• Saint-Herblain (44) : torturée et séquestrée par son ami migrant clandestin, elle s’échappe grâce à un drap

     

    Une jeune femme de 18 ans, séquestrée, frappée et torturée durant plusieurs jours, est parvenue à s’échapper samedi après-midi d’un appartement situé au 9e étage d’un immeuble de Saint-Herblain (Loire-Atlantique), rapporte Presse-Océan.

    Selon le quotidien régional, après trois jours d’un véritable calvaire, la jeune femme a pris tous les risques pour fuir son petit ami et bourreau, avec qui elle vivait depuis dix mois.

    Elle a réussi à nouer un drap pour descendre à partir du balcon de l’appartement et se réfugier chez sa voisine du 8e étage de cet immeuble situé boulevard Marcel-Paul.  (…)

    Peu après son évasion, son petit ami a été arrêté et placé en garde à vue. Agé de 24 ans, en situation irrégulière et déjà connu des services de police, le jeune homme aurait reconnu une partie des faits tout en évoquant une soirée très alcoolisée.


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  • Cité Ozanam : la police accueillie aux cris de « Radouane est un héros »

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    Les premiers éléments d’enquête sur le tueur islamiste ruinent d’emblée la théorie du coup de folie ou de l’acte d’un « radicalisé solitaire », pour reprendre une expression rabâchée. Deux proches de Lakdim ont été arrêtés : sa compagne et un mineur de 17 ans. La compagne est une Française, convertie à l’islam et s’habillant du niqab intégral. Sur internet, elle postait des prières islamistes et interrogeait son réseau pour savoir quelle était la meilleure façon de « passer à l’action ». Apparemment, avec son compagnon, elle a trouvé la « meilleure » façon, ou tout au moins la plus conforme aux directives de l’Etat islamique. Les perquisitions se poursuivent à la cité Ozanam de Carcassonne. Il s’agit notamment de savoir jusqu’à quel degré ces deux complices étaient au courant des détails de l’action projetée par le tueur, dans quelles proportions ils lui ont prêté main-forte et qui, dans la cité, savait. Lakdim fréquentait régulièrement la mosquée. Avec qui a-t-il partagé ses intentions de passer à l’acte ? Qui l’a formé et encouragé ? Qui lui a fourni son armement ? Qui lui a appris à fabriquer des bombes ? La tuerie a été revendiquée par Daesh : sans parler, à ce stade, de véritable réseau, il y a eu pour le moins activation d’une cellule terroriste à la cité Ozanam.

    La cité Ozanam, parlons-en : « Ils ont pris le pouvoir », confient des habitants. Qui ça, « ils » ? Les islamistes, les salafistes, les adeptes de Daesh. « Avant, il y faisait bon vivre, maintenant c’est craignos. » Cette notion de zone de non-droit, ce séparatisme islamique, cette palestinisation de certains territoires français, le monde entier est en train d’en découvrir la gravité, l’étendue, à l’occasion de ce crime.

    Dissidence collective

    On ne peut plus parler de simples complices, dorénavant. Il faut bien parler de dissidence collective : dissidence d’une population qui soutient le tueur ; dissidence d’une population qui ne prend pas position, attendant de voir qui va l’emporter ; dissidence d’une population terrorisée, qui craint pour sa sécurité si elle révèle son refus du séparatisme et du terrorisme. Une situation qui peut rappeler de fort mauvais souvenirs aux anciens d’Algérie.

    Le séparatisme, les journalistes qui ont tenté de faire leur métier à la cité Ozanam l’ont touché du doigt : « Radouane est un héros », ont hurlé des « jeunes » face aux journalistes et aux CRS. Il y a donc dorénavant, dans l’Aude, des groupes islamistes, armés, décidés, pour qui assassiner des Français pris au hasard est donc considéré comme un acte héroïque. Ces mêmes « soldats du Califat » ont d’ailleurs fini par boucler leur quartier et l’interdire aux journalistes : « Cassez-vous, je vais vous tuer », a menacé l’un d’eux. « Barre-toi d’ici ou j’te casse les jambes », a éructé un autre, s’en prenant à Yann Bouchez, journaliste au Monde. « Casse-toi, casse-toi, je vais t’éclater ! », hurlait un troisième à l’encontre d’un cameraman de FR3 Occitanie. Un journaliste d’une télévision étrangère a été blessé à la jambe, tandis que les envoyés de BFMTV et de CNN étaient eux aussi menacés. De leur côté, les CRS ont été caillassés…

    Sans parler de ce « pied-rouge », le dénommé Stéphane Poussier, cadre de la France Insoumise. Pour ce proche de Mélenchon, la mort d’un colonel de gendarmerie, « c’est le pied » (voir article page 4).

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    Extrait de: Source et auteur via lesobservateurs


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  • Des centaines de milliers d'afro-musulmans installés en France célèbrent la mémoire de Radouane Lakdim

    C'est Thibault de Montbrial, Président du Centre de Réflexion sur la Sécurité Intérieure qui le dit : « Dans toute une partie de la France, le héros c'est Radouane Lakdim. Des centaines de milliers de gens célèbrent sa mémoire aujourd'hui ».

     
     

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  • Cambrai (59) : Avant la messe, il crie au micro «Allahou Akbar»

     

    Ce dimanche matin, alors que la messe paroissiale des Rameaux n’avait pas encore commencé en la cathédrale de Cambrai, un incident, sans gravité ni conséquence puisqu’il n’a pas créé de mouvement de panique, s’est produit.

    Selon les renseignements qui nous sont parvenus, un individu, plus marginal que dangereux, s’est approché du micro et a lâché cette expression connotée au lendemain de l’attentat perpétré dans l’Aude. « Il a crié Allahou Akbar, quelqu’un s’est approché de lui et il s’est enfui en courant…


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  • Même morts, nos élus nous rackettent encore !

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     Philippe Randa

    Il n’y a pas de petites économies, tout est bon à prendre – ou plutôt à ne pas débourser –, surtout lorsqu’il s’agit de l’État (le nôtre en l’occurrence) dont la dette publique s’élève tout de même à « 2 226,1 milliards d’euros à la fin du troisième trimestre 2017, soit 98,1 % du PIB contre 55,8 % à la fin de 1995 et 66,8 % à la veille de la crise de 2008 » (chiffres sur Wikipédia). À 3 ou 4 000 milliards près, ne chipotons pas. 

    Ainsi, les nouvelles règles d’allocation pour frais funéraires allouée aux députés de l’Assemblée nationale, aux anciens élus et… à leur famille (sic !) sont entrées en vigueur le 15 mars, sans recours, possible : ce sera 382 000 euros de dépenses funéraires en moins car celles-ci passeront de 18 255 euros maximum à un forfait 2 350 euros, soit (presque) le coût moyen d’une prestation d’obsèques.

    C’est toujours ça, même si certains soupireront que c’est une goutte d’eau dans le tsunami de la dette française, tandis que d’autres s’étonneront, en lisant ces lignes, de découvrir qu’un tel privilège existait… Que des frais de déplacement ou de nourriture puissent être remboursés à nos élus dans le cadre de leurs fonctions, on le conçoit, mais lorsque la Camarde siffle leur fin de vie, comme c’est le lot de tout à chacun, c’est tout de même plus difficile à admettre…

    Les cheminots ne sont donc pas les seuls à voir leurs privilèges d’antan bousculés par l’actuel gouvernement, même si les leurs avaient peut-être davantage de raisons à avoir été institués à une époque que les moins d’un demi-siècle n’ont pas connu…

    Notons que le gouvernement français ne fait que s’aligner sur ce qui se pratique au Parlement européen… et que le Sénat n’est pas concerné pour le moment : vu la moyenne d’âge de ses membres, l’économie réalisée serait à l’évidence plus substantielle !

    Source EuroLibertés cliquez ici


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