• Seine-Saint-Denis : violente agression aux cris de « Dégagez, on n’aime pas les Blancs ici ! »

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    « Une jeune fille et sa mère ont été victimes d’une violente agression, le 20 mai dernier, alors qu’elles se dirigeaient vers la gare pour rentrer chez elles, à Pierrefitte-sur-Seine, en Seine-Saint-Denis, signale l’Organisation de lutte contre le racisme anti-Blancs (OLRA).

    Les deux femmes (la mère est malvoyante et se déplace avec une canne) ont notamment reçu des jets de cailloux, une barre en métal et un morceau de béton de la part d’un groupe de « jeunes », qui ont multiplié les insultes racistes : « Dégagez, on n’aime pas les Blancs ici ! », « Retourne-toi, regarde-nous sale pute, sale blanche ».

    L’OLRA, qui accompagne les victimes dans leurs démarches juridiques, précise que la jeune femme, blessée à la tête et toujours en état de choc, a été transportée par les pompiers à l’hôpital, et qu’un arrêt de travail ainsi qu’un suivi psychologique ont dû être mis en place. Une plainte a été déposée. »

    Source : VA via contre-info


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  • Racisme anti-Blancs : une mère et sa fille agressées et insultées à Pierrefitte-sur-Seine

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     / Jeudi 7 juin 2018 à 15:29 45
    Pierrefitte-sur-Seine (image d'illustration). Photo © A. GELEBART/20 MINUTES/SIPA
     

    Haine. Elles ont reçu des jets de cailloux et des injures : « Retourne-toi, regarde-nous sale pute, sale blanche ».

    Une jeune fille et sa mère ont été victimes d’une violente agression, le 20 mai dernier, alors qu’elles se dirigeaient vers la gare pour rentrer chez elles, à Pierrefitte-sur-Seine, en Seine-Saint-Denis, signale l’Organisation de lutte contre le racisme anti-Blancs (OLRA).

    Les deux femmes (la mère est malvoyante et se déplace avec une canne) ont notamment reçu des jets de cailloux, une barre en métal et un morceau de béton de la part d’un groupe de « jeunes », qui ont multiplié les insultes racistes : « Dégagez, on n’aime pas les Blancs ici ! », « Retourne-toi, regarde-nous sale pute, sale blanche ».

    Une plainte a été déposée

    L’OLRA, qui accompagne les victimes dans leurs démarches juridiques, précise que la jeune femme, blessée à la tête et toujours en état de choc, a été transportée par les pompiers à l’hôpital, et qu’un arrêt de travail ainsi qu’un suivi psychologique ont dû être mis en place. Une plainte a été déposée.

    « Nous ne pouvons tolérer plus longtemps le silence auquel sont condamnées les victimes », déplore l’association apolitique dans un communiqué. Contactée par Valeurs actuelles, la police municipale nous a renvoyés vers la mairie, qui n’a pas répondu, pour l’instant, à notre sollicitation.


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  • Le féminisme militant accentue le processus de déconstruction des valeurs

    Le féminisme est aujourd’hui allé au-delà de ses revendications d’origine portant sur l’égalité des droits pour devenir un agent de déconstruction des valeurs de notre civilisation. En même temps qu’il nie la dimension maternelle de la nature féminine, il cherche à émasculer les hommes et, ce faisant, à saper les bases de l’organisation sociale. Utilisant l’argument égalitariste pour subvertir la nation, le féminisme combat la famille et participe au suicide démographique de notre peuple.

    Le féminisme est passé de l’égalité des droits à la déconstruction des valeurs

    Le féminisme, c’est-à-dire la volonté d’ériger les femmes en une catégorie sociale spécifique victime du pouvoir « patriarcal », est une invention anglo-saxonne du début du siècle dernier. Focalisé sur l’égalité des droits, ce mouvement obtient satisfaction au lendemain de la Seconde Guerre mondiale avec notamment le droit de vote pour les femmes. Ayant atteint son objectif, il change de nature lors de la révolution des mœurs des années soixante et commence à s’en prendre à la famille traditionnelle ainsi qu’aux hommes qu’il désigne comme les oppresseurs de la femme.

