• «Nous ne voulons plus être français» : Les combattantes de Daech en Syrie renoncent à leur nationalité .

    Image d'illustration. / DR

    Une lettre signée par «les émigrées françaises en Syrie», adressée au ministère de l’Intérieur, au ministère des Affaires étrangères et «à la France» a été diffusée sur Internet. Dans cette lettre, attribuée par Tore Hamming, docteur spécialisé dans l’étude du jihadisme, aux femmes ayant rejoint l’organisation terroriste Daech, les combattantes déclarent renoncer à leur nationalité française. «Nous ne voulons plus être françaises, alors prenez le bon choix, celui de nous déchoir», écrivent-t-elles.

    Le long de la lettre, les femmes expliquent les raisons qui les ont fait rejoindre le groupe terroriste en Syrie, notamment leur «persécution» à cause de leur religion en France. «Comme des prisonnières, confinées dans les quartiers, on se cachait des regards et des agressions verbales. On se faisait rejeter ou juger à cause de nos vêtements ou de nos opinions ou de notre adhérence à la religion de l’islam». Dès lors les femmes déclarent avoir quitté la France sans intention d’y retourner. «Nous n’adhérons pas à vos lois ou à votre conception de la vie», indique la lettre.

    Face à la fuite de nombreux membres de Daech, le communiqué conclut en déclarant que les femmes tentant de fuir le territoire étaient «désavouées» par elles. Depuis 2018, la France ne souhaite plus que les combattants terroristes soient rapatriés sur l’hexagone. Le ministre des Affaires étrangères Jean-Yves le Drian a déclaré à BFMTV : «Ils ne seront pas rapatriés en France dans la mesure où ce sont des combattants – donc ce sont des ennemis, c’est vrai pour l’Irak, c’est vrai pour la Syrie – qui ont combattu des citoyens de Syrie, qui ont combattu des Turcs, qui ont violé, qui ont fait des actes de barbarie.»

    Alors que les femmes dénoncent un «acharnement» de la coalition qui a couté la vie à des milliers de femmes et enfants, le bilan de leur groupe terroriste en Syrie dépasse aujourd’hui largement les 20 000 morts : le groupe s’adonnant au génocide, à la torture, à l’esclavage et au viol, sans compter l’utilisation d’enfants soldats, d’armes chimiques et les soupçons de trafic d’organe.


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  • LE GRAND HOMME, NE L’ÉTAIT QUE PAR LA TAILLE.
    Sur l'Algérie Française 
     
    LE GRAND HOMME, NE L’ÉTAIT QUE PAR LA TAILLE.
     
    CHARLES DE GAULLE : 1m94 de CRIMES HORRIBLES et de MENSONGES.
    Parmi ses victimes, qui se comptent par dizaines, voire des centaines de milliers, certaines ont pu le crier haut et fort.
    Le 20 juillet 1961, c’est SI SALAH qui le dira avant de mourir dans une embuscade tendue par un commando de chasse de l’Armée Française :
     
    -(( DE GAULLE, NOUS A TRAHIS. C’EST LUI LE RESPONSABLE DE MON SORT ))
    Pour mémoire, SI SALAH, Chef de la willaya 4, avait cru en la “ Paix des Braves“ offerte par De Gaulle et lui avait proposé, au cours d’une rencontre à l’Élysée tenue le 10 juin 1960 :
    (( D’ARRETER TOUTES les opérations militaires dans QUATRE WILLAYAS SUR SIX )).
    C’ÉTAIT PRATIQUEMENT LA FIN DE LA GUERRE.
    Mais De Gaulle, criminel dans l’âme, n’en voulut pas et ira jusqu’à dénoncer misérablement au GPRA les initiatives de SI SALAH.
    Rapidement et Comme par hasard, TOUS les témoins algériens de l’entrevue avec Charles De Gaulle disparaitront tragiquement. Les témoins Français recevront l’ordre de se taire.
    Peut être une représentation artistique de 1 personne
     

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  • Meurtre de Wilhem Houssin près de Rennes : cinq suspects dont deux mineurs écroué .

    Cinq jeunes individus, dont deux mineurs, ont été mis en examen et écroués pour avoir mortellement roué de coups, en pleine rue, Wilhem Houssin, à Saint-Jacques-de-la-Lande, près de Rennes (Ille-et-Vilaine). Ce père de famille de 49 ans est décédé 72 heures après son agression ultra-violente, à l’hôpital.

    Une information judiciaire a été ouverte et cinq suspects sont désormais derrière les barreaux. Wilhem Houssin, qui était bien connu dans le milieu de la culture rennais, a été victime d’une agression ultra-violente dans laquelle il a perdu la vie.

