• Ce Grand remplacement auquel ils ne croient pas !

    La droite a gagné la bataille des idées
    mais pas encore celle des urnes !

    Pendant des décennies, une droite qui se culpabilisait s’est soumise aux idées de gauche. Ce fut ainsi le déferlement des lois sociétales qui autorisèrent le Pacs, le mariage pour tous et l’adoption pour les gays, la PMA, et bientôt la GPA et l’euthanasie.

    Durant cette période, la gauche, aidée par des médias complaisants, interdisait tout débat sur l’immigration et sur ses conséquences.

    Mais la réalité a rattrapé la gauche et l’explosion des violences de rue et sa corrélation avec l’immigration, mesurée et validée par le ministère de l’intérieur, fait évoluer les moins obtus des sympathisants de gauche. Même le Grand remplacement, qui reste globalement nié à gauche, commence à entrer dans les esprits.

    Le progressisme est par ailleurs victime de ses incohérences qui parfois voient ses militants entrer en conflit les uns avec les autres. C’est le cas des néoféministes qui dénoncent l’entrée des transgenres (homme vers femme) dans les compétitions féminines et qui raflent tous les records et les médailles !

    Le Grand remplacement se voit aussi dans la présence de plus en plus visible des personnes racisées dans l’espace public et de manière éclatante dans la publicité, ce qui place les progressistes face à leurs incohérences.

    Voici un petit échantillon de l’omniprésence des noirs dans la pub. On remarque que c’est toujours un couple formé d’une femme blanche et d’un homme noir qui est mis en avant ! On pourrait en déduire que la femme blanche y est présentée comme une proie prioritaire pour les grands-remplaceurs noirs …

    Si ça n’est pas le cas, pourquoi ne voit-on jamais de femmes noires avec des hommes blancs. N’est-ce pas là une forme de patriarcat appliqué par les publicitaires progressistes ?

    Tout le monde a remarqué cette publicité provocatrice pour un système d’alarme,  dénoncé par ce tweet du Patriote d’extrême France :

    Il faut être un publicitaire progressiste et borné pour croire que cette pub va faire progresser l’image de l’immigration aux yeux des Français !

    Voici un tweet de Le Crapaud @Zoltan_47 qui illustre parfaitement l’impasse à laquelle mène le progressisme :

    Rennes, 2024 :

    – Putain, ça me fout la rage. Y’a de plus en plus de gens qui croient à ce délire du grand remplacement.

    – Moi aussi, ça me fume alors que toutes les statistiques officielles disent qu’il n’y a pas plus d’étrangers qu’il y a 20 ans.

    – Carrément. De toute façon, ils sont tous obsédés par leur délire racial. Comme quand ils cassent les couilles parce qu’il y a trop de Noirs dans les pubs.

    – C’est clair, mec, c’est normal qu’il y ait de la diversité dans les pubs, il y a de plus en plus de Français racisés, il faut bien qu’ils soient représentés.

    – … Attends.

    – Quoi ?

    – Non rien, laisse tomber.

    Le Crapaud @Zoltan_47

    Au même moment, au autre twittos @MarsaultBreum relayait une petite bande dessinée sur le même sujet :

    Edifiant ! Non ?


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  • L’Argentine de Miléi ? 1er excédent trimestriel pour le budget. Un stage pour Le Maire et pour Macron ?

    A ce rythme, nous aurons la certitude qu’à la fin de l’année 2024, c’est en Argentine qu’il faut envoyer nos Mozart de la finance faire un stage de Tango !

    Et pour cause. Après les excédents budgétaires mensuels, voici que l’Argentine enregistre officiellement son premier excédent public trimestriel avec environ 275 milliards de pesos de plus dans les caisses !

    Javier Milei avait promis de ramener le déficit budgétaire à zéro et il a salué un « exploit historique ».

    Il peut effectivement.

    Javier Milei en a profité pour rappeler quelques principes de base de l’économie que tout le monde dans cette société du mensonge a oublié.

