• Paris (16e) : la grogne monte chez les riverains du centre qui doit accueillir 300 migrants ...

    Dans une lettre ouverte adressée au préfet Michel Cadot, à l’adjoint au logement de Paris Ian Brossat, et à la maire du 16e arrondissement, Danièle Giazzi, des riverains dénoncent l’absence de concertation préalable à l’installation de 300 migrants et réfugiés dans les anciens locaux de la gendarmerie du boulevard Exelmans.

    Lors de l’inauguration en septembre, le préfet de région Michel Cadot l’assurait: «Le site ne pose pas de problème de voisinage», et «se prête à une intégration réussie dans le quartier». Trois semaines plus tard, les riverains du centre pour migrants et demandeurs d’asile du boulevard Exelmans, dans le 16ème arrondissement de Paris, font valoir l’inverse. «À aucun moment, nous n’avons été consultés par les autorités, ni même informés», assurent-ils dans une lettre ouverte adressée au préfet Michel Cadot, à l’adjoint au logement de Paris Ian Brossat, et à la maire du 16e arrondissement, Danièle Giazzi.

    Les auteurs du courrier, signé par plus de 150 personnes selon eux, demandent «sans délai un réunion d’information pour tous les habitants du quartier». «Faut-il vous rappeler qu’en tant que voisins directs, nous sommes les principaux intéressés par cette décision qui nous est imposée?», poursuivent-ils dans ce texte également publié sous forme de pétition sur change.org.: « Nous sommes très inquiets sur les conséquences de cette concentration (très largement masculine) pour notre quartier et notre vie quotidienne, à bien des égards », ajoutent-ils. […]

    Ouvert depuis 1 mois dans une ancienne caserne de gendarmerie, le site doit accueillera à terme 300 migrants, réfugiés et familles pauvres pendant deux ans, le temps que des travaux commencent pour faire des logements sociaux. Dans le détail, il y aura 150 demandeurs d’asile, 100 réfugiés statutaires (qui ont obtenu le statut et un titre de séjour), et disposera de 50 places pour héberger des familles sans abris. Les étrangers accueillis sont essentiellement Erythréens, Soudanais et Afghans. […]

    Le Figaro via fdesouche


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  • « Mimi » plus fort que Benalla : le livre qui pourrait faire tomber Emmanuel Macron ?

    Emmanuel Macron – c’était louable – entendait renouer avec la verticalité du pouvoir, malgré son jeune âge. D’ailleurs, Louis XIV, au début de son règne, n’était pas non plus le faisan de l’année. Avec l’affaire Michèle Marchand se profilant à l’horizon, ce serait plutôt le retour à l’horizontalité des pratiques d’antan, personnalité de cette nouvelle Athénaïs de Montespan oblige.

    En effet, après l’affaire Benalla, Mimi, titre du livre éponyme, signé Marc Leplongeon et Jean-Michel Décugis, respectivement journalistes au Point et au Parisien, annoncé pour le 17 octobre prochain, le temps pourrait durablement se couvrir au Château. Mais qui est « Mimi », dame de 71 ans, qui gère la communication présidentielle depuis plus d’un an ?

    À en croire Le Point« Michèle Marchand, fille de coiffeurs de Vincennes, a été gérante d’un garage du VIIIe arrondissement parisien, femme de voyou et directrice d’un magazine pour amateurs d’armes. En 1986, elle est condamnée à quatre mois de prison avec sursis pour émission de chèques sans provision. Au début des années 1990, elle tient des boîtes de nuit lesbiennes rue de Ponthieu ou porte Maillot, où l’on croise Muriel Robin et Pierre Palmade, des malfrats et des flics dont elle est l’indic. » Il est un fait qu’à ce palmarès comparé, Alexandre Benalla, c’est un peu Bernard Menez, l’imparable caïd des films de Pascal Thomas.

    La carrière de Michèle Marchand ne s’arrête évidemment pas là. Toujours selon les mêmes sources : « Après un retour à la case prison en 1994 pour trafic de cannabis, elle entre à Voici et, déjà grand-mère, y fait une OPA. Virée pour avoir inventé une interview d’un garde du corps de Lady Di, elle reste rédactrice en chef officieuse, tant elle est indispensable. » Mieux que Voici, nous y voilà. Michèle Marchand, à la tête de Bestimage, la société qu’elle fonde dans la foulée, est alors l’une des pipelettes les mieux informées de France. Mais comment expliquer, ensuite, son voisinage de plus en plus intime avec la sphère politique ? Tout simplement parce que les grands de ce monde sont les plus avides des commérages du demi-monde. Qui couche avec qui ? Tel homme est-il véritablement porté sur les femmes, malgré les apparences ? À l’instar des rois de jadis, nos Présidents aiment savoir ce genre de choses ; surtout quand elles peuvent les toucher de près.

