• L’image contient peut-être : une personne ou plus, texte qui dit ’Macron La भगमापण s'est faite par les colporteurs qui faisaient du porte à porte pour parler des valeurs de la republique. Les colporteurs de la république en Vendée: Regarde bébé, les valeurs de la république sont au fond du puit.’

     

    Source : contre-info


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  • Et pendant ce temps, l’islamisme fait son lit politique dans une France hystérique…


    Comme on l’avait pressenti avant le premier tour des élections municipales du 28 juin, l’encouragement par Macron de toutes listes communautaires sans distinction ni restriction s’est aussitôt traduit par l’intrusion politique, par voie légale, d’activistes islamiques. Jusqu’à installer à un poste officiel de représentation et de décision publique un individu qui serait fiché S (menace pour la sécurité nationale), selon L’Express, accusation niée par l’intéressé et qui lui a déjà donné l’occasion d’engager une plainte pour diffamation.

    C’est la conséquence d’un amalgame égalitariste, racolage électoral qui interdit par principe idéologique de fixer des limites aux forces de dissolution nationale. Cette politique volontariste de désagrégation de la société française fait le lit des islamistes devant lesquels s’agenouille, au propre et au figuré, l’équipe progressiste au pouvoir, comme devant toute communauté minoritaire vindicative qui alimente son fonds de commerce électoral.

    On aurait tort de se rassurer par la déconfiture des représentants LREM aux municipales, rejet naturel de ces progressistes déracinés qui profite à des mouvements écolo-progressistes ennemis déclarés de la nation française, également connectés à des mouvements étrangers subversifs. Ce serait un mauvais calcul, par manque d’intérêt ou de courage, de se laisser pétrifier par le matraquage politico-médiatique qui fait diversion de ce problème d’urgence nationale en amplifiant un mouvement racialiste et raciste exogène, lequel ne devrait, au fond, relever que du maintien de l’ordre contre des casseurs et des pillards de rue.

    Or, pendant ce temps, que fait la majorité silencieuse qui désapprouve profondément sans rien dire ni faire, contribuant aux causes de conséquences qu’elle déplore ? Elle est prise en tenaille entre deux courants invasifs, écologistes incompétents et séparatistes musulmans.

    En attendant, les instruments constitutionnels et législatifs existants doivent être actionnés pour rétablir l’ordre public, empêcher le développement de ces mouvements et le déchaînement des violences multiformes qui leur servent de programme de développement. Parmi ces instruments, peu de gens savent que la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes), autrefois indépendante mais rattachée récemment au ministère de l’Intérieur sous prétexte d’économies en réalité minimes, est tout à fait désignée pour y contribuer au regard de ses textes fondateurs. À condition de vouloir lui assigner un rôle réellement utile à l’intérêt général.

    Jean-Michel Lavoizard

    Source : http://bvoltaire.fr


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  • FRANCO ET LES PIEDS NOIRSPar: Pieds Noirs 9A..

    Article N°6202 du lundi 29 juin 2020..

    FRANCO ET LES PIEDS NOIRS

    27 juin 1962- L'Espagne au secours des Pieds noirs abandonnés par la France .

