• L'auteur

    Le monde est en colère. Et on le comprend aisément.

    Les affaires de racisme policier, c’est ce qu’on appelle le déclencheur. Mais comme nous le disions hier, la crise est plus profonde.

    https://ripostelaique.com/que-tremblent-les-tyrans-ils-sont-finis.html

    Que des policiers assassinent ou mutilent, avec la bénédiction de leurs gouvernements, cela n’est pas acceptable. Que les assassinés soient des délinquants, comme c’est le cas de George Floyd qui, en 2007, avait participé à à un cambriolage armé en bande organisée avec à la clé une condamnation à 5 ans de prison ; ou comme c’est le cas pour Adama Traoré qui, avec sa famille terrorisait le quartier dans lequel ils vivaient, accumulant les condamnations (Traoré avait violé un homme, participait à des expéditions punitives, escroquait des personnes, vulnérables, etc.), ne justifie en rien les violences policières. Un policier ne peut s’autoproclamer justicier. Certes les tribunaux ne font pas leur travail. J’ai moi-même été agressée par un Africain il y a dix-sept ans, je l’ai décrit de façon très précise, homme d’environ 1,90 m, visage ovale, pas aussi noir de peau que les Sénégalais, la trentaine. On m’avait alors sorti les portraits en noir et blanc, peu nets, de près de 300 bonhommes correspondant à cette description, et comme j’hésitais entre deux, on s’empressa d’enterrer ma plainte en me refusant toute confrontation. Un conseiller municipal auquel j’avais raconté ma mésaventure m’avait déclaré qu’ayant lui-même été agressé, le procureur l’avait convoqué pour exiger qu’il retire sa plainte « pour ne pas provoquer d’émeute ». Je comprends la frustration de policiers qui font le boulot de retrouver les délinquants et les voient remis en liberté pour des raisons purement politiques par des juges putréfiés. Il n’en reste pas moins qu’il est inacceptable qu’ils se livrent à une justice sommaire. Il est inacceptable qu’ils assassinent, car alors ils ne valent pas mieux que les délinquants.

    La faute à qui cependant ? Aux politiques, aux magistrats indignes qui aiment à condamner les braves gens mais se gardent de sanctionner les agresseurs, au système, à cette Europe pourrie et bienveillante envers les racailles de tous bords. À nos dirigeants en premier lieu.

    Souvenez vous de l’affaire Méric, ce petit faf fils de deux professeurs gauchistes d’université, qui après avoir, avec ses copains, pisté trois jeunes gens parce qu’ils étaient de droite, était passé à l’attaque, de dos ! De dos, oui, avec un immense courage. L’agressé s’était défendu comme il se doit et avait envoyé bouler cette crevette de Méric qui, tombant mal, en était mort. Les mêmes fafs qu’aujourd’hui avaient exigé et obtenu sans mal que les magistrats condamnent les agressés et les expédient en prison où ils sont peut-être encore, au mépris du principe de légitime défense.

    Car si les affaires Floyd et Traoré sont les déclencheurs, les causes de la révolution, et sans doute de la guerre civile qui ne va pas tarder à faire rage, sont bien plus profondes comme nous l’analysions hier. Or une gauche qui n’a cessé de montrer son incompétence s’est engouffrée dans ces affaires, tentant de récupérer un pouvoir qu’elle a perdu définitivement. Les agitateurs professionnels, aux États-Unis les démocrates, en France les petits fafs de l’ultragauche, profitant de l’aubaine, poussent à la roue. Ils veulent faire tomber les gouvernements ? Mais ils ne sont les les seuls à le souhaiter. Cependant pas pour les mêmes raisons ni pour les mêmes objectifs.