    « Si l’Etat ne dépense pas plus qu’il ne perçoit et n’a pas recours aux émissions (de monnaie), il n’y a pas d’inflation. Ce n’est pas de la magie », a ajouté Javier Milei, un économiste ultra-libéral qui se définit lui-même comme un « anarcho-capitaliste ».

    Dépenser moins que ce que l’on gagne nécessite forcément de la rigueur et la rigueur c’est pas marrant !

    « A cette fin, il a lancé un programme d’austérité draconien qui comprend la paralysie des travaux publics, le licenciement de fonctionnaires, la fermeture d’administrations, la réduction des subventions et le gel du budget, alors que l’inflation atteint 290 % par an et que la moitié de la population vit dans la pauvreté ». Voilà ce que dis le journaliste pas franchement objectif ni neutre dans cet article du Temps (quotidien suisse source ici).

    Il n’y a rien de gratuit. Rien !

    Si vous ne payez pas aujourd’hui vos dépenses, vous les paierez demain. Si vous ne les payez pas par l’austérité de demain, vous les paierez par l’inflation d’après demain, par la perte de confiance dans votre monnaie, parce que vous allez créer de la « fausse monnaie » pour boucler vos fins de mois.

    Enfin, Javier Miléi a conclu par un simple…

    « N’espérez pas une issue grâce à la dépense publique ».

    Lui comme moi, ne disons pas que la dépense publique est à proscrire ou qu’elle ne sert à rien. Elle peut être fort utile, fort pertinente et très importante. Pour autant, quoi qu’il arrive on ne dépense pas durablement plus que ce que l’on gagne pour avoir une économie saine et fonctionnelle.

    La puissance d’une nation c’est son indépendance.

    L’indépendance d’une nation passe par son économie qui doit être prospère.

    Si vous dépensez plus que vous ne gagnez, alors vous êtes dépendants des prêteurs.

    La liberté a toujours un prix. Celui de l’effort.

    Miléi va réussir à redresser l’Argentine et il préfigure évidemment exactement les efforts que nous devrons faire en France pour redresser notre pays.

    Vive la liberté et vive la France.

    Charles SANNAT


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  • Des afghans ont saccagé des rues de Paris, dans le silence des médias et du Gouvernement.

    LES JEUX OLYMPIQUES ONT COMMENCÉ !

    Que dit de cela Macron !


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  • JO 2024 : des millions de cartes bancaires seront désactivées pendant les Jeux .

    Les Jeux olympiques de Paris 2024 débutent le 26 juillet prochain et les spectateurs savent déjà qu’ils vont devoir s’armer de patience pour assister aux compétitions. Ils n’avaient peut-être pas prévu un nouvel obstacle à leur Graal sportif, faire partie des millions de spectateurs dont les cartes bleues seront désactivées sur les sites des épreuves. En cause, un partenariat exclusif du Comité international olympique avec l’entreprise américaine Visa pour les paiements dématérialisés.

    Toutes les cartes de paiement autres que Visa seront désactivées

    Comme si les difficultés actuelles pour assister aux JO ne suffisaient pas, des millions de spectateurs verront leurs cartes bleues désactivées sur les 15 sites olympiques. Seules les transactions numériques effectuées avec une carte Visa seront acceptées.

    En d’autres termes, les détenteurs d’autres cartes, telles qu’American Express et Mastercard, ne pourront pas effectuer de paiement par carte bleue, celles-ci seront bloquées dans des zones géographiques spécifiques. Ces zones incluront tous les sites et installations où se dérouleront les compétitions, les boutiques officielles des Jeux, les points de vente autorisés pour les boissons, la nourriture et les souvenirs, totalisant près de 5.000 emplacements.

    En France, on compte 65% d’utilisateurs de cartes Visa, et avec entre 10 à 15 millions de spectateurs attendus à Paris pendant la durée des Jeux, dont une partie venant de l’étranger (10%, selon les chiffres avancés par l’office de tourisme de Paris), ce sont quelques millions de spectateurs qui seront touchés par la désactivation de leur carte bleue.