    Le jour des faits, mercredi 21 juillet, cet homme de 49 ans se trouvait avec sa compagne dans le quartier de Morinais, au niveau de la rue André-Malraux, à Saint-Jacques-de-la-Lande. Le couple venait visiter un appartement mais ils ont « eu des difficultés pour trouver l’adresse du rendez-vous » a expliqué le procureur de la République de Rennes, Philippe Astruc cité par Le Télégramme. La victime a « eu un contact avec un groupe de jeunes hommes. Une altercation s’en est suivi pour un motif qui n’est pas établi ». Suite à cette altercation, ce père de jumeaux de 12 ans « a chuté lourdement au sol, où il a subi d’importantes violences », précise le magistrat. Il a été sauvagement roué de coups.

    Ils ne reconnaissent pas les faits

    Transporté à l’hôpital vers 15h30 par les secours au CHU de Pontchaillou, dans un état grave, Wilhem Houssin est décédé le samedi suivant des suites de ses graves blessures. « L’autopsie a révélé la présence de lésions traumatiques à la face, au tronc et sur les membres inférieurs ainsi que diverses fractures notamment à la tête. La cause du décès est en lien avec les lésions à la tête », a décrit le procureur de la République.

    Cinq suspects ont été identifiés puis interpellés par les enquêteurs. Il s’agit de deux adolescents de 17 ans et de trois jeunes hommes de 19, 20 et 21 ans. Ils sont tous déjà connus des services de la police et la justice. Au cours de leurs auditions, deux d’entre eux ont reconnu avoir commis des violences légères sur la victime, deux autres ont nié et le dernier a affirmé qu’il était présent mais qu’il n’avait pas commis de violences. Ils ont tous les cinq été mis en examen pour homicide volontaire vendredi soir avant d’être écroués.

    Près de 600 personnes ont participé ce samedi à une marche en hommage à Wilhem Houssin, dans la commune de Vezin-le-Coquet, où le défunt vivait. Son père, René-François Houssin, est également le maire de cette ville.

    https://actu17.fr


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  • « Je ne veux pas connard… Pète lui la gueule ! »: Quand MÉLENCHON s’emporte contre un passant

    planetes360 

     Samedi 10 juillet, place de l’Hôtel de ville de Paris, Jean-Luc Mélenchon a été apostrophé par un passant qui voulait prendre une photo avec lui. 

    Face à l’insistance de ce dernier, le député LFI a demandé à son collaborateur de “lui péter la gueule”. Valeurs actuelles a pu se procurer les images de cette scène, qui a été filmée par le passant.


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  • Quand les associations communautaristes feignent de ne pas avoir vu !.(((On aurait voulu avoir les réactions de Marlène Schiappa, d’Élisabeth Moreno, de Caroline De Haas et de toute la smala fémino-gauchiste, mais on se contentera de la courageuse dénonciation faite par l’association Némésis, vous savez, ce collectif accusé d’accointances avec l’extrême droite car osant parler des agressions effectuées par les minorités…
    Violer une femme, quelle que soit sa couleur, son origine ou autres, est un crime, en faire l’apologie l’est tout autant.
    Le plus surprenant, dans cette affaire, est la passivité des réseaux sociaux, eux si prompts à sanctionner et suspendre des comptes de patriotes.)))

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    Quand les associations communautaristes feignent de ne pas avoir vu, sur Instagram, l’appel au viol des femmes blanches par un Noir.

    Sur les , le compte @blackingbbc a osé, mi-juillet, lancer l’horrible phrase arguant « C’est pas un  si elle est blanche » avec, en image d’illustration, un homme noir effectuant une pression violente sur une femme blanche…

    blanche,violCe message initialement publié sur Instagram a été relayé, via capture d’écran sur  et Facebook et, fatalement, l’affaire a eu une résonance compréhensible au regard de la haine qu’il véhicule.

    Or, donc, l’agression sexuelle d’une femme blanche par un homme noir n’est pas considérée dans certains petits esprits comme un viol ?

    Or, donc, le fantasme du besoin de réparation des Noirs induit le droit à l’agression, à l’humiliation, que dis-je, au crime ?

    Or, donc, l’appel à la , au crime et au  peut être relayé sans que cela ne dérange les objecteurs de conscience professionnels, les féministes et autres associations communautaristes ?

    blanche,viol

    On aurait voulu avoir les réactions de , d’Élisabeth Moreno, de Caroline De Haas et de toute la smala fémino-gauchiste, mais on se contentera de la courageuse dénonciation faite par l’association Némésis, vous savez, ce collectif accusé d’accointances avec l’extrême  car osant parler des agressions effectuées par les minorités…

    Violer une femme, quelle que soit sa couleur, son origine ou autres, est un crime, en faire l’apologie l’est tout autant.

    Le plus surprenant, dans cette affaire, est la passivité des réseaux sociaux, eux si prompts à sanctionner et suspendre des comptes de patriotes.

     

    Verlaine Djeni

    Bloggeur
     

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