• Deux millions d'euros bloqués pour le Rassemblement National : le drame

    Horreur et damnation, sonnez le tocsin, la démocratie est en danger !

    Les visages sont graves, les regards durs, les mines fermées, les poings tremblent presque de colère…

    Mais que se passe-t-il-donc ? Encore un jeune militant de vingt ans envoyé au trou plusieurs mois pour s’être défendu dans la rue ? Trop de sites censurés, de facebooks fermés, de concerts interdits, de procès intentés ? Trop d’historiens bâillonnés, jetés au cachot ? Trop de vieillards embastillés ? Non, non, rien de tout cela. C’est bien plus terrible : Deux juges ont décidé de suspendre (temporairement) le déferlement de pognon. Et ça, les enfants, c’est grave. C’est un « attentat », une « tentative de meurtre », une véritable « persécution »… Rien de moins.  D'autant plus pour des peccadilles – emplois fictifs, dépenses excessives, détournements… - auxquelles tout le monde s'adonne et que « c’est trop injuste que ce soit seulement nous qui soyons sanctionnés » !

    On comprend fort bien l’effroi suscité par une telle annonce au sein d’une structure habituée depuis des années à vivre grassement sur la bête sans avoir de compte à rendre à personne, ni à ses électeurs, ni à ses militants, et donc encore moins aux juges…  Un salaire à 5 ou 6.000 boules qui menace de ne pas être versé en temps et en heure, ça fait grave mal au cul, même quand on est un super militant désintéressé et entièrement dévoué à la cause.

    L’impact sur la cause, d’ailleurs, parlons-en ! Sans argent, plus de fête des BBR, plus de manifestation nationale pour Jeanne d’Arc, plus de revue ni de journal, plus de cercles de formation, plus de conférences, plus de salles de sports et de bars associatifs pour les jeunes, plus de publication de livres ni d’éditions de disques, plus de site d’information et d’investigation, plus de structures d’accueil social et de soutien scolaire, plus d’aide aux organisations « amies »…

    Pardon ? Que dites-vous ? Tout cela n’existe pas ou plus depuis bien longtemps déjà ?! Ha ben, mais alors, il sert à quoi tout ce pognon ?

    On vous l’a dit : à payer les loyers, les salaires, les notes de frais et accessoirement quelques caisses de champagne.  Ha. Bien. On comprend donc toute l’importance vitale pour la démocratie que cet argent soit rapidement débloqué. Il en va de l’avenir du pays.

    Source : http://amoyquechault2.over-blog.com


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  • Schistosome : ce ver parasite mortel migre vers l’Europe

    Responsable de la fièvre de l’escargot, qui touche 200 millions de personnes dans le monde, le schisostome inquiète les chercheurs. Très présent dans l’hémisphère sud, responsable de dizaines de milliers de morts par an, ce ver pourrait s’acclimater à l’Europe.

    Peut-être n’avez-vous jamais entendu parler de bilharziose ou de schistosomiase. Derrière ces deux termes barbares, se cache une seule et même maladie, mortelle, qui touche plus de 200 millions de personnes dans le monde, également appelée fièvre de l’escargot. Traditionnellement présente dans l’hémisphère sud, elle pourrait très vite s’accommoder du climat européen. Depuis 2011, elle est régulièrement détectée en Corse, et cela pourrait n’être qu’un début.(…)

    Les pays touchés par la bilharziose dans le monde. En rouge, les zones d’endémie.

    Des milliers d’œufs par jour

    Cette maladie parasitaire est due à un ver, le schistosome. Plat, il mesure de 8 à 25 mm, selon son genre. Les vers élisent domicile dans des mollusques d’eau douce, où ils se multiplient. La forme larvaire du schistosome infecte l’eau, puis pénètre la peau des humains qui s’y baignent, ou y lave leur linge.(…)

    Comment expliquer son arrivée en Corse ? Toujours selon l’ARS, l’hypothèse la plus probable serait qu’une personne contaminée, originaire d’une zone touchée par la maladie (le Sénégal), aurait uriné dans l’eau, contaminant les bulins (mollusques) du site, qui ont à leur tour contaminé les baigneurs. Le site est désormais suivi de très près par la préfecture et les autorités sanitaires, qui ont multiplié les actions de prévention pour endiguer la contamination.

