il avait également démenti auprès de l’AFP que Merah ait pu être utilisé comme «indic» par son service ou par «d’autres services français ou étrangers».

    Selon le programme des auditions publié vendredi par la commission sénatoriale, plusieurs autres auditions sont prévues: les magistrats antiterroristes parisiens Yves Jannier et Marc Trévidic (3 avril); Frédéric Péchenard, directeur général de la police nationale, et Ange Mancini, coordonnateur national du renseignement (10 avril); Michel Mercier, ministre de la Justice (11 avril).


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  • Un État tracassier avec les citoyens paisibles, et faible avec les délinquants !

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    Cessez d’emmerder les Français disait le président Pompidou en son temps, mais c’était un autre temps.

    Un temps où d’ailleurs les liasses de billets s’échangeaient avec un naturel déconcertant pour le contribuable actuel.

    « Un État tracassier avec les citoyens paisibles, et faible avec les délinquants : jusqu’à quand ? »

    C’est le titre de l’excellente tribune signée par David Lisnard, Hervé Morin et François-Xavier Bellamy.

    « Le contraste entre l’autoritarisme de l’État envers le Français moyen et sa pusillanimité à l’égard des délinquants dangereux est trop criant pour être accepté encore longtemps, argumentent David Lisnard, François-Xavier Bellamy et Hervé Morin.

    David Lisnard (à gauche) est le maire LR de Cannes. François-Xavier Bellamy (au centre) est le chef de la délégation française au groupe PPE du parlement européen. Hervé Morin est le président du conseil régional de Normandie. Illustration Fabien Clairefond

    Alors que l’État régalien recule face à ceux qui nuisent, il multiplie les interdits qui pénalisent la majorité silencieuse et civique. Cette situation est une source grave d’injustice dont chacun sait qu’elle est le ressort de la révolte. À Noisiel où des feux d’artifice ont été tirés en pleine nuit et en plein couvre-feu au beau milieu des habitations, à Lyon, à Rilleux-la-Pape, à Amiens, à Beauvais, où des émeutes ont lieu depuis plusieurs jours, et dans tant d’autres communes, de tels faits se multiplient et l’ordre républicain n’est plus respecté.

    Aucune ville française n’est aujourd’hui à l’abri de ces troubles, de ces débordements, des violences de bandes pouvant entraîner la mort d’adolescents de 14 ou 15 ans, d’agressions gratuites, de rodéos sur la voie publique, de trafics, d’habitants contrôlés par des dealers pour pouvoir rentrer chez eux, de commissariats pris pour cibles ».

    Le premier droit économique et politique est le droit à la sécurité de tous et pour tous quel que soit notre origine ou notre positionnement sur la palette des couleurs ou des religions.

    Le second droit est d’avoir un État au service de ses citoyens et non des citoyens aux services et aux ordres d’un Etat devenu dément.

    Dément sur les finances publiques avec des dépenses ahurissantes pour un service rendu de plus en plus pitoyable.

    Dément sur la fiscalité avec des impôts, taxes, charges, contributions, amendes, cotisations devenues toutes plus délirantes les unes que les autres, et cela va de l’impôt sur le revenu au malus auto en passant par la taxe GEMAPI sur la prévention des inondations…

    Dément sur les restrictions insupportables de liberté imposées sans qu’aucune décision ne soit réellement prise à partir de données scientifiques solides. Je pense à ce couvre feu imbécile qui nous pousse tous à nous concentrer sur des temps courts dans des espaces clos, ou à la fermeture de plages alors qu’en extérieur les risques sont très, très faibles…

    Oui, cet Etat devient dément à l’égard de citoyens qui sont paisibles, de braves gens, payent leurs impôts et subissent toutes les humiliations, encore et encore.

    Répétées. Jour après jour.

    Renforcées. Décision après décision.

    Viendra un jour, et il est inéluctable, où un torrent de violence des braves gens se déversera sur l’engeance politique qui dirige ce pays depuis trop longtemps.

    Foutez la paix aux Français avant qu’à bout de patience, se déchainent des passions, qu’il vaut toujours mieux ne jamais réveiller.

    David Lisnard, Hervé Morin et François-Xavier Bellamy ont raison de tirer le signal d’alarme.

    La fumée ne se voit pas encore.

    Mais sous les feuilles humides d’un hiver pluvieux, déjà, le feu couve.

