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  • Un ancien ministre de Hollande et Mitterrand accusé de viols sur mineurs

    Par Auteurvaleursactuelles.com /

    Jean-Michel Baylet. Photo © Alain ROBERT/SIPA

    L’ancien président du Parti radical de gauche Jean-Michel Baylet est visé par une enquête du parquet de Paris mais conteste “formellement” les faits. 

    Il a été secrétaire d’Etat puis ministre entre 1984 et 1993, puis en février 2016. L’ancien sénateur et président du Parti radical de gauche Jean-Michel Baylet est visé par une enquête pour « viols » et « agressions sexuelles » sur mineur de 15 ans, depuis le 9 juin 2020, rapporte notamment franceinfo. Il a été auditionné le 25 février par la brigade de protection des mineurs, pour des faits qu’il dément. 

    Des faits « qui se seraient déroulés il y a 41 ans »

    Actuel patron du groupe de presse La Dépêche du Midi et président du Syndicat de la presse quotidienne régionale (SPQR), Jean-Michel Baylet a « formellement contesté ces allégations mensongères et apporté toutes les précisions nécessaires » sur ces faits « qui se seraient déroulés il y a 41 ans », a précisé son avocat, Me Jean-Yves Dupeux. Le parquet de Paris a pris l’habitude d’ouvrir systématiquement des enquêtes sur les accusations de violences sexuelles contre des mineurs, même si les faits sont visiblement prescrits, afin notamment de rechercher d’éventuelles agressions plus récentes. Une pratique que le ministre Éric Dupond-Moretti a demandé aux procureurs de généraliser lundi 1er mars. 

    Maire de Valence d’Agen entre 1977 et 2001 et depuis le 23 mai 2020, député de 1978 à 1984, Jean-Michel Baylet a participé à quatre reprises à des gouvernements de gauche. Il fut d’abord secrétaire d’Etat auprès du ministre des Relations extérieures, secrétaire d’Etat chargé des Collectivités locales et ministre délégué au Tourisme sous François Mitterrand. Sénateur entre 1996 et 2016, il a également été ministre de l’Aménagement du territoire, de la Ruralité et des Collectivités territoriales de François Hollande. 


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  • Quartes violeurs de la banlieue de ToulousePar: Pieds Noirs 9A..

    Quartes violeurs de la banlieue de Toulouse


    Obsession de la femme blanche à soumettre, comportements grégaires et bestiaux...Personne n'y voit d'attitude raciste? Bizarre, oui je dis bizarre.

    C’est la razzia en terre mécréante ,tu peux profiter des femmes, saccager et piller.

    (((Il est près de 6 heures du matin et le «Carpe Diem», une boîte de nuit située à Balma, banlieue cossue de Toulouse, est sur le point de fermer. À quelques mètres, sur le parking de la boîte de nuit, une jeune femme est violée par des clubbers. Sur l'une des vidéos du viol postée sur Snapchat, une personne assistant à la scène devant la discothèque dit à un ami participant à l'agression: «Arrête, c'est un viol». Un appel sans effet. La scène continue.)))Le figaro presse .


    Quartes violeurs de la banlieue de ToulouseOn arrête quand de subir ? Oui quand !.Quand est-ce que notre gouvernement régleras le problème ? Quand est-ce qu'on passera le fameux au nettoyage de notre pays ,Monsieur Sarkozy avec son nettoyeur haute pression ? Disons plutôt une pompe aspirante les déchets qui nous pollue la vie ,cette racaille venant de toute horizon .Marre de voir mon pays sombrer, comme je constate chaque jour que mon pays est infestée de bande de prédateurs qui volent, violent et agressent tout ce qui passe à leur portée . Tout le monde le sait mais la justice et l'Etat ne réagissent pas .On nous sort toujours les chiffres des « victimes de la police » pour nous faire comprendre que les exogènes sont plus représentés et sont donc victimes de racisme. A quand les chiffres des victimes de la criminalité ? Un exogène qui s’en prend à un blanc, ce n’est pas du racisme ou de l'amour ?.

    Il faut autant d'années pour qu'ils soient jugés alors que les victimes (surtout ce genre d'affaire et celle-ci ses agresseurs habitent le même quartier qu'elle...) connaissent souvent leurs bourreaux...

    N'oublions pas nos victimes ..

    Pieds Noirs 9A..

     N'oubliez-pas surtout ci-dessous ,dont cette fille DE 17 ANS ce quelle avait subis ...ET que les médias ont voulu cacher .

    Quartes violeurs de la banlieue de Toulouse


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  • Osny (95) : deux migrants “mineurs isolés” pénètrent dans le jardin d’une septuagénaire, lui volent son chien et réclament une rançon

    Un enlèvement, un appel pour demander une rançon et un rendez-vous pris pour réaliser l’échange. Deux mineurs isolés, âgés de 15 et 17 ans, ont été interpellés et placés en garde à vue, après avoir enlevé le chien d’une septuagénaire afin de lui réclamer de l’argent, rapporte Le Parisien.

    Les faits s’étaient déroulés le 15 février 2021. Les deux adolescent pénètrent dans le jardin de leur victime domiciliée dans le centre-ville d’Osny (Val-d’Oise) Ils volent alors son petit chien et prennent aussitôt la fuite. Un peu plus tard, les ravisseurs la contactent et lui expliquent que si elle veut revoir son animal elle devra leur remettre 400 euros. L’échange est fixé le lendemain, à 16h, devant la gare de Pontoise.

    La police intervient

    La septuagénaire s’y rend, non sans avoir prévenu auparavant la police municipale de Pontoise. Les agents se présentent sur place à l’heure du rendez-vous accompagnés d’un équipage de la Brigade anticriminalité (Bac) du commissariat de Cergy.

    (…) La Gazette du Val d’Oise via fdesouche


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  • Nevers (58) : La violence du mari migrant clandestin éclate dès le lendemain du mariage

    Pas de lune de miel. Pas de période d’heureuse insouciance. Mariée sur le tard, une Nivernaise a subi, au moment de ranger la salle du banquet, le premier accès de colère de son époux. Elle l’aimait. Alors elle est restée avec lui. Malgré ses écarts, qui ont été jugés, mercredi 24 février, par tribunal correctionnel de Nevers.

    (…)

    La quarantaine passée, elle ne l’a jamais envisagé. Toujours est-il qu’elle est profondément éprise. Alors, pourquoi pas ? L’union est célébrée durant l’été 2018. Le jour suivant la fête, il faut faire le ménage dans la salle qu’ils ont louée.

    Elle raconte qu’il refuse d’y participer. Il casse une bouteille de bière et lui pose le tesson sur la gorge en criant : « Ah, tu vas pas me gâcher la vie, maintenant… »

    (…) Il sort de la maison, revient avec un pot de confiture qu’il a rempli d’essence. Il l’asperge avec le carburant et allume un briquet. Elle se voit mourir. Mais il s’arrête dans son geste… qu’il nie, celui-là aussi.

    (…) Tout comme la dernière scène, celle qui conduit au dépôt de plainte, en janvier 2020 : des coups de poing au visage parce qu’elle refuse de lui donner son téléphone mobile. À chaque fois que le ton montait, il lui prenait cet appareil et les clefs de sa voiture. Pour la couper de toute aide ?

    Le JDC via fdesouche


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