    Mais celle-ci pourrait s’étendre dans d’autres régions d’Europe, pour plusieurs raisons : d’abord, les parasites recueillis dans la rivière du Cavu ont évolué vers des formes hybrides, compatibles avec une contamination des bovins. Ils pourraient donc, à terme, se modifier pour contaminer de plus en plus d’espèces européennes.

    Les chercheurs alertent

    Ensuite, les différentes migrations humaines pourraient contribuer à diffuser la maladie, avec l’arrivée de personnes originaires d’Afrique tropicale ou subsaharienne, dans divers pays du continent européen.

    Dans un article publié en juin 2015 sur le site du CNRS, une équipe européenne de chercheurs spécialistes des infections pathogènes alerte les autorités. « Les gouvernements, les organismes de recherche ainsi que les agences de financement doivent considérer la nécessité d’investir dans la recherche sur les maladies liées aux mollusques vecteurs. Il ne s’agit plus d’un risque d’introduction en Europe en raison de changements climatiques et globaux. L’introduction s’est produite. » (…)

    ouest-france.fr via fdesouche


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  • IL Y A VINGT ANS, LES MOINES DE TIBHÉRINE ÉTAIENT ENLEVÉS...

    Posté par:Pieds Noirs 9A..

    IL Y A VINGT ANS, LES MOINES DE TIBHÉRINE ÉTAIENT ENLEVÉS...

