• Terrorisme du quotidien : Hicham n’apprécie pas les remarques d’un automobiliste français de 67 ans et le tue

    L’homme avait été frappé dans le centre-ville de Cournon (Puy-de-Dôme) le vendredi 16 mars. Dans le coma depuis l’agression, il vient de succomber à ses blessures au CHU.

    Le parquet de Clermont-Ferrand a été avisé ce dimanche matin: l’homme de 67 ans transporté dans un état critique au CHU de Clermont-Ferrand, le 16 mars, n’a pas survécu.

    Ce Cournonnais avait été violemment pris à partie suite à un banal différend entre automobilistes. Il se serait initialement arrêté sur le parking d’une banque, avenue de la Libération, pour faire une réflexion à un autre conducteur. Ce dernier lui aurait alors porté un coup au visage, le faisant chuter lourdement au sol.

    Souffrant d’un important traumatisme crânien, le sexagénaire était inconscient à l’arrivée des pompiers et de l’équipe médicale du Smur. Il a donc succombé à ses blessures, neuf jours plus tard.

    L’agresseur présumé avait pris la fuite juste après les faits dans une Audi 3. Ce Cournonnais de 38 ans a pu être interpellé mercredi par les enquêteurs de la sûreté départementale. Hicham Z. a été mis en examen dès le lendemain et placé en détention provisoire.

    Jusque-là poursuivi pour violences volontaires, le trentenaire devra désormais répondre de coups mortels.

    Source : http://alertesinfos.fr


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  •  Paris : une femme juive de 85 ans, rescapée de la Shoah, poignardée à mort et brûlée à son domicile (BNVCA)

    Selon Le Parisien, un tragique incendie s’est déclaré dans un appartement, avenue Philippe-Auguste (XIe), et a fait une victime. Le drame a eu lieu ce vendredi soir, à 18h30. Les pompiers, en progressant dans l’appartement, ont fait une macabre découverte : le corps d’une femme de 85 ans.

    Le Bureau national de vigilance contre l’antisémitisme (BNVCA) affirme que la victime est de confession juive et est une rescapée de la Shoah. La victime aurait été poignardée à 11 reprises.

    “Le BNVCA demande que tout soit mis en oeuvre pour identifier et confondre l’auteur, et vérifier s’il s’agit ou pas  d’un crime antisémite. comme tout laisse à le croire”, a indiqué l’organisme juif dans un communiqué.

    Les techniciens du laboratoire central de la préfecture de police, suspicieux sur l’origine de l’incendie, ont ratissé la scène à la recherche d’indices. La thèse du suicide semble écartée. Le procureur s’est déplacé.

    D’après une source policière, la victime avait déposé des mains courantes contre un riverain qui l’avait menacé de la faire brûler. Ce dernier aurait été vu dans son appartement. L’enquête a été confiée à la police judiciaire.

    Éric Hazan – © Le Monde Juif .info | Photo : DR


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  • Pour Marine Le Pen, l'Islam a toute sa place dans la République

    Publié par Thomas Joly 

    Dimanche soir sur TF1, la calamiteuse présidente du Front National a déclaré que l'Islam avait toute sa place dans la République, adhérant ainsi à l'utopie assimilationniste et cosmopolite de ce régime à bout de souffle qui a mené la France là où elle en est aujourd'hui.

    Cette ultime trahison n'est pas une surprise et confirme que Marine Le Pen et ses larbins de la direction du néo-FN sont clairement des usurpateurs prêts à tout renier pour intégrer le sérail.

    Écrit par . dans LE PARTI DE LA FRANCE


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  • Il est stupide de réduire la menace islamiste au seul terrorisme jihadiste

    Alexandre del Valle, qui vient de publier La stratégie de l'intimidation, répond au FigaroVox. Extraits :

