• Politique Tyrannie républicaine. Bientôt la Police à votre domicile et une amende pour une blague jugée raciste en privé ?

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    Mathieu Lefevre, député #Renaissance du 94 : grâce à sa proposition de loi adoptée à l’unanimité de l’Assemblée nationale vous pouvez aller en PRISON ou être soumis à RÉÉDUCATION pour une simple BLAGUE prononcée en PRIVÉ (si elle est présumée raciste, homophobe ou islamophobe)

    Jean-Yves Le Gallou


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  •  Définition de l'entre-soi médiatique :

    Un article de France info sur une interview par France inter de la patronne de la CGT qui trouve que l'audiovisuel public français "fonctionne très bien" !

    Et pendant ce temps, CNEWS passe en commission soviétique parlementaire...


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  • L’ennemi de la France, ce n’est pas Poutine, c’est Macron !

    L’ennemi de la France, ce n’est pas Poutine.

     
    Le général Coustou était reçu ce jour par André Bercoff, sur Sud Radio.
     
    L’animateur lui passe les propos d’Emmanuel Macron à Prague, où le président de la République explique que Poutine n’a aucune limite et représente un danger pour l’Europe et pour la France. Le discours belliciste de Macron en laisse aucun doute quant à sa volonté de prendre la tête d’une coalition prête à faire la guerre à la Russie.
    Interpellé par André Bercoff sur ces propos, le général n’hésite pas, et met les pieds dans le plat. Pour lui, l’ennemi de la France, c’est son fossoyeur, Emmanuel Macron. Il tire un bilan de sept années de régressions démocratiques que subit la France, depuis sept années. Il affirme, devant l’invasion de l’Ukraine, que les responsables des guerres ne sont pas ceux qui les déclarent, mais ceux qui ont créé les conditions des conflits. Il évoque l’article 411-3 interdisant de livrer des armes à l’étranger, au détriment de notre défense militaire. On est en plein dedans.
    Et tout au long de son entretien, il montre, par de nombreux exemples, la duplicité de Macron et l’ampleur de sa trahison. Il qualifie même le président de “tyran”, en s’appuyant sur la définition du Petit Robert. Il nous confirme qu’en cas de guerre, l’armée française ne peut tenir que trois jours, sur un front de 80 km. Surtout, en fin de ce passionnant entretien, il nous apprend que Macron voulait faire tirer l’armée sur les Gilets jaunes, et qu’il lui a été expliqué, par la hiérarchie militaire, que ce n’était pas son rôle. Cette révélation explosive fera-t-elle la une des médias ? On peut en douter, mais aux médias de réinformation de faire leur travail !
    Autre entretien accordé par le Général André Coustou à la revue Nexus
    Ci-dessous encore, un article du général Coustou paru sur le site Place d’Armes
    Anti-constitutionnalité, illégalité ou a-légalité ?
    La France, qui se réclame de la démocratie et ne se prive jamais de donner des leçons par la voix de ses dirigeants, est surtout et avant tout un État de droit – en théorie.
    Or, le 24 février 2022, début de la guerre entre l’Ukraine et la Russie, l’Ukraine n’est pas un pays de l’Union européenne, ni un membre de l’OTAN et n’a aucun accord de défense avec la France. Celle-là n’a pas non plus d’intérêts vitaux en Ukraine. Il eût été pertinent de se poser la question de savoir si la France devait intervenir. Mais le choix politique fait par le président de la République d’aider l’Ukraine n’est pas le sujet de ce papier.
    En revanche, la question de la légalité de notre engagement se pose.
    Tout d’abord, ce choix politique n’a pas été suivi d’un choix législatif et judiciaire.
    Par l’article 411-3 du code pénal révisé par l’Ordonnance du 19-11-2000, nous nous interdisons de livrer des moyens militaires au détriment de la défense nationale.
    Par la Résolution du 30 novembre 2022 (303 voix sur 399 votants), l’Assemblée nationale réaffirma son soutien à l’Ukraine par le double biais de l’UE (article 12) et celui du gouvernement (article 20).
    Si en toute rigueur ces deux dispositions ne sont pas contradictoires, dans les faits, le prélèvement de matériels militaires dans certaines unités constitue une infraction qui révèle la caution sinon la complicité des votants, le législateur laissant enfreindre la loi qu’il a lui-même rédigée.
    De fait il y a bien illégalité gravissime à enfreindre la loi délibérément. Surtout pour un législateur !
    Puis, l’accord de sécurité signé à Paris le 16 février dernier entre, non pas la France et l’Ukraine, mais entre les présidents respectifs, témoigne d’un degré supplémentaire dans l’illégalité.
    Notons les réactions immédiates de Messieurs Nicolas DUPONT-AIGNAN et Alain HOUPERT qui s’insurgeaient qu’eux seuls sur 952 parlementaires aient réagi face à cette initiative personnelle sans consultation de la représentation nationale, ainsi que la déclaration publique conjointe de Messieurs Hubert VÉDRINE et Jean-Pierre CHEVÈNEMENT qui réclamaient un débat sur le fond en saisissant le Parlement ; soient deux signaux clairs que cette initiative outrepassait sinon violait l’État de droit. De nos droits.
    Cet accord quasi personnel entre deux hommes n’a aucune valeur juridique. Il n’a fait l’objet d’aucune consultation comme l’article 53 de la Constitution l’eût exigé, ni d’une loi assortie d’un décret d’application et bien sûr… d’aucune publication dans le Journal Officiel.
    En clair, cet accord n’est pas seulement illégal mais purement « a-légal ». Un vide juridique.
    Sans écarter une basse manœuvre de notre Président pour tromper son visiteur, fort improbable d’ailleurs, ce texte a quand même des conséquences potentielles gravissimes que nous allons voir.
    Ensuite, ayant proclamé « qu’il ne fallait pas laisser gagner la Russie », le Président MACRON a fait état d’une « européisation de notre dissuasion nucléaire » (déclaration VÉDRINE-CHEVÈNEMENT) lors de son voyage en Suède, plaçant ainsi la France, déjà considérée comme cobelligérante par la Russie, en position de cible numéro Un dans le cas d’un conflit direct entre l’OTAN et la Russie.
    Enfin, le 26 février dernier, le chef de l’État, peut-être par le réflexe de ceux qui pour tenter de retrouver une popularité qui leur échappe désignent un ennemi extérieur, a franchi un degré de plus vers la guerre en déclarant possible l’envoi de troupes occidentales face à la Russie.
    Alors, veut-il la guerre ? Est-ce seulement une gesticulation imprudente mais dangereuse ?
    Dans son article L 4122-1 du code de la Défense, il est stipulé qu’un militaire n’est pas obligé et a même le devoir de ne pas obéir à un ordre manifestement illégal, ce qui est avéré ici, de par le vide juridique montré plus haut.
    L’accord du 16 février précise expressément prendre effet à compter de la date de la signature (!). Le Président a-t-il, peut-il et va-t-il donner des ordres pour sa concrétisation ?
    Quoi qu’il en soit et de notre point de vue, ce texte apporte et doit poser un réel problème de conscience aux militaires. Si les échelons subalternes, le nez dans le guidon comme souvent, ne voient pas forcément la gravité autant que le caractère ubuesque de la situation, les hauts échelons de la hiérarchie ne peuvent l’ignorer et la ligne rouge à ne pas franchir ne peut que les inciter à appeler le chef des armées à la raison.
    Toujours très légalistes, ils ne peuvent que constater l’État de droit ici bafoué. Ils le doivent !
    Un jour viendra où certains de nos gouvernants et hauts responsables auront à rendre des comptes au peuple qui selon l’article 3 de notre Constitution détient seul la souveraineté nationale confiée le temps limité de leur mandat à ses représentants, non pour être trahi mais pour avoir une gouvernance conforme à ses vœux et surtout intérêts.
    Posons-nous tous, d’urgence, la double question solennelle suivante :
    Qui veut mourir en et/ou pour l’Ukraine ?
    Qui veut mourir à cause du délire d’un tyran ?
     