    Moines de Tibhérine : la version officielle d'Alger ébranlée

    Vingt-deux ans après la tragédie, l'enquête portant sur l'assassinat des sept moines de Tibhérine, enlevés dans leur monastère dans la nuit du 26 au 27 mars 1996 avant d'être retrouvés décapités sur le bord d'une route, n'a pas livré ses secrets.
    Tourmentées, les familles n'ont eu de cesse de mettre en doute la thèse officielle, véhiculée par Alger, d'un acte perpétré par le Groupe islamique armé (GIA). De fait, les derniers éléments portés à la connaissance de la justice française ébranlent cette version. Ils émanent d'un rapport scientifique de 185 pages versé en mars dernier à la colossale procédure diligentée par les juges Nathalie Poux et Jean-Marc Herbaut. Les auteurs, tous experts, ont pu travailler à partir de prélèvements effectués sur les têtes des moines à l'automne 2014, exhumées aux abords du monastère des religieux français de l'ordre de Cîteaux, à près de 1000 mètres d'altitude dans la région de Médéa. Dans un premier temps, la mission française s'était vue interdire de ramener les précieux échantillons. Les familles des moines, représentées par Me Patrick Baudouin, avaient alors dénoncé une «confiscation des preuves» par les autorités algériennes. Après des mois de bras de fer, ces analyses ont finalement été transmises. Elles corroborent les doutes émanant d'un premier rapport intermédiaire établi en 2015, à partir de constatations effectuées grâce à des photographies.
    Premier fait troublant, l'observation des insectes - et en particulier de leurs cocons - dans le crâne des religieux a permis aux entomologistes de formuler l'«hypothèse» que «le décès serait antérieur de plusieurs jours à la découverte des têtes». «Cet intervalle post mortem est supérieur à neuf jours», a assuré Me Baudouin au moment de la remise du rapport. A ses yeux, cela pourrait remettre en cause l'authenticité du communiqué attribué au GIA puisque le texte faisait remonter les assassinats au 21 mai 1996 et que les macabres découvertes datent du 30 mai.
    Brouiller les pistes
    Au regard de la décomposition des têtes, les experts vont même jusqu'à conclure que «la piste d'un décès survenu entre le 25 et le 27 avril reste plausible». De quoi créditer davantage les confidences du dénommé Karim Moulaï, ex-agent algérien du Département du renseignement et de la sécurité (DRS), exilé en Ecosse depuis qu'il a soutenu que les moines avaient été exécutés à la fin avril 1996 par les services secrets de son pays. Par ailleurs, les lésions constatées sur chacune des têtes plaident «en faveur d'une décapitation post mortem». Ce constat, évoqué dès juillet 2015, conforte, sans en apporter la preuve irréfutable, l'idée d'un simulacre d'exécution islamiste pour brouiller les pistes.
    En mentionnant aussi que «l'analyse au microscanner n'a pas révélé de particules métalliques sur les sept prélèvements osseux», le rapport bat en brèche la thèse d'une «bavure» de l'armée algérienne. Le général Buchwalter, attaché de défense à Alger en 1996, avait dit avoir appris qu'un hélicoptère de l'armée algérienne avait ouvert le feu sur un bivouac suspect: «Une fois posés, ils ont découvert qu'ils avaient tiré notamment sur les moines, dont les corps étaient criblés de balles.» Une histoire dans laquelle les cadavres auraient été décapités pour masquer l'énorme ratage de cette opération de ratissage.
    Des témoins jamais entendus
    Enfin, les confrontations génétiques des crânes avec l'ADN de leur famille révèlent que six des sept religieux ont été intervertis dans les cercueils. Une découverte qui atteste, s'il en était besoin, d'une précipitation certaine au moment de mettre les dépouilles en bière. «Pour n'importe quel assassinat, on aurait pris la peine de pratiquer une autopsie», note Me Baudouin.
    Plus que jamais, les familles endeuillées réclament que les investigations se poursuivent. Dans le cadre de la commission rogatoire, les magistrats français ne désespèrent pas de recueillir un jour les confessions d'une vingtaine de témoins encore jamais entendus. Parmi ces personnages clés figurent d'anciens repentis du GIA mais aussi de présumés «geôliers» qui auraient transporté ou séquestré les prisonniers dans une maison surnommée Dar el-Hamra («la Maison rouge»), au lieu-dit de Tala es-Ser dans la région de Médéa. «Nous n'avons pas encore la vérité absolue mais une étape importante a été franchie», a considéré Me Baudouin, convaincu que «ceux qui savent des choses sont encore au pouvoir en Algérie».

    Christophe Cornevin

    Figaro 22.06.2018
    Journaliste 244 abonnés Suivre 
    Rédacteur en chef adjoint, spécialiste sécurité et renseignement


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  • Des prêtres catholiques dénoncent "l'abus sur enfants lors de rituels sataniques" au Vatican

     

    Trois prêtres du Vatican ont publiquement dénoncé le pape François comme un faux prophète. Ils ont déclaré  des cardinaux pédophiles adorant Satan pratiquent l'abus rituel sur des enfants dès l'âge d'un mois, à l'intérieur des hauts murs du Vatican.

     

    Selon le site YourNewsWire :

    Au cours des dernières années, des représentants du Vatican ont été accusés et ont été surpris en train d’agresser des enfants, tout en ayant des liens avec de grands réseaux de pédophilie. Le Vatican a dû dépenser des milliards de dollars pour régler et étouffer des cas de pédophilie, qui ne sont  plus un secret.

     Three Vatican priests have gone on record denouncing Pope Francis as a false prophet and claiming that Satan worshipping pedophile cardinals are engaged in the ritual abuse of children as young as one-month-old inside the Vatican's high walls.

    Malheureusement, ce que beaucoup ignorent encore, c'est que beaucoup de ces enfants sont utilisés dans des "rituels de type satanique". Le Vatican prétend suivre la parole de Dieu, mais de nombreux initiés sont récemment sortis pour dénoncer le pape François comme un faux prophète et parlant de la pratique répandue de la magie noire et du satanisme à l'intérieur du Vatican.