    Restez à l’écoute.

    Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !

    Charles SANNAT

    Source Le Figaro.fr ici


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  • Grenoble : les islamo-gauchistes lancent le djihad à la fac

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    À l’IEP Grenoble, les islamo-gauchistes lancent leurs fatwas. Après l’appel au meurtre rituel lancé par des parents d’élèves musulmans et après l’assassinat du professeur Samuel Paty par un terroriste islamiste guidé par ses coreligionnaires, les islamo-gauchistes viennent de franchir un nouveau cap en lançant un appel délibéré au meurtre rituel de deux professeurs au sein de l’IEP de Grenoble. 

    Déjà un précédent à Aix Marseille. Cette fatwa intervient après la dénonciation publique en décembre 2020, pour propos islamophobes, d’une femme professeur de l’université d’Aix Marseille. Ce précédent d’incitation au meurtre rituel avait été lancé par le journal Mediapart d’Edwy Plenel (article au vitriol, sans contradictoire ni droit de réponse, exclusivement à charge, cosigné par Faïza Zeraoula et Khadidja Zerouali. Vous avez bien lu, Zerouali et Zerouala). Menacée de mort, ce professeur avait dû être placée sous protection policière ; ce qui n’a pas empêché la LDH de lancer une plainte à son encontre, immédiatement instruite par le parquet. Nous assistons donc là, bel et bien, à la réitération du même procédé de désignation des victimes aux tueurs fanatiques ; et sans doute à une nouvelle forme de terrorisme à l’encontre de ceux qui osent encore s’exprimer à l’université en dehors de la doxa gauchiste. Aucune transgression, sans quoi les gauchistes fanatiques vous dénoncent à la secte assassine.

    L’appel délibéré au meurtre rituel, aboutissement de la dérive idéologique. En affichant publiquement leurs deux noms à l’entrée de la fac, en les taxant d’islamophobie et en médiatisant cette accusation sur les réseaux sociaux, ces nouveaux gardiens de la révolution islamique ont objectivement condamné ces deux professeurs à mort. En franchissant ce nouveau pas dans leur radicalisation, ces soi-disant syndicalistes étudiants viennent de rejoindre le jihad mondial ; confirmant ainsi l’aboutissement de leur dérive idéologique.

    L’État complice banalise. Sur place, le parquet a annoncé l’ouverture d’une enquête, regroupant deux chefs d’accusation : injure publique envers un particulier par parole, écrit, image ou moyen de communication au public par voie électronique” et dégradation ou détérioration légère de bien destiné à l’utilité ou la décoration publique par inscription, signe ou dessin”.

    Ce déni de la part de l’État donne un blanc-seing aux commanditaires des meurtres par procuration et – in fine – aux tueurs islamistes. Par sa duplicité, l’État se rend une nouvelle fois complice du terrorisme islamique.

    Non, Monsieur le Procureur Vaillant, il ne s’agit pas de banales injures publiques ni de détérioration légère de biens. Monsieur le Procureur Vaillant, après le précédent tragique de la décapitation de Samuel Paty, vous le savez comme nous, il ne s’agit de rien moins que d’un d’appel au meurtre et d’une incitation à la commission d’actes terroristes par procuration. Alors, quoi ? Avez-vous banalisé de la sorte par idéologie personnelle, ou bien avez vous reçu des ordres de votre hiérarchie ? Où est votre honneur, Monsieur le Procureur ? Avez-vous conscience de votre responsabilité au regard de la société ?

    Un appel au meurtre sur fond d’antisémitisme et de concurrence victimaire. Car c’est bien de cela qu’il s’agit. Le premier professeur est accusé de propos ‘’problématiques’’ concernant l’islamophobie. En d’autres termes, il lui a été reproché de ne pas suivre les thèses victimaires propagées par les islamo-gauchistes concernant une soi-disant islamophobie systémique en France. Plus grave, l’autre est accusé de contester la mise en équivalence de l’antisémitisme et de l’islamophobie prônée par les islamo-gauchistes. Voici en effet la déclaration qui lui a été reprochée sur le concept d’islamophobie : 

    «Je refuse catégoriquement de laisser suggérer que la persécution (imaginaire) des extrémistes musulmans (et autres musulmans égarés) d’aujourd’hui ait vraiment sa place à côté de l’antisémitisme millénaire et quasi universel ou du racisme dont notre propre civilisation occidentale (tout comme la civilisation musulmane d’ailleurs) est passée championne du monde au fil des siècles»

