Grenoble : les islamo-gauchistes lancent le djihad à la fac
L'auteur
Martin Moisa
À l’IEP Grenoble, les islamo-gauchistes lancent leurs fatwas. Après l’appel au meurtre rituel lancé par des parents d’élèves musulmans et après l’assassinat du professeur Samuel Paty par un terroriste islamiste guidé par ses coreligionnaires, les islamo-gauchistes viennent de franchir un nouveau cap en lançant un appel délibéré au meurtre rituel de deux professeurs au sein de l’IEP de Grenoble.
Déjà un précédent à Aix Marseille. Cette fatwa intervient après la dénonciation publique en décembre 2020, pour propos islamophobes, d’une femme professeur de l’université d’Aix Marseille. Ce précédent d’incitation au meurtre rituel avait été lancé par le journal Mediapart d’Edwy Plenel (article au vitriol, sans contradictoire ni droit de réponse, exclusivement à charge, cosigné par Faïza Zeraoula et Khadidja Zerouali. Vous avez bien lu, Zerouali et Zerouala). Menacée de mort, ce professeur avait dû être placée sous protection policière ; ce qui n’a pas empêché la LDH de lancer une plainte à son encontre, immédiatement instruite par le parquet. Nous assistons donc là, bel et bien, à la réitération du même procédé de désignation des victimes aux tueurs fanatiques ; et sans doute à une nouvelle forme de terrorisme à l’encontre de ceux qui osent encore s’exprimer à l’université en dehors de la doxa gauchiste. Aucune transgression, sans quoi les gauchistes fanatiques vous dénoncent à la secte assassine.
L’appel délibéré au meurtre rituel, aboutissement de la dérive idéologique. En affichant publiquement leurs deux noms à l’entrée de la fac, en les taxant d’islamophobie et en médiatisant cette accusation sur les réseaux sociaux, ces nouveaux gardiens de la révolution islamique ont objectivement condamné ces deux professeurs à mort. En franchissant ce nouveau pas dans leur radicalisation, ces soi-disant syndicalistes étudiants viennent de rejoindre le jihad mondial ; confirmant ainsi l’aboutissement de leur dérive idéologique.
L’État complice banalise. Sur place, le parquet a annoncé l’ouverture d’une enquête, regroupant deux chefs d’accusation : “injure publique envers un particulier par parole, écrit, image ou moyen de communication au public par voie électronique” et “dégradation ou détérioration légère de bien destiné à l’utilité ou la décoration publique par inscription, signe ou dessin”.
Ce déni de la part de l’État donne un blanc-seing aux commanditaires des meurtres par procuration et – in fine – aux tueurs islamistes. Par sa duplicité, l’État se rend une nouvelle fois complice du terrorisme islamique.
Non, Monsieur le Procureur Vaillant, il ne s’agit pas de banales injures publiques ni de détérioration légère de biens. Monsieur le Procureur Vaillant, après le précédent tragique de la décapitation de Samuel Paty, vous le savez comme nous, il ne s’agit de rien moins que d’un d’appel au meurtre et d’une incitation à la commission d’actes terroristes par procuration. Alors, quoi ? Avez-vous banalisé de la sorte par idéologie personnelle, ou bien avez vous reçu des ordres de votre hiérarchie ? Où est votre honneur, Monsieur le Procureur ? Avez-vous conscience de votre responsabilité au regard de la société ?
Un appel au meurtre sur fond d’antisémitisme et de concurrence victimaire. Car c’est bien de cela qu’il s’agit. Le premier professeur est accusé de propos ‘’problématiques’’ concernant l’islamophobie. En d’autres termes, il lui a été reproché de ne pas suivre les thèses victimaires propagées par les islamo-gauchistes concernant une soi-disant islamophobie systémique en France. Plus grave, l’autre est accusé de contester la mise en équivalence de l’antisémitisme et de l’islamophobie prônée par les islamo-gauchistes. Voici en effet la déclaration qui lui a été reprochée sur le concept d’islamophobie :
«Je refuse catégoriquement de laisser suggérer que la persécution (imaginaire) des extrémistes musulmans (et autres musulmans égarés) d’aujourd’hui ait vraiment sa place à côté de l’antisémitisme millénaire et quasi universel ou du racisme dont notre propre civilisation occidentale (tout comme la civilisation musulmane d’ailleurs) est passée championne du monde au fil des siècles»
Antisémitisme, antisionisme, remettons les choses en ordre. Certes, ponctuellement à certaines périodes du passé, les populations juives de France ont été persécutées. Elle ne l’ont été que singulièrement dans le temps, sous certains régimes et dans des circonstances historiques bien particulières ; en particulier lors de la défaite à l’initiative d’un pouvoir illégitime. En aucun cas elles ne l’ont été à l’initiative de l’ensemble de la population. Si ces persécutions ont existé ponctuellement, pour autant on ne peut pas sérieusement parler d’antisémitisme systémique de la part du peuple autochtone de France au cours de son Histoire. Toutefois, il peut encore exister un antisémitisme résiduel, dans certains milieux ultra-confinés, mais il ne représente aucun danger réel, et ne trouve aucun soutien dans l’opinion publique majoritaire. Si certains soutiennent qu’il ait pu l’être dans le passé, en aucun cas l’antisémitisme n’est systémique à l’heure actuelle. Au contraire, d’une manière générale, la communauté juive de France est largement protégée par les institutions et par le peuple autochtone et il existe un très large consensus dans ce sens.