    Selon le public, le Vatican et ses nombreux représentants dans le monde entier représentent une force d'amour et de paix. Mais selon un prêtre catholique irlandais, Malachie Martin, qui était professeur de paléographie à l'Institut biblique pontifical du Vatican jusqu'à récemment, cette vision d'amour et de paix est en contradiction avec ce qui se passe réellement dans les coulisses du Vatican.

    Selon Malachie Martin, en 1963, une «cérémonie d'intronisation» a été tenue, au Vatican, par des cardinaux pédophiles adorateurs de Satan,  et , depuis lors, la «fumée de Satan»été «inamovible» au Vatican.                                            

    Le prêtre jésuite Malachie Martin 
    a servi à Rome pendant six ans 
    où il était un proche collaborateur 
    du cardinal Augustin Bea et du pape

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    "Le plus effrayant pour le [Pape] Jean-Paul [II], est qu’il s'était heurté à la

    présence inamovible d'une force maligne dans son propre Vatican et dans certaines chancelleries d'évêques.C'était ce que les hommes d'Église savants appelaient le 'super force', dont l’installation serait associée, selon certaines rumeurs, au début du règne du pape Paul VI en 1963. Paul avait en effet fait allusion à «la fumée de Satan qui est entrée dans le sanctuaire». . . une référence oblique à une cérémonie d'intronisation par des satanistes au Vatican. En outre, l'incidence de la pédophilie satanique - rites et pratiques - était déjà documentée chez certains évêques et prêtres aussi dispersés que Turin, en Italie, et la Caroline du Sud, aux États-Unis. Les actes cultuels de la pédophilie satanique sont considérés par les professionnels comme le point culminant des rites de l'archange déchu. »(Écrit dans son livre sur la géopolitique et le Vatican, Les clefs de ce sang, page 632)

    À plusieurs occasions, il a parlé du satanisme comme étant la religion prédominante pratiquée à l'intérieur des hauts murs du Vatican. Mais Malachi Martin n'est pas le seul initié du Vatican à parler de la pédophilie satanique au Vatican.

    La liste est longue.

    Le révérend Gabriele Amorth, prêtre catholique italien et exorciste du diocèse de Rome, en est un autre exemple.

    Le révérend Amorth a exécuté des dizaines de milliers d'exorcismes pour l'Église au cours de sa demi-douzaine de décennies en tant que prêtre catholique, et a mentionné à plusieurs reprises comment le satanisme est pratiqué au sein du Vatican. Il a également décrit comment de très jeunes filles sont kidnappées par une bande de policiers du Vatican et des diplomates étrangers, expliquant que ces filles sont recrutées pour des fêtes du Vatican, en présence de cardinaux et de prêtres.

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    Amorth a affirmé qu'Emanuela Orlandi, une écolière du Vatican qui a disparu à Rome en 1983, a été kidnappée par un gang de la police du Vatican et des diplomates étrangers pour des rencontres sexuelles. Il a dit que la fille a été plus tard assassinée et son corps éliminé.


    "Le diable réside au Vatican et vous pouvez en voir les conséquences", a déclaréle Révérend Amorth. L'influence perverse de Satan était évidente dans les plus hauts rangs de la hiérarchie catholique, avec "des cardinaux qui ne croient pas en Jésus et des évêques qui sont liés au démon".

    Malachie Martin et le révérend Amorth devraient être félicités pour leur bravoure en tirant la sonnette d’alarme sur la pédophilie satanique au Vatican, parce que les prêtres qui disent la vérité au sujet de leurs collègues corrompus ne vivent pas toujours assez longtemps pour en parler.

    Dénonciateur assassiné

    Ainsi, le père Alfred Joseph Kunz était un prêtre catholique qui a été retrouvé la gorge tranchée dans son église catholique romaine à Dane ( Wisconsin) après avoir lancé une enquête sur la pédophilie satanique et la maltraitance des enfants au sein du clergé. C’était un ami proche de Malachi Martin. Le père Kunz a senti que sa vie était en danger dans les semaines précédant son assassinat, et il avait raison.

    le 4 mars 1998, à 7 heures, le corps du p. Alfred Kunz a été découvert dans une mare de sang sur le sol de l'école St. Michael à Dane, Wisconsin.alfred-kunz-father

    L'ami de Kunz, l'abbé Ryan St. Anne Scott, a estimé que le meurtre de Kunz était lié à l'enquête de Kunz sur les scandales d'abus sexuels dans le diocèse, mais les enquêteurs n'ont jamais arrêté personne pour ce crime,  bien qu'ils aient admis avoir un suspect gardé sous «surveillance constante» depuis le meurtre.

