• Khalid Bouksib, un proche d’Edouard Philippe en garde à vue

      
     
     

     
    Interpellé une première fois dimanche pour des violences sur un policier en civil près de Rouen, il avait été libéré avant d’être arrêté de nouveau ce matin.
     
    Il s'était présenté comme le conseiller « diplomatie et communication » du Premier ministre. 

    Ce qu'il n'est pas, même si sa proximité avec Edouard Philippe semble bien réelle. 
    Khalid Bouksib est à nouveau en garde à vue ce matin pour « violences volontaires sur personne dépositaire de l'autorité publique ». 
    Ce consultant sur les relations franco-marocaines est soupçonné d'avoir frappé un policier en civil dans les environs de Rouen (Seine-Maritime).
    Il avait déjà été interpellé et placé en garde à vue, dimanche 23 juin, par les policiers de la sûreté urbaine de Rouen, comme l'a révélé le site Mediapart
    Mais l'homme avait été libéré quelques heures plus tard, après avoir prétendu être un conseiller diplomatique de Matignon. 
    Cette fois, ce sont les policiers du SRPJ de Rouen qui l'ont arrêté après avoir récupéré ce dossier sensible.
     
    Altercation avec un CRS en civil
     
    Khalid Bouksib, qui semble pratiquer la boxe avec Edouard Philippe, a eu une altercation dans la résidence privée Gustave-Flaubert à Darnétal (Seine-Maritime) avec un CRS en civil de la compagnie 31, basée dans la même commune. 
    Selon plusieurs témoignages cités par Mediapart, Khalib Bouksib aurait insulté et surtout asséné trois coups de poing au visage du policier.
    Une version totalement contestée par l'intéressé qui évoque une provocation de la part du policier et une réaction de défense. 
    Contactée, son avocate, Me Isabelle Pinto, se refuse à tout commentaire. 
    Selon nos informations, des témoins auraient corroboré la version du policier. 
    Le service régional de police judiciaire (SRPJ) de Rouen avait été saisi, lundi matin, par le procureur de la République, Pascal Prache afin de vérifier les faits. 

    Contacté ce matin, le magistrat n'a pas donné suite à nos sollicitations.

    leparisien

    votre commentaire
  • Le féminisme républicain, la mauvaise réponse aux harceleurs allogènes

    C’est devenu une coutume en France occupée, avec l’arrivée de l’été, les racailles allogènes à faible QI et les apprentis salafistes reprennent leur cycle d’insultes/agressions/attouchements sur les femmes qui osent se promener autrement qu’en tenue islamiquement compatible.

    La récurrence de ce type de comportement devrait nous inciter à demander la mise en œuvre de l’expulsion de tous ces individus d’origine étrangère aux mœurs venues d’ailleurs.

    Pourtant, au lieu de se lever contre l’islamisation et l'ensauvagement de notre pays, certaines femmes ont décidé de réagir en dénonçant un illusoire danger machiste et en affichant des photos de leurs seins sur les réseaux sociaux.

    Si nous saluons cette velléité d’affrontement, nous déplorons la diversion qu’elle opère, en faisant comme si c’était le féminisme républicain qui était mis en danger, alors que ces comportements sont l’un des nombreux avatars de la lutte de la racaille étrangère et islamisée contre la civilisation occidentale et les blancs.

    Nous retrouvons ici le travers dans lequel est tombé le Rassemblement National, quand il défendait le nudisme contre le burkini, alors qu’il suffirait de défendre notre civilisation contre celle de nos colonisateurs pour que les choses soient enfin claires.

    Source : http://pdf14.com


    votre commentaire
  • Il ne faut plus sauver le soldat Benalla!

     


    Alors qu’en ce début d’été, la canicule s’installe en France, le feuilleton de « l’affaire Benalla » se poursuit au rythme d’une saga américaine.
    Ainsi, le dernier épisode en date vient de voir se produire deux rebondissements majeurs.