    La preuve ? Mais si ces gens étaient honnêtes, s’ils voulaient lutter contre les injustices, s’ils avaient en vue de compenser une magistrature lamentable qui le paiera certainement au prix fort d’ici peu, pourquoi sont-ils restés silencieux devant le trafic pédophile d’enfants qui pourrit nos plus hautes institutions ? Pourquoi n’élèvent-ils pas la voix pour défendre les droits des femmes, en particulier musulmanes, et je ne parle pas ici de celles qui décident seules de porter le voile, mais de toutes les autres nombreuses, qui ne veulent plus que l’on s’en prenne à leur corps  et veulent vivre libres, sans excision, sans devoir d’obéissance aux barbus auxquels on aimerait les marier enfants ? Pourquoi n’ont-ils pas appelé à manifester pour la malheureuse Sarah Halimi torturée à mort de nombreuses heures durant dans l’indifférence générale par un musulman  qui continue à vendre son cannabis sans procès d’assises ? Ou au sujet du calvaire durant 40 jours (!) du jeune Ilan Halimi torturé par le « gang des barbares », brûlé, mis sur des voies de chemin de fer ? Pourquoi aux États-Unis les démocrates n’ouvrent pas leur grande gueule contre les massacres de Juifs à New York, perpétrés ces temps-ci par des Blacks ? Pourquoi ne disent-ils pas leur colère alors que 97 % des Noirs américains sont tués par… des Noirs, y compris des policiers blacks ? Qu’a fait Obama, le Président noir de l’Histoire, pour la communauté noire ? Mais rien. Cet homme créé par la CIA n’a poursuivi qu’un but : la politique néo- libérale.

    La récupération, cela suffit. Les petits Blancs en ont plus que marre. Eux aussi ont manifesté. C’étaient les Gilets jaunes. Attaqués par les mêmes petits fafs de l’extrême gauche, les Black Blocs, en même temps que par les armes de guerre fournies à sa police par Macron. Qu’on cesse de nous enfumer avec des amalgames mal venus car si nous aussi voulons mettre un terme à ce système avarié jusqu’à l’os, nous ne sommes pas tous dans le même camp. Nous n’acceptons pas une police assassine, mais nous n’acceptons pas non plus de nous voir discriminer en tant que Blancs.

    Louise Guersan


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  • Buraliste/Isère : il blesse le cambrioleur et se retrouve mis en examen pour violences aggravées

     Photo d'illustration. Crédit : SEBASTIEN BOZON/AFP/Getty Images.

    Mis en examen après avoir blessé un jeune malfrat déjà connu de la justice qui tentait de cambrioler le bar-tabac de son épouse en pleine nuit, un quinquagénaire isérois regrette d’avoir été « traité comme un tueur ».

    Les faits se sont déroulés dans la nuit du lundi 25 au mardi 26 mai à Montrevel, un village de moins de 500 habitants situé au sud de Bourgoin-Jallieu.

    Âgée de 53 ans, Chantal Mermet est la propriétaire du bar-tabac de la commune. Installé au rez-de-chaussée de la maison familiale dont elle a hérité, le bar-tabac est l’unique commerce de Montrevel.

    Dans la nuit du 25 au 26 mai, vers une heure du matin, Chantal Mermet entend du bruit au rez-de-chaussée de l’établissement. Elle réveille aussitôt son mari François, qui décide de descendre voir ce qui se trame dans le bar.

    « Je suis allé chercher le vieux fusil de chasse du grand-père que je gardais à côté du lit, de peur d’être agressé. Il y a quatre ans, on avait déjà dû mettre des malfaiteurs en fuite. Depuis, on était sur le qui-vive avec ma femme. Je suis sorti du bar avec le fusil. Dans la panique, deux coups de feu sont partis involontairement, en l’air. J’ai vu une voiture s’allumer à 20, 30 mètres. L’un des trois cambrioleurs s’est alors dirigé dans ma direction. Il tenait quelque chose à la main. J’ai tiré une troisième fois pour le faire fuir, toujours en l’air », a expliqué François Mermet aux journalistes du Parisien.

