• Les Pilleurs d’ETAT crient “HARO sur le baudet !

    Les Pilleurs d’ETAT crient “HARO sur le baudet !

    Publié le 23 février 2017 par Dominique MOREL

    Les Pilleurs d’ETAT crient “HARO sur le baudet !

    Salaires fictifs, détournements de fonds, abus de biens sociaux, escroqueries, captations d’héritages, faux et usages de faux…

    Tout est bon pour les SOCIALISTES qui, pour cacher leurs MALVERSATIONS PERMANENTES, hurlent avec toute la presse de gauche :

    - «HARO sur le baudet... FILLON» !

    Parlons plutôt d’eux ….

    Une députée PS, Sylvie ANDRIEUX (photo ci contre) condamnée à 4 ans de prison pour DETOURNEMENT DE FONDS PUBLICS

    et qui siège toujours à l’Assemblée avec son bracelet électronique…

    Un élu, ayant détourné 20 MILLIONS d’EUROS, qui n’est condamné qu’à 20.000 EUROS d’amende avec sursis…

    Des dizaines de parlementaires qui s’achètent un appartement avec l’INDEMNITE représentative de frais de mandat (IRFM),

    laquelle n’est NI DECLARABLE NI JUSTIFIABLE …

    Après «DELITS D'ELUS – 400 politiques aux prises avec la justice» paru en 2014, Philippe PASCOT a publié en mai un nouveau livre, «Pilleurs d’État», dans lequel il dénonce tout le système des ABUS et des PRIVILEGES INOUIS dont bénéficie la «MAFIA» des politiques, que ces pratiques soient LEGALES ou ILLEGALES…

    Ancien adjoint au maire Manuel VALLS à EVRY, ancien conseillé régional, il milite désormais pour la transparence de l’exercice de la vie politique.

    La liste de ces délits d'élus est impossible à établir de façon exhaustive…

    Néanmoins il est plus qu'évident que dans le hit-parade se trouve une majorité de socialistes, à l'instar de MM. Michel VAUZELLE et Michel DELEBARRE, nommés « PREFETS » (fictifs) par François MITTERAND pour encaisser la paye... et la retraite sur le dos des contribuables !

    Emplois FICTIFS ….. pour des préfets FICTIFS !

    Les emplois FICTIFS ne datent pas d'hier et certains, n'ont suscité aucun commentaire de la Presse servile !

    A l'instar de ces «politiques» nommés préfets pour bénéficier d’avantages liés à la fonction… sans jamais en avoir exercé la moindre compétence.

    Parmi ces préfets fantômes, figurent deux stars de la politique, les députés et anciens ministres de François MITTERAND, Michel VAUZELLE, alors âgé de 66 ans, et Michel DELEBARRE, alors âgé de 65 ans.

    Tous deux indiquent, sur le site informatique de l’Assemblée Nationale, la même profession : PREFET.

    Pourtant, le premier est avocat de profession et le second cadre supérieur de collectivités locales.

    En fait, ces deux grands notables locaux du Parti Socialiste qui n’ont jamais exercé les fonctions de préfet avaient été nommés à ce titre, de manière discrétionnaire, par le président François MITTERAND, en 1985 pour le premier et en 1983 pour le second.

    Quel intérêt de nommer un préfet fantôme ? C’est un joli cadeau… financier, facile à comprendre.

    Le 28 avril 2011, Michel DELEBARRE a fait valoir ses droits à la retraite de préfet, à l’âge de 65 ans, tout comme l’avait fait le 15 août 2010 Michel VAUZELLE.

    Cela permet à ces deux caciques du PS de toucher aujourd’hui une pension mensuelle de 4.000 €UROS brut, qui vient s’ajouter à leurs indemnités de parlementaires et d’élus locaux : soit 15.124 € brut (Michel DELEBARRE) et 9.760 € brut (Michel VAUZELLE).

    Sans compter pour chacun une INDEMNITE (forfaitaire) représentative de frais de mandat de député de 6.000 €UROS net.

    Et cela, en toute discrétion.

    Et ce n'est là qu'une infime partie des abus de la caste socialiste sur le dos des « finances publiques » et donc de tous les contribuables !