    XVM134a7f7c-2ec0-11e8-8f40-c740ab83b836-140x200"[...] Toute guerre a un objectif, et celui de l'islamisme mondial est de faire régner partout l'ordre de la charia, de reconquérir tous les pays qui furent jadis musulmans (Balkans, Espagne, Sicile, Portugal, Inde, Israël, etc.), qu'il veut réunir à terme dans un califat, afin d'islamiser la planète entière. Mais, sachant que de nombreux pays sont militairement plus forts qu'eux, les islamistes doivent désarmer d'abord l'Occident grâce à l'interdiction de toute critique de l'islam sous couvert de lutte contre l'islamophobie. Pour éliminer les obstacles sur leurs chemins de conquête subversive, les pôles de l'islamisme mondial distillent l'idée selon laquelle toute critique de l'islam serait une attaque contre les musulmans. Cette «paranoïsation» des musulmans via l'idée que les «sociétés mécréantes» les persécuteraient prépare la sécession possible d'une grande partie des communautés musulmanes de nos pays, que les jihadistes comme les «islamistes modérés» incitent à se «désassimiler».

    De ce fait, il est stupide de réduire la menace islamiste au seul terrorisme jihadiste, qui n'est que l'avant-garde, la face émergée de l'iceberg. L'objectif de conquête du monde et de l'Occident est en effet poursuivi tout autant par l'islam institutionnel mondial et occidental, majoritairement fondamentaliste. La différence entre les deux n'est pas de nature mais de degré. Le but commun est d'instaurer le règne universel de la charia. [...]

    À l'Institut du monde arabe, qui représente pourtant un islam assez modéré, on montre régulièrement une vidéo sur la vie du prophète des musulmans et sur les premières expansions islamiques du VIIe siècle, dans laquelle on voit Mahomet envoyer des cavaliers d'Allah aux quatre coins du monde pour aller déclarer aux rois byzantin ou perse: «aslam taslam!», «soumets-toi et tu auras la paix». Les textes des grands jurisconsultes de l'islam, ceux de Bukhari, Muslim, Nawawi, etc. sont enseignés en Europe dans la plupart des centres islamiques officiels ayant pignon sur rue, alors qu'ils consacrent des chapitres entiers au jihad guerrier offensif, au prélèvement des butins, à la prise des otages mécréants, à l'esclavage, aux châtiments corporels, à l'infériorité des non-musulmans et des femmes et aux peines de mort pour l'apostasie et le blasphème. Quand on prend conscience du lien entre le jihadisme et les sources doctrinales légales de la violence sacrée, on comprend que l'on ne peut pas déradicaliser un jihadiste si facilement. De ce fait, j'affirme qu'un Mohammed Merah ou des égorgeurs de Daech n'ont pas besoin de s'appuyer sur les textes «hérétiques» pour commettre leurs crimes: ils n'ont qu'à écouter les sermons et lire les ouvrages (en vente à la FNAC) de Youssef al-Qardawi par exemple, qui appelle à tuer les homosexuels, les apostats et ceux qui blasphèment. [...]

    Ce que l'on n'a pas compris en Occident, c'est que lorsque l'on tue au nom de l'islam, les pôles institutionnels de l'islamisme testent nos réactions. J'ai visité et pris en photo les nombreux lieux de commémorations post-attentats édifiés comme des autels par la mairie très gauchiste (Podemos) de Barcelone: il n'y a pas eu de photo des victimes occidentales sur les lieux de commémoration, aucune croix chrétienne, aucune apologie de ce que nous sommes, de l'Espagne ou de notre identité, mais une omniprésence d'écrits en arabe, de pancartes où il était écrit que l'islam c'est la paix, l'islam est innocent... Le lendemain des attentats, la mairie de Barcelone fit augmenter les dotations accordées aux organismes de lutte contre l'islamophobie! Nos professions de foi post-attentats et nos bougies entourées de slogans exposées après des carnages sur fond de «lutte contre l'islamophobie» sont perçues par les pôles de l'islamisme institutionnel comme des extraordinaires messages de faiblesse. Ce recours permanent à l'autoflagellation et à la culpabilisation est la preuve, pour les islamistes, que nous sommes une proie facile. [...]"

    Michel Janva

     

    Source : lesalonbeige


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  • 26 mars 1962, un crime d’Etat : de Gaulle ordonne d’assassiner des Français !

    De Gaulle voulait absolument rejeter toute la responsabilité du non-respect des « Accords d’Evian » sur l’action de l’OAS et pour cela il a recouru à la force des armes et fait ouvrir le feu sur une population désarmée qui ne souhaitait que rester française.

    Le 26 mars 1962, une manifestation pacifique partait du plateau des Glières pour se diriger, par la rue d’Isly, vers le quartier de Bab-el-Oued, cerné depuis plusieurs jours par l’armée française et les CRS.

    Bien entendu personne n’était armé, cela était absolument impossible compte tenu de l’état de siège dans lequel se trouvait Alger.

    Le rassemblement atteignait la Grande Poste du boulevard Laferrière, lorsqu’une rafale partait d’un fusil mitrailleur, mis en batterie au dernier étage du 64 de la rue d’Isly. Une deuxième rafale meurtrière déchaînait l’enfer.

    Les tirailleurs algériens complètement affolés tiraient sur tout ce qui bougeait, vers les toits, sur la foule, ce fut une tuerie. Des tirs sans sommation qui ont duré près de douze minutes.

    Le bilan officiel sera de 46 morts et 200 blessés, dont 10 blessés chez les tirailleurs, victimes de balles perdues, et un seul mort (abattu par un officier alors qu’il achevait une femme blessée).

    Un second rapport militaire a fait état d’une centaine de morts et de plus de 200 blessés. A la morgue de l’hôpital de Mustapha les corps étaient jetés par terre, nus, en vrac, et ils ne seront pas rendus à leur famille.

    La vérité « officielle » sur ce massacre programmé n’est toujours pas reconnue officiellement par les différents gouvernements français et il serait étonnant qu’elle le soit un jour.

    Une certitude, ce massacre de la rue d’Isly et, par conséquent l’objectif de cette manœuvre, était la fracture totale entre les Français d’Algérie et l’armée métropolitaine, promise dorénavant au service de l’ALN.

    De Gaulle avait atteint son but.

    **La preuve directe de l’organisation par le gouvernement français, donc par De Gaulle en personne, du massacre des innocents le 26 mars 1962, rue d’Isly à Alger nous est apportée par CHRISTIAN FOUCHET qui, rappelons-le, était Haut-commissaire en Algérie ce 26 mars 1962, et ministre de l’intérieur du 6 avril 1967 jusqu’au 31 mai 1968 date où il est limogé par De Gaulle.

    Voici le témoignage et l’aveu de CHRISTIAN FOUCHET le 28 octobre 1969 :

    « J’en ai voulu au général de m’avoir limogé au lendemain de mai 1968. C’était une faute politique.

    De GAULLE m’a reproché de ne pas avoir maintenu l’ordre en mai 68.

    – « Vous n’avez pas osé tirer » m’a-t-il dit.

    J’aurais osé, s’il l’avait fallu – lui ai-je répondu – Souvenez-vous de l’Algérie et de la rue d’Isly. Là j’ai osé, et je ne le regrette pas, parce qu’il fallait montrer que l’armée n’était pas complice de la population algéroise.

    (Source : Jean Mauriac « L’Après De Gaulle » – notes confidentielles 1969/1989 – page 41)

    Ce même mois de mai 68, de Gaulle lançait à Pompidou une phrase qui résumait toute sa carrière : « Mais, Pompidou, figurez-vous que j’ai passé ma vie à tirer contre des Français ».

    (Rapporté par Edouard Balladur à Daniel Rondeau, auteur de « Vingt-ans et plus – journal 1991/2012 »)

    Dès le cessez le feu proclamé le 19 mars 1962, l’armée française, sur les ordres de De Gaulle et de quelques officiers supérieurs, les généraux Katz, Debrosse et Ailleret, a perdu son honneur car elle n’a pas éprouvé le moindre état d’âme quand il a fallu tirer sur des Français qui défendaient une terre française à Alger et ne s’est pas opposée au massacre, par l’ALN, de près de 3000 Français à Oran.

    Honneur aux officiers de notre armée qui ne se sont pas parjurés.

    Le général de Pouilly, un fidèle parmi les fidèles à De Gaulle, n’hésitera pas à écrire : « J’ai choisi la discipline mais choisissant la discipline, j’ai également choisi avec mes concitoyens et la Nation Française la honte d’un abandon et, pour ceux qui n’ayant pas supporté cette honte et se sont révoltés contre elle, l’Histoire dira peut-être que leur crime est moins grand que le nôtre. »

    Manuel Gomez

     

    Source : ripostelaique


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