    Les malfaiteurs prennent ensuite la fuite en voiture. Vers 2 h 15, un jeune homme de 21 ans blessé au dos par plusieurs plombs se présente dans une clinique du Roussillon. Il affirme avoir été la cible de coups de feu lors d’une altercation dans la Drôme, mais les gendarmes établissent rapidement le lien avec la tentative de cambriolage qui s’est déroulée à Montrevel un peu plus tôt.

    « On m’a traité comme un tueur »


    Dans la matinée du mardi 26 mai, François Mermet est appréhendé par les gendarmes et placé en garde à vue pour tentative d’homicide.

    « Se retrouver en garde à vue pendant 48 heures, passer une nuit en cellule alors qu’on a été cambriolé et qu’on est victime, c’est très dur à vivre. J’ai été ramené par les gendarmes devant le bar-tabac pour expliquer comment les choses s’étaient passées. J’étais menotté, devant tout le voisinage. Cela a été traumatisant. On m’a traité comme un tueur », souligne le quinquagénaire.

    Le parquet de Bourgoin-Jallieu estime que M. Mermet n’était pas directement menacé lorsqu’il a tiré sur le malfrat, celui-ci ayant été touché dans le dos. Selon Le Parisien, le parquet devrait toutefois abandonner l’accusation de tentative d’homicide et mettre le Morvelot en examen pour violences aggravées.

    « J’ai fait une bêtise, je n’aurais pas dû me servir de mon arme. Dans la panique, la peur, on ne sait pas ce qui nous passe dans la tête. Mais ce sont les voleurs qui devraient être punis. Pas moi »,
     observe François Mermet.

    Un point de vue partagé par son avocat, qui compte défendre âprement ses droits.

    « La victime, c’est bien M. Mermet. Et nous comptons le faire reconnaître par la justice en nous constituant partie civile dans le dossier du cambriolage du bar-tabac, où le cambrioleur blessé a été mis en examen pour vol en réunion par effraction », souligne Me Fabien Rajon.

    Le bar-tabac cambriolé à six reprises ces dernières années


    Déjà connu de la justice, le cambrioleur venait de purger une peine de prison dans le cadre d’une condamnation relative à une affaire de stupéfiants. Légèrement blessé lors du cambriolage du bar-tabac, il s’est vu délivrer une incapacité de travail temporaire (ITT) de quinze jours. Ses complices sont activement recherchés par la police.

    Dans le village de Montrevel, l’affaire a fait grand bruit et un comité de soutien à François Mermet a rapidement vu le jour.

    « Cette famille est honorablement connue dans la région. François et Chantal sont des travailleurs qui ne comptent pas leurs heures. Ils ne méritent pas ce qui leur arrive »
    , observe Jocelyne Laurent, une Morvelote.

    « J’ai moi-même déjà été cambriolé et braqué 11 fois. On est beaucoup à vivre avec ce sentiment d’insécurité. Je comprends la réaction de François Mermet », abonde Bernard Micoud, commerçant dans un village voisin.

    Écœurée par le sort réservé à son mari, Chantal Mermet a décidé de vendre le bar-tabac qu’elle gérait depuis 23 ans, après avoir succédé à sa mère. Un véritable crève-cœur pour la quinquagénaire qui y travaillait 7 jours sur 7 et ne prenait qu’une semaine de vacances par an.

    « J’ai déjà été cambriolée six fois ces dernières années. Moralement, c’est dur de vivre dans la peur. Alors aujourd’hui, ras-le-bol, j’arrête. Je vais vendre. Je ne peux plus continuer dans ces conditions. Je soutiens bien sûr mon mari. On l’a traité comme un tueur. On lui a mis les menottes. Mais nous, on est des victimes. Il ne faut pas inverser les rôles », conclut la buraliste.

    Source

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  • Français "réveillez-vous" !

     

    Les loups sont dans la bergerie !

      

    Manifestants Africains, retournez en Afrique au lieu de pleurnicher sur le passé colonial du pays qui vous accueil gracieusement ...

     adama Nous ne sommes pas aux USA ici. 