En revanche, à des degrés divers, depuis un certain temps, il existe bien un antisémitisme systémique importé qui se radicalise parmi une frange de plus en plus importante des populations musulmanes de France. Ce fait est incontestable. Conjointement, il existe un antisémitisme idéologique dans certains milieux de l’ultra-gauche, généralement habillé d’antisionisme. Sur ce dernier point, on peut dire que l’islamophilie affichée de l’ultra-gauche, habillée d’antisionisme et de soutien de la cause palestinienne, n’est en fait qu’une forme particulière d’un antisémitisme obsidional et d’une inversion mentale caractéristique de la pensée de gauche.
Les 2 seuls antisémitismes systémiques réellement dangereux en France sont celui importé avec les populations musulmanes et celui lié à l’idéologique des islamo-gauchistes.
À cet égard, on ne manquera pas de s’étonner du soutien de certaines organisations largement animées par des Juifs qui, sous couvert de lutte contre le racisme, la haine ou l’islamophobie, viennent au renfort des islamo-gauchistes, de leurs thèses réellement antisémites et de la mise en équivalence victimaire. À part une recherche de soumission du peuple autochtone de France par la culpabilisation universelle et celle d’une vitrification de tout débat sur la submersion migratoire, on ne voit pas bien la finalité de cette association de circonstance, ni à qui elle est censée profiter en dernier ressort. Une question à laquelle sans doute, seuls les instigateurs du rang le plus élevé ont la réponse, s’il en existe une… car, à un certain moment, on pourrait invoquer des causes pathologiques.
L’islamophobie une construction intellectuelle perverse aux fins de concurrence victimaire. Il n’existe aucune persécution des populations musulmanes en France. Bien au contraire, elles font l’objet de transferts sociaux énormes, d’une tolérance religieuse absolue et même – en contradiction avec les principes républicains de la laïcité – de discrimination positive au détriment des Français de souche, elles sont largement surprotégées par le pouvoir et systématiquement épargnées par la justice. Il en résulte à l’heure actuelle une surenchère victimaire permanente et une situation institutionnelle qui se généralise, et qui a définitivement échappé à tout contrôle de l’État. Par ailleurs, la meilleure preuve de cette bienveillance systémique, c’est que les musulmans du monde entier se précipitent sur le sol de France pour y bénéficier de nos largesses. En revanche, il existe bien une exaspération de la part des populations de souche et de la part des non-musulmans face au comportement vindicatif et hostile d’une part de plus en plus importante des populations musulmanes qui se communautarisent, refusent nos mœurs, nous imposent les leurs, nous assassinent et maintenant placent leur loi religieuse au dessus de la loi française. Oui, la communauté musulmane pose un réel problème à la France.
Dans cette phase de notre Histoire – où nous sommes en voie de submersion et où nous sommes quotidiennement les victimes des musulmans – et en l’absence de persécution de ces populations, l’islamophobie instrumentalisée par les islamo-gauchistes est une construction intellectuelle qui n’a pas d’autre objet que de vitrifier toute demande d’intégration des populations musulmanes et d’arrêt de l’immigration. Le but : culpabiliser les Français de souche, autant par rapport aux musulmans, qu’ils le sont déjà par rapport aux juifs ; et ainsi interdire toute remise en cause de l’immigration musulmane.
La mise en équivalence victimaire, une banalisation du nazisme, un révisionnisme de gauche. Mettre en balance les persécutions imaginaires subies par les musulmans en France et celles épouvantables qu’ont imposées les nazis aux juifs, c’est banaliser le nazisme et considérer en quelque sorte que les nazis n’en ont pas plus fait aux juifs que nous n’en faisons aujourd’hui aux musulmans. Il s’agit là d’un révisionnisme qui insulte la mémoire des martyrs, qui insulte notre mémoire collective. Là encore, on peut se demander à quoi jouent les animateurs juifs des associations qui viennent au renfort de ces thèses perverses de mise en équivalence victimaire. Là encore, on peut suspecter des causes pathologiques très profondes. Bien entendu, nous condamnons ce révisionnisme sournois qui ne dit pas son nom et tous ceux qui en sont les promoteurs.
Ces deux professeurs ont raison : en aucun cas on ne peut mettre en balance les persécutions dont ont été victimes les juifs de France et l’extraordinaire bienveillance dont bénéficient les musulmans dans notre pays.
Le jihad global est en train de se coaguler en France. En lançant des fatwas à l’intérieur même de l’université, sans réaction ni de la part du monde enseignant, ni de la part du pouvoir, ni de la part de la justice, les islamo-gauchistes ont définitivement rejoint le jihad global en France avec l’accord tacite de l’État. Dans la guerre qui nous est faite, aucun doute, ils sont nos ennemis ; maintenant aussi bien que l’État lui-même et avant même les populations musulmanes.
D’abord l’État, ensuite nos adversaires marxistes et mondialistes, ensuite seulement nous réglerons le reste.
Martin Moisan
NB : Afin de les préserver, les noms des deux professeurs ont été volontairement floutés sur cette image. Néanmoins, ils ont déjà largement circulé sur les réseaux sociaux mettant gravement en danger leurs vies.