• Allemagne: 1 étudiant musulman sur 3 est prêt à se battre et à mourir pour l’islam

    réfugié migrant allemagne

    Dans une enquête en Basse-Saxe, huit pour cent des étudiants musulmans soutiennent la propagation violente de la milice terroriste État islamique. Certains montrent même de la sympathie pour les attentats terroristes.

    L'analyse a montré qu'un tiers (29,9 pour cent) des étudiants musulmans qui ont fourni des informations peuvent « aisément s'imaginer se battre pour l'Islam et risquer leur vie. »

    L'affirmation selon laquelle "Les lois islamiques de la charia, qui punissent, par exemple, l'adultère ou l'homosexualité, sont beaucoup mieux que les lois allemandes "a convenu à 27,4%.

    Il est frappant de constater que même la milice sunnite de l'État islamique (EI) et les attentats terroristes soient accueillis dans un ordre de grandeur conséquent.

    Ainsi, 8,0% des jeunes musulmans qui ont répondu trouvent justifié que leurs coreligionnaires du Moyen-Orient tentent de fonder un État islamique par la guerre3,8% ont même confirmé la phrase: «Les musulmans sont autorisés à atteindre leurs objectifs si nécessaire avec des attaques terroristes.» Au moment où les étudiants ont été interrogés, l'Etat islamique connaissait une phase favorable.

    Près d'un cinquième était d'accord avec la déclaration: «Les musulmans sont opprimés dans le monde entier; contre cela, ils doivent se défendre par la force » (19,8%). Un pourcentage quasi similaire a approuvé l'expression "Il est du devoir de chaque musulman de combattre les incroyants et de répandre l'islam dans le monde" (18,6%). Près d'un cinquième a également soutenu qu'on doit procéder avec toute la sévérité possible "contre les ennemis de l'Islam" (17,7%). La tendance était légèrement plus élevée chez les étudiants masculins que chez les femmes - mais les différences n'étaient pas significatives.

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    Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch


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  • Emmanuel Macron annonce une loi qui permettra de censurer l’internet français sur le modèle chinois

    Le chef de L’État français, Emmanuel Macron, a annoncé qu’une loi permettant au gouvernement de censurer l’internet sera prochainement promulguée.

    Comme de juste, l’annonce de cette censure de type chinoise (voir ici) a été hypocritement avancée au nom« de la démocratie ».

    « Nous allons faire évoluer notre dispositif juridique pour protéger la vie démocratique de ces fausses nouvelles », a déclaré le chef de L’État lors de ses vœux à la presse, en indiquant que « le contenu de ce texte sera détaillé dans les semaines qui viennent ».

    Ainsi, « les plateformes se verront imposer des obligations de transparence accrue sur tous les contenus sponsorisés afin de rendre publique l’identité des annonceurs et de ceux qui les contrôlent, mais aussi de limiter les montants consacrés à ces contenus », a-t-il précisé.

    « En cas de propagation d’une fausse nouvelle, il sera possible de saisir le juge à travers une nouvelle action en référé permettant le cas échéant de supprimer le contenu mis en cause, de déréférencer le site, de fermer le compte utilisateur concerné, voire de bloquer l’accès au site internet », a-t-il poursuivi.

    Concrètement, le gouvernement français décrétera unilatéralement qu’une information est fausse et pourra en conséquence censurer les sites qui l’ont diffusée. S’y ajoute la censure des personnes ayant des opinions jugées déviantes par le gouvernement et les intérêts qu’il défend.

    A contrario, la presse d’état (radio, écrite ou télévisée) ne sera pas concernée et pourra continuer à désinformer l’opinion publique au profit du gouvernement.

    En septembre 2015, au moment de la catastrophe migratoire qui s’abattait sur l’Europe, la radio d’état France Inter avait dénoncé le « fantasme de l’infiltration » djihadiste au sein des flots de migrants. Deux mois plus tard, après l’attentat du Bataclan par des djihadistes venus de Syrie, France Inter modifiait en catimini son titre.

    La mesure de déréférencement a été prise pour la première fois contre Breizatao.com en avril dernier à l’initiative du ministre socialiste de la Justice, Jean-Jacques Urvoas. Elle n’avait cependant été obtenue que sur pression politique auprès de l’entreprise Google.

    Cette mesure de filtrage gouvernemental sera donc systématisée et visera tout l’internet. Si des lois de censure existent déjà pour réprimer les opinions déviantes (lois Pleven, Fabius-Gayssot, Taubira, Lellouche), elles agissaient en aval et non en amont.

    Grave crise de confiance pour le régime

    Ce gigantesque dispositif gouvernemental de censure en temps réel de l’internet français vise à protéger un système politique qui affronte une très grave crise de confiance : seuls 43 % des électeurs ont voté pour Emmanuel Macron contre le Front National au second tour des élections présidentielles de mai 2017 (source).

    La majorité des électeurs a adopté une position d’hostilité au système politique : au total, 57 % des électeurs ont voté au profit de Marine Le Pen, s’est abstenue ou a voté blanc. Cela n’intègre pas les non-inscrits (3 millions).

    Ils étaient 62 % à avoir plébiscité le régime et voté pour Jacques Chirac, dans les mêmes circonstances, en 2002.

    Une censure initiée par la gauche globaliste occidentale

    Les contenus visés seront tous ceux que le gouvernement estime incarner une menace pour l’agenda politique qu’il promeut. En l’occurrence tous les acteurs de l’internet francophone jugés trop à droite par la gauche globaliste occidentale, notamment sur la question de l’immigration ou de l’islamisation.

    Cette censure avait été annoncée dès novembre 2016 par Barack Obama lors d’un voyage en Grèce (source).

    Avec la chute électorale du socialisme international en Occident – victoire de Trump, Brexit, disparition du PS français, affaiblissement historique du SPD allemand – le système globaliste qu’il a largement façonné veut donc contenir la volonté de changement populaire par la censure.

    Un système démocratique laisse par définition aux citoyens la liberté d’examen et de critique pour forger leur opinion et n’impose donc aucune vérité officielle par la force de la censure et de la répression d’état. En voulant définir et imposer ce qu’il considère comme la vérité, le gouvernement démontre qu’il est conscient de la défiance populaire massive qu’il rencontre.

    Source : http://breizatao.com


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