    Le féminisme contemporain n’apporte rien à la cause des femmes européennes

    Mais autant la revendication première d’égalité des droits était légitime, autant les revendications actuelles concernant la place de la femme dans la société apparaissent infondées. Dans la sphère privée, les femmes ont en effet acquis aujourd’hui une position d’équilibre avec les hommes. Quant à leur place dans notre civilisation, elle a toujours été reconnue et a souvent été prééminente, comme en témoignaient jusqu’il y a peu les règles de la galanterie. Car, dans la civilisation européenne, la femme est non seulement la maîtresse du foyer, l’incarnation de la maternité et donc de la lignée, mais elle peut être aussi divinité, souveraine, voire guerrière. La plupart des femmes ont toujours travaillé et beaucoup ont exercé des responsabilités. Contrairement aux civilisations du Moyen-Orient, où la femme est considérée comme un être inférieur à l’homme, en Europe la femme a toujours joué un rôle fondamental, même s’il était différent de celui de l’homme.

    Le féminisme fonctionne comme un agent de déconstruction au service du Système

    Si donc le féminisme contemporain ne sert pas réellement la cause des femmes, il œuvre en revanche au projet déconstructeur du Système. Les féministes, comme les prétendus « antiracistes » qui voient des questions raciales là où il n’y en a pas, mettent en scène une « domination institutionnelle » de l’homme et imposent une version sexuée des rapports humains là où elle n’a pas lieu d’être. Un processus qui déstabilise profondément la société et contribue à détourner l’attention de ce qui menace le plus les Européens, à savoir leur disparition en tant que peuple et civilisation.

    Ce n’est pas un hasard si les féministes refusent systématiquement de reconnaître les risques que représente l’islamisation pour la condition féminine, allant même jusqu’à nier les violences sexuelles dont se rendent coupables certains migrants ou à affirmer que le port du voile serait un acte de fierté féminine. La vérité est que les féministes œuvrent pour le Système et s’alignent sur ses positions, même si celles-ci vont à l’encontre des droits des femmes.

    Le féminisme impose une parité obsessionnelle, injuste et inefficace

    Pour son travail de déconstruction, le féminisme se fonde sur l’égalitarisme, un principe simple et efficace qui permet de dénoncer une discrimination chaque fois que l’échantillon choisi ne comprend pas un nombre égal de représentants des deux sexes. Cette démarche victimaire et revendicatrice, qui s’apparente à celle pratiquée outre-Atlantique par les différentes minorités, notamment par les afro-américains, débouche ensuite sur des mesures prétendument correctrices, causes d’injustices et d’aberrations.

    Ainsi, la politique des quotas ou celle de la discrimination positive est-elle particulièrement malsaine. Nommer des femmes de préférence aux hommes pour respecter ce type de normes peut en effet se révéler injuste pour les hommes méritants qui sont écartés et humiliant pour les femmes de talent qui sont promues. De plus, cette pratique qui vise à établir partout une parité systématique ignore les différences naturelles entre les hommes et les femmes qui font que certains emplois sont plus adaptés aux uns qu’aux autres. Elle conduit de surcroît à ne plus choisir les plus performants et les plus adaptés pour occuper les postes de direction dans notre pays.

    Le féminisme rejette la nature maternelle de la femme

    Pour « égaler l’homme» et atteindre ses objectifs de parité absolue, le féminisme militant en vient par ailleurs à combattre la maternité. Ce sont en effet les féministes qui, adoptant pour slogan « mon corps m’appartient », organisent autour de la loi Veil de 1975 une véritable campagne promotionnelle en faveur de l’avortement de masse, alors que, pour les auteurs de la loi, l’IVG devait rester une exception encadrée. Comme si, selon un étrange paradoxe, les féministes considéraient que la femme ne serait véritablement « libérée » qu’à la condition de refuser la maternité et de nier ainsi sa propre nature. Une vision qui trouve aujourd’hui son écho dans la théorie du genre selon laquelle le sexe ne résulte que d’un choix individuel et non d’une donnée naturelle.