    Rappelez-vous....

    Jean-Christophe MITTERAND,

    fils aîné de l'ancien président de la République, le surnommé «Monsieur AFRIQUE» qui a été pendant plusieurs années salarié (fictif) d'une fondation suisse, financée par ELF : le CRES ou Centre de Recherches Entreprises et Sociétés... avec un salaire de 30.000 Francs/mois...

    En 1993 et 1994, Jean-Christophe MITTERAND a été mis en examen par la justice française dans le cadre de l'affaire des ventes d'armes à l’ANGOLA.

    Il était suspecté d'avoir mis ses relations politiques au service de Pierre FALCONE pour vendre des armes russes au gouvernement angolais du président José Eduardo DOS SANTOS. Il sera relaxé de cette accusation par la cour en octobre 2009.

    Le 22 décembre 2000, Jean-Christophe MITTERAND est écroué à la prison de la Santé par le juge Philippe COURROYE pour complicité de trafic d'armes, trafic d'influence par une personne investie d'une mission de service public, recel d'abus de biens sociaux, recel d'abus de confiance et trafic d'influence aggravé.

    Il est suspecté d'avoir reçu illégalement d'importantes sommes d'argent pour faciliter la vente d'armes en 1993 et 1994 au gouvernement angolais. Il reconnaît avoir perçu une rémunération de 1,8 million de DOLLARS (13 millions de francs) de la Brenco sur un compte en SUISSE, mais nie toute participation à un trafic d’armes.

    Le 11 janvier 2001, Jean-Christophe MITTERAND est libéré contre le versement d'une petite caution de 770 000 EUROS (5 millions de francs), que sa mère Danielle MITTERAND s'est chargée de réunir «auprès de la famille et auprès d'amis» en qualifiant la somme de «rançon déshonorante».

    La procédure ayant été annulée par manque de plainte du Ministre de la Défense, seul habilité à saisir la justice, Jean-Christophe MITTERAND est remis en examen, pour complicité de trafic d'armes par les juges Philippe COURROYE et Isabelle PREVOST-DESPREZ.

    Le 17 octobre 2001, Jean-Christophe MITTERAND est de nouveau mis en examen pour recel d'abus de biens sociaux par le juge COURROYE. Il est accusé d'avoir bénéficié d'un virement de 300 000 DOLLARS effectué par la Brenco, correspondant, selon son avocat, à des «prestations de conseil à M. FALCONE».

    La veille, il avait déposé une plainte pour faux en écriture publique contre le juge COURROYE, concernant une ordonnance rédigée en juillet 2000 par le magistrat.

    En 2004, selon une expertise financière remise en mai au juge Philippe COURROYE chargé de l'affaire, 2,2 millions d'EUROS (14,3 millions de francs) ont été virés par Pierre FALCONE sur un compte suisse appartenant à Jean-Christophe MITTERAND qui en a retiré 1,7 million d'EUROS (11,5 millions de francs) en espèces pour les transférer sur celui de sa société de pêcherie d'Iwik Investissement en MAURITANIE.

    Jean-Christophe Mitterrand a déclaré avoir été consultant auprès de Pierre FALCONE, mais, concluent les auteurs du rapport, n'a pu expliquer la nature exacte des missions qui lui étaient confiées et qui pourraient justifier des rémunérations d'une telle importance.

    mais aussi et encore... depuis les années 80…

    MONNATE, EMMANUELLI, LAIGNEL, PEZET, SANMARCO... L'affaire URBA...

    19 avril 1989 : début de l’affaire. A Marseille, les policiers découvrent, au siège de la société URBA (dirigée par Gérard MONATE, un ancien syndicaliste policier), des documents du directeur administratif établissant un financement occulte du Parti SOCIALISTE.

    1990 : une dalle de béton s’effondre sur un chantier de construction. Deux salariés de l’entreprise HEULIN trouvent la mort.

    8 janvier 1991 : un juge d'instruction du Mans, Thierry JEAN-PIERRE, enquête sur l’accident. Il interroge un ancien responsable socialiste qui passe aux aveux : le système, qui a fonctionné de 1973 à 1990, reposait sur la facturation de prestations fictives à des clients qui bénéficiaient par ailleurs de contreparties sous forme de marchés communaux ou autres. L’argent était reversé au PS.

