• Des chômeurs d'Indre-et-Loire victimes d'une escroquerie à la fausse offre d'emploi..

    Des dizaines, voire des centaines de chômeurs ont été victimes d'une arnaque à la fausse offre d'emploi, depuis environ six mois, en Indre-et-Loire. Le commissariat de Tours et Pole Emploi viennent de lancer une mise en garde contre cette escroquerie très bien montée.

    Les escrocs se font payer grâce à des cartes prépayées qui permettent de retirer la somme en liquideLes escrocs se font payer grâce à des cartes prépayées qui permettent de retirer la somme en liquide - BELPRESS/MAXPPP

    Indre-et-Loire, France

    Les offres sont déposées sur des sites d'annonces entre particuliers. Bien rédigées, sans faute d'orthographe, elles portent parfois le logo Pole Emploi et concernent généralement des postes dans le secteur des services

    Les échanges entre le candidat et le recruteur se déroulent par mail ou par téléphone  et rapidement, le prétendu employeur propose d'envoyer 1000 ou 2000 euros, par chèque, pour que son nouvel employé s'achète du matériel. 

    Le chômeur rembourse un trop-perçu à celui qu'il croit être son nouvel employeur

    Quand le chèque arrive, le montant est supérieur de quelques centaines d'euros à ce qui avait été annoncé. L'employeur rappelle immédiatement. Il explique que la comptable a fait une faute et qu'il faut rembourser rapidement la différence, grâce à un virement par carte prépayée. La spécificité de ces cartes, c'est qu'elles permettent au destinataire de récupérer la somme en liquide. Cette somme, le salarié ne la reverra jamais, évidemment, puisque le chèque qu'il a reçu est faux ou volé, en tout cas impossible à encaisser.

    Un préjudice de plusieurs centaines d'euros pour chaque victime

    Ces six derniers mois, il y a eu jusqu'à cinq plaintes par semaine déposées au commissariat de Tours. Les escrocs, eux, peuvent être n'importe ou dans le monde.

    https://www.francebleu.fr/


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  • Hommage au Colonel Jean-Marie Bastien-Thiry, fusillé il y a 55 ans sur ordre de De Gaulle

    Communiqué d'Alexandre SIMONNOT

    Rendons un hommage tout particulier au Colonel Jean-Marie BASTIEN-THIRY, héros et martyr de la Patrie, fusillé il y a aujourd’hui 55 années, le 11 Mars 1963.

    Jean-Marie BASTIEN-THIRY était Lorrain, Polytechnicien, Lieutenant-colonel dans l’Armée de l’air et l’inventeur de deux missiles antichars, les SS-10 et SS-11. Il avait 36 ans et laissait une veuve et trois petites orphelines.

    Organisateur de l’opération du Petit-Clamart, le Colonel Jean-Marie BASTIEN-THIRY aura tout sacrifié, sa famille et sa vie, pour l'honneur de la France. Il nous a laissé, en versant son sang, un message, un exemple à méditer, à admirer et à suivre.

    Alors que les tireurs du Petit-Clamart seront graciés par De Gaulle, celui-ci refusera d’accorder sa grâce au Colonel BASTIEN-THIRY.

    Jean-Marie BASTIEN-THIRY est l’exemple parfait du dévouement, du courage, de l’abnégation, du don de soi et du sacrifice de sa vie envers la Patrie. Il est l’honneur de l’Armée Française.

    Homme de Foi, grand Catholique, il mourra comme un saint, marchant vers le peloton d’exécution son chapelet à la main, après avoir entendu la Messe. Refusant d’avoir les yeux bandés, il regardera la mort droit dans les yeux avant de pouvoir contempler ensuite la Vie Eternelle. Il sera le dernier condamné à mort à avoir été fusillé en France.

    Assassiné sur ordre de celui qui aura trahi l’Algérie Française et livré des dizaines de milliers de Harkis et Pieds-noirs aux tortures les plus innommables des bouchers fellouzes du FLN, le Colonel Jean-Marie BASTIEN-THIRY demeure un Français modèle, un héroïque soldat dont le nom restera pour toujours inscrit sur le Martyrologe de notre pays.