    Un obstacle supplémentaire qui risque de ne pas plaire aux Français, qui payent 50% de leurs achats en carte bleue et ont de moins en moins d’argent liquide sur eux. Une situation qui pourrait aussi être préjudiciable aux commerçants sur place, les spectateurs pouvant moins consommer du fait de la difficulté à payer.

    Un partenariat exclusif avec le CIO 

    Dans un entretien accordé à L’Équipe, Charlotte Hogg, directrice générale de Visa Europe, a confirmé que sa société prendra en charge tous les services de paiement en exclusivité pour les Jeux olympiques et paralympiques 2024.

    Le géant américain est le seul partenaire officiel du Comité international olympique (CIO) pour les paiements dématérialisés pendant les Jeux, depuis 1986 et jusqu’en 2032.

    Ce ne sont pas les premiers Jeux pour lesquels l’entreprise a le monopole des transactions numériques. L’entreprise était déjà partenaire des JO de Pékin en 2008, de Vancouver en 2010 et de Londres en 2012, une dérogation ayant été accordée lors des Jeux d’hiver de Pékin en 2022, où les transactions en yuan numérique étaient acceptées.

    Les solutions de repli pour les spectateurs

    L’entreprise Visa mettra en place 4.500 terminaux de paiement sur les 15 sites des Jeux — utilisables uniquement pour les titulaires d’une carte Visa, ainsi qu’une soixantaine de distributeurs automatiques de billets. Pour acheter des souvenirs, de quoi manger ou boire, vous pourrez, si vous n’êtes pas détenteur d’une carte Visa, retirer de l’argent liquide sur ces bornes automatiques, en prévoyant de possibles longues files d’attente.

    Selon Charlotte Hogg, « vous pourrez acheter une carte Visa prépayée sur chaque site de compétition ». Vous pourrez ainsi acheter directement sur votre téléphone une carte virtuelle Visa via l’application prévue à cet effet. Des cartes temporaires prépayées seront également distribuées dans les enceintes olympiques, disposant d’un plafond de 150 euros et permettant aux spectateurs une utilisation sur tous les sites des épreuves et en dehors, jusqu’à la fin de l’année 2024.

    Un partenariat qui ne fait pas l’unanimité parmi les commerçants. En effet, ces derniers ont des préoccupations sur les risques que cette exclusivité de Visa dans les zones commerciales décourage les détenteurs d’autres cartes. Les spectateurs sans Visa, forcés de faire la queue pour retirer de l’argent ou récupérer une carte prépayée avant de se rendre dans les boutiques, pourraient renoncer devant ce parcours du combattant.

    Une source de mécontentement assurée et assumée

    On peut se demander quel effet aura la désactivation des cartes bleues auprès des Français, si prompts à défendre leur liberté avec vigueur, et si cela causera une image négative sur la marque américaine. Pas sûr que tout le monde soit ravi quand, devant le fait accompli, ils verront leurs cartes bleues désactivées à quelques minutes du début des compétitions.

    Ces complexités de paiement s’ajouteront à la course d’obstacles olympique des spectateurs à Paris entre l’hébergement, les transports, l’accès aux places, la sécurité et le terrorisme.

    Comme s’il fallait le préciser, l’exclusivité des paiements de Visa pour les JO « est légale », a précisé Jean-Paul Mazoyer, président du GIE et directeur général adjoint du Crédit agricole SA, car « c’est un contrat de droit privé entre le CIO et un opérateur américain ». Mais « cela pose quand même des questions en termes de souveraineté de paiement », selon Challenges.

    Pour l’entreprise américaine, ce partenariat, qui se chiffrerait en centaines de millions d’euros, leur assure une visibilité inégalée, valant bien le coût des critiques d’une partie des spectateurs.

    Source


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  • Les moutons qui ont suivi leurs bourreaux !.

    Ces gens qui n'ont pas voulu côtoyer les nons vaccinés

     


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