• Djihadistes français ou combattants de Daech. Ce qui gêne c’est le mot «français», c’est le début d’une polémique. Les terroristes de Al-Nostra sont devenus des rebelles modérés avec Hollande et les milices kurdes sont devenus des Forces Démocratiques Syriennes avec Macron. Mais dans les faits tous ces gens sont des terroristes.
    Pour Castaner «ce sont des Français avant d’être des djihadistes». Mais peut-on encore revendiquer une nationalité après avoir brûlé son passeport pour prêter allégeance à Daesh (Etat Islamique) et commis les pires exactions. Beaucoup de pays refusent d’accueillir leurs anciens ressortissants alors ils se retournent vers la France pays au combien laxiste sur ce sujet. «Les défenseurs du droit» disent d'ores et déjà que leur jugement sera impossible puisqu’il n’existe pas de dossier sur eux. 
    Par ailleurs il faut savoir que Daesh a récupéré des millions de passeports vierges, dans ce contexte que signifie le terme français. 
    Pour finir, on peut lire ce matin dans la presse étrangère locale «Ce sont plus de dix mille personnes qui ont fui les poches encore occupées par Daech à l’est de l’Euphrate». Qui sont ces 10.000 personnes et où vont elles aller ?
    Un juriste affirmait hier soir sur Cnew qu’il y avait 5.000 djihadistes francophones, donc des terroriste qui parlent français. 
    Macron a fait le mauvais choix en s’acharnant contre le gouvernement Syrien (et Russe) qui ne lui fera aucun cadeau, son ministre des AE affirmait hier «La Syrie ne souhaite pas nouer des relations avec un Etat qui a contribué à l’agression terroriste contre elle». Quant aux Kurdes, ils estiment avoir été abandonnés par la France, ce qui fait dire à certains observateurs que ces 130 djihadistes sont un «paquet cadeau» en retour. 


    Intéressant les 890 commentaires
    https://www.facebook.com/ Actu17/posts/ -terrorisme-près-de-130-dji hadistes-se-trouvant-en-sy rie-vont-être-rapatriés-en -/2186473991373316/


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  • France : un Algérien a assassiné sa femme de 30 coups de hache

    Evry, l'immeuble où a eu lieu le crime en août 2015
     
     
    Un Algérien jugé en France pour avoir tué sa femme à coups de hache
     

    Le tribunal de la cour d’assises d’Évry, en France, a ouvert lundi le procès d’un Algérien qui a assassiné son épouse à coups de hache durant l’été 2015, rapporte le Parisien qui précise que le prévenu Khemissi encourt la réclusion criminelle à perpétuité.

    Durant son procès, ouvert le 28 janvier, l’accusé a reconnu les faits. Cet homme, âgé 57 ans, a donné trente coups de hache à sa femme dans leur appartement d’Évry, en région parisienne. Le 17 août 2015, ses cinq filles étaient dans l’appartement au moment du crime, mais elles n’auraient pas assisté à la scène.

    « Le 17 août (2015, NDLR), j’ai commis un crime. Ma femme, je l’ai aimée depuis que je l’ai vue le premier jour. Je regrette vraiment ce que j’ai fait », a-t-il déclaré en début d’audience. La description des blessures par une enquêtrice du commissariat d’Évry fait froid dans le dos.

    Khemissi risque la prison à vie. Le verdict était attendu le mercredi 30 janvier 2019

    https://www.observalgerie.com


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  • Castaner devra rendre des comptes

     
      
     
     
       "Il y a un problème à la tête de la police, il s'appelle M. Castaner, il va falloir qu'il rende des comptes."
     

     


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  • Castaner très mal à l’aise sur la question des djihadistes qui vont revenir en France

    Castaner très mal à l’aise sur la question des djihadistes

     Éborgner les gilets jaunes est bien joli, mais pendant ce temps-là, il faut songer à l’accueil des djihadistes qui vont revenir de Syrie. 
    Interrogé sur le sujet par Jean-Jacques Bourdin, Philippe Castaner n’est pas au mieux de sa forme. Ses petits souliers lui font mal, sa veste est trop juste, la cravate trop serrée. « Et donc, vous disiez ? De quoi t’est-ce que parler allons-nous ? »
    Bourdin : « Des djihadistes vont être rapatriés de Syrie en France durant les prochaines semaines ! Je vous pose la question. »
    Castaner : « D’abord, ce sont des Français avant d’être des djihadistes. »
    Quinze secondes de gagnées. C’est toujours ça de pris. Ça y est, je peux partir ? 
    Voyant que l’interview va se poursuivre inexorablement, le ministre accepte son sort avec fatalisme. Les chaussures vont peut-être s’élargir. Le cuir est souple. 
    Castaner : « Certains sont déjà revenus, nous les connaissons, nous les mettons en prison… Vous savez que les Américains se désengagent de Syrie ».
     C’est la faute à Trump. J’y suis pour rien, monsieur le commissaire… 
    Castaner : « Ils vont être libérés, ils vont vouloir revenir en France. »
    Bourdin : « Ils vont pouvoir revenir en France ? Vouloir est une chose, pouvoir en est une autre. Est-ce qu’ils vont pouvoir revenir en France ? »
    Aïe ! C’est la question à un million d’euros. Aucun joker à l’horizon. Je peux appeler un ami, Jean-Pierre ? 
    Non ? Alors, heu… Voilà ma réponse : « Est-ce que je suis maître de leur destin ? La réponse est non. Je ne suis pas maître de leur destin et de leurs déplacements. »
    À tout hasard, le candidat à « Qui veut gagner des attentats ? » abat sa carte de victime. Il ne contrôle rien. Il subit la volonté des djihadistes, le destin qu’ils se sont choisi. 
    Sans aucune pitié pour son champion de l’évitement, Jean-Jacques Bourdin remue encore un peu le couteau dans la plaie. L’entretien vire à la boucherie. 
    Bourdin : « S’ils peuvent quitter la Syrie et l’Irak, est-ce qu’ils seront acceptés en France ? »
    Castaner : « Ce n’est pas une question d’être acceptés, s’ils viennent en France, ils seront incarcérés » (donc acceptés).
    Bourdin : « Ils pourront venir en France. Combien ? »
    Castaner : Je… je… je… Le ministre hésite à chanter « Mexico… Mexiiiiiiiicooo… » 
    Tiens, et si on parlait de l’Eurovision ? 
    Puis, se ravisant : « Je… je ne vais pas rentrer dans ces détails-là ». Sur le bas de l’écran, un bandeau indique que près de 130 djihadistes vont être rapatriés en France dans les prochaines semaines. 
    Le téléspectateur peut masquer le reste de l’image et couper le son. 
    L’info est là. Sans doute l’erreur d’un stagiaire. 
    A moins que BFM TV n’ait mis en place un outil de traduction en temps réel des propos du ministre. On ne sait pas.
    Castaner : « Mais soyez sûr d’une chose »… bla-bla-bla… « Ils seront judiciarisés, sanctionnés, emprisonnés. » 

    Dans un entretien du 13 novembre 2018, avec ce même Bourdin, l’identique Castaner affirmait : « Le passage en prison est par nature criminogène. » 

    Soyons juste. Le gouvernement ne fait pas que matraquer les gilets jaunes. 

    Il se tire aussi des balles dans le pied… 

    Jany Leroy

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