    Que Jean-Marie BASTIEN-THIRY repose en paix, aux côtés de tous les Morts pour la France, dans le Paradis des Héros, des Martyrs et des Soldats.


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  • Nordahl Lelandais a reconnu avoir pris en stop le caporal Noyer

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    C'est une fois encore acculé face à des éléments accablants et irréfutables que Nordahl Lelandais a reconnu avoir pris en stop le caporal Noyer dans la nuit du 11 au 12 avril 2017 dans les rues de Chambéry.
    Interrogé par la juge d'instruction, le 5 février dernier , l'ex militaire de Domessin, mis en examen pour l'assassinat d'Arthur Noyer, a donc reconnu avoir pris en stop le caporal à la sortie du Carré Curial puis l'avoir déposé quelques kilomètres plus loin, là où le caporal le lui avait demandé toujours selon les déclarations de Nordahl Lelandais. Toujours selon les informations du Dauphiné Libéré, Nordahl Lelandais a également indiqué que Arthur Noyer était alcoolisé lorsqu'il l'a pris en stop.
    Le 20 décembre dernier, jour où Nordahl Lelandais a été mis en examen pour l'assassinat du caporal , le procureur de la République Thierry Dran, avait détaillé certains éléments d'enquêtes et notamment l'exploitation de la téléphonie. Cette exploitation  avait révélé que les téléphones d'Arthur Noyer et de Nordahl Lelandais avaient successivement déclenché les mêmes relais dans un même espace temps sur une distance de 7,5 km. "La vitesse de déplacement  démontre clairement Arthur Noyer s'était déplacé dans une voiture et non plus à pied", avait alors précisé le magistrat. Nordahl Lelandais avait éteint ses téléphones respectivement à 3h31 et 3h41 avant de les rallumer à 7h53 dans le secteur de Domessin. Un mode opératoire parfaitement similaire à  la nuit au cours de laquelle Nordahl Lelandais a enlevé et tué la petite Maëlys à Pont-de-Beauvoisin.
    Des débris de crâne humain été découverts par un promeneur le 7 septembre. Puis de nouvelles recherches menées à la mi-janvier avaient permis de découvrir une grande partie des ossements du caporal Noyer sur les hauteurs de Montmélian.
    Toujours selon les informations du Dauphiné Libéré , les enquêteurs de la SR de Chambéry disposeraient de nouveaux éléments accablants. Nordahl Lelandais pourrait y être très prochainement confrontés.

    http://www.ledauphine.com/savoie/2018/03/09/nordahl-lelandais-a-reconnu-avoir-pris-en-stop-le-caporal-noyer


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  • LA GIROUETTE EN PUISSANCE ...

    En dénaturant ainsi Jeanne d’Arc, l’un des mythes fondateurs les plus populaires de l’histoire de France, symbole de la lutte contre l’envahisseur (anglais à l’époque), Marine Le Pen valide de facto l’invasion étrangère en cours en France et affiche son mépris des valeurs de la France...


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  • Champagne et dîners fins : 427.00.000 euros de dépenses douteuses du FN au Parlement européen

    La note risque d’être salée pour le FN. Selon des informations révélées par Médiapart, le Parlement européen devrait réclamer 427 000 euros au groupe auquel appartient le Front national, l’Europe des nations et des libertés, pour des dépenses jugées « non conformes » et « déraisonnables » sur l’exercice financier 2016.

    Le média a eu accès à un document rédigé par la commission du contrôle budgétaire de l’institution, sollicitée par le Parlement européen pour donner un avis consultatif en amont du vote, qui devrait avoir lieu à la réunion du 19 mars de l’institution.

    D’après Médiapart, « si certaines formulations sont susceptibles d’évoluer, la position de fond, elle, devrait rester inchangée. La conclusion des coordinateurs est implacable : le Parlement européen doit demander au Front national et ses alliés de rembourser plus de 427 000 euros. »

    Cette nouvelle enquête vient s’ajouter à celles des assistants parlementaires dont le préjudice a été réévalué à 7 millions d’euros par le Parlement européen, selon le JDD.

