• J’étais au meeting : Éric magistral, Marion magnifique !

    Aujourd’hui j’ai plusieurs chose à rapporter. Tout d’abord, j’ai assisté hier au meeting de lancement de campagne de Reconquête. Après l’intervention de Stanislas Rigault qui nous a demandé de faire une minute de silence pour les victimes de l’islam, j’étais évidemment très ému, car même si malheureusement ces attentats deviennent quotidiens, je n’ai pas pu m’empêcher d’avoir une pensée pour Nathalie. Puis sont intervenus Guillaume Pelletier, Nicolas Bay, un Italien fidèle de Meloni, et ensuite est venu le discours – que j’ai trouvé magistral – d’Éric Zemmour qui s’est montré accueillant, aussi bien avec les électeurs du RN, tout en soulignant nos différences, qu’envers ceux qui sont pour le Frexit, dont je fais plus ou moins partie. Mais je dois dire que les arguments d’Éric sont évidents et remplis de sagesse. D’abord, emporter une large victoire aux européennes, en essayant de mettre nos égos et nos différences de côté, de façon à virer cette saleté de von der Leyen qui nous rend à tous la vie impossible tant d’un point de vue économique que d’un point de vue démographique – en laissant rentrer des millions d’immigrés sur le territoire européen. En résumé, transformer l’Europe pour enfin la rendre attractive, même aux yeux des frexiteurs. Je dois dire que, me concernant, il a marqué un point !

    Puis vint la magnifique Marion. Quand je dis magnifique, je ne pense pas seulement à son aspect physique. Il est vrai qu’elle est très belle mais en plus, elle déborde de qualités. Ses discours sont clairs et emprunts de franchise, tranchant complètement avec ceux d’Attal et de Fripounet pour lesquels, une fois qu’ils ont fini de parler, on se demande bien ce qu’ils ont voulu dire. Elle nous a bien expliqué les avantages du rapprochement avec le groupe CRE et pourquoi il était nécessaire que ce groupe soit majoritaire. J’ai trouvé que Marion, tout comme Éric, avait un discours très rassembleur, aussi bien vis-à-vis des électeurs du RN que vis-à-vis des frexiteurs, et c’est très rassurant. Bref ce fut un magnifique meeting, et comme à chaque meeting Reconquête auquel j’assiste, j’ai vraiment l’impression d’être dans ma famille. Les gens ont tous un mot gentil à mon encontre, cela me change des insultes de “fachos” et de “racistes” que je reçois chaque jour. Cela me conforte dans le choix que j’ai fait d’appartenir à ce parti et je suis fier de lutter aux côtés d’Éric Zemmour, Sarah Knafo, Nicolas Bay, Stéphane Ravier, Guillaume Peltier, Stanislas Rigault, Damien Rieu, Philippe Vardon… et que ceux que j’ai oubliés me pardonnent !

    Aujourd’hui, c’est soi-disant la journée des victimes du terrorisme. Par pudeur, les politicards n’ont pas osé dire des victimes de l’islam, et pourtant 99 % du terrorisme provient bien de l’islam. Ce n’est pas être raciste que de l’affirmer, ce sont les chiffres qui parlent. Par contre, vu le nombre et l’horreur des attentats, il est très possible de devenir raciste, c’est conseillé et même recommandé, car n’oubliez pas que ces islamistes sont bien plus racistes que nous ! Je ne sais pas qui décide de fixer cette date. Un lundi, journée où tout le monde bosse… et en plus, la faire coïncider avec le début du ramadan, c’est très maladroit. Gabriel Attal, Premier ministre depuis le 9 janvier 2024, se rend à Arras avec quelques baltringues comme Dupond-Moretti et Moussa Darmanin pour rendre hommage au professeur Bernard, assassiné par un ancien élève fiché S le 13 octobre 2023. Je n’ai rien contre, bien au contraire, cet homme père de famille laisse trois filles. Je sais pour le vivre quotidiennement que, pour cette famille, la vie est désormais foutue ! Alors bien évidemment il est hors de question de critiquer cet hommage, mais je me pose simplement la question : comment peut-on être aussi hypocrite ? Rendre hommage à une victime de l’islam, alors qu’on fait tout et notamment en matière d’immigration pour que l’islam, cette secte mortifère, ce cancer qui ronge la France et les Français, puisse se développer sur notre sol. La seule réponse que j’ai pu trouver, c’est qu’il faut RÉELLEMENT ÊTRE UN POURRI ET PRENDRE LES FRANÇAIS POUR DES CONS !

    Enfin, après s’en être pris à l’IVG qu’on a fort inutilement fait rentrer dans la Constitution, Macron veut désormais s’en prendre à l’aide à mourir, “sous conditions strictes”, après avoir laissé mourir nos aînés à petit feu dans les EHPAD durant le Covid, quand on ne les a pas purement et simplement supprimés en leur administrant du Rivotril. Il est temps de passer à la vitesse supérieure. Alors on va légiférer sur l’accompagnement de fin de vie. C’est curieux, ce traître à la nation qui s’occupe du droit à la mort de ses administrés, qu’ils ne soient pas encore nés ou qu’ils soient en fin de vie. Et si nous nous occupions, nous aussi, de sa fin de vie – politique, bien sûr ? Il a suffisamment emmerdé de Français pour cela, non ?