    Tout d’abord, le lâchage en règle du garde du corps présidentiel par l’une des actrices principales de la série. 
    En effet, Brigitte Macron, lors de son interview sur RTL par Marc-Olivier Fogiel, a déclaré sans rougir qu’elle « avait eu très peu affaire à lui »
    Mensonge éhonté, lorsque l’on sait le nombre de fois où ils ont été vus ensemble, ainsi que la place que tenait Benalla dans la vie privée du couple élyséen. 
    Mais sans doute, au château, considère-t-on désormais qu’il est grand temps de mettre de la distance avec celui qui est en voie de devenir le « sparadrap du capitaine Haddock » pour un Jupiter rebaptisé, au cours de la même interview et par la même première dame, « Atlas ». 
    Encore quelques semaines et Sibeth Ndiaye, la porte-parole du gouvernement, aussi à l’aise avec les accommodements avec la vérité qu’avec ses propos souvent iconoclastes, jurera qu’Alexandre Benalla n’a jamais existé.
    Et puis, il y a les investigations en cours. 
    C’est ainsi que l’on apprend, au détour de l’émission « Envoyé spécial » sur France 2, qu’un second coffre-fort, installé à l’Élysée et appartenant à Benalla, aurait été discrètement vidé en juillet 2018. Bien entendu, le bal des menteurs se poursuit. 
    Et chacun des acteurs de cette mauvaise pièce politico-policière se renvoie la patate chaude, jurant n’avoir jamais eu connaissance de rien. 
    Cette fois-ci, c’est un certain Chokri Wakrim, militaire de son état et concubin de l’ancienne cheffe de la sécurité de Matignon, qui joue les balances, tout en précisant : « Ma camaraderie [avec Benalla] s’arrête là. »
    Second lâchage en règle.
    Enfin, c’est au tour de Michèle Marchand, dite « Mimi », à la tête de plusieurs entreprises de presse et gardienne de « l’image » du couple présidentiel, de nier, contre toute évidence (dont le témoignage du principal intéressé), avoir hébergé Benalla chez elle, toujours en juillet 2018.
    Cette affaire Benalla, qui aurait pu être une affaire d’État à condition que l’on se trouve au cœur d’une République exemplaire, ne débouchera en réalité sur rien. 
    Peut-être l’ancien protégé de Macron se retrouvera-t-il face à ses juges et devra-t-il répondre de certains de ses actes. 
    Sa participation, sans droit ni titre, à une opération de police, place de la Contrescarpe, le 1er mai 2018, sera sans doute ce qui sera le plus facile à juger.
    Pour le reste – nous le voyons au fil des révélations -, nous nageons en plein mensonge. 
    Mensonge d’ailleurs érigé en mode de gouvernement. 
    C’est ainsi qu’au plus haut sommet de l’État, nul ne s’embarrasse plus avec la vérité. 
    Rappelons-nous, il y a seulement quelques mois, la déclaration de ce député LREM (Patrick Vignal, pour ne pas le citer), qui déclarait sans la moindre retenue que pour « donner de l’espoir au Français » », le mensonge était parfaitement admissible.

    Les Français n’ont donc rien à attendre de ce gouvernement et de ce Président aussi sectaire que cynique. 
    Celui qui devait changer la politique et faire émerger un nouveau monde n’a, en vérité, qu’accentué ses traits les plus abominables et les plus repoussants.
    Mais ne soyons pas dupes : Benalla fera sans aucun doute, et comme beaucoup d’autres avant lui, sa traversée du désert. 
    Puis, un jour, il réapparaîtra subitement, blanchi comme par miracle, et comme seul le milieu politique français sait le faire, il évoquera « un droit à l’oubli ». 

    Le dernier à nous avoir fait le coup n’est-il pas un certain Juppé, avant de rejoindre le Conseil constitutionnel, la plus haute juridiction de notre pays ? 

    Olivier Damien

    votre commentaire
  • Les bateaux de migrants-naufragés sont des mises en scène organisées par les passeurs pour attendrir l’opinion

       Image associée
     
      


    La preuve :




    Cette vidéo a été tournée par un avion de l’agence Frontex.
    Elle montre le transbordement d’un groupe d’immigrés d’un bateau de pêche à un bateau plus petit, à environ 60 miles au sud de l’île de Lampedusa. 

    Après le transbordement, le navire-mère est parti pour la Libye. 
    Immédiatement, des procédures ont été prises pour le bloquer : sept personnes ont été retrouvées à bord, six Égyptiens et un Tunisien, et sont maintenant en détention pour avoir aidé et encouragé l’immigration illégale. 
    Le bateau de pêche qui transportait 81 immigrants illégaux a été saisi dans les eaux internationales. 
    Il arrivera en Italie, à Licata, le samedi matin.

    votre commentaire
  • Alstom : une ténébreuse affaire

     

     Alstom ! Ce nom d’entreprise devrait déchaîner la colère des Français.
    Un fleuron de l’industrie nationale, à l’histoire complexe et à la gestion particulièrement désastreuse, a été réduit progressivement à deux entités : l’une pour l’énergie, l’autre pour les transports.