    Et c’est ainsi que « Mimi » désamorce les rumeurs parfaitement infondées et relatives à l’homosexualité présumée d’Emmanuel Macron. C’est encore la même qui, sachant tout des liens unissant François Hollande et Julie Gayet, ne fait rien pour empêcher la révélation de cette affaire. Interrogé par les auteurs de ce livre, le prédécesseur de Macron reconnaît : « Vous ne pouvez pas avoir à l’Élysée quelqu’un dont le métier est de faire de la révélation privée. » Étrange mélange des genres, donc. Mais qui s’explique aussi par l’antédiluvienne propension des gens de pouvoir à fricoter avec des personnages qui ne sont pas toujours des enfants de chœur.

    François Mitterrand et Bernard Tapie, Dominique de Villepin et Alexandre Djouri, Valéry Giscard d’Estaing et Michel Poniatowski, Napoléon et Fouché, Nicolas Sarkozy et Patrick Balkany, quoi de commun ? Si ce n’est l’odeur un peu soufrée de la transgression et de l’encanaillement.

    Dans le registre, Michèle Marchand est d’autant plus imbattable que rusée comme un régiment de fouines. Elle sait d’où vient le souffle dominant et, surtout, jusqu’où il peut le porter. D’où des amitiés politico-médiatiques soigneusement mises en scène. Cyril Hanouna, toujours à en croire Le Point, l’appelle sa « deuxième maman », tandis que « Marc-Olivier Fogiel, qui vient de publier un livre sur ses deux filles nées d’une GPA, la remercie pour avoir veillé à ce que son intimité ne devienne pas publique ». Comme madame Mado, la mère-maquerelle des Tontons flingueurs, madame Mimi sait protéger ses arrières.

    On ne lui en voudra pas, tant tout cela relève de « l’ancien monde ». Le problème, c’est qu’un certain Emmanuel Macron s’est hissé à la plus haute marche du podium en voulant abattre ce dernier et en proposer un « nouveau ». Il fallait être aussi naïf qu’un Philippe de Villiers ou la quasi-majorité du troupeau de l’électorat conservateur pour ne pas voir que notre Saint Louis en devenir était, par nature, programmé pour finir comme Paul Deschanel.

    http://www.bvoltaire.fr/mimi-plus-fort-que-benalla-le-livre-qui-pourrait-faire-tomber-emmanuel-macron/


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  • VGE – Chirac : Ni oubli, ni pardon possibles

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     Bernard Plouvier

    Alors que l’un de ses enfants s’est fait agresser à Paris par deux Romanichels, ce qui a coûté quelques centaines d’euros à ce monsieur qui n’est guère dans le besoin, il semble que l’ex-Président Giscard estime que, tel qu’il fut appliqué, le décret de regroupement familial fut une erreur.

    D’abord, il serait temps que ce funeste politicien comprenne que cela ne fut pas une « erreur », mais un crime et une forfaiture. Un crime contre la Nation française et une forfaiture car, lorsqu’on hypothèque l’avenir du peuple souverain, l’on prend au moins son avis. Quand y-a-t-il eu un referendum sur l’immigration de masse d’origine extra-européenne dans la VRépublique Française ?

    Contrairement à ce que plaide le vieillard au bord de la tombe, ce ne fut pas « une mesure juste et généreuse ». Ce fut un décret publié le 29 avril 1976, sans débat parlementaire, donc à la sauvette, et non par « générosité », mais parce que la consommation intérieure française baissait en raison de l’inflation et du chômage et que grognaient les pontes de la distribution, aux bénéfices amoindris.

    Ce décret 76-383, qui marqua le début du désastre pour la Nation, n’exigeait du migrant qu’une durée de séjour d’une année et rien ne l’empêchait d’amener toute sa smala au titre du « regroupement », les vieux parents et les femmes justifiaient l’implantation d’une multitude d’enfants, mais aussi de jeunes frères et de jeunes sœurs. Ce ne fut pas un regroupement familial, mais une entrée massive de clans, de familles élargies.

    En 2003, devant la prolifération des émeutes raciales et des zones de non-droit dans notre pays envahi, et au lieu de prendre l’avis du seul souverain légitime de l’État : le corps électoral, on allongea simplement à deux années la durée de séjour du migrant avant qu’il puisse exiger son « regroupement familial ». Tout au plus, les hypocrites rédigeant le nouveau décret spécifièrent-ils que le migrant devait faire preuve « d’une bonne intégration dans la société française » !

    Le trafic de haschich, les vols, les viols en tournantes et les émeutes raciales étaient monnaie courante en 2003. Depuis, nous avons connu pire : le terrorisme aveugle et lâche des mahométans djihadistes. Et personne, chez les titulaires des apparences du pouvoir n’envisage de referendum sur l’immigration-invasion.

