• Racailles, gilets jaunes: Répression?

    Racailles, gilets jaunes: Répression ?

    4 nuits d’insurrection dans le quartier du Mistral à Grenoble : silence radio du gouvernement.Forcément, il ne s’agit pas du peuple français luttant pour sa dignité. 
    Il s’agit d’émeutiers racailles qui soutiennent des «jeunes» morts accidentellement en percutant un bus au volant d’un véhicule volé, tentant d’échapper à un contrôle de police.
    Contre les émeutiers qui depuis plusieurs jours terrorisent les habitants du quartier en dépit même des appels au calme de la famille des deux jeunes, vous n’entendrez pas la propagande tonitruante du gouvernement, les coups de menton provocateurs de Castaner et Nunez, les appels à la dureté du parquet de Belloubet, les petites phrases provocatrices contre les Gaulois réfractaires et haineux de Macron. 
    Vous n’entendrez pas les pleureuses Griveaux et Ferrand parler de la République qu’on attaque. 
    Vous n’entendrez d’ailleurs pas même du tout parler de la République. 
    Non plus que de territoires perdus de la République, normal, ils n’ont pas été perdus mais abandonnés à la racaille, aux fréro-salafistes et aux dealers. 

    Vous n’entendrez pas non plus parler des nouvelles formes de l’antisémitisme qui y règnent. 
    Vous n’entendrez pas non plus parler, en la journée des droits des femmes, du sort qui y est réservé aux femmes ne s’habillant pas selon les nouvelles normes soumises et liberticides en vigueur, non plus que de la vie d’un jeune homosexuel dans ces quartiers.
    Vous ne verrez pas de tirs de LBD. 

    Pas de blindés. 
    Pas de lances à eau. 
    Pas d’équipes de barbouzes de choc arrachant des yeux ou des mains. 
    Pas de grenades de désencerclement. 
     
    Normal, ça c’est réservé aux opposants politiques.
    Dans ces quartiers, depuis des années, la police reçoit des ordres de lever le pied afin de ne pas déclencher la colère trop grande des délinquants.

    C’est cela, la priorité du rétablissement de l’ordre républicain selon la post-socialiste République en Marche et ses alliés de circonstance: dure et impitoyablement répressive avec le peuple français, faible avec ceux qui minent et détruisent le peuple français.

    Il ne faudrait pas risquer de froisser messieurs Belattar et consorts, les amis particuliers du Président.

    La Macronie a ses priorités.

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  • Allemagne : Cynthia, 21 ans, tuée de plusieurs coups de couteau par son petit-ami Ahmed, un migrant tunisien qui aurait dû être expulsé

     Par  le 08/03/2019

    Meurtre sanglant à Worms (Allemagne) – Un Tunisien de 22 ans a poignardé à mort sa petite amie de 21 ans lors d’une dispute.

    Ahmed T. passait la nuit chez les parents de Cynthia R., comme il l’a souvent fait. La jeune infirmière a son propre espace à l’étage supérieur de la maison familiale avec un salon et une chambre.

    Dans la nuit de mercredi à jeudi, Ahmed a tué la jeune femme à coups de couteau, « plus d’une dizaine de coups » selon les inspections de la police.

    Le Tunisien a avoué le crime et a été placé en détention. Depuis son arrivée en Allemagne en octobre 2017, il a vécu sous plusieurs identités, selon les enquêteurs.

    Le meurtrier est bien connu des services de police pour des agressions ou des délits liés à drogue.

    En octobre 2018, il a purgé une peine de trois semaines pour vol.

    La famille de Cynthia est stupéfaite. Son oncle : « C’était une personne si douce. Elle ne parlait mal de personne. Elle vivait pour son travail. Elle voulait devenir sage-femme. Elle était joyeuse, aimait faire la fête. »

    Le lundi 4 mars, deux jours avant le meurtre, Ahmed T. a reçu une obligation de quitter le territoire allemand.

    Bild / Welt.de via fdesouche


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  • Macron et Maurice Audin : et si on disait effectivement toute la vérité ?

