• Macron victime de ses connivences musulmanes

    Macron victime de ses connivences musulmanes

    On ne vous dit pas tout, chers citoyens !

    Les « racailles » soutenues par l’Elysée coûte que coûte et jusqu’à la dernière minute.

    L’affaire Benalla arrive à sa conclusion. Les privilèges dont jouissait cet « intime » du couple présidentiel, âgé à peine de 26 ans, payé comme un ministre (10.000 euros mensuels) et bénéficiant d’une voiture de fonction avec chauffeur et dotée d’un matériel policier et, tout récemment (déclaré par Benalla en juillet), alors qu’il avait déjà été mis à pied dans cette affaire de violence, d’un appartement dans le 7e arrondissement, Quai Branly, dans une dépendance de l’Elysée.

    Ce chargé de mission, devenu « par miracle » lieutenant-colonel dans la réserve citoyenne (fort heureusement un grade sans aucune autorité) a suscité une colère non retenue des milieux préfectoraux lorsque le président de la République l’a proposé au poste de sous-préfet.

    Benalla, ambitieux mais prudent, a préféré renoncer bien malgré lui !

    Mais s’il n’y avait que Benalla, parmi les « racailles » de l’entourage Macron ! Ce n’est pas le cas, on pourrait même être tenté de parler « d’association de malfaiteurs ».

    Avant l’incident, devenu « affaire d’Etat », Benalla qui, rappelons-le, avait déjà auparavant agressé un journaliste et un militant communiste, et même, tout récemment, menacé un commissaire de police, à l’intérieur de l’hôtel Crillon, où devaient descendre « Les Bleus » et provoqué un accident de voiture en tentant de s’échapper.

    Malgré tous ces « menus problèmes », en tant qu’adjoint au chef de cabinet du Président (c’était son titre officiel) c’est toujours Benalla qui était chargé de l’organisation des vacances du couple présidentiel au Fort de Brégançon.

    Mais oublions un instant Benalla et souvenons-nous de cet autre garde du corps du Président, recruté par Benalla justement, le nommé « Makao », ce colosse, ex rugbyman de 2 m 10 d’origine congolaise, qui avait été surpris, dans une vidéo diffusée par « Snapchat », en juin 2018, à jouer à un jeu vidéo en compagnie de Jawad Bendaoud, vous savez : celui qui a logé (sans le savoir, paraît-il) les terroristes de Daech.

    Cette proximité malencontreuse n’a entraîné aucun commentaire de l’Elysée.

    Autre « racaille », proche de l’Elysée, ce représentant de La République en Marche dans le Val d’Oise, Mohamed Saou, qui s’affiche comme un partisan inconditionnel du dictateur Erdogan et, ce qui à notre avis est plus grave, du CCIF de Marwan Muhammad.

    Ce Mohamed qui a twitté : « Je n’ai jamais été et je ne serai jamais Charlie ! ».

    Pour d’autres raisons, bien évidemment, que les nôtres.

    Protégé par Emmanuel Macron : « C’est un type bien, Mohamed, et c’est pour ça  que je ne l’ai pas viré. Il fait un travail remarquable. Il a le droit de ne pas être Charlie. »

    Ajoutons, dans cette « association », l’humoriste (paraît-il !) Yassine Bellatar.

    Accusé, par « Marianne » notamment, de ne pas cacher son approbation à un « certain islamisme », ni aux discours contre les « Blancs », Bellatar s’est plaint, par SMS, auprès de « son frère » Macron : « C’est une guerre contre moi que lance Marianne, je suis au fond du trou ! »

    C’en était trop pour Emmanuel, qui lui répond aussitôt : « Continue, les critiques suivent le talent. »

    Son talent ? Avoir menacé le père du soldat français assassiné par Mohamed Mérah, affirmé que « Les hommes « Blancs » de plus de 60 ans sont les clés du problème. », comparé Thierry Ardisson à un « nazi », animé un gala du CCIF, etc.

    Interpellé et placé en garde à vue, en février 2018, pour avoir insulté un policier, Belattar a été remercié pour ce geste par le Président puisque, quelques semaines plus tard, l’a intégré dans le Conseil présidentiel des villes, en le recevant à l’Elysée.

    Terminons, enfin, cette énumération avec ce député de LREM, bien connu des services de police, M’Jid El Guerrab, élu des Français de l’étranger, qui avait frappé de deux violents coups de casque, un cadre du Parti Socialiste, Boris Faure, en août 2017, opéré et hospitalisé en soins intensifs.

    Mis en examen pour violences volontaires avec arme, El Guerrab avait démissionné de son Parti tout en conservant sa fonction de député.

    Toute cette « racaille » faisait partie de cette « République inaltérable », proposée par Emmanuel Macron, avant son élection, et même actuellement, mais bien loin d’avoir été réalisée !

    Manuel Gomez

    Source : http://ripostelaique.com

     

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