• Les maux du socialisme connus depuis 1860 !

    Les maux du socialisme connus depuis 1860 !

    Les maux du socialisme connus depuis 1860 ! Quoique les rêves socialistes ne soient en grande partie que des utopies, ils n’en ont pas moins, comme tous les maux d’ailleurs, produit quelque bien. Comme un ouragan qui balaye tout ce qui est pourri, ainsi le socialisme, qui lutte d’ailleurs avec un esprit de sacrifice remarquable, rend les hommes d'Etat attentifs aux défauts de l’organisation sociale, et les force à d’opportunes réformes ; il révèle souvent dans la presse, à la tribune, dans les réunions publiques de scandaleux actes d’exploitation des ouvriers par le capitalisme, et prépare par là une amélioration du sort des déshérités pour une simple méthode déficiente de se remplir les poches.

    Non ,non rassurez-vous chers amis ,cela ne rend pas le socialisme meilleur, car le mal qu’il cause est plus grand que le bien, qui peut d'ailleur se faire sans lui.,donc inutile a la société Française.Tous ceux qui convoitent la dépossession injuste du prochain, vivent en état de péché mortel et s’exposent à la damnation éternelle. Le seul désir de prendre injustement le bien d’autrui est un péché, qui en entraîne beaucoup d’autres avec lui. L’amour des richesses, dit S. Paul, est la racine de tous les maux (I. Tim. VI, 10),

    On s’en aperçoit aux discours prononcés dans quelques réunions socialistes ; ils débordent de blasphèmes, d’insultes diaboliques aux prêtres et aux autorités civiles, et sont souvent accompagnés de voies de fait comme nous voyons à Calais comme cela se bouscule .Certains socialistes vont jusqu’à permettre le parjure devant les tribunaux dans l’intérêt du parti ; d’autres vont plus loin, comme on le voit par leurs affreux attentats à la bombe et par les assassinats commis contre différents sites , comme en terrase de bar ou Bataclan, cela fait qui ont provoqué des lois d'urgence rigoureuses qui ne servent absolument à rien, si cela est que pour dépoussiérer  un peu la poussière avec les juges plumeaux..

    Le socialisme ,c’est une naïveté de nous objecter la communauté des biens dans l’Eglise primitive ; ce collectivisme chrétien est absolument différent du collectivisme socialiste. Le chrétien charitable dit à son frère : « Ce qui est à moi est à toi » ; le socialiste dit au contraire : « Ce qui est à toi m’appartient. » copié collé du communisme.

    II n ‘est pas plus rationnel de nous objecter la communauté des biens dans les ordres religieux, comme si ce qui existe là était possible aussi dans l’Etat socialiste. La base de la vie religieuse est le renoncement volontaire par amour pour Dieu, tandis que le socialisme agirait par contrainte, sans aucun motif religieux et par l’excitation de la passion de jouir.
    Le socialisme et anti militarisme comme anti colonialiste ,action contre le militarisme. Les socialistes sont des antimilitaristes, mais ils ne croient pas devoir entreprendre une campagne spéciale pour détruire le militarisme. « Je suis aussi antimilitariste que vous, disait Guesde aux délégués réunis au congrès de Limoges, en 1906. Mais ce n’est que dans le socialisme développé, grandi, devenu tout-puissant, que nous trouverons la fin du militarisme. Tout ce qui éloigne de la propagande vraiment socialiste éloigne de cette fin. »Le militarisme comme la guerre, est un effet de la société capitaliste basée sur l’antagonisme des classes et des intérêts et ne disparaîtra qu’avec elle. Quoique sachant cela, il est cependant des citoyens qui voudraient concentrer les efforts des travailleurs pour l’abolition du militarisme et qui préconisent, les uns ou les autres, la désertion, la grève militaire et l’insurrection en temps de guerre. Ces citoyens détournent les travailleurs de la prise du pouvoir politique qui doit être leur unique préoccupation et proposent des moyens utopiques et dangereux qui compliquent les difficultés de la propagande et du recrutement socialiste .   c'était juste un petit détail  ... Sylvestre Brunaud                                                   Les maux du socialisme connus depuis 1860 !

    Bruno de la Palme, journaliste et écrivain, nous propose, dans les colonnes de « La gauche m’a tuer« , des citations d’Abraham Lincoln qui montrent que dès 1860, les maux intrinsèques du socialisme étaient bien connus !

    abraham-lincoln-les-maux-du-socialisme

    Voici ces citations :

    • Vous ne pouvez pas créer la prospérité en décourageant l’épargne.
    • Vous ne pouvez pas donner la force au faible en affaiblissant le fort.
    • Vous ne pouvez pas aider le salarié en anéantissant l’employeur.
    • Vous ne pouvez pas encourager la fraternité humaine en encourageant la lutte des classes.
    • Vous ne pouvez pas aider le pauvre en ruinant le riche.
    • Vous ne pouvez pas éviter les ennuis en dépensant plus que vous gagnez.
    • Vous ne pouvez pas forcer le caractère et le courage en décourageant l’initiative et l’indépendance.
    • Vous ne pouvez pas aider les hommes continuellement en faisant à leur place ce qu’ils devraient faire eux-mêmes. »

    En conclusion il est une autre phrase de Lincoln qui semble avoir été faite pour Hollande, élu sur des mensonges et un déni de réalité:

    Vous pouvez tromper quelques personnes tout le temps.
    Vous pouvez tromper tout le monde un certain temps.
    Mais vous ne pouvez tromper tout le monde tout le temps.


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