    Général (2S) André COUSTOU
    Président d’honneur de Place d’armes

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  • Lettre ouverte aux politiciens allemands, 14 février 2024.Posté Par: Sylvestre Brunaud..
     
    Macron devrait prendre des notes de sagesse !
     
    Lettre ouverte aux politiciens allemands, 14 février 2024.

    Lettre ouverte aux politiciens allemands, 14 février 2024.

     
    «Je n’ai pas servi 37 ans sous l’uniforme afin d’assurer la Paix à l’Allemagne, pour rester silencieux et sans réaction alors qu’elle est lentement […] entraînée dans une guerre étrangère et insensée. Nos “trois Rois-Mages”, monsieur le chancelier fédéral Scholz, monsieur le ministre Lindner et monsieur le ministre Habeck, ont commencé, dans leurs jeunes années, par refuser d’effectuer leur service militaire pour le Droit et la Liberté de l’Allemagne, et la préservation de notre démocratie. Et maintenant, ils dépensent bien plus de 10 milliards d’euros par an pour le “Droit“, la “Liberté”, la “Démocratie” dans un pays étranger [l’Ukraine] qui n’est pas une démocratie ni n’incarne les valeurs occidentales. Ils prolongent une guerre devenue inutile avec l’argent de nos impôts et le sang de volontaires étrangers.
     
    J’attends de tous les anciens objecteurs de conscience au Bundestag et au sein du gouvernement fédéral qu’ils s’emploient à obtenir une fin rapide de la guerre en Ukraine, conformément à leurs engagements de jeunesse, et qu’ils abandonnent leur espoir illusoire et vain d’une victoire ukrainienne. […] L’idée que deux composantes de la population d’un même pays qui se haïssent et ont commencé à se faire la guerre huit ans avant l’invasion russe puissent reformer l’Ukraine dans ses anciennes limites est une rêverie de bouffons. En observant l’ardeur de la majorité des partis allemands à soutenir les Ukrainiens en vue de la victoire avec de l’argent et des livraisons d’armes, je pense à ce propos du général russe Alexandre Lebed lors de la première guerre de Tchétchénie : “Laissez-moi recruter une compagnie composée des fils de l’Élite, et demain la guerre sera finie”.»
     
    Generalmajor a.D. Gerd Schultze-Rhonhof.
    Officier de Panzer, ancien commandant de l’École des Blindés de Munster
     

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  • Peut être une image de bannière, drapeau et texte qui dit ’ARKANSAS’

    ARKANSAS, défaite wokiste- mafia de l'alphabet .


    États-Unis: Arkansas révoque un « sexe neutre » dans le permis de conduire
    Le gouverneur républicain de l'État, Sarah Huckabee Sanders, a exprimé sa satisfaction, faisant valoir dans une note que les changements introduits sont « une décision de bon sens. Seules les femmes accouchent, les hommes ne devraient pas participer aux sports féminins, et il n’y a que deux sexes », explique le gouverneur. « Puisque je serai gouverneur, l’État de l’Arkansas ne s’épanouira pas à ce genre d’imperméabilité », a déclaré Sanders dans une déclaration.


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