    Le féminisme favorable au suicide démographique européen

    Dans cet esprit, l’idéal des féministes reste la « femme active », celle qui s’est débarrassée des contraintes de la famille et des enfants, alors que la « mère de famille » incarne à leurs yeux le statut social le plus rétrograde qui soit. Ce faisant les féministes portent une lourde responsabilité dans la baisse de la natalité qui conduit au suicide démographique européen. Elles s’opposent en effet farouchement à toute politique familiale d’encouragement à la natalité en France comme en Europe. L’hiver démographique que connaît notre continent pas plus que l’immigration de peuplement qu’il subit ne les inquiètent le moins du monde.

    Le féminisme conduit à la dévirilisation de l’homme

    Car le principal objectif de ces militantes est au fond de mettre les hommes en accusation. À cet égard, le féminisme remplit la même fonction que la repentance : il sert à instiller la mauvaise conscience chez l’homme européen afin de lui faire accepter l’idée de sa disparition programmée.

    L’idéologie punitive des féministes considère en effet que l’homme est coupable de tout. Même la taille des femmes, en moyenne inférieure à celle des hommes, serait due au fait que dans la préhistoire les hommes se seraient appropriés les nourritures les plus riches ! Dès lors, l’homme européen doit s’excuser à tout instant d’être homme, il doit renoncer à s’intéresser aux femmes sauf s’il s’agit d’approuver les slogans féministes et dans les relations de couple il doit s’effacer. Il lui sera demandé de prendre à son compte les tâches féminines et d’estomper en lui toute trace de masculinité. Et, s’il ne se conforme pas, il sera traité de macho, de sexiste, accusé de harcèlement, poursuivi par une meute de censeurs et de dénonciatrices. Et beaucoup de renoncer à leur virilité  pour préserver leur tranquillité ou par simple conformisme.

    Aussi, ce féminisme punitif mène-t-il une action de déconstruction particulièrement néfaste puisqu’il s’attaque à la nature même de la femme comme à celle de l’homme pour créer un être hybride et asexué. En ce sens, il s’affirme fondamentalement comme un anti-humanisme.

    Source : http://lignedroite.club


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  • « Exploits » des migrants en ce mois de mai 2018…

    Publié par : Pieds Noirs 9A..exploits,migrants,mois de mai

    Bizarrement, on n’en parle moins dans les médias que le « superman » malien… Liste extrêmement partielle mais fortement indicative :

    Notons également que les médias, si prolixe sur ce douteux sauvetage, sont d’un silence de carpe sur les exactions commises récemment par les migrants. Petit panorama rapide en ce qui concerne le mois de mai :

    – 1er mai : arrestations du violeur d’une jeune femme à Offenburg (Allemagne) : un migrant de 24 ans.

    – 1er mai : Attaque de la police à Witzenhausen (Allemagne) par un groupe de migrants voulant défendre un syrien.

    – 3 mai : Kalmar (Suède) : condamnation à 12 mois de prison d’un groupe de migrant afghans violeurs collectifs d’une mère de famille.

    – 3 mai : Berlin (Allemagne) : une vielle dame de 84 ans, Maria Müller, est tabassée à mort avec son propre déambulateur par un migrant camerounais notoirement connu des services de police. Le journal Die Welt commente : « avec une longue liste de délits et crimes qui vont du vol jusqu’à une douzaine de coups et blessures ainsi qu’une agression sexuelle. D’où la question : pourquoi un tel individu se trouve encore sur le sol allemand et n’a pas été expulsé ? Pour seule réponse, l’Office des réfugiés « demande de la compréhension et se cache derrière la protection des données des individus ». »

    – 5 mai : Strasbourg, une femme de 35 ans est victime d’une tentative de viol et de meurtre par un migrant syrien de 33 ans.

