• Pour qui le drapeau tricolore était un « torche-cul », est entré au Panthéon

    Jean Zay, pour qui le drapeau tricolore était un « torche-cul », est entré au Panthéon

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    Jean Zay est entré au Panthéon. Jean Zay, pour qui le drapeau français était une « saloperie tricolore » avec laquelle il se torchait. 

    C’est pourquoi les dirigeants socialistes lui ont offert le Panthéon : eux aussi crachent sur l’identité de la France – quand ils ne la nient pas.

    Jean Zay disait des patriotes saluant le drapeau français qu’ils sont « des peigne-culs, des couillons, des putains, qui traînent dans la boue leur chapeau devant ton ombre. »

    C’est probablement suffisant, du point de vue de l’internationale socialiste, pour mériter les plus grands honneurs.

    D’un autre coté, Chirac a offert des obsèques nationales à Arafat, et Taubira a remis le prix de Droits de l’homme à un homme jugé pour complicité d’organisation terroriste antisémite.

    Voici le poème sur le drapeau français, écrit en 1924. Des parties sont mises en italique par moi.

    Les indigènes de la République peuvent prendre des leçons. Ils ne lui arrivent pas à la cheville dans leur détestation. Ils n’entreront pas tout de suite au Panthéon :

    Ils sont quinze cent mille qui sont morts pour cette saloperie-là.
    Quinze cent mille dans mon pays, Quinze millions dans tous les pays.
    Quinze cent mille morts, mon Dieu !
    Quinze cent mille hommes morts pour cette saloperie tricolore
    Quinze cent mille dont chacun avait une mère, une maîtresse,
    Des enfants, une maison, une vie un espoir, un cœur…
    Qu’est ce que c’est que cette loque pour laquelle ils sont morts ?
    Quinze cent mille morts, mon Dieu !
    Quinze cent mille morts pour cette saloperie.
    Quinze cent mille éventrés, déchiquetés,
    Anéantis dans le fumier d’un champ de bataille,
    Quinze cent mille qui n’entendront plus JAMAIS,
    Que leurs amours ne reverront plus JAMAIS.
    Quinze cent mille pourris dans quelques cimetières
    Sans planches et sans prières…
    Est-ce que vous ne voyez pas comme ils étaient beaux, résolus, heureux
    De vivre, comme leurs regards brillaient, comme leurs femmes les aimaient ?
    Ils ne sont plus que des pourritures…
    Pour cette immonde petite guenille !
    Terrible morceau de drap coulé à ta hampe, je te hais férocement,
    Oui, je te hais dans l’âme, je te hais pour toutes les misères que tu représentes
    Pour le sang frais, le sang humain aux odeurs âpres qui gicle sous tes plis
    Je te hais au nom des squelettes… Ils étaient Quinze cent mille
    Je te hais pour tous ceux qui te saluent,
    Je te hais à cause des peigne-culs, des couillons, des putains,
    Qui traînent dans la boue leur chapeau devant ton ombre,
    Je hais en toi toute la vieille oppression séculaire, le dieu bestial,
    Le défi aux hommes que nous ne savons pas être.
    Je hais tes sales couleurs, le rouge de leur sang, le sang bleu que tu voles au ciel,
    Le blanc livide de tes remords.

    Laisse-moi, ignoble symbole, pleurer tout seul, pleurer à grand coup
    Les quinze cent mille jeunes hommes qui sont morts.
    Et n’oublie pas, malgré tes généraux, ton fer doré et tes victoires,
    Que tu es pour moi de la race vile des torche-culs.

    Nous sommes au cœur de la déconstruction méthodique de la France par la gauche, héritière de la lutte des classes jamais abandonnée, reportée sur la France toute entière, exécutée par les petits soldats recrutés : les immigrés musulmans, leurs descendants, et les délinquants remis en liberté pour punir les bourgeois.

    Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.


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