     M-À-J 04/02/2019 : les médias évoquent tous la disparition de Josette Audin, qui a réclamé pendant 60 ans que l’Etat reconnaisse sa responsabilité dans la mort de son mari, et qui a obtenu gain de cause avec Macron en septembre. Nous remettons donc en avant cet article

    . Le « militantisme » auquel collaborait activement Maurice Audin Emmanuel Macron a voulu présenter ses excuses au nom de l’Etat à la veuve de Maurice Audin, probablement mort durant la guerre d’Algérie en 1957, au cours d’un interrogatoire par l’armée qui luttait contre les terroristes. Quelques remarques s’imposent alors que les grands médias, au service de la Gauche antifrançaise, donnent encore une fois une version partiale et tronquée de l’histoire. ► Maurice Audin était membre du Parti communiste algérien et aidait matériellement le FLN à lutter contre la France (par exemple en hébergeant ses terroristes). Le FLN était un peu le Daech de l’époque (mêmes méthodes barbares de mise à mort et massacres de civils). Audin était donc un traître à son pays et un militant terroriste. Cela relativise donc le drame de sa mort, même si le plus important était bien sûr de sauver les vies qu’Audin et ses amis voulaient atteindre par leurs bombes, et même s’il aurait mieux valu qu’il fût jugé et condamné à la peine capitale dans les règles. ► Pourquoi Emmanuel Macron met-il le projecteur sur ce cas alors que justice n’a pas été rendue concernant les centaines de milliers de morts français et pro-français abandonnés aux tueurs FLN par l’Etat ? Et les milliers d’otages européens du FLN  abandonnés après l’indépendance dans des mines de sel pour les hommes et des bordels pour les femmes ? L’Etat français n’a toujours pas enquêté sur leur sort… ► Les services de l’Etat français et leurs barbouzes ont, à partir de 1960 et du retournement de veste de De Gaulle, torturé longuement et parfois assassiné des milliers de Français qui n’étaient pas des traîtres à leur pays comme Audin, mais qui étaient au contraire des patriotes. Dans la même localité d’El Biar – où périt vraisemblablement Audin – des centaines de Français d’Algérie et de musulmans pro-français ont été torturés dans la Villa Andrea – jusqu’à ce que des résistants la détruisent – et on a retrouvé des dizaines de corps enterrés dans son jardin. Pourquoi Macron n’a-t-il pas un mot pour ces morts patriotes et leur famille ? ► Qu’on cherche à connaître la vérité sur les morts de la Guerre d’Algérie (où la torture a été utilisée, en effet, comme dans quasiment toutes les guerres, et ici surtout par le FLN et l’ALN), c’est normal, mais pourquoi de façon si partiale et partielle ? Et quoiqu’il en soit, cet hommage rendu à Maurice Audin est scandaleux. C’est pourtant ce qui a été fait encore plus ostensiblement, notamment à Paris, où le maire de l’époque, Bertrand Delanoë, avait inauguré une « place Maurice Audin » dans le Ve arrondissement, ainsi qu’un parc à Argenteuil. Mais finalement, c’est assez logique : les traîtres d’aujourd’hui rendent hommage aux traîtres d’hier.
     

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  • Les banlieues n’ont pas de gilet jaune… même à moto…

    Les banlieues n’ont pas de gilet jaune… même à moto…

     La répétition de scénarios identiques ne doit pas cacher la spirale dans laquelle ils s’inscrivent, celle d’une véritable descente aux enfers pour un pays dont la mauvaise gouvernance depuis trop longtemps produit aujourd’hui tous ses effets.

    Les « gilets jaunes » de Grenoble seraient divisés sur le soutien à apporter à la « révolte » du quartier du Mistral. 

    Certains y voient déjà une convergence des luttes entre la France périphérique et celle des banlieues, une union de ceux qui auraient eu à souffrir des violences policières. 
    Cette lecture gauchiste des événements est aux antipodes de la réalité qui est en fait beaucoup plus cruelle.
    A Grenoble, les faits sont simples et reproduisent un déroulement hélas bien connu : deux jeunes d’un quartier sensible fuient la police. 
    Ils sont en situation d’infraction multiple et caractérisée puisqu’ils circulent sans casque et sans lumière sur un scooter volé dont la plaque a été enlevée. 
    La patrouille de la BAC fait donc son travail et remplit son devoir : elle les prend en chasse, à distance, afin d’éviter l’accident. 
    On remarquera en passant qu’elle est davantage dans son rôle à ce moment que lorsqu’on lui demande d’intervenir en maintien de l’ordre contre des gilets jaunes avec des armes et dans une situation pour lesquelles elle n’a pas été sérieusement formée. 
    La ronde de nuit est au contraire une action habituelle et maîtrisée. 
    J’ai eu l’occasion d’en accompagner une en tant que parlementaire, et j’en ai tiré le sentiment d’une grande motivation et d’un parfait professionnalisme de la part des policiers qui y participaient, malgré les moyens scandaleusement insuffisants dont ils « bénéficient », en l’occurrence une vieille Ford de 160 000 km au compteur. 
    Certaines images d’acharnement sur des manifestants ou d’emploi inapproprié des armes mises à leur disposition ne donnent pas du tout la même impression. 

