• Les « réfugiés » se mettent à jeter des habits : « Ils ne sont pas à la mode »

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    Italie

    Maintenant, les "réfugiés" ne se contentent plus de jeter la nourriture, un bien de première nécessité et un luxe pour qui fuit réellement la guerre et les persécutions, mais ils jettent également les  habits.

    Du reste, nous les voyons vêtus à la dernière mode, smartphone et Ipad en main, et affublés de lunettes de soleil quand ils manifestent pour être logés dans des hôtels plus luxueux.

    A Côme, par exemple, il semblerait que ces pseudos réfugiés, entretenus avec notre argent par un centre religieux connu, n'apprécient pas les vêtements offerts par le gouvernement et les xénophiles : "[....] A peine arrivés, raconte un habitant, ils ont jeté dans les rues entourant le centre religieux qui les accueille, des sacs de vêtements qui leur avaient été offerts gentiment par nos concitoyens charitables; ils ne les trouvaient probablement pas à leur goût. Les habitants ont immédiatement interpellé les forces de l'ordre qui, pour toute réponse, ont déclaré qu'ils ne pouvaient rien y faire et qu'il ne fallait pas commencer à leur 'casser les pieds', car si on commence comme ça..."

    Le témoignage de cet habitant a été recueilli par le Giornale d’Italia

    Moins récemment, un cas semblable était arrivé à Novara, où, après un repas de 'solidarité' offert en faveur des pseudos réfugiés, une femme avait photographié et diffusé la scène suivante :

    Devant les locaux qui avait permis à l'association Mobadara d'offrir ces repas de solidarité, étaient éparpillés des sacs noirs contenant les habits que les 'réfugiés' n'avaient pas trouvés à leur goût. Ces habits avaient été récoltés dans la soirée pour être donnés à la centaine de clandestins accueillis à Novara.

    Ceci avait créé la polémique parmi les habitants : ces habits auraient pu être utilisés pour des gens vraiment dans le besoin. Et au lieu de ça, ils ont été donnés à des africains difficiles et gâtés qui se font entretenir par l'Italie.

    La femme en question a contacté l'association Mobadara et a obtenu la réponse suivante  : "Ces vêtements n'ont pas été appréciés par les migrants". Point barre!

    Source en italien

    Trad. D. Borer

    Les Observateurs


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