    Patrick Jardin


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  • Finances publiques, la France en faillite virtuelle ? titre Radio France !

    france-ferméé-faillite France en faillite humour

    « Finances publiques, la France en faillite virtuelle ? » C’est le titre de l’émission « Les informés de l’éco du 9 mars » (source ici) et ce titre n’est pas pour me déplaire.

    « Il fallait « réagir vite et fort ». Mercredi, Bruno Le Maire et Thomas Cazenave ont justifié devant les parlementaires leur plan d’économies de 10 milliards d’euros en 2024 sur les dépenses de l’Etat, et annoncé un nouveau serrage de vis de 20 milliards en 2025, visant les autres dépenses publiques.

    De nombreux parlementaires critiquent la méthode et préféreraient une loi de finances rectificative plutôt qu’un décret. Le gouvernement peut-il atteindre ses objectifs budgétaires dans le contexte économique actuel ? Quels efforts vont être demandés aux Français ? Quelles sont les raisons d’espérer ? »

    Vous remarquerez la formule journalistique de rigueur « Quelles sont les raisons d’espérer » ?

    Hahahahahahaha.

    Cela me fait toujours rire.

    Il faut impérativement verser dans la démagogie.

    Il faut impérativement donner au petit peuple de quoi ne pas désespérer Billancourt !

    Je n’ai rien contre les raisons d’espérer… quand il y en a !

    Là, il n’y en a aucune !

    Quelles sont les conditions nécessaires pour avoir des raisons d’espérer ?

    Voilà quelle serait la bonne question.

    Une fois mise en place ces conditions alors on peut espérer !

    Par exemple à ce jeune qui veut devenir médecin et qui me dit ai-je des raisons d’espérer la réussite, que peut-on lui répondre ?

    Qu’il y a des conditions nécessaires pour pouvoir espérer comme par exemple de travailler fort, de travailler dur !

    Pour la France, sa dette et ses déficits c’est la même chose.

    Nous ne redresserons pas le pays en faisant un petit mieux, un petit moins ou un petit peu plus de tout ce que nous faisons depuis 40 ans.

    Il faudrait tout changer, mais nous ne changerons rien, car nous en sommes incapables, donc nous ne sommes pas en mesure de créer les conditions nécessaires aux raisons d’espérer.

    Conclusion logique, nous allons nous effondrer.

    Deuxième conclusion logique, préparez-vous…

    Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

    Préparez-vous !

    Charles SANNAT


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  • 51 000 « vilains » patrons, deviennent de « gentils » chômeurs !

      

    Je trouve qu’il y a dans notre pays une forme de détestation des « patrons » assimilés à des « riches » forcément vilains qui est assez détestable.

    Lorsqu’un « patron » échoue, que sa société fait faillite, par sa faute ou en raison, ces dernières années d’évènements terribles pour les entreprises comme le Covid ou l’inflation et la guerre en Ukraine avec des tarifs de l’énergie devenants délirants, ils essaient d’abord de garder leurs salariés car sans salariés pas de de société pouvant tourner, donc pas de chiffre d’affaires. Alors ils les gardent même s’ils ne doivent plus se payer eux. Je ne parle pas des patrons-salariés du CAC 40, qui ne sont que salariés comme les autres et qui ne méritent en aucun cas des salaires plusieurs dizaines millions d’euros.

    Puis quand la faillite est là, les dettes sociales et une grande partie des dettes fiscales restent dues… et c’est souvent la descente aux enfers. Une SARL n’est une société à responsabilité limitée qui a de grosses limites !

    Les charges sociales restent dues par le patron.

    Plus grave.

    L’épouse du patron, tenez-vous bien, même mariée en séparation de bien est solidaire de ces dettes fiscales et sociales.

    Oui, c’est le miracle de la France.

    Les « gentils-pauvres-salariés » c’est ironique évidemment, et je ne parle pas de tous ceux qui ont compris que dans les petites entreprises la barque est en générale commune et heureusement ils sont nombreux, non je pense à ceux qui « vomissent » par nature et de manière instinctive tout ce qui est « patrons » ou « riches » ou les deux, sans avoir un seul instant conscience de ce que cela implique. De ce que les responsabilités impliquent (et pour cela inutile d’être « patron », dès que l’on devient un « manager » ou un responsable dans son métier, on le comprend bien vite).

    Cet article du Parisien (source ici) qui explique qu’en 2023, plus de 51 000 chefs d’entreprise ont perdu leur emploi selon une étude. Une hausse de 33 % sur un an. Avec plus de 10 000 « chômeurs » pour le bâtiment et plus de 5 000 pour la restauration, ces deux secteurs sont les plus touchés, nous montre à quel point les choses sont nuancées.

    A quel point il n’y a pas d’entreprise sans patron, sans actionnaire, sans capital, et bien entendu, qu’aucune entreprise ne peut tourner sans salarié, tout le monde ayant besoin de l’autre !

    Il faut donc trouver les « bons » autres.

    Ceux qui ont compris que nous avons tous besoin les uns des autres pour sécuriser nos gagne-pains, et ce sera de plus en plus vrai dans les années qui viennent.

    Nous allons devoir tous ramer ensemble, en rythme, fortement, et dans la même direction pour sauver nos emplois et nos salaires.

    C’est pour cette raison essentielle qu’il faut combattre les discours minables et stéréotypés du genre « méchant patron » (et effectivement ils ne sont pas tous gentils mais pas moins que les salariés qui ne sont pas tous gentils, ou très… investis).

    Charles SANNAT


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  • LA FACE CACHÉE DU SYSTÈME MACRON

    MARC ENDEWELD


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