    De 1976 à 2018, rien n’a changé dans la forfaiture permanente. Les droits fondamentaux du peuple souverain : Sécurité, Préférence nationale en matière d’emploi public (c’était un dogme au temps du Front populaire, même au PCF !), protection des générations à venir, sont toujours bafoués.

    Giscard et Chirac sont coupables d’avoir fait entrer la Nation dans cette spirale infernale. Et il ne faut pas oublier la Loi Veil sur l’avortement de complaisance du 17 janvier 1975, également publiée lors de la présidence funeste de VGE, Chirac piaffant d’impatience à Matignon, entre deux saillies et deux repas pantagruéliques.

    En conclusion, il ne peut et ne doit y avoir ni pardon, ni oubli pour Giscard et Chirac.

     

    Source : synthesenationale


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  • Macron, une incompétence impossible à remanier

    Macron, une incompétence impossible à remanier

    Depuis la démission rocambolesque de « Gégé » Collomb le 3 octobre dernier, les spéculations vont bon train pour savoir qui aura la lourde tâche de lui succéder. Et pour une fois, le Gouvernement a eu une bonne idée en imaginant un remaniement plus large afin d’expurger les nombreux (pas tous sinon il n’y aurait plus grand monde) poids morts et autres ministres au parfum de scandale. C’était sans compter que les rangs de LREM ne sont pas constitués de lumières capables de donner le change bien longtemps. Le remaniement se fait attendre et confirme que l’amateurisme est un trait à tous ces professionnels du blabla.

    Il y a urgence ! Le remaniement prend du temps, beaucoup trop de temps ! Les chaînes d’ « information » en continu sont sur les rotules, les journalistes perdent leurs nerfs et mêmes les Macrodôlatres commencent à s’impatienter. L’inquiétude se lit sur les visages même si le mot d’ordre depuis une semaine est « il n’y a pas de crise ». Pas de crise alors, mais toujours pas de remaniement et encore moins de vrai ministre de l’Intérieur. A croire que Collomb n’était qu’un pantin juste bon à raconter quelques salades et à serrer des mains (sauf celle de Benalla, un homme qu’il ne connaissait pas selon la formule consacrée)…

    Un collomb part et laisse un grand vide

    Remplacer Collomb ne devrait pas être si compliqué. Les pantins se trouvent à tous les coins de rue. On en trouve même plus que du travail en changeant de trottoir. Il suffirait à Edouard Philippe de se placer dans un couloir de l’Assemblée nationale pour choisir à la volée un député de son camps. Oui, mais voilà, on nous dit que le choix prend « plus de deux heures », car il faut vérifier le passé de l’heureux élu. Il ne faudrait pas que le nouveau ministre se fasse pincer pour des délicatesses avec le fisc par exemple.

    C’est ainsi qu’on comprend la difficulté de Macron et de Philippe. Où trouver un ministre qui n’a d’yeux que pour le président, qui soit assez crédible dans son nouveau rôle et qui ne fasse pas rapidement la Une du Canard Enchaîné ? Cela fait une semaine que le Gouvernement pédale dans la semoule et cela va continuer jusqu’à vendredi au moins puisque l’Elysée a indiqué ce matin que le remaniement attendrait le retour de Jupiter de son voyage en Arménie. Il faut croire que sans Macron, tout devient impossible.

    En attendant de savoir qui arrivera et qui sera débarqué, le Gouvernement est à l’arrêt. Les ministres ont les yeux rivés sur leur téléphone et espèrent qu’ils seront confirmés dans leurs fonctions. Une ministre comme Françoise Nyssen y croit-elle toujours ? Malgré ses frasques, ses démêlés avec la justice, son absence de travail et ses nominations scandaleuses, la ministre de la Culture est toujours là. Alors elle croise les doigts et se dit que sur un malentendu, elle pourrait bien rester en poste.

    Que le remaniement se passe vendredi ou plus tard, cela importe peu. Les mêmes politiques auront les mêmes effets. On ne combat pas l’impopularité en mettant un nul connu par un nul encore inconnu. Ce fâcheux épisode illustre juste la carence en matière grise du côté du pouvoir. La stratégie de Macron de s’entourer de médiocres ne paye plus et devient même contre-productive. La politique c’est penser à long terme, mais pour cela encore faudrait-il que Macron pense tout court.

    Source : 24heuresactu

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  • C’était un 9 octobre 1793…

    lyon,massacre,république

    Massacre de Lyonnais. Voir la scène à droite : avant l’État islamique, il y eut la République…

    Lyon, après un siège de près de cinquante jours, capitule devant les armées de la République.

    Les Lyonnais, révoltés par la « tyrannie jacobine » et dressés contre la Convention, affamés, bombardés sans relâche par les soldats de Kellermann, se rendent à 6 heures du matin.

    La répression sera terrible ; des milliers de personnes seront massacrées par les Républicains dans les semaines qui suivent.

    Source : contre-info


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