    Le pape François est-il la tête du serpent?

    Les scandales d'abus sexuels au sein du Vatican ont été rendus publics, et le Pape a été contraint de les commenter plusieurs fois. On ignore s'il est impliqué ou non, tout comme s’il sait ou non des pratiques du satanisme au Vatican. Cependant, il a récemment fait un commentaire qui a soulevé des sourcils parmi ceux qui sont au courant. Vidéo

    VOIR AUSSI :

    Coup d’État au Vatican :

    WikiLeaks : Clinton, Obama, Soros ont renversé le Pape Benoît XVI lors d’un coup d’État au Vatican. Un groupe de dirigeants laïcs catholiques ont demandé au Président Trump d’enquêter pour savoir si Soros, Obama et Clinton ont bien organisé un coup d’État au Vatican pour installer le gauchiste radical François. Selon un groupe de dirigeants catholiques qui citent des preuves de diverses sources, en particulier de courriels ébruités par WikiLeaks, George Soros, Barack Obama et Hillary Clinton ont orchestré un coup d’État au Vatican pour renverser le pape conservateur Benoît XVI et le remplacer par le gauchiste radical François. 

     

    USA. Le Vatican paie tranquillement 4 milliards de dollars aux victimes pour étouffer ses abus sexuels sur des enfants :

    Le Vatican a discrètement versé près de 4 milliards de dollars d'indemnisation aux victimes d'abus sexuels commis par ses prêtres  sur des enfants, selon une nouvelle enquête choquante.

     

    Accusations de viol, meurtre, cannibalisme et détournement d’enfants contre le pape François :

    Cet article est basé sur une interview exclusive avec Kevin Annett, du Tribunal International contre les Crimes de l’Église et de l’État, lors d’un litige, à laCour International de Justice de Droit Commun de Bruxelles. Naturellement, AUCUN média grand public n’en a parlé. Et pour cause. Âmes sensibles, s’abstenir de lire ce qui suit !

    Cinq juges et 27 jurés de six pays, ont revu les preuves relatives aux 50.000 enfants canadiens, américains, argentins et européens disparus, que l’on suspecte d’avoir été victimes d’un culte international de sacrifice d’enfants, appelé Neuvième Cercle.

    Hannibal GENSERIC

     


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  • France 2018 : 152 mosquées salafistes recensées…

    Publié par :Pieds Noirs 9A..

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    le figaro rapporte aujourd’hui que, hors préfecture de police de Paris qui en compte vingt, le nombre de mosquées salafistes en province atteint le nombre de 132. Ce malgré les quelques fermetures de mosquées à Aix-en-Provence, Marseille et Ecquevilly. A titre de comparaison, un rapport consacré au salafisme du SCRT mentionnait 120 mosquées salafistes hors Paris dans un rapport de juin 2016.

    Ce rapport à l’époque faisait état d’une hausse de 170% du nombre de mosquées de ce courant entre 2010 et 2016. Emmanuel Macron a, à plusieurs reprises, annoncé son refus d’interdire le salafisme et les Frères Musulmans en France, se contentant de s’en référer à la justice lorsque des prêches tombent sous le coup de la loi. Mais l’imâm de la Grande Mosquée de Toulouse a beau évoquer un combat à mort contre les juifs en se filmant et diffusant le prêche sur la chaine Youtube de la mosquée, sans que cela n’entraine ni la fermeture de cette base de l’islamisme, ni l’expulsion de l’imâm algérien.

     

    Source : Observatoire de l'islamisation via contre-info


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