• Belgique: l’agence Royal Air Maroc à Bruxelles prise d’assaut après l’annonce d’une promotion spéciale pour les Marocains résidant à l’étranger

    Le roi marocain fait baisser les prix des billets d’avion: prise d’assaut, l’agence Royal Air Maroc à Bruxelles “ferme ses portes”.

    Le roi marocain Mohammed VI a donné ses instructions pour faciliter le retour des Marocains résidant à l’étranger dans leur pays à des prix accessibles. Le communiqué publié par son cabinet royal dimanche est adressé à l’ensemble du secteur du tourisme et a été relayé par l’ambassade du Maroc en Belgique sur sa page Facebook.

    Parmi les exigences formulées, l’ordre est donné “à l’ensemble des intervenants dans le domaine du transport aérien, en particulier la compagnie Royal Air Maroc, ainsi qu’aux différents acteurs du transport maritime, de veiller à pratiquer des prix raisonnables qui soient à la portée de tous”.

    L’information a suscité une file importante devant les bureaux de Royal Air Maroc à Bruxelles dès lundi. Ce mardi, nous apprenions via un message et une photo envoyés via notre bouton orange Alertez-nous, que “l’agence de Bruxelles ferme soudainement ses portes”. (…)

    RTL-TVI.be via fdesouche


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  • Réseaux pédocriminels dans l’entourage de Brigitte Macron ?

    L'auteur

    En octobre dernier, l’écrivain, géopolitologue et expert financier Morad El Hattab  donnait cette troublante interview sur les réseaux pédocriminels en France.

    À écouter de bout en bout :

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    Le sujet semble ne pas s’intégrer au monde de la finance et de la géopolitique qui est celui de M. El Hattab ? Voire… Les réseaux pédocriminels couvrent la totalité de la planète, pénètrent les sphères les plus élevées des « élites » (gouvernements, institutions internationales…) et génèrent pour les entités mafieuses des profits largement supérieurs à ceux de la prostitution adulte. Une vidéo sur le meurtre satanique d’un enfant peut se vendre jusqu’à un million d’euros.

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    L’enquête menée pendant cinq ans par Morad El Hattab révèle que la pédocriminalité est une réalité systémique dans notre pays dans laquelle est compromise une certaine faune politique française, jusqu’au sommet de l’Etat.

    « Ce n’est pas pour rien que notre pays est surnommé “pédoland” » ironise M. El Hattab.

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    Le nom de Brigitte Macron, épouse du chef de l’Etat, est évoqué à de nombreuses reprises au cours de l’interview. Est-ce l’une des raisons pour lesquelles cette enquête n’a eu que très peu d’échos dans les médias ?

    M. El Hattab souligne entre autres la présence étonnante de Mimi Marchand dans l’entourage de Mme Macron :

    Outre de nombreuses affaires particulièrement sulfureusesMimi Marchand est intervenue, rappelle M. El Hattab « dans une affaire pédocriminelle qui touchait le fils d’un milliardaire français, déjà interpellé par la police à deux reprises, et qui détenait tout un fichier d’images pédopornographiques ».

    Grâce aux réseaux d’influence de Mimi Marchand, les journalistes n’ont jamais eu connaissance de la décision judiciaire concernant cette affaire : la décision ne fut pas notifiée auprès de la presse judiciaire et ne fit l’objet d’aucune dépêche AFP. Seul, dans les médias, Pascal Praud a eu le courage d’interviewer l’un des journalistes qui ont enquêté sur l’affaire.

    M. El Hattab évoque également la figure interlope de Jean-Marc Borello, et sa proximité avec le couple Macron. En décembre 2018, Le Monde et Libération rendent compte d’accusations à l’encontre de ce pilier de la macronie, de harcèlement et d’agressions sexuelles. En tant que « chef adjoint » de La République en marcheJean-Marc Borello continue néanmoins de jouir de toute la confiance du couple présidentiel.

    En 2006, Borello a été un des témoins de la défense de Robert Megel, à l’époque directeur d’une structure nommée « Les Tournelles ». A l’issue de son procès, Megel était condamné à 12 ans de prison ferme pour « viol et attouchements sur mineurs ».