    Antisémitisme, antisionisme, remettons les choses en ordre. Certes, ponctuellement à certaines périodes du passéles populations juives de France ont été persécutées. Elle ne l’ont été que singulièrement dans le temps, sous certains régimes et dans des circonstances historiques bien particulières ; en particulier lors de la défaite à l’initiative d’un pouvoir illégitime. En aucun cas elles ne l’ont été à l’initiative de l’ensemble de la population. Si ces persécutions ont existé ponctuellement, pour autant on ne peut pas sérieusement parler d’antisémitisme systémique de la part du peuple autochtone de France au cours de son Histoire. Toutefois, il peut encore exister un antisémitisme résiduel, dans certains milieux ultra-confinés, mais il ne représente aucun danger réel, et ne trouve aucun soutien dans l’opinion publique majoritaire. Si certains soutiennent qu’il ait pu l’être dans le passé, en aucun cas l’antisémitisme n’est systémique à l’heure actuelle. Au contraire, d’une manière générale, la communauté juive de France est largement protégée par les institutions et par le peuple autochtone et il existe un très large consensus dans ce sens. 

    En revanche, à des degrés divers, depuis un certain temps, il existe bien un antisémitisme systémique importé qui se radicalise parmi une frange de plus en plus importante des populations musulmanes de France. Ce fait est incontestable. Conjointement, il existe un antisémitisme idéologique dans certains milieux de l’ultra-gauche, généralement habillé d’antisionisme. Sur ce dernier point, on peut dire que l’islamophilie affichée de l’ultra-gauche, habillée d’antisionisme et de soutien de la cause palestinienne, n’est en fait qu’une forme particulière d’un antisémitisme obsidional et d’une inversion mentale caractéristique de la pensée de gauche. 

    Les 2 seuls antisémitismes systémiques réellement dangereux en France sont celui importé avec les populations musulmanes et celui lié à l’idéologique des islamo-gauchistes.

    À cet égard, on ne manquera pas de s’étonner du soutien de certaines organisations largement animées par des Juifs qui, sous couvert de lutte contre le racisme, la haine ou l’islamophobie, viennent au renfort des islamo-gauchistes, de leurs thèses réellement antisémites et de la mise en équivalence victimaire. À part une recherche de soumission du peuple autochtone de France par la culpabilisation universelle et celle d’une vitrification de tout débat sur la submersion migratoire, on ne voit pas bien la finalité de cette association de circonstance, ni à qui elle est censée profiter en dernier ressort. Une question à laquelle sans doute, seuls les instigateurs du rang le plus élevé ont la réponse, s’il en existe une… car, à un certain moment, on pourrait invoquer des causes pathologiques.

    L’islamophobie une construction intellectuelle perverse aux fins de concurrence victimaire. Il n’existe aucune persécution des populations musulmanes en France. Bien au contraire, elles font l’objet de transferts sociaux énormes, d’une tolérance religieuse absolue et même – en contradiction avec les principes républicains de la laïcité – de discrimination positive au détriment des Français de souche, elles sont largement surprotégées par le pouvoir et systématiquement épargnées par la justice. Il en résulte à l’heure actuelle une surenchère victimaire permanente et une situation institutionnelle qui se généralise, et qui a définitivement échappé à tout contrôle de l’État. Par ailleurs, la meilleure preuve de cette bienveillance systémique, c’est que les musulmans du monde entier se précipitent sur le sol de France pour y bénéficier de nos largesses. En revanche, il existe bien une exaspération de la part des populations de souche et de la part des non-musulmans face au comportement vindicatif et hostile d’une part de plus en plus importante des populations musulmanes qui se communautarisent, refusent nos mœurs, nous imposent les leurs, nous assassinent et maintenant placent leur loi religieuse au dessus de la loi française. Oui, la communauté musulmane pose un réel problème à la France. 

    Dans cette phase de notre Histoire – où nous sommes en voie de submersion et où nous sommes quotidiennement les victimes des musulmans – et en l’absence de persécution de ces populations, l’islamophobie instrumentalisée par les islamo-gauchistes est une construction intellectuelle qui n’a pas d’autre objet que de vitrifier toute demande d’intégration des populations musulmanes et d’arrêt de l’immigration. Le but : culpabiliser les Français de souche, autant par rapport aux musulmans, qu’ils le sont déjà par rapport aux juifs ; et ainsi interdire toute remise en cause de l’immigration musulmane. 