    En 2014, le PDG Patrick Kron vend la branche énergie à General Electric, une société américaine. Cette cession est l’aboutissement du « Piège américain ». 
    Tel est le titre du livre rédigé par Frédéric Pierucci, cadre d’Alstom qui a passé deux ans dans les prisons américaines. 
    La Justice est l’une des armes de l’économie américaine : usant d’un privilège d’extraterritorialité, elle poursuit partout dans le monde l’auteur présumé d’un délit, en l’occurrence de corruption, ayant utilisé un dollar. 
    Menacés de lourdes sanctions, notamment une amende de 772 millions de dollars, Alstom et son PDG ont préféré vendre à un groupe américain. 
    Prime de 4,1 millions d’euros, provision de 10,5 millions de retraite-chapeau, le PDG s’en est bien sorti. 
    Frédéric Pierucci considère, lui, que cette opération est scandaleuse : « En vendant, nous avons renoncé à notre souveraineté sur la maintenance de nos 58 unités nucléaires. » 

    Aujourd’hui, GE assure, en effet, l’entretien et le renouvellement des turbo-alternateurs de toutes les centrales nucléaires françaises, la production des turbines Arabelle pour les réacteurs EPR et la fourniture des turbines de propulsion des quatre sous-marins nucléaires lanceurs d’engins et du Charles-de-Gaulle. Il y a, dans cette démarche, un acte de haute trahison qu’on ne souligne pas suffisamment.

    Par ailleurs – et on s’attache davantage à ce point -, l’entreprise américaine s’était, lors de l’achat, engagée à créer 1.000 emplois et elle a annoncé, au contraire, au lendemain des élections européennes, qu’elle allait en supprimer un millier en France et 800 à Belfort. 
    Certes, l’État va toucher 50 millions en contrepartie, mais le coût social de l’opération pour Belfort est énorme. 
    Or, dans l’ombre de cette ténébreuse affaire, il y a un homme, et qui n’est pas le premier venu : Emmanuel Macron en personne, qui a suivi ce dossier de A jusqu’à Z, comme le révèle Olivier Marleix. 
    Il demande, dès 2012, en tant que secrétaire général adjoint de l’Élysée un rapport sur Alstom au cabinet A.T. Kearney au prix de 300.000 euros. 
    Le ministre, Arnaud Montebourg, n’est pas tenu au courant, et c’est Macron qui avalise la vente fin 2014, lorsqu’il est devenu ministre. 
    Si on compare cette méthode à celle de Francis Mer et de Nicolas Sarkozy en 2004, alors qu’ils avaient sauvé Alstom en obligeant la Commission européenne à accepter l’intervention de l’État, lequel avait réalisé une plus-value sur la revente de ses parts, une fois l’entreprise requinquée, il y a une angoissante question à poser sur celui qui est actuellement le chef de l’État ! 
    Non seulement la filière nucléaire est en partie cédée à l’étranger, et donc notre souveraineté altérée, mais des emplois sont perdus et une région industrielle sinistrée.

    Or, Olivier Marleix ne s’arrête pas en chemin : il constate que plusieurs entreprises françaises d’importance mondiale ont été cédées dans des conditions analogues à des groupes étrangers et évoque un pacte de corruption que lui suggèrent les travaux de la commission d’enquête de l’Assemblée qu’il a présidée. 
    Il a été entendu, le 29 mai, par l’Office central de lutte contre la corruption (OCLCIFF). 
    Plusieurs faits lui paraissent troublants : l’importance des dossiers de fusion ou de cession dont M. Macron a eu à connaître (Alstom, Technip, Lafarge, Alcatel), la similitude des procédés, le fait que des proches du président de la République y jouent un rôle, comme Hugh Bailey, actuel directeur général de General Electric France et ancien conseiller du ministre de l’Économie qui autorisa la vente, un certain Emmanuel Macron ! 

    Marleix aimerait savoir s’il y a un lien entre les entreprises concernées par ces transactions et les généreux donateurs de la campagne présidentielle !

    Ces affaires sont consternantes : à chaque fois, elles soulignent l’incompétence, l’avidité, sinon la corruption de dirigeants français, et le fait que celui qui préside aux destinées du pays n’est pas étranger au démantèlement de son industrie. 
    Au lieu de glisser sur cet aspect essentiel de l’actualité, politiques et journalistes devraient s’en saisir d’urgence ! 
    Aux États-Unis, les procédures seraient déjà lancées. 

    Christian Vanneste

    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires