• Le patron de presse Mélenchon et la bérézina du Média

    Publié :par pieds Noirs 9A..Le patron de presse Mélenchon et la bérézina du Média

    Par Caroline Parmentier, journaliste à Présent ♦ Rien ne va plus au Média : voilà les donneurs de leçons qui allaient révolutionner la presse et montrer aux autres comment on faisait une télé « honnête » (et encore plus à gauche que la vraie télé) accusés des plus humiliants des méfaits capitalistes et bourgeois.

    Leurs proclamations initiales l’annonçaient : « Nous appelons à soutenir la création d’un nouveau média fondamentalement alternatif par sa gouvernance, son modèle économique et son fonctionnement… une coopérative indépendante, pluraliste, humaniste et antiraciste, féministe, écologiste et progressiste. » Les patrons de presse « insoumis » n’ont rien d’insoumis patrons de presse et leur fameux « management de gauche » a fait ses preuves en seulement six mois : licenciements sauvages, intimidations, ruine, accusations d’avoir piqué dans la caisse, purge : les purs, les moins purs… Le tout sur fond de communautarisme et de racisme.

    La nouvelle direction « formée de quatre Blancs, quinquagénaires » se plaint que cela pose un problème à certains de leurs collègues qui se « qualifient eux-mêmes de “racisés” » : « Cette expression est odieuse ! Au moment où le terme de race doit disparaître de la Constitution, ils le revendiquent comme une identité ! » La Société des journalistes (SDJ) dans un communiqué relayé par Aude Lancelin, la nouvelle patronne du Média, dénonce : « Nous aurions pu imaginer entendre cette position de la part d’un journaliste de Valeurs actuelles, pas du Média, ce qui nous choque terriblement. »

    Sophia Chikirou, l’ex-dircom de Mélenchon, gestionnaire désastreuse, et Gérard Miller, l’insupportable psychanalyste d’extrême gauche, sont à couteaux tirés. C’est le grand déballage sur les réseaux sociaux. A l’image de ce tweet assassin : « Quand Mélenchon appelait “les gens” à donner de l’argent au Média, argent dont on sait maintenant qu’il a terminé en partie dans les poches de Chikirou qui se prétendait bénévole. » Le tout recouvert d’un discours de propagande pesant et vertueux.

    Les derniers donateurs en ont fait une indigestion. La nouvelle web télé qui devait aller « de Philippe Poutou à Arnaud Montebourg en passant par Noël Mamère » (un casting sacrément alléchant !) avait été lancée en grande pompe et largement saluée en janvier dernier au nom du pluralisme. Le pluralisme n’est évidemment toléré que s’il est de gauche et d’extrême gauche, on aurait aimé que TV Libertés ait droit à une telle rampe de lancement. Malgré une grosse retape médiatique, le JT du Média avait du mal à décoller des 10 000 vues. A titre de comparaison, TV Libertés dépasse les 100 000 vues quotidiennes. Sans aucune publicité des confrères de la grosse presse.

    Comme le fait très bien remarquer Contrepoints, « on ne remerciera jamais assez Jean-Luc Mélenchon de nous avoir montré aussi clairement ce que deviendrait la liberté de la presse, la liberté tout court, s’il devait jamais arriver au pouvoir. Une perspective que la terrifiante expérience du Média contribuera peut-être à écarter pour de bon ».

    Caroline Parmentier

    Source : Présent

    Crédit photo : Pierre-Selim [CC BY 3.0], via Wikimedia Commons


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  • Oran: Salsabil, 9 ans, kidnappée, violée puis jetée du 6e étage

    Le corps d’une fillette de 9 ans, signalée disparue hier samedi, a été découvert gisant dans une mare de sang ce matin à la cité Essabah, à Oran. L’auteur du crime n’a, pour sa part, que 15 ans.

    Salsabil, qui habitait la cité El Yasmine, était portée disparue depuis hier samedi. Elle a finalement été retrouvée morte après avoir subi les pires sévices. Selon des sources sécuritaires locales citées par Ennahar TV, elle a été violée par son ravisseur, un adolescent de 15 ans, avant d’être jetée du 6e étage.