    La mise en équivalence victimaire, une banalisation du nazisme, un révisionnisme de gauche. Mettre en balance les persécutions imaginaires subies par les musulmans en France et celles épouvantables qu’ont imposées les nazis aux juifs, c’est banaliser le nazisme et considérer en quelque sorte que les nazis n’en ont pas plus fait aux juifs que nous n’en faisons aujourd’hui aux musulmans. Il s’agit là d’un révisionnisme qui insulte la mémoire des martyrs, qui insulte notre mémoire collective. Là encore, on peut se demander à quoi jouent les animateurs juifs des associations qui viennent au renfort de ces thèses perverses de mise en équivalence victimaire. Là encore, on peut suspecter des causes pathologiques très profondes. Bien entendu, nous condamnons ce révisionnisme sournois qui ne dit pas son nom et tous ceux qui en sont les promoteurs.

    Ces deux professeurs ont raison : en aucun cas on ne peut mettre en balance les persécutions dont ont été victimes les juifs de France et l’extraordinaire bienveillance dont bénéficient les musulmans dans notre pays.

    Le jihad global est en train de se coaguler en France. En lançant des fatwas à l’intérieur même de l’université, sans réaction ni de la part du monde enseignant, ni de la part du pouvoir, ni de la part de la justice, les islamo-gauchistes ont définitivement rejoint le jihad global en France avec l’accord tacite de l’État. Dans la guerre qui nous est faite, aucun doute, ils sont nos ennemis ; maintenant aussi bien que l’État lui-même et avant même les populations musulmanes.

    D’abord l’État, ensuite nos adversaires marxistes et mondialistes, ensuite seulement nous réglerons le reste.

    Martin Moisan

    NB : Afin de les préserver, les noms des deux professeurs ont été volontairement floutés sur cette image. Néanmoins, ils ont  déjà largement circulé sur les réseaux sociaux mettant gravement en danger leurs vies.

     


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  • Montbéliard (25) : Deux jeunes policières tabassées à coups de pied au visage par un migrant afghan

    Ce samedi matin, à Montbéliard, un homme se promenait sans masque. À deux reprises, à la vue des policiers, il a eu des gestes insultants. Son interpellation a été mouvementée. Deux jeunes policières sont blessées. Le suspect a fait l’objet d’un placement d’office en unité psychiatrique.

    (…)

    Le passant n’a pas l’intention de décliner son identité et la situation dégénère. Il s’oppose violemment à son interpellation et doit être menotté au sol. En se débattant, le jeune perturbateur assène des coups de pied au visage de deux fonctionnaires : une adjointe de sécurité et une femme gardien de la paix. La première est touchée à la joue, la seconde est blessée au nez (elle 4 jours d’ITT). Toutes deux seront brièvement hospitalisées.

    L’énervé a pu être maîtrisé. Sa garde à vue a tourné court. Le suspect, dont l’identité n’a pas pu être déterminée et qui serait d’origine afghane, tenait des propos incohérents. Un médecin a ordonné son placement d’office dans une unité psychiatrique.

    L’Est républicain via fdesouche


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  • Aux abois, Sarkozy envisage de soutenir Macron en 2022

    Cela, j'espère, n'étonnera personne.

    1- Même si les Parquets sont réputés indépendants dans cette République foutraque, Sarkozy, compte tenu de la délicate situation judiciaire qui est la sienne, va avoir besoin d'un ami puissant sur qui pouvoir compter dans les prochains mois et les années qui viennent. Puisque la droite ne dégagera d'ici 2022 aucun candidat susceptible de l'emporter, il faut bien, quand on est Sarkozy, préparer l'avenir au mieux de ses intérêts.

    2- Ces deux hommes partagent les mêmes convictions puisqu'ils n'en ont aucune, la même vision de la politique — celle de la méduse entre deux eaux — et le même sens de l’État intimement confondu avec celui de leurs destins personnels.

    3- C'est une loi universelle de portée absolue : « asinus asinum fricat ».

    Jean-François Touzé - Délégué général du Parti de la France


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