• Xavier Bertrand cassant : il fait pleurer une jeune femme

    Camille Romano 

     Bertrand n'a pas pris de pincettes ce samedi 3 juillet avec une jeune femme à qui il reprochait d'être pilotée par son opposition, en rembarrant verbalement la jeune femme à plusieurs reprises, jusqu'à la laisser en pleurs, comme le raconte Politico ce lundi 5 juillet.

    Xavier Bertrand voit des opposants partout, quitte à s'en créer de nouveauxNos collègues de Politico relatent dans leur newsletter de ce lundi 5 juillet comment le président de la région Hauts-de-France a été jusqu'à faire pleurer une jeune femme au cours d'une discussion en marge des Rencontres Économiques d'Aix-en-Provence, ce samedi 3 juillet. Xavier Bertrand participait à une table ronde, à la sortie de laquelle il a été interpellé par une des jeunes de 18 à 28 ans qui avaient été invités à assister à la discussion. La jeune femme en question n'a fait que poser une question à celui qui préside sa région d'origine : elle voulait savoir l'opinion de celui-ci à propos d'un "projet d'aménagement du territoire dans son village nordiste" résume Politico. Une question qui ne pouvait pas être innocente pour Xavier Bertrand, qui voit en elle une personne motivée par des opposants, et qui donc n'appelle pas de réponse, et encore moins de réponse bienveillante.

    Dans l'incompréhension

    Après l'avoir "sèchement rembarré" plusieurs fois, il a fini par lâcher "Si vous me posez la question, c’est forcément que vous avez des liens d’intérêts". Après avoir été ainsi malmenée, la jeune femme a éclaté en pleurs, et est restée chamboulée par la confrontation encore quelque temps d'après Elisa Braun, la journaliste de Politico qui a assisté à la scène. Elle a pu retrouver la jeune femme en question, "encore tourneboulée" et "dans l'incompréhension". En demandant à rester anonyme, elle répète pourtant ne pas être une opposante à Xavier Bertrand, et qu'elle ne faisait que poser une question "en simple citoyenne".

    Mais Xavier Bertrand reste en campagne, cette fois pour l'Élysée. Loin de vouloir donner l'image d'un homme sec et désagréablel'homme fort du Nord a fait savoir à Politico que "des excuses et une proposition d'organiser un Zoom sur le sujet" ont été transmises à la jeune femme. Du côté des Rencontres d'Aix-en-Provence, on essaie de minimiser l'incident : "Il est séché par les régionales et s'est cru attaqué", résumait ainsi un des responsables communications.

    Crédits photos : Stephane Lemouton / Bestimage

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  • Ethnomasochisme d'État : Samir Aït Saïd et Clarisse Agbegnenou désignés porte-drapeaux au JO de Tokyo

    Après plusieurs années « d’inclusion », de mise en avant de la diversité par de l’affichage subliminal (dans les pub, les séries, les émissions de télé), nous sommes passés à l’étape d’après, où le métissage sera désormais la norme, afin de précipiter tout un peuple récalcitrant dans le grand bain du vivre-ensemble.

    Il est évident que ce choix de porte-drapeaux a été validé en hauts lieux - par Emmanuel Macron lui-même - et qu’il s’inscrit dans le programme global de déconstruction méthodique de tout ce que nous sommes.

    J’éprouve même un certain malaise pour ces deux grands champions qui n’ont rien demandé, et qui se retrouvent comme nous, pris en otages par des idéologues pyromanes.

    Jérémy Bouhy


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  • Vaccination anti-Covid : et maintenant, une carotte pour faire avancer les ânes

     
     

    S’il est une chose dont nous sommes sûrs, dans cette affaire de Covid où l’on entend tout et son contraire à longueur de temps, c’est que nous sommes bêtes.

    On nous prend pour des abrutis. Depuis le début. Incapables de prendre les bonnes décisions, incapables de gérer nos existences et d’assumer nos choix.

    « Fais pas ci, fais pas ça, à dada prout prout cadet »… Mouche ton nez, mets ton  et n’embrasse pas la dame, ferme ta porte, pose le cul sur ton canapé et bon curage… du nez. Hélas, malgré les injonctions, les enfants ne sont pas sages : ils ne veulent toujours pas se faire vacciner. Le gouvernement va faire panpan sur le cucul des . On réfléchit aux sanctions pour les récalcitrants : vous me copierez cent fois « Je dois obéir à Monsieur Véran ».

    Le croque-mitaine qui nous sert de ministre l’a dit dimanche : une quatrième vague nous guette fin juillet. Les grandes marées sont généralement au 15 août, mais bon, on ne va pas chipoter. Un peu trop décontractés du maillot de bain, les Français ont oublié la peur, alors il faut leur en remettre une dose.

    « Regardez nos voisins anglais, dit le ministre, les voilà qui replongent. Outre-Manche, les contaminations sont reparties dangereusement à la hausse avec le variant Delta. » Ah bon ? On croyait que les Anglais étaient les bons élèves de l’, tous piqués ou presque, et donc immunisés. Faudrait-il en déduire que les vaccins ne servent à rien ? On se garde bien de nous le dire. D’ailleurs, personne ne pose la question. Pas plus qu’on ne demande s’il y a une recrudescence de malades ou bien seulement des tests positifs…

    Qu’importe, on veut absolument nous vacciner, et pour cela, tout est bon. C’est ainsi que les loteries se multiplient de par le monde. Le gros lot au bout de la seringue, autrement dit la carotte pour faire avancer les ânes.