    Quittez la France que vous détestez!

    Repartez avant que les choses tournent mal, pour vous comme pour nous.
    Vous étiez 20 000 à manifester, sans égard pour les consignes sanitaires, par un chantage au racisme.Au mali, les militaires français se font insulter pour les prier de dégager, alors qu’ils prennent de gros risques pour assurer votre liberté.
    Et dans la région parisienne vous êtes des milliers à vivre en dehors de tout danger et de tout souci matériel et vous osez vous plaindre.Chacun chez soi, puisque la cohabitation avec vous devient impossible.
    C’est le meilleur moyen de ne pas susciter des réactions de rejet de part et d’autre.On en a assez de vos jérémiades et votre victimisation.
    La France n’est pas un pays raciste.
    Actuellement le vrai racisme des minorités il est antiblanc.Si les français organisaient des émeutes chaque fois qu’un blanc est agressé ou tué par un des vôtres, il y aurait des manifestations de colère toutes les semaines.Et si les français d’origine européenne que vous considérez comme des privilégiés, par la voix de votre porte parole Rokhaya Diallo, le sont encore ; quoi de plus normal !
    Ils sont chez eux depuis des siècles, alors que vous, êtes des invités.
    Or ils demandent aux invités de bien se tenir à table et de ne pas faire des bras d’honneur en remerciement.
    Dans cette manifestation et celles qui suivent il s’agissait de faire un parallèle entre l’affaire Traoré et celle de Georges Floyd aux EU.
    C’est-à-dire, de monter les noirs contre les blancs, avec l’aide des gauchistes qui sont vos conseillers et vos supporters.
    En plus, de deux délinquants notoires vous en faites des héros.Car qui était Adama Traoré, devenu comme Floyd un martyr pour la cause de ces noirs qui se considèrent ici, comme martyrisés.
    Un petit voyou des cités, avec déjà derrière lui plusieurs actes de délinquance.
    Né dans une famille de 17 enfants, avec 4 mères différentes (moi qui croyais que la polygamie n’était pas autorisée chez nous).
    Avec plusieurs frères, tout aussi délinquants que lui.Et des familles polygames africaines, il en existe bien d’autres.Alors repartez, vous nous coûtez trop cher !
    Trop cher en allocations familiales, en frais médicaux et pénitentiaires.Le 2 Juin 2020 la soeur de Traoré, se donnait le rôle d’Angela Davis, accompagnée des mouvances Anti-colonialiste, Indigéniste et Antifas pour organiser cette retentissante manif, contre le « racisme, » supposé, de la police. Passant outre à l’interdiction préfectorale.
    Pourquoi s’en priver ?Avec l’appel à l’insurrection, par la voix de la « chanteuse » franco-algérienne Jordana Aliouane, reprenant le refrain des Black-Panthers, à prendre les armes, sans le moindre scrupule , ni la moindre remarque de monsieur Castaner.Mais encore, si l’expression de ce mécontentement s’était exprimé sans casse et dans la discrétion il aurait suscité moins d’indignation.Mais les inévitables agitateurs étaient au rendez-vous.
    Caillassages, cris de haine, bris de vitrines et de mobilier urbain.
    Avec maintenant, besoin d’en découdre sur tout le territoire.Et pour reprendre quelques mots de Michel Onfray : « C’est l’avant garde éclairée des barbares, ceux avec lesquels tombent les civilisations. Ce sont les loups entrés dans Paris ».
     
    Onyx

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  • L'auteur

    Je suis né en 1975, et en quarante ans, j'ai vu mon pays se transformer 'radicalement'.Je ne reconnais plus la France et les français... Je ne supporte plus d'entendre des bobos gauchistes donner des leçons de morales (pour faire la propagande de leur propre idéologie malsaine) à longueur de journée dans les médias. Je dis STOP.

