• Extrêmisme salafiste ..Mon frère Abdelfettah Hamadache

     Par :Pieds Noirs 9A..

    Article N°2039 du dimanche 31 mai 2015..

    Extrêmisme salafiste ..Abdelfettah Hamadache

    la France doit quitter le territiore algérien, ces sociétés ne sont pas les bienvenues et doivent fermer !!! Et cela ne servira en rien d'y rester à l'avenir...Inutile d'insister ..

    Et ce n'est pas le Premier ministre A. Sellal et Général à vie, qui me contredira. Moi Pieds Noirs de connaissance de cause ou de la cause prescrite depuis des années ..Qui ne marchera en aucun chantage quel qui soit .."Je ne suis pas un Charlie du troupeaux de nantis"..

    Extrêmisme salafiste ..Abdelfettah Hamadache

    Extrêmisme salafiste ..Abdelfettah Hamadache

    Extrêmisme salafiste ..Mon frère Abdelfettah Hamadache

    Extrêmisme salafiste ..Mon frère Abdelfettah Hamadache

    Extrêmisme: Hamadache  ..DONC !!!.. Après s’être attaqué aux écrivains et intellectuels, le salafiste Abdelfettah Hamadache s’en prend aux églises. Il appelle à fermer les rares lieux de culte chrétiens encore en activité dans le pays depuis l'indépendance de l'Algérie . Et bien sur en France sera de même demain ..Monsieur Valls devrait en prendre note au lieu de parader sans connaître les raisons de cet islamisation sur notre sol Français ..

     

    Dans un communiqué diffusé sur son mur Facebook, Abdelfettah Hamadache, dirigeant d’un parti non reconnu, demande à « transformer les églises Notre d’Afrique d’Alger, Santa Cruz d’Oran et Saint-Augustin d’Annaba (Bône) en mosquées ». L’homme, qui a demandé notamment à mener campagne contre les bars et maisons closes en Algérie, justifie sa position par le fait que l’existence de ces lieux de culte est un rappel « de la campagne croisée des Français » qui par ailleurs de son invention de parolier anti Chrétiens disant par un mensonge burlesque qu'on «avaient détruit » des milliers de mosquées durant la colonisation. Voila ce que l'on peux raconter de cela à la nouvelle jeunesses Musulmanes et Française de France ...,par constamment de bourrage de crâne et d'agir au nom d'Allah , mais encore  Pire, l’imam, qui se dit un envoyé du Dieu, explique que «la fermeture» de ces églises « vise à répondre à la campagne de fermeture des mosquées » en Europe.

    Ce n’est pas la première fois que Hamadache utilise ce langage de haine. Avec la complicité de chaînes de télévision comme d'ailleurs en France qui collabore au système et de certains journaux arabophones, notamment "Echorouk", il avait promis de mener une campagne pour la fermeture de « lieux de débauche ». Il voulait fermer « les bars et maisons closes » qui seraient implantées un peu partout dans le pays. pour ma part ,ma foi... Il devrait être élu président de l'Algérie comme cela sera parfait ..

    Donc cet homme  Abdelfettah Hamadache, « salafiste des services »
    Des sources fiables ont confirmé à Algeria-Watch d'après un de mes correspondants, que le prétendu imam salafiste est en réalité de longue date un agent du DRS (Département du renseignement et de la sécurité), la police politique secrète du régime algérien. Lors de la « sale guerre » des années 1990, l’agent undercover Abdelfatah Hamadache activait dans les rangs islamistes sous la fausse identité entendez-vous bien ,d’Abdelfatah Berriche, dit aussi « Abou Souleiman ». Des précisions décisives ont été apportées sur ce personnage par le capitaine Ahmed Chouchane, ancien officier des forces spéciales qui avait été arrêté en mars 1992 pour ses sympathies islamistes (mais qui avait récusé le recours à la lutte armée) (2). Dans son livre publié sur Internet en 2012 (3), le capitaine Chouchane relate de façon détaillée le rôle joué par Hamadache – il avait découvert sa véritable identité – dans la mutinerie manipulée des détenus de la prison de Berrouaghia, dont la terrible répression fit plus de cinquante morts le 13 novembre 1994 (4). L’objectif de cette opération était de justifier l’élimination extrajudiciaire de nombreux cadres du Front islamique du salut (FIS) qui y étaient incarcérés. Chouchane, qui y était alors détenu, raconte comment ces cadres (enseignants, médecins, intellectuels) avaient fait de la prison une sorte d’école, apprenant à lire et à écrire aux quelque 1 200 prisonniers politiques qu’elle comptait à l’époque. Et comment, quelques semaines avant le drame, le DRS avait transféré à Berrouaghia plusieurs détenus d’autres prisons comme Serkadji et Lambèse, parmi lesquels Hamadache, tandis que la direction de la prison était remplacée...Je vous remercies ...Pieds Noirs 9A..


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