    Il y a là un paradoxe que Grenoble relève avec éclat : on demande à des gens entraînés à des actions plutôt musclées de se retenir lorsqu’ils ont affaire à des actes de délinquance caractérisée, et il semblerait qu’on les « lâche » lorsqu’il s’agit de décourager des manifestations par une répression brutale. 
    La logique très « politique » des consignes données dans l’un et l’autre cas répond certes aux intérêts du pouvoir mais inverse totalement la hiérarchie de ce fameux Etat de droit dont on vante chaque jour davantage les mérites alors qu’on a de plus en plus de peine à saisir sa cohérence. 
    La manifestation même non déclarée, même turbulente, est une expression de la démocratie et doit être traitée avec circonspection. 
    La délinquance est une entorse au droit et doit être combattue avec énergie. 
    L’Etat de droit est moins en danger lorsque des citoyens protestent contre les impôts trop lourds qu’ils paient sans en avoir le retour, par exemple, pour leur sécurité, que lorsque des policiers n’osent pas interpeller directement des voleurs parce qu’ils appartiennent à un quartier sensible dans lequel la police ne s’aventure qu’avec beaucoup de précaution. 
    Le marché de la drogue qui y prospère et permet de payer certains loyers ne doit pas être trop dérangé afin de ne pas créer le soulèvement d’un territoire qui échappe déjà peu ou prou à la République.
    L’idée d’une convergence entre gilets jaunes et voyous des banlieues est donc absurde. 
    Elle ne peut provenir que de la dérive gauchiste du mouvement contestataire qui fait de la police l’ennemie des manifestants, quand c’est le gouvernement qui devrait être l’unique cible. 
    Cette dérive est celle des fins de cortèges, lorsque black-blocs et casseurs opportunistes prennent le relais des vrais gilets jaunes, sans qu’étrangement, on ait pu les intercepter. 
    La manoeuvre du pouvoir est limpide, et relativement réussie : les violences, les déprédations commises par les manifestants font basculer une partie de la droite qui réclame de l’ordre. 
    Les revendications légitimes de démocratie directe, de baisse de la fiscalité et de maintien du pouvoir d’achat des retraités sont noyées dans le flot confus des slogans, le bavardage du grand débat et…. les nuages de gaz lacrymogène. 
    La France périphérique doit plier le genou : c’est celle des retraités, et des professions qui ne relèvent pas de la « startup nation » chère à l’occupant de l’Elysée.
    Les banlieues ne participent pas, elles, à la fronde de la France périphérique. 
    Elles sont ailleurs et affichent sans complexe leur propre loi : la police ne doit pas poursuivre des voleurs. 
    Lorsque ceux-ci, en cherchant à s’échapper, font des bêtises et se tuent, elle en est responsable : c’est une bavure ! 
    Il faut rendre justice aux victimes. 65 véhicules sont incendiés, un camion de pompiers attaqué, des parpaings et des cocktails molotov sont lancés depuis les immeubles sur les forces de l’ordre : une violence d’une intensité telle sur un périmètre étroit que n’en connaissent évidemment pas les cortèges du samedi sur toute la France. 
    Une « marche blanche » sera bien sûr organisée pour dénoncer la bavure policière et célébrer la mémoire des « victimes ». 

    C’est le monde à l’envers, celui où les voyous deviennent des saints, où un acte suicidaire commis par des délinquants est perçu comme une action criminelle de la police, où un quartier fait la guerre au pays pour faire respecter « sa » loi. 

    Les gilets jaunes étaient et, on l’espère, sont toujours dans une logique inverse : celle de Français qui veulent « récupérer » leur pays tombé entre les mains d’une oligarchie, responsable à la fois de l’injustice qu’il subissent et du désordre des banlieues.

    christianvanneste

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