    M. El Hattab rappelle enfin les liens étroits d’amitié entre le couple Macron et le pédophile notoire Daniel Cohn-Bendit :

    et souligne que c’est sous la mandature Macron que la pédophilie est passée du statut de crime à celui de simple délit… « Peut-être s’agit-il de désengorger les assises » ironise M. El Hattab

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    Rappelons que c’est à l’âge de 15 ans qu’Emmanuel Macron devint l’amant de Brigitte Trogneux, son aînée de 24 ans, et qui était à l’époque son professeur de français à la prestigieuse institution amiénoise « La Providence » tenue par les Jésuites (et où un certain François Ruffin  fut également élève…).

    Quinze ans, c’est du moins l’âge que retient la vérité officielle. Des témoins de l’époque parlent plutôt de 14 ans, ce qui constituerait alors un viol sur mineur aux termes de la loicrime puni de 15 ans de réclusion.

    ***

    M. El Hattab mentionne une interview de Jean Pierre Mocky  :

    réalisée en 2006, dans laquelle le réalisateur parle de son film Les ballets écarlatessorti en 2004. Jean-Pierre Mocky y dénonce l’omerta dont son film a fait l’objet, ainsi que le silence de la justice et des médias face aux agissements des réseaux pédocriminels.

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    Dans son interview, Morad El Hattab évoque à de nombreuses reprises l’affaire Epstein, du nom de ce milliardaire américano-israélien, propriétaire d’une île, Lolita Island (le prénom « Lolita » fait référence au livre éponyme de Vladimir Nabokov) où se déroulaient de véritables orgies avec des jeunes filles mineures.

    Le 10 août 2019, dans sa cellule du Manhattan correctional center de New YorkEpstein est retrouvé « suicidé » dans des conditions qui défient l’imagination.

    Epstein possédait également un appartement parisien. L’affaire a rapidement été étouffée par le showbiz et la caste politico-médiatique français. Elle semble d’ailleurs définitivement enterrée, aussi bien du côté américain après l’élection de Joe Biden, que du côté français.

    L’hebdomadaire Valeurs Actuelles, rappelle M. El Hattab, a été le seul organe de presse à révéler que lorsque le FBI américain a demandé à la justice française d’enquêter sur les réseaux pédocriminels liés, sur notre territoire, à l’affaire Epstein, il s’est vu opposer une fin de non-recevoir de la part du pouvoir macronien…

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    Morad El Hattab qualifie le « coup de filet » à l’encontre d’une soixantaine de pédophiles qui a eu lieu début octobre 2020 dans l’Hérault de « simple contre-feu » : la justice va juger des « petits poissons » – sans doute de simples « rabatteurs » – alors que les véritables prédateurs pédophiles qui gravitent au sommet du pouvoir ne seront quant à eux jamais inquiétés.

    ***

    Le nom de l’ancien président démocrate Bill Clinton revient régulièrement dans l’affaire Epstein. « Bill » se serait ainsi rendu 27 fois sur Lolita Island, à bord du jet privé du milliardaire, surnommé Lolita Express

    Le couple Clinton, à la tête de la puissante Fondation  qui porte leur nom, possède évidemment de solides dossiers sur un certain nombre d’hommes politiques américains et français. De quoi tempérer les esprits trop indépendants.

    D’autre part, les nombreuses morts mystérieuses dans l’entourage des Clinton sont de nature à faire taire définitivement les témoins gênants…

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    « Trump bashing » oblige de la part des médias de l’oligarchie, le nom du 45ème président des Etats-Unis est abondamment cité dans l’affaire Epstein :

    C’est oublier que Trump a définitivement rompu avec Epstein dès 2008, lors de la révélation de la première affaire de pédophilie dans laquelle a trempé ce dernier, ce qui n’est pas le cas de Bill Clinton qui a jusqu’au bout conservé des liens amicaux (sinon d’affaires…) avec le pédo-criminel.

    C’est également oublier que lors des quatre années de sa mandature à la Maison BlancheTrump a fait arrêter plus de 3 000 pédocriminels américains, comme le rappelle M. El Hattab (vers 28:15 de la première vidéo). Sous Clinton et Obama en revanche, les pédophiles pouvaient dormir tranquilles…

    ***

    De son côté, à de nombreuses reprises, le réalisateur américain Mel Gibson a dénoncé Hollywood comme un repère de pédosatanistes. On comprend mieux dès lors la haine viscérale manifestée par l‘industrie américaine de l’image – ainsi que par la quasi-totalité des médias outre-Atlantique – à l’encontre du président Trump

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    Par ailleurs, pour une vidéo sur « Les Juifs, l’inceste et l’hystérie » – dont on remarquera qu’elle n’a pas été censurée par YouTube – Hervé Ryssen vient de se voir de nouveau condamné à huit mois de prison sous bracelet électronique et 10 000 euros d’amende, pouvant se transformer en emprisonnement en cas de non-paiement.

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    Henri Dubost

    In girum imus nocte ecce et consumimur igni


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  • Destruction des retraites : départ à 64 ans

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    Au revoir la réforme des retraites et son système à points, totem de la CFDT. Emmanuel Macron a enterré, ce jeudi dans le Lot, la très controversée mère de ses réformes. Du moins, dans sa version portée jusqu’en décembre 2019 par le ministre Jean-Paul Delevoye, qui a démissionné après nos révélations sur ses oublis de déclaration en cascade. Une loi pourtant votée en première lecture par les députés, mais remisée provisoirement en mars 2020 dans les tiroirs de la République pour cause de Covid-19.

    Lors d’une déambulation sur le sol de Martel, le chef de l’État a donné le coup de grâce. « Elle (NDLR : la réforme) était très ambitieuse, extrêmement complexe et porteuse d’inquiétudes, il faut le reconnaître, être lucide sur la manière dont le pays l’a vécue », a-t-il expliqué peu après devant la presse. Et de lancer elliptique : « Rien n’est exclu », mais « ce ne sera pas la même réforme », esquivant toute autre question notamment le calendrier : en 2021 ou en 2022 ? Un art du louvoiement pour ne froisser personne en pleine campagne des régionales, ceux qui la réclament comme ceux qui la refusent.

    Un déficit estimé à 30 milliards d’euros

    Selon nos informations, l’idée d’une grande conférence sociale, fin juin courant juillet, infuse en ce moment à l’Élysée, qui pourrait être le lieu où Emmanuel Macron abattra ses cartes. Le président a d’ailleurs pris le pouls des partenaires sociaux sur le format d’une possible rencontre, lors du sommet social de Porto (Portugal). Si la crise a éclipsé un temps les débats virulents, le sujet des retraites, chiffon rouge des syndicats, reste toujours aussi brûlant. D’autant qu’il est question désormais au sein de l’exécutif, comme le martèle depuis des semaines le ministre de l’Économie Bruno Le Maire, de faire des économies. Évidemment pour résorber un déficit des retraites estimé à 30 milliards d’euros en 2020 par le Conseil d’orientation des retraites (COR), des chiffres qui seront actualisés prochainement. Mais aussi financer les 3 milliards manquants d’une autre réforme qui devrait être présentée à l’été, celle de la dépendance.

    Une version « Retraite 2 » déshabillée de ses contours de projet de société, donc de la réforme systémique par points – ce qui aliénera le soutien de la CFDT-, serait une des pistes sur lesquelles travaille l’exécutif. Avant son départ de Matignon, Édouard Philippe (appuyé par Bercy) avait déjà creusé le sillon début 2020 d’une réforme paramétrique, avec des mesures d’économies immédiates – appelées d’ailleurs de ses vœux par la droite — censées régler le dossier financier « à court terme ». Une approche que Jean Castex avait été invité à poursuivre par Emmanuel Macron, à peine nommé Premier ministre.

    Des scénarios à l’étude depuis un an

    Le gouvernement ne part pas de rien. C’est justement le sujet d’une note secrète que Le Parisien a révélée le 11 juillet 2020 et qui a été rédigée… en mars 2020 ! Son intitulé ? « Devenir du projet de réforme des retraites ». Un des cinq scénarios propose de mettre en musique un mantra d’Emmanuel Macron : il va falloir travailler plus longtemps. Les auteurs préconisent des mesures d’âges « techniquement envisageables » pour relever progressivement l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans, contre 62 actuellement : soit trois mois par génération à partir de la génération de 1962.

    Mais aussi « l’instauration d’un âge minimal du taux plein (sans décote) qui peut être combinée avec une baisse de l’âge du taux plein », le premier passerait à 63 ou 64 ans (contre 62 ans actuellement) et le second serait ramené de 67 ans à 65 ans. Avec à la clé des économies conséquentes à horizon 2027 : 5,8 milliards pour le recul à 64 ans, jusqu’à 16 milliards pour les mesures combinées du taux plein, selon des chiffrages du COR et de la direction de la Sécurité sociale.

    En matière de durée de cotisation, l’accélération de l’application du calendrier Touraine est également une des pistes. Soit un trimestre de plus par génération, au lieu d’un trimestre supplémentaire tous les trois ans comme actuellement, afin d’atteindre plus rapidement les 43 ans (soit 3,9 milliards d’euros d’économies) ou 44 ans (5 milliards). D’autres scénarios moins inflammables sont aussi envisagés, comme la revalorisation des petites retraites, une option d’un rapport remis par deux députés LREM. « Tout est sur la table », insiste une source gouvernementale.

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  • Quand la Suède, « paradis » des transgenres, découvre qu’elle a créé l’enfer !

    On nous aurait dit, voilà quelques années, que la « dysphorie de genre » deviendrait une mode, nous ne l’aurions pas cru. Et pourtant… c’est bien à cela que ça ressemble, dans ce pays merveilleux qu’est la Suède. Et si ce n’est pas une mode, alors c’est une grave épidémie !

    Comment, en effet, expliquer que « de phénomène rarissime, touchant quelques individus dès la petite enfance, la dysphorie de genre [soit] devenue une pathologie de masse, apparaissant avec l’adolescence », comme l’écrit Le Figaro, qui publie une enquête sur le sujet.

    Les chiffres sont éloquents : « En 2001, seules 12 personnes de moins de 25 ans avaient été diagnostiquées… en 2018, c’était 1.859 », dit un psychiatre pour enfants. « Tous les ados sont touchés, mais surtout les filles de 13 à 17 ans qui veulent devenir des garçons : entre 2008 et 2018, l’augmentation dans cette tranche d’âge est de 1.500 %. » Et d’ajouter : « En Suède, il y a maintenant plus de filles que de garçons qui reçoivent de la testostérone. » Idem pour les opérations (ablation des seins, modification des organes sexuels, etc.) : quand « 12 personnes par an seulement demandaient un changement de sexe dans les années 1972-1992, aujourd’hui, elles sont plus de 2.000 ».

    On s’étonnera, au passage, que, dans un temps où l’on s’applique partout à démolir la gent masculine, réputée violente et violeuse, tant de jeunes filles veuillent changer de sexe… mais ce n’est qu’un paradoxe de plus.

    Pionnière, la Suède a été le premier pays au monde à reconnaître la dysphorie de genre. C’était en 1972. Les traitements y sont totalement pris en charge dans les cliniques publiques dès l’âge de 16 ans : « Bloqueurs de puberté pour les plus jeunes, injections de testostérone ou d’œstrogènes, opération de la poitrine, orthophoniste pour changer sa voix, épilation, greffe de barbe etc. » L’opération des parties génitales est autorisée à partir de 18 ans. Insuffisant pour les associations qui soutiennent un projet de loi de 2018 pour « abaisser l’âge du changement à 12 ans et celui des interventions chirurgicales à 15 ans, sans consentement parental ».

    Voilà donc ce monde merveilleux où les enfants décident de changer de genre comme de look et s’offrent même parfois des allers-retours, comme le raconte Asa, au Figaro. À 14 ans, sa fille Johanna « ne supportait plus son corps » et a décidé de devenir Kasper. Et puis à 19 ans, « elle a eu l’immense courage d’avouer son erreur. Je suis très fière d’elle », dit sa maman.

    Vous connaissez un adolescent qui, à 14 ans, supporte son corps et les changements qui s’opèrent en lui ? Moi, non, je n’en connais pas. L’adolescence est le moment de la vie où, par définition, on est mal dans sa peau.

    Qu’importe, durant toutes ces années, les Suédois ont décidé de réparer cette erreur de nature. En pointe dans les « traitements », Karolinska, le plus prestigieux hôpital du pays. Et voilà qu’un drame national se joue : ses équipes refusent désormais le traitement hormonal aux nouveaux patients mineurs. Ils mettent en avant « le principe de précaution ». S’avisent tout à coup qu’« il n’y a pas de preuve de l’efficacité de ces traitements, pourtant irréversibles, pour le bien-être des patients ». Et, pire, que lesdits traitements entraînent maladies cardiovasculaires, certains cancers, ostéoporose, thromboses, etc. Dénoncent surtout les « surdiagnostics » de dysphorie de genre (70 à 80 % des demandes sont acceptées).

    Les associations crient au scandale : « De nombreuses familles sont désespérées, car elles voient leurs enfants souffrir et elles savent qu’ils n’auront pas de traitement. »

    Oui, mais ils auront peut-être la vie sauve. C’est pas mal non plus !

    Marie Delarue

    Source : http://bvoltaire.fr


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