    « Une voiture à Moscou, 100.000 dollars au Canada, un SPLIFF à Seattle… et un weekend à Argenteuil. Pour inciter les populations à se faire vacciner contre le Covid-19 et ainsi se rapprocher d’un retour à la vie normale, sans mesures sanitaires ni interdictions en tout genre, des loteries sont mises en place partout dans le monde », nous dit Le HuffPost. La vaccination, c’est facile, c’est pas cher et ça peut rapporter un truc sympa : « À partir du moment où l’on reçoit le sérum (à certaines dates ou si l’on appartient à certaines catégories de populations, par exemple), on a une chance d’être tiré au sort et de recevoir un lot. » La ville d’Argenteuil (Val-d’Oise) vient donc de lancer « Destination vaccination », soit une loterie pour les 18-25 ans : s’ils reçoivent une première injection en juillet, ils « pourront peut-être décrocher un week-end de vacances, mais aussi des places de cinéma ou de concert ». À  aussi : chèques cadeaux ou abonnements de bus contre une piqûre.

    Il paraît que ça plaît beaucoup au gouvernement. « Si un jour on se dit que c’est pertinent de lancer ce genre de chose au niveau national, dans le cadre de la loi et de l’éthique, pourquoi pas. D’autres pays le font », dit-on dans l’entourage du Premier ministre.

    Tout le monde n’est pas de cet avis et c’est une ex-députée  passée dans les rangs des  qui s’indigne : « Je trouve ces loteries profondément choquantes. C’est une question de  publique, ça ne doit aucunement devenir un cadeau, sinon on entre dans un schéma où l’on instrumentalise la vaccination et la question de l’accès à la santé. » « Qu’est-ce que ça veut dire ? », poursuit-elle. Est-ce « que pour lutter contre l’abstention, on va faire gagner des week-ends si les gens se déplacent pour aller voter » ?

    Quand on fait de la consommation l’alpha et l’oméga du devoir citoyen, il ne faut d’étonner de rien…


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  • « Ma femme est décédée d’une thrombose cérébrale à cause du vaccin AstraZenaca »

    Le 6 mars dernier, Claude Lannes et sa femme Marie-France, habitant Saverdun dans l’Ariège, tous deux âgés de 70 ans, se rendent dans un cabinet médical pour recevoir leur première injection du vaccin AstraZeneca. 

    Quinze jours après la première injection, le 21 mars, Marie-France ressent des symptômes inhabituels : « Elle avait un mal de tête très violent. La douleur ne passait pas. » Le lendemain, le couple se rend chez leur médecin généraliste : « Il lui a demandé de faire un bilan sanguin. Après les résultats, elle a dû être hospitalisée d’urgence. » En attendant les secours, Marie-France fait un AVC, et est transportée d’urgence à l’hôpital Purpan à Toulouse. Dans la nuit, la mauvaise nouvelle tombe : « le neurochirurgien qui s’occupait de ma femme m’a annoncé que son état était critique. Is ont essayé plusieurs opérations, sans succès, elle est décédée le 25 mars d’une thrombose cérébrale. »

    Le 3 mai, Claude Lannes reçoit les résultats : « L’autopsie a confirmé que ma femme était décédée d’une thrombose cérébrale causée par le vaccin AstraZeneca. »

     Le 17 juin, Claude Lannes et son fils Christophe ont déposé plainte contre X à la gendarmerie de Saverdun. Le procureur de la République n’a pas encore qualifié la plainte.

    Lire l’article.

    C’est l’État qui paie les vies cassées

    Le site Vaccination info service note :

    – les personnes vaccinées pourront voir réparés leurs dommages par la solidarité nationale sans avoir à prouver de faute ou de défaut du produit,

    – les professionnels de santé qui vaccineront ne verront pas leur responsabilité recherchée, sauf faute caractérisée.

    « En conséquence, la réparation intégrale des accidents médicaux imputables à des activités de soins réalisées au titre de la campagne sera prise en charge par la solidarité nationale à travers l’Office national d’indemnisation des accidents médicaux (ONIAM).

    La responsabilité des médecins ne pourra pas être engagée au motif qu’ils auront délivré une information insuffisante aux patients sur les effets indésirables méconnus à la date de vaccination. En outre, pour qualifier une éventuelle faute caractérisée, le juge tiendrait compte de l’urgence qui préside au déploiement des vaccins ainsi que les circonstances. »

    Les labos n’ont rien à craindre de la Justice

    L’Union européenne s’appuie sur une directive de 1985 selon laquelle les laboratoires sont responsables en cas de défauts ou négligences liés à leur produit, à moins qu’ils ne prouvent « que l’état des connaissances scientifiques et techniques (…) n’a pas permis de déceler l’existence du défaut ». Les laboratoires expérimentent, donc en l’état des recherches actuelles, s’il y a des morts, c’est pas de leur faute. 

    C’est Le Monde, journal financé par Bill Gates, qui le dit ! 

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  • Peut être une image de 1 personne, marche et plein air


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