• votre commentaire
  • En visite en Seine-St-Denis (93), Mélenchon salue la « nouvelle France » sur laquelle LFI veut s’appuyer pour « tout changer »

     

    Le chef de file de La France insoumise (LFI), Jean-Luc Mélenchon, a salué dimanche à Épinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis) les habitants des quartiers populaires, une « nouvelle France » sur laquelle LFI veut s’appuyer pour « tout changer ».

    « Je sais quelles sont les populations qui sont là dans ces quartiers. Eh bien moi je veux les nommer. Je n’ai pas peur, je n’ai pas honte de le dire. Ceux que vous voyez là, c’est la nouvelle France », a déclaré M. Mélenchon, lors des Rencontres nationales des quartiers organisées par LFI.

    « Voici la nouvelle France, celle sur laquelle nous nous appuierons pour construire et faire tout ce qu’il y a à faire dans ce pays demain, tout changer », a-t-il poursuivi.

    « La révolution citoyenne, elle est d’abord appuyée sur la nouvelle France », a insisté M. Mélenchon, avant de rendre une nouvelle fois hommage aux vertus de « l’auto-organisation ».

    (…) Le Figaro via fdesouche


    votre commentaire
  • Ses Français d'Algérie " les oubliés de l'histoire "DEUX POIDS ,DEUX MESURES

    Ses Français d'Algérie " les oubliés de l'histoire "

    Suite aux commémorations de l'attentat du Bataclan,Nice ou autre, il me vient une réflexion que j'aimerais vous soumettre : Tout d'abord je précise que je suis totalement solidaire des victimes de cet attentat, mais quand je pense aux conditions dans lesquelles nous sommes arrivés d'Algérie, qui s'est préoccupé de notre" symptôme post-traumatique"!, ? ....?...?...Qui s'est préoccupé de NOTRE état d'esprit ?...?...?...Nous qui avions tout perdu, y compris notre pays ? .Nous avons dû endurer 8 ans de guerre, pendant lesquelles une simple sortie pouvait être la dernière !. Cela me fait mal pour les victimes du Bataclan et autre, mais ce qu'ils ont vécu pendant quelques heures à été notre quotidien de chaque jour en mon pays natal qui s’appelait France (fille de la mère patrie), et au lieu d'être accueillis, nous avons été traités comme des parias, rejetés, critiqués même au sein des entreprise en France ou nous travaillons ,dans les écoles sali par la majorité des profs , Combien de fois ai-je entendu des insultes a mon insu .Bon c'est vrai, on ne changera pas l'histoire, mais quand je vois tout ce qu est fait autour de cet attentat et autre, je trouve qu'il y a quelque chose qui nous a été refusé à nous Français d'Algérie , c'est tout simplement la compassion ! ...
    Oui c'est vrai comment sont morts et dans qu'elle souffrance, de ses civils innocent de ce massacre de la mine d'EL-Alia le 20 août 1955 , des atrocités ont été commises , et personne en parle en cette France par les médias et de même les hommes politiques ,alors oui il fallait que nous ayons le cerveau bien solide car malgré tous ces malheurs nous avons réussi à faire notre vie en France malgré l'indifférence des Français de France ...
    Les élus de l'époque et d'aujourd'hui de même, ont bien fait leur travail en montrant tout le mépris de haine qu'ils avaient à notre égard , mais je voudrais signaler en plus, que nous étions FRANÇAIS, il n'est pas acceptable de repousser ses propres frères de sang comme des chacals enragés , malgré ce rejet, tous les "Pieds Noirs" ont été capable de montrer la capacité qu'avaient les enfants de ces pionniers qui avaient fabriqués cette Algérie merveilleuse a la force des bras et d'amour .
    Voilà, il fallait que je le dise ! .Car la cicatrice ne se refermera jamais ...

    Sylvestre Brunaud ..


    votre commentaire
  • Après le carton des gilets jaunes, le carton rouge des sondages pour Macron...

    Moins 4. En cette saison, c’est peut-être un détail pour vous, une baisse de température normale. Mais, pour lui, ça veut dire beaucoup. La pente n’était pas bonne, mais il nous disait que la route était droite – c’était son côté Raffarin. Et il comptait sur son « itinérance mémorielle » du 11 Novembre pour la remonter. Selon le dernier sondage IFOP pour Le JDD, Emmanuel Macron chute donc de 29 à 25 %. Parti de 64 % au lendemain de son élection il y a seulement dix-huit mois, encore à 50 % en janvier, il est aujourd’hui à 25 %.

    Pire : sa courbe est exactement superposable à celle de François Hollande en 2012-2013, dans la rapidité de la chute comme dans son ampleur. Macron rejoint Hollande : le retour des origines – et du refoulé. L’un avait eu les cortèges de la Manif pour tous, l’autre a les gilets jaunes. Deux mouvements complètement inattendus, improbables. Deux mouvements à la sociologie et aux motivations complètement différentes mais qui ont ce point commun : partis de franges très hostiles au pouvoir, diabolisés et caricaturés pour leur ringardise (bourgeois cathos coincés homophobes d’un côté, beaufs fumeurs et adeptes du diesel de l’autre), ils ont réussi à organiser une mobilisation populaire en dehors des appareils traditionnels et à affaiblir un pouvoir qui se croyait tout permis. Hollande ne s’en remit pas. Et Emmanuel Macron avait perçu son erreur vis-à-vis de ce mouvement conservateur lui reprochant d’avoir « humilié » ses manifestants. Aujourd’hui, le Président se retrouve à son tour dans cette situation.