    Gabriel, 14 ans, avait été interpelé par des policiers en pleine nuit à Bondy alors qu’il tentait de voler un scooter. Hé Gaby, si tu n’avais pas essayé de voler le scooter à 2 h 00 du mat’, tu ne serais pas dans cet état. Erreur de jeunesse… ? Ils ne savent pas que c’est dangereux si on se fait rattraper. Pour ce genre d’idiots, voler est un amusement. Ce jeune n’est qu’une crapule que l’on voit dans les quartiers de non-droit. C’est bien fait pour sa gueule, on ne va pas pleurer pour son sort.

    Le HuffPost 
     
    @LeHuffPost
     
     

    Le jeune Gabriel, défiguré après une interpellation à Bondy, s'exprime pour la première fois http://huffp.st/YT9JMEL 

    Le jeune Gabriel, défiguré après une interpellation, s'exprime pour la première fois

    Le jeune Gabriel se remémore douloureusement la scène, lorsque quatre policiers l'ont interpellé alors qu'il tentait de voler un scooter à Bondy.

    huffingtonpost.fr
     
    428 personnes parlent à ce sujet
     
     

     

    https://twitter.com/LeHuffPost/status/1269225288132689925

    David Perrotin 
     
    @davidperrotin
     
     

    « Il y a une femme qui m’a tenu les pieds, pendant qu’un policier me tapait avec la pointe de ses pieds » : Gabriel, 14 ans et 50 kilos, a eu 30 jours d’ITT après avoir été interpellé à Bondy le 25 mai. L’IGPN est saisie.
    Il témoigne pour la première fois.

     
    53,8 k personnes parlent à ce sujet
     

    https://twitter.com/davidperrotin/status/1269157177069010944

    J’ai surtout une pensée pour le propriétaire du scooter, la VRAIE victime. Ce délinquant a dû se rebeller et pleurer car il a pris une rouste. C’est le monde à l’envers. Enfin, quand t’es dehors à 2 h du matin, c’est que tes « parents » ne t’ont jamais mis de tarte et qu’ils te laissent tout faire… Et faut pas venir pleurer après. Personnellement, je ne me suis jamais fait gazer ou « flashballer » car : je n’ai jamais volé de véhicules, jamais cassé de vitrines, jamais pillé de magasins. Étonnant non ?

    Il en était à combien de tentatives de vol de scooters, sinon, celui qu’on veut faire passer pour une victime… ? Lui et autres petites racailles sont toutes des victimes de méchants Blancs, c’est bien connu. Il est surtout victime de sa connerie et de celle de ses parents. Je les mets tous dans le même lot. Puis, le scooter ne s’est pas laissé faire en plus, faudra penser à porter plainte contre lui aussi. Toutes ces petites racailles jouent sur le fait qu’ils sont persécutés.

    Il devrait être en prison, c’est un voleur ! 14 ans ou pas, blessé ou pas, il faut arrêter d’être complaisant. Ce n’est pas une innocente victime. Et que dire de cette vidéo qui prend position clairement contre les policiers. L’air du temps…  À ce qu’il paraît, Gaby serait défiguré car il a un sparadrap ? Qu’est-ce que ce serait s’il avait reçu un projectile de LBD… Bref, les valeurs dans ce pays sont inversées ! Regardez Adama Traoré, condamné 17 fois et 20 000 personnes qui manifestent contre la police.

    La mascarade victimaire continue et cela va certainement empirer…

    Jérôme Moulin


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  • Troisième manifestation interdite dans les rues de Paris en une semaine, sans que le préfet, ni Castaner, ne soient capables de faire respecter les interdits. S’estimant, comme aux États-Unis, victimes du racisme, des Noirs sont allés jusque devant l’Assemblée nationale, et voulaient déboulonner la statut de Colbert, auteur du « Code noir ». Nos frères noirs sont victimes d’un racisme quotidien insupportable, venant de la langue française. Une vingtaine d’exemples le démontrent, et il faut revoir complètement notre langue, pour y extirper le racisme latent qu’elle contient.


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