    Les 29 et 30 juin 1962, l'Espagne du général Franco vint au secours des Oranais malmenés par les sbires du général Katz, en affrétant 2 ferrys, « le Victoria » et « le Virgen de Africa ».
    Pour accoster le long des quais d'Oran, il fallut longuement parlementer avec les autorités françaises réticentes et même donner à la France un ultimatum, risquant un grave incident diplomatique…
    Le 30 juin, à 10h du matin, malgré l'opposition de De Gaulle, le général Franco donna l'ordre à ses capitaines d'embarquer cette « misère humaine » qui attendait depuis des jours sous un soleil torride, sans la moindre assistance, un hypothétique embarquement vers la France.
    Franco prévint de Gaulle qu'il était prêt à l'affrontement militaire pour sauver ces pauvres gens sans défense abandonnés sur les quais d'Oran et menacés d’être exécutés à tout moment par les barbares du FLN. Joignant le geste à la parole, il ordonna à son aviation et sa marine de guerre de faire immédiatement route vers Oran.
     Finalement, face à la détermination du général Franco et craignant un conflit armé, De Gaulle céda et le samedi 30 juin, à 13 h, deux ferrys espagnols accostèrent et embarquèrent 2200 passagers hagards, 85 voitures et un camion.
    Lors de l'embarquement, les courageux capitaines espagnols durent, cependant, s'opposer à la montée d'une compagnie de CRS sur leur bateau (propriété de l’Espagne) dans le but de lister tous les passagers et interpeller les membres de l’OAS fichés.
    Ces capitaines expliqueront n'avoir jamais compris l'attitude arrogante et inhumaine des autorités françaises dans une situation aussi dramatique qui relevait essentiellement d’« assistance à personne en danger de mort »…
    Contre vents et marées, finalement à 15h30, les quais d'Oran, noirs de monde se vidèrent et les bateaux espagnols prirent enfin la mer malgré une importante surcharge, à destination du port d’Alicante.
    Durant toute la traversée, se mêlèrent les larmes de détresse, de chagrin… et de joie de ces pauvres gens en route vers leur nouvel exil, conscients d’avoir échappé au pire… Quand, enfin, la côte espagnole fut en vue, une liesse générale s’empara de ces « réfugiés » qui s’époumonèrent à crier avec des sanglots dans la voie « Viva España ! » … « Viva Franco ! ». Ils avaient, pour bon nombre d’entre eux, échappé à une mort programmée par les autorités françaises. Jamais ils ne l’oublieront !. De Gaulle fut un lâche  d'abandonner les siens ...

    1er juillet A 2 h, les bateaux pénètrent dans le port d'Alicante. (Espagne)

    Tous les quais sont éclairés afin de faciliter l°accostage de nuit. La ville est prise encore dans le tourbillon de ses fêtes de la Saint-Jean.
    Dès notre arrivée, les membres de la Croix-Rouge montent à bord avec des boissons, des sandwiches, etc., et nous portent les bagages, tandis que les infirmiers s'occupent des enfants. Tout a été prévu : contrôles d'identité sans tracas et aide pécuniaires immédiate si nécessaire. Nous constatons ainsi que la ville a tout fait pour nous recevoir au mieux. De plus, croyant bien faire en guise de bienvenue, la mairie prend soudain l'initiative d°allumer un long chapelet de pétards - une " traca " - qui fait sursauter tout le monde, tant cela rappelait les impitoyables mitrailleuses " 12.7 " et les détonations des " plastics ".
    Désormais, une vie nouvelle allait commencer. Apres avoir séché ses larmes, il fallait retrousser ses manches et se préparer à souffrir car, pour beaucoup, l'avenir semblait bien noir.
    Plus de cinquante ans sont passés depuis, et il me semble que c'était hier quand la bonne ville d'Alicante nous accueillait. .

    Exode Oran 1962

    ET NE PAS OUBLIER 

    QUE CELA RENTRE DANS LES CERVEAUX DES JOURNALEUX DE BFM TV ET BIEN D'AUTRES QUI FAVORISE L'ENNEMI DE LA FRANCE !

    Pieds Noirs 9A..


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  • Paris ville ou qu'il fait bon vivre !...Bourgeois vendez vos logements avant qu'il soit trop tard, demain ils n'aurons aucune valeur marchande ,car ils s'installeront à l’œil,car ils sont chez eux  ! Les politiques sont tous complice ...

    Paris : un nouveau campement de « mineurs isolés étrangers » installé par des associations place de la République

    Des associations d’aide aux migrants et 70 mineurs isolés étrangers ont organisé, lundi, l’installation de tentes individuelles près de la place de la République à Paris. Ils exigent une meilleure prise en charge par l’État et les collectivités de ces jeunes.

    Dans un square à une centaine de mètres de cette place emblématique du centre de Paris, 75 « mineurs non accompagnés », tous masqués, se sont installés dans des tentes individuelles, ont indiqué les associations d’aide aux migrants Utopia56, Médecin sans frontière (MSF) et Comede qui ont organisé cette action pour exiger une meilleure prise en charge par l’État et les collectivités de ces jeunes.

    «Un recours peut durer entre six mois et 1 an et demi, or aujourd’hui rien n’est adapté pour héberger et accueillir dignement ces jeunes en attendant leur jugement », a expliqué Florent Boyer, coordinateur à Paris d’Utopia56, qui n’acceptera pas «une simple mise à l’abri de la part de l’État». […]

    Ouest-France via fdesouche


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  •  Sud Radio

      Stella Kamnga, "Citoyenne contre la désinformation" au micro d'André Bercoff sur Sud Radio

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