    Des dépenses « non conformes »

    Le Parlement européen enquête sur les comptes du groupe politique ENL depuis l’été 2017. En août, Médiapart révélait une première évaluation du cabinet d’audit Ernst & Young faisant état de 546 383 euros de dépenses « non conformes » aux règles du Parlement en 2016, soit 17 % des frais de fonctionnement du groupe. Ce montant correspondrait à des dépenses non accompagnées d’une justification adéquate ainsi que des procédures d’appels d’offres non respectées.

    En septembre, le groupe ENL avait répondu à la demande du Parlement de fournir des documents justifiant les dépenses. Le groupe ENL mettait notamment en avant une « question d’interprétation des règles » des procédures, par exemple sur les appels d’offres.

    « Le groupe avait « considéré que les appels d’offres s’appliquaient prestation par prestation dès lors qu’elles étaient de nature différente et non par prestataire », décrit Médiapart en citant Nicolas Bay, coprésident du groupe ENL. Selon ce dernier, cela expliquerait que « dans certains cas les appels d’offres n’ont pas été faits ».

    Ces arguments n’ont pour autant pas été jugés suffisants par la commission du contrôle budgétaire, qui pointe « qu’une partie de ces sommes porte sur des dépenses qui n’ont pas été accompagnées de justifications « adéquates » (38 889,91 euros), l’autre sur des procédures d’appel d’offres non respectées avec des prestataires de services (388 278,60 euros) ».

    Cadeau de Noël et bouteilles de champagne 

    En parallèle, le cabinet d’audit mettait en avant dans son rapport des dépenses « qui lui semblaient ne pas avoir fait l’objet d’une gestion saine », telles que des frais de réunion, des remboursements de repas ou encore l’achat de gadgets.

    La commission reprend ces conclusions, pointant certaines dépenses « pas raisonnables et donc pas acceptables », telles que des remboursements des cadeaux de Noël d’une valeur de 100 euros ou encore l’achat de 228 bouteilles de champagne, dont « six d’une valeur (…) dépassant 81 euros l’unité ».

    Pour Nicolas Bay, « il n’y a pas eu d’infractions par rapport aux règles internes du Parlement »Le groupe présente ces dépenses comme des achats de gadgets promotionnels, le Parlement européen autorisant jusqu’à 100 euros pour ces derniers.

    Obstruction, subventions : le FN coûte cher au Parlement européen

    Depuis les élections européennes de 2014, le Parlement européen est de plus en plus utilisé par le Front national pour gagner de l’envergure politique. Et l’institution peine à encadrer ces pratiques, dénonce l’eurodéputée Pervenche Berès dans un livre.

    L’affaire des assistants parlementaires

    En parallèle, le FN pourrait avoir affaire au Parlement européen sur une autre enquête. Dans son édition du 4 mars, le JDD dévoile que le Parlement européen aurait réévalué à 7 millions d’euros le préjudice né d’emplois fictifs par le FN dans l’institution européenne.

    Depuis décembre 2016, le Parlement européen tente de déterminer si le parti d’extrême droite a organisé un système de détournement de fonds publics européens, via des emplois fictifs d’assistants parlementaires.

    L’instruction, qui concernait au départ la période de 2012 à 2016, devrait finalement remonter à juillet 2009 ce qui ferait passer le montant du préjudice d’une première estimation à un peu moins de 5 millions à près 7 millions d’euros.

    Après l’hebdomadaire, l’enquête devrait se concentrer « à la fois sur la possible mise en place d’un détournement organisé de l’argent européen et sur la personne même de Marine Le Pen ». Le JDD cite notamment un courrier de Wallerand de Saint Just adressé à Marine Le Pen, dans lequel il se félicite « d’économies réalisées grâce au Parlement européen », estimées à 1.2 million d’euros par an.

    https://www.euractiv.fr


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