    Les services de sécurité, qui se sont rapidement déplacés sur place, ont ouvert une enquête pour élucider les circonstances précises de cet odieux crime.

    R.I.

     http://www.algeriemondeinfos.com


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  • Remettre l’Etat à sa place et dans son rôle : 1 L’immigration.

    autoriteLa confusion des esprits domine largement la pensée politique actuelle. L’épicentre du phénomène se situe clairement dans la conception que l’on doit se faire de l’Etat, en se délestant des idéologies et en faisant preuve de bon sens, c’est-à-dire en raisonnant. Les vraies questions qui se posent sont simples : quelle est la fonction de l’Etat ? Au nom de quoi et de qui doit-il la remplir ? Qui doit conduire la politique qu’il mène ? Quelles sont les limites à son action ?

    L’immigration est un de ces problèmes qui font apparaître de multiples contradictions dans les réponses qui sont données. La France, c’est-à-dire l’Etat qui la dirige et la représente, devrait pour certains, par exemple les associations ou les ONG qui ne parlent que pour elles-mêmes, accueillir les migrants recueillis en mer au nom de la solidarité, humaine et européenne, et en vertu du droit maritime, afin notamment de sauver son « honneur ». Des individus, d’ailleurs, se donnent le droit d’aider les migrants illégaux, ou proposent de les recevoir en Corse ou à Sète, sans la moindre légitimité pour le faire.

    La notion de l’honneur appartient à la morale subjective. Elle n’a guère sa place dans le comportement des Etats qui doivent avant tout être pragmatiques et efficaces, sauf lorsqu’il s’agit de respecter des engagements internationaux. C’était l’un des arguments du Général de Gaulle : il fallait continuer le combat pour respecter notre alliance avec le Royaume-Uni. Mais on remarquera, qu’il y en avait deux autres, le bon sens et l’intérêt supérieur de la Patrie. Ces deux-là sont évidemment absents aujourd’hui chez les partisans de l’immigration. Il est  absurde de favoriser une immigration africaine en provenance de pays dénués de liens avec le nôtre comme l’Erythrée, par exemple, dont la population musulmane et peu formée, n’apportera dans notre pays que des problèmes supplémentaires. Il n’est pas dans l’intérêt de la France de laisser entrer des étrangers en faisant semblant de croire qu’il s’agit de réfugiés politiques quand leur profil montre à l’évidence qu’ils sont avant tout des migrants économiques dont notre pays n’a nul besoin et qu’on aura le plus grand mal à faire repartir ensuite. Les hommes jeunes qui sont une large majorité des clandestins, une fois installés, n’auront de cesse que de se faire régulariser, et de faire venir leur famille. Il n’y a aucun honneur à être dupe, et cela vaut pour le respect des traités. Le sauvetage en mer doit s’imposer en cas de naufrage accidentel. Or, nous faisons face à un détournement pervers du droit qui consiste à organiser le sauvetage sous la menace du naufrage au bénéfice de passeurs immondes dont les ONG se font les complices plus ou moins conscients et volontaires. Ce système entretient le trafic migratoire et ses tragédies humaines.

    Le rôle de l’Etat est d’assurer le bien commun du peuple dont il a la charge, au premier rang duquel se situe la sécurité. En dehors des vrais demandeurs d’asile qui ne seraient qu’une poignée, des opposants victimes de la répression d’une dictature uniquement, lesquels devraient être identifiés sur place, en Afrique, dans ces « centres d’accueil » dont on parle comme de l’Arlésienne, sans jamais les voir, il n’y a ni devoir, ni intérêt pour l’Etat à ouvrir nos frontières à la vague migratoire. Son pouvoir n’est légitime que par l’onction de la volonté populaire, or celle-ci est avec bon sens de plus en plus hostile à l’immigration. On a envie de crier « au fou » lorsque des partisans acharnés de celle-ci prétendent qu’il faut changer les mentalités ! Certes, le pouvoir populaire n’est pas absolu, mais celui des minorités ne l’est pas davantage. Le droit suprême, en l’occurrence celui qui est inscrit dans notre « Déclaration », affirme notamment que la souveraineté réside dans la Nation, et donc que ni la Corse, ni le Port de Sète n’en détiennent ne serait-ce qu’une partie. Elle professe également que la liberté, la propriété et la sûreté sont trois des droits fondamentaux qui doivent être sauvegardés. Il convient donc de rappeler aux élus qui sont à la tête de notre pays que toute politique qui porte atteinte par ses effets, à la liberté, à la propriété ou à la sécurité des Français est une trahison à l’égard du mandat qu’ils ont reçu du peuple souverain ! Les quartiers où la police n’ose plus pénétrer, les fêtes ou les manifestations qui se terminent en pillages ou en incendies, la multiplication des attaques à l’arme blanche sont pourtant des signaux assez effrayants pour savoir ce que l’honneur, le bon sens, et l’intérêt supérieur de la Patrie imposent maintenant. Vouloir « sauver l’honneur » en douce en accueillant 60 passagers de l’Aquarius, pour satisfaire une partie de sa clientèle politique revient à encourager le trafic et à trahir sa mission.