    Avril 1991 : le juge JEAN-PIERRE perquisitionne au siège parisien de la société URBA.

    Janvier 1992 : fait sans précédent : le nouveau juge d’instruction, Renaud VAN RUYMBECKE, perquisitionne le siège du PS.

    Septembre 1992 : président de l’Assemblée nationale, Henri EMMANUELLI est inculpé de « recel et de complicité de trafic d’influence » à propos de fonds récoltés dans la Sarthe par la SAGES, filiale d’URBA. Une poursuite qui s’explique par les anciennes responsabilités de l’homme politique : à l’époque des faits, il était le trésorier du PS.

    Statuant sur le volet marseillais de l'affaire URBA, la chambre d'accusation de la cour d'appel de LYON a ordonné vendredi le renvoi en correctionnelle d'Henri EMMANUELLI et d'André LAIGNEL, en qualité d'anciens trésoriers du Parti Socialiste pour «complicité de trafic d'influence», parmi les 50 personnes prévenues dans ce dossier. Au total, 50 personnes se retrouveront devant le tribunal correctionnel: élus, responsables des bureaux d'études URBA, chefs d’entreprises.

    Au côté d'Henri EMMANUELLI et André LAIGNEL, parmi les prévenus les plus connus figurent Michel PEZET et Philippe SANMARCO, anciens députés socialistes des Bouches-du-Rhône, Gérard MONATE, ex-PDG des bureaux d'études URBA et Joseph DELCROIX connu pour ses cahiers, saisis par l'inspecteur GAUDINO, décrivant tout le système.

    La chambre d'accusation a prononcé 8 non-lieux au bénéfice de dirigeants de sociétés satellites d'URBA et de dirigeants de sociétés. Les chefs de prévention varient selon leurs fonctions: les quatre responsables d'URBA sont poursuivis pour trafic d'influence, les 10 élus pour complicité de trafic d'influence et les 36 chefs d'entreprises pour corruption active. L'instruction concerne la période allant du 11 mars 1988 à avril 1989, date à laquelle l'inspecteur Antoine GAUDINO a effectué la perquisition dévoilant l’affaire.

    A la suite de ses découvertes et après son éviction de la police, l'inspecteur GAUDINO avait publié un livre sur ce dossier intitulé l'Enquête impossible.

    Le montant total des fausses factures transitant par les cabinets d'études URBA s'élève à 9,4 millions uniquement pour les marchés marseillais ! Condamné pour complicité dans l'affaire URBA, EMMANUELLI a également été mis en examen en 1998 dans le cadre de l'affaire DESTRADE de financement illégal du Parti Socialiste.

    A noter également qu'Henri EMMANUELLI, comme Jack LANG et Maitre LOMBARD... furent inquiétés dans l'affaire de captation d'héritage de l'Héritière Suzanne de CANSON en 1987. Une affaire sordide démélée par le juge toulonnais Jean-Pierre BERNARD et qui, in fine, se traduisit par le dépouillement de la milliardaire décédée... au profit d'officines du Parti Socialiste !

    Gérard COLE et les emplois fictifs d'Air France !

    L´affaire des emplois fictifs d´Air France débusquée par un juge d´instruction de NANTERRE, en juin 1995, au siège de la compagnie aérienne. Enquêtant sur les fiches de paye de Gérard COLE, ex-conseiller à l´Élysée payé par Air France par un salaire FICTIF (28.000 F par mois), le juge découvre une série d´autres cas identiques. Parmi eux, Michel VAUZELLE (toujours lui), alors porte-parole du président de la République.

    Le magistrat, qui n´est saisi que du cas de Gérard COLE, communique les autres dossiers au parquet de NANTERRE et suggère

    l´ouverture d´enquêtes distinctes.

    «Premier enterrement», constate Maître BADUEL.

    En avril 1996, cet avocat pugnace décide d´alerter le parquet de PARIS. «Un an plus tard, raconte-t-il, je recevais un avis de classement indiquant que le parquet saisissait la Cour des Comptes. J´attends toujours», poursuit-il.