    – 5 mai : La Haye (Pays-Bas) : un migrant syrien, Malek F., poignarde trois personnes au cri d’Allah Akbar.

    – 6 mai : Riem (Allemagne) : un migrant syrien menace plusieurs personnes avec un poignard.

    – 7 mai : Lecco (Italie) ; lors d’un contrôle de titre de transport, des migrants nigérians tabassent un policier, le blessant grièvement.

    – 7 mai : Esbjerg (Danemark) : les violeurs de deux adolescentes de 14 ans dans un centre commercial de la ville le 31 mars sont arrêtés. Il s’agit de deux migrants afghans. Ordre avait été donné d’étouffer l’affaire.

    – 9 mai : Blankenberge (Belgique) : deux routiers polonais sont poignardés par des migrants qui tentaient de s’introduire dans leur camion. L’un d’entre eux est désormais paralysé au visage.

    – 11 mai : Östervala (Suède) : une fillette de 10 ans est violée dans un cimetière par trois migrants.

    – 11 mai : Caen : condamnation à 10 mois de prison ferme d’un migrant de 23 ans qui avait agressé une personne âgée le 26 avril.

    – 11 mai : Houilles : un groupe de « mineurs » migrants se livre à plusieurs agressions contre des femmes afin de leur arracher leurs bijoux. Tous sont hébergés par le conseil départemental…

    – 11 mai : Cognac : un migrant multirécidiviste condamné pour harcèlement sexuel d’une jeune adolescente.

    – 12 mai : Paris : un migrant tchétchène poignarde plusieurs personnes avant d’être abattu par la police. Bilan : 1 mort, 2 blessés. L’attentat a été revendiqué par Daesh.

    – 13 mai : Pozzallo (Italie) : deux policiers sont blessés à la tête par des migrants tunisiens.

    – 14 mai : Montreuil : une jeune fille de 17 ans est violée par un migrant dans un foyer de travailleurs. Ce dernier doit se jeter par la fenêtre du 3e étage pour échapper à une tentative de lynchage perpétrée par 8 amis de la victime.

    – 15 mai : Regensburg (Allemagne) : le migrant sénégalais Soueymane Sidki, dont l’expulsion avait été rejetée pour un vice de forme, comparait devant le tribunal pour le meurtre d’une ressortissante roumaine, Lica Luminata.

    – 16 mai : Vienne (Autriche) : un migrant tchétchène de 16 ans poignarde à mort au cou avec un couteau de 20 cm une fillette de 7 ans car « il était dans un mauvais jour ».

    – 16 mai : Lille : un migrant de 14 ans est interpellé pour l’agression d’une femme de 28 ans afin de la détrousser.

    – 16 mai : Rathenow (Allemagne). Une quinzaine de migrants syriens lapident des citoyens allemands, en blessant 6.

    – 16 mai : Belgique. Sur une aire d’autoroute, un groupe de migrants attaque une voiture de police à coups de bâton.

    – 16 mai : Berlin (Allemagne). Armé de plusieurs couteaux, un migrant libanais de 16 ans blesse trois policiers alors que ces derniers tentaient de l’arrêter. Il s’était échappé de son centre d’accueil.

     – 17 mai : Rennes : un migrant afghan de 23 ans agresse sexuellement une femme et écope de 6 mois de prison ferme.

     – 17 mai : Linz (Autriche) : un jeune homme de 16 ans sauve une femme de 36 ans d’un viol dans un parc. L’agresseur est un migrant originaire du Moyen-Orient.

    – 20 mai : Fogia (Italie) : un migrant gambien de 22 ans agresse une femme qui rentrait chez elle.