    Si l’on regarde le détail du sondage, le repli du Président qui mordait sur plusieurs électorats et plusieurs catégories sociales est généralisé. Mais le décrochage est le plus net chez les commerçants-artisans-chefs d’entreprise et les ouvriers (-9 points par rapport à octobre), mais aussi chez les moins de 34 ans et les salariés du public. Faut-il rappeler que ce sont ces classes moyennes et populaires les plus concernées par la fiscalité sur les carburants ? Du point de vue politique, les électeurs LR ont fait le tour du personnage et de la politique d’Emmanuel Macron qui les avaient séduits le temps d’un printemps. Ils ne sont plus que 18 % à exprimer leur soutien. Il leur a fallu dix-huit mois pour se rendre à l’évidence. Chacun son rythme. En fait, Emmanuel Macron n’est plus que le Président des macronistes du premier tour de la présidentielle : ils sont encore 84 % à le soutenir. Le soufflé est retombé.

    Encore deux éléments pour apprécier le sondage : le Premier ministre Édouard Philippe subit, lui aussi, une chute spectaculaire de 11 points, atteignant son plancher et cette enquête a été réalisée avant le 17 novembre et le début effectif du mouvement des gilets jaunes. Autant dire que l’impopularité de l’exécutif risque de s’aggraver.

    Au lendemain de la manifestation réussie des gilets jaunes, le pouvoir avait délégué M. de Rugy pour montrer qu’il existait encore et réaffirmer sa position : « Nous poursuivrons la trajectoire prévue. » En tout cas, la courbe d’Emmanuel Macron poursuit la sienne. Toujours dans le même sens. Il y a, décidément, du Raffarin dans cette équipe.

    Pascal Célérier

    Source : http://bvoltaire.fr


    votre commentaire
  • Pitoyables, les syndicats boudent la seule mobilisation populaire réussie de l’ère Macron !


    Pourtant, ces revendications ont bien une vocation syndicale : le matraquage fiscal, le pouvoir d’achat, la justice sociale, l’arbitraire… Avec, en toile de fond, ce mal-être et ce refus, parfois confus ou inconscient, des obsessions macronistes : la fiction de « l’Europe, c’est la paix » – en fait, cache-sexe de l’ultralibéralisme -, l’euro qui nous vaut 1,5 million de chômeurs, le muselage de l’information, le reflux des libertés et l’interdiction de s’exprimer autrement que sous le manteau, le refus d’admettre les « bienfaits » de cette immigration-là que même Collomb a dénoncée… globalement, cette chape de plomb que le peuple ne supporte plus. C’est la politique macronienne qui est clairement rejetée. Vomie. Le dérapage des taxes sur le carburant n’est que le déclencheur.

    Un vrai mouvement populaire, donc, comme les syndicats n’osent plus en rêver. Massif, suivi et bien accueilli par la population. Botter en touche avec, comme tout argument, « noyauté par les fachos », ça ne passe plus. Que n’ont-ils été à l’initiative ?

    Ne pas rejoindre un mouvement clairement anti-système les enlise, eux, dans le système. Une vérité explose : les syndicats sont désormais du côté du conservatisme, et la rue du côté du progressisme. La « révolution » n’est plus chez eux. Ce n’est plus la même révolution qui gronde. En cause, leur naufrage politiquement correct et cette dérive déjà observée chez les partis politiques, la maçonnerie, hélas dans les Églises aussi : bureaucratisation et prima des intérêts personnels sur la défense du bien public. Pire, peut-être : faillite de la pensée et déni d’analyses objectives, de regarder le monde tel qu’il est. Incapacité d’accepter la France réelle, ses inquiétudes sociétales qui ne sont pas politiquement correctes, le mal de vivre de 80 % de nos compatriotes.

    Les syndicats ont ainsi choisi de se placer en dehors du mouvement de l’Histoire. Ce n’étaient déjà que des ectoplasmes ne justifiant leurs prébendes que par le jeu du système. Maintenant, s’ils ne servent plus même au système… Ils étaient déjà ringardisés, quel avenir désormais pour eux ?

    Corollaire, il va donc incomber aux forces populaires qui se trouvaient dans la rue d’inventer les voies nouvelles de la représentation des masses : vaste tâche, et défi authentique pour ceux qui voudraient vraiment « aller au bout ». Et puis concevoir les solutions sur la base d’une rupture clairement énoncée avec les pseudo-réformes actuelles.

    L’appareil d’État sera à reconstituer. Mais, aujourd’hui, il faut donner une perspective politique, puisqu’il n’y en a pas de syndicale, un espoir à ces masses dont on a pu constater le rejet du monde politique dans son ensemble en ne faisant guère de nuances, et dont la naïveté, la diversité, la confusion et les contradictions, le manque aussi de conscience des enjeux et des suites, ouvrent ou compliquent la tâche.

    Gérard Bailliet

    Source : http://bvoltaire.fr

     Les syndicats complice du gouvernement !


    votre commentaire