    Gérard COLE, ami de Jacques SEGUELA et de Jacques PILHAN fut récompensé par TONTON qui le fit Président du Loto en 1989 et de la Française des Jeux !

    Il faudra attendre 1994 et 1995 pour qu'enfin la Justice s'intéresse à son cas.

    Il sera mis en examen pour abus de biens sociaux, ingérence, faux en écritures, et obstacle aux vérifications des commissaires aux comptes. Au cours d'une instruction pénale qui s'étalera sur 6 années les chefs d'inculpation s'effondreront les uns après les autres et Gérard COLE ne sera condamné qu'en 2001 à une amende ridicule.

    En 2011 : le sénateur PASTOR et ses fausses factures

    Le sénateur Jean-Marc PASTOR (PS) est accusé de « notes de frais frauduleuses et fausses factures » le 27 juin 2011 après avoir transmis à la trésorerie du SENAT deux factures de restaurant émises dans le TARN, son département, pour un montant total de 2492 €. Médiapart révèle l'histoire et PASTOR pour éviter le clash, produit un faux communiqué de Gérard LARCHER, alors Président du Sénat, avant de se rétracter et de rembourser l’intégralité des sommes extorquées.

    et puis, sans oublier ....

    Pierre MAUROY, Premier secrétaire du PS décédé le 7 juin 2013 (mais aussi Sénateur) fut condamné à 20 000 € d’amende « avec sursis » pour abus de confiance et devra rembourser 19 654 € à la suite d'une condamnation en 2011 pour « EMPLOIS FICTIFS ».

    Jean-Paul HUCHON (PS), alors président de la Région Ile de France, a été condamné pour prise illégale d'intérêt sur marchés publics en 2007, condamnation confirmée en appel en 2008 et en 2011 par le Conseil d’État.

    Harlem DESIR (n°2 du PS Député européen) condamné en 1998 à 18 mois de sursis et 30 000 F d'amende pour recel d'abus de confiance. De novembre 1986 à octobre 1987, il a reçu un SALAIRE FICTIF mensuel de 10 500 francs de l'Association régionale pour la formation et l'éducation des migrants, basée à LILLE. L'actuel n° 2 du Parti socialiste occupait alors la présidence de SOS-Racisme

    Bertrand DELANOE, condamné en 2010 pour atteinte au droit du travail, a financé avec l'argent du contribuable une bonne trentaine de postes de permanents CGT, planqués dans une des mutuelles de la ville : la MCVPAP !

    Jean-Christophe CAMBADELIS, premier secrétaire du PS, a été condamné en 2006, alors qu'il était député PS de PARIS, pour recel d’abus de confiance... à 6 mois de prison avec sursis et à 20 000 € d’amende, dans l’affaire des EMPLOIS FICTIFS de la MNEF.

    Il avait été rémunéré par la mutuelle proche du PS entre 1991 et 1995, à hauteur de 620 500 francs au titre d'une activité fictive de conseil.

    Jérôme CAHUZAC et ses comptes cachés

    Le pompon en matière de FRAUDE FISCALE et de fuite de capitaux cachés... revient assurément à Jérôme CAHUZAC, ministre délégué chargé du Budget auprès du ministre de l’Économie et des Finances, au sein des gouvernements AYRAULT, (du 16 mai 2012 au 19 mars 2013)...

    Malgré de nombreux dénis mensongers, il fut obligé de démissionner après les graves accusations de FRAUDE FISCALE qui pesaient sur lui. Face au scandale... Il fut ensuite exclu du PS et du renoncer à retrouver un mandat de député. Le 8 décembre 2016, il fut condamné à 3 ans d'emprisonnement ferme et 5 ans d'inéligibilité pour «FRAUDE FISCALE» et «BLANCHIMENT de fraude fiscale» dans l'affaire de ses comptes cachés en SUISSE et à SINGAPOUR.

    Et la liste ne s'arrête pas là....