    – 20 mai : Rome (Italie) : 4 migrants bangladeshis enlèvent et violent collectivement toute une nuit une femme de 44 ans sous le viaduc de Guidonia.

    – 20 mai : Pau : un trentenaire est lynché à mort par deux migrants mineurs, un Azéri et un Tchétchène.

    – 21 mai : Ecosse : une jeune karateka, Kelly Soutar, 29 ans, soudeuse de profession, voit ses agresseurs, des migrants bangladeshis, condamnés à 3 ans de prison. Elle leur avait administré une bonne correction alors que ces derniers avaient tenté de la violer.

    – 23 mai : Dijon : deux migrants afghans tabassent dans un train une jeune femme sous prétexte qu’elle avait un décolleté. L’AFP mettra 3 jours pour y consacrer une petite dépêche, alors que FdSouche en avait parlé le soir même…

    – 24 mai : Tuttingen (Allemagne) : un migrant pakistanais, Saïd K. armé d’un bâton clouté frappe plusieurs personnes dont un homme politique local, Bernd Mager (CDU) qui avait tenté de l’interpeller.

    – 24 mai : Crémone (Italie) : un migrant nigérien tente de pousser une personne sous le train.

    – 25 mai : Fürstenfeldbruck (Allemagne) : 7 employés d’un centre de demandeurs d’asile ont été blessés lors d’une émeute suscitée par des migrants nigérians.

    – 25 mai : Plauen (Allemagne) : comparution devant le tribunal d’Hatem H., migrant syrien de 21 ans et auteur de 400 crimes et délits depuis son arrivée en Allemagne en octobre 2015.

    – 25 mai : Croisilles : un migrant marocain agresse sexuellement une fillette de 11 ans.

    – 26 mai : Calais : une policière est blessée par un migrant qui est immédiatement relaché.

    – 27 mai : Lyon : démantèlement d’un laboratoire d’héroïne dirigé par un migrant albanais et installé dans un logement social.

    – 27 mai : Moria (Grèce) : 72 blessés entre migrants kurdes, des partisans de l’islam revendicatif ayant agressés des laïcards pour une histoire de ramadan non respecté.

    – 28 mai : Milan (Italie) ; un migrant égyptien est interpellé couteau en main et criant « Allah Akbar ».

    – 29 mai : Saint-Gall (Suisse) : un migrant syrien tente d’arracher les yeux d’une jeune fille.

    – 29 mai : Chemnitz (Allemagne) : un migrant syrien de 18 ans a séquestré et violé dans une cave une jeune fille de 15 ans. La victime était si grièvement blessée qu’elle a dû subir une opération chirurgicale.

    – 29 mai : Paris : un migrant somalien est poignardé à mort par un autre migrant somalien.

    – 30 mai : Montpellier : un migrant tente d’agresser une femme au CHU dans le service maternité mais est stoppé par un gendarme réserviste.

    – 30 mai : Jemeppe-sur-Sambre (Belgique) : trois blessés dans une bagarre entre migrants.

    – 30 mai : Schiedam (Pays-Bas) : un migrant syrien armé d’une hache crie Allah Akbar et tue un chien policier avant d’être neutralisé.

    – 31 mai : Srb (Croatie) : une camionnette de migrants tente d’écraser des policiers.

    Notons que sur les crimes des migrants, même un journal comme Bild s’indigne dans son édition du 25 mai : « Votre vie s’est terminée de la manière la plus brutale. Ils vous ont tués, poignardés, frappés à mort. Mais vous meurtriers ont une chose en commun : ils auraient tous dû être expulsés il y a longtemps ou même pas autorisés à être en Allemagne. » Et de mettre photos et âge des victimes des migrants : Mia, 15 ans ; Ayesha, 1 an ; Lica, 33 ans, Maria, 84 ans ; Maria, 19 ans et Susanne, 60 ans.

    Hristo XIEP

    Source : medias-presse.info


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