    http://www.christianvanneste.fr/2018/08/17/remettre-letat-a-sa-place-et-dans-son-role-1-limmigration/


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  • Les Suisses découvrent les immigrés accueillis en France

    5 jeunes femmes ont été tabassées par des jeunes français de cité « d’origine maghrébine ». « Ils ont shooté dans leur tête ! ».

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    Michel Janva

     

    Source : lesalonbeige


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  • C'est un migrant qui a égorgé le passager du bus

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    L’homme soupçonné d’avoir égorgé un passager dans un bus parisien le 8 août, mis en examen et écroué jeudi, est un étranger en situation irrégulièredéjà connu des services de police pour différents types d’infractions.

    Bruno Lafourcade analyse ce terrorisme de proximité :

    "Dans le crime de masse, il appartient à la branche artisanale : c’est l’auto-entrepreneur de l’attentat, l’assassin du quotidien ; appelons-le le terroriste de proximité. Lui, il ne tue pas en se réclamant de Daesh, il n’a même pas besoin de crier : « Allahou akbar ! ». Non, lui, il va acheter un couteau de cuisine à Carrefour, et il poignarde sa voisine de quatre-vingts ans.

    Avant, il a fait ses armes dans la drogue et la prédation, et s’est mêlé à d’autres ambitieux, qui tuent leur temps en tuant des individus isolés. Ils en choisissent un, blanc, lui demandent une cigarette, lui reprochent de les avoir regardés, et lui tombent dessus à sept ou huit, le tabassent et le laissent pour mort après lui avoir volé son smartphone et vingt euros. Si Anne-Sophie Lapix en parle, le lendemain, ce sera pour évoquer une « rixe » ou un « crime gratuit ».

    Encouragé, notre homme lance donc sa petite entreprise. Encore une fois, ce n’est pas lui qui se fera sauter dans une salle de spectacle ou foncera dans une foule avec une estafette louée ; non, lui, il travaille dans le local : il essaie de violer une lycéenne à la sortie d’une boîte de nuit, et poignarde le jeune homme qui l’a défendue. Si Laurent Delahousse en parle, le lendemain, ce sera en évitant de dire son nom, sa nationalité, en indiquant qu’il est « déséquilibré », et en rangeant son attentat Leader Price parmi les faits divers.

    Ce terrorisme artisanal, qui s’est tellement banalisé que nous ne voyons plus qu’il est du terrorisme, s’étend partout, désormais ; on le trouve à Périgueux, à Mons, à Châtellerault, à Dunkerque, à Aix, à Metz – partout, donc. Il continuera de prospérer tant qu’on le considèrera de façon isolée, seul dans son genre alors qu’il se produit tous les jours en France, tant qu’on jugera ces tueurs comme s’il s’agissait de types qui ont provoqué une bagarre dans un bal du samedi soir après avoir trop bu, tant qu’on refusera de les voir comme les membres du terrorisme islamiste, dont ils occupent un segment de marché en apparence moins spectaculaire que celui de leurs « grands frères » de Daesh, mais qui se révèle jour après jour plus meurtrier."

    Michel Janva

     

    Source : lesalonbeige


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