    (voir sur Internet)

    KUCHEIDA JEAN-PIERRE(Député-maire PS) le soutien de HOLLANDE, mis en examen dans UNE AFFAIRE DE CORRUPTION PEUT ÊTRE DE GRAND AMPLEUR AU SEIN DE LA FÉDÉRATION PS DU PAS DE CALAIS Condamné le 21 mai 2013 à 30 000 € d'amende dans une affaire d'ABUS DE BIENS SOCIAUX. Nouvelle mise en examen EN JANVIER 2014 pour corruption et recel d'abus de biens sociaux.

    NAVARRO ROBERT (Cadre PS) dans l'équipe de campagne de François HOLLANDE, objet d'une plainte du PS pour enrichissement personnel et ABUS DE CONFIANCE EN 2012, pour des frais personnels et des pizzas entre 2008 et 2010 pour 42.000 € ...Soutien de François HOLLANDE à la primaire socialiste, il intègre son équipe de campagne durant l’été 2011.

    DOUCET PHILIPPEdéputé PS du Val d'Oise et ancien maire d'ARGENTEUIL (3e ville d'Île-de-France), qui a ruiné la ville en un mandat et qui fait l'objet d'une enquête du Parquet national financier pour FAVORITISME, TRAFIC D'INFLUENCE ET

    DÉTOURNEMENT DE FONDS PUBLICS

    DESTRADE JEAN-PIERRE (Conseiller Général PS) Condamné en 2005 à 3 ans de prison dont 2 avec sursis et 10.000 euros d’amende dans une affaire d'ESCROQUERIE ET TRAFIC D'INFLUENCE, une peine couverte par sa détention provisoire

    TEULADE RENÉ sénateur-maire PS d'ARGENTAT (Corrèze), avait été condamné en juin 2011 à 18 mois de prison avec sursis et 5.000 euros d'amende pour abus de confiance par le tribunal correctionnel de PARIS. En octobre 2012, HOLLANDE lui avait rendu hommage lors du Congrès de la Mutualité Française : «Je salue les présidents qui ont marqué l'histoire de votre organisation. René TEULADE auquel je suis lié par une fidélité corrézienne (….)

    ABDI MOHAMED conseiller spécial de Fadela AMARA, la secrétaire d’État chargée de la politique de la Ville, a été condamné par la Cour de cassation à la mi-octobre à 18 mois de prison dont douze avec sursis pour escroquerie.

    ANDRIEUX SYLVIE (Député PS) condamnée aujourd'hui à 3 ans de prison dont deux avec sursis, à 100.000 euros d'amende et à 5 ans d'inéligibilité. complicité d'escroquerie et détournement de fonds publics.

    ANNETTE GILBERT (PS) Actuel Maire de Saint-Denis de la REUNION, ancien Député, condamné en 1996 à 200 000 francs d'amende, cinq ans de privation de ses droits civiques et trente mois de prison dont douze avec sursis pour CORRUPTION DANS DES PROCÉDURES DE MARCHÉS PUBLICS À LA VILLE DE SAINT-DENIS

    BATHO DELPHINE la nouvelle Ministre délégué à la Justice, refuse toujours de quitter, son logement du parc social de Paris alors qu’elle encaisse 22.650 EUROS par mois selon LE MONDE, et même après en avoir été «priée» par le Maire de PARIS de dégager les lieux

    BERNARDINI FRANÇOIS (Maire PS) condamné en 2002 pour une ingérence, détournement de fonds publics, abus de confiance et abus de biens sociaux. à 18 mois de prison avec sursis, 400 000 F d'amende et cinq ans d'inéligibilité.

    CIOT JEAN-DAVID le premier secrétaire fédéral et collaborateur de GUERINI, mis en cause pour recel de détournement de fonds publics.

    DALONGEVILLE GÉRARD (Maire PS) condamné faux en écriture et usage de faux, détournements de fonds publics, favoritisme et recel de favoritisme.

    etc, etc….

    Il faudrait plusieurs tomes pour arriver au bout de cette longue liste de «RIPOUX SOCIALISTES" payés avec l'argent des contribuables !

    Et sans doute un seul tome pour traiter des «PILLEURS DE DENIERS PUBLICS" que sont

    Jack LANG et Laurent FABIU


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