• Le Conseil d’Etat juge insuffisante l’allocation logement pour les demandeurs d’asile

    Publié par:sylvestre Brunaud

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    Le Conseil d’Etat a une nouvelle fois retoqué le montant de l’allocation logement versée aux demandeurs d’asile non hébergés, estimant que la somme de 5,40 euros par jour n’était pas « pas suffisante », selon une décision transmise mercredi à l’AFP.

    La plus haute juridiction administrative était saisie par plusieurs associations d’aide aux migrants, qui demandaient l’annulation d’un décret revalorisant à 5,40 euros par jour le montant de l’aide complémentaire versée aux demandeurs d’asile auxquels les pouvoirs publics n’ont proposé aucun hébergement.

    Ce montant vient en complément de l’allocation de base, dite Ada, qui s’élève à 6,80 euros par jour et par personne et qui est modulable selon la composition familiale.

    Le Conseil d’Etat a annulé le point portant sur la revalorisation parce qu' »il ne fixe pas (…) un montant journalier suffisant » pour permettre « de disposer d’un logement sur le marché privé de la location » dans la plupart des grandes agglomérations où se concentrent les demandeurs d’asile.

    Cette décision marque un nouvel épisode dans la bataille que se livrent par tribunal interposé associations et pouvoirs publics autour de cette allocation. […]

     

    Le Figaro via fdesouche


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  • Migrants : habiter chez une famille française pour mieux s’intégrer

     
    Ilias vit depuis sept mois avec Paul et Brigitte, sa famille d’accueil.
     
    Face à la difficulté de certains centres d’hébergements d’urgence d’accueillir tous les réfugiés, le Samu Social de Paris a lancé en 2016, son programme Elan. Il permet à des citoyens qui le souhaitent, d’accueillir pendant quelques temps (entre 3 et 12 mois), un réfugié. L’objectif est de l’aider à s’intégrer dans la société française, en apprenant la langue et l’aider à s’émanciper. C’est le cas d’Ilias, il vit à Gif-sur-Yvette (Essonne) chez Paul et Brigitte. Témoignages recueillis par François-Pierre Noel

    Ilias, réfugié somalien, arrivé en France il y a 2 ans :  » Si on parle votre langue, le Français dit ‘bienvenue’ mais si on le parle pas, il dit le contraire  »

    Ilias est arrivé en France il y a 2 ans. Ce Somalien de 29 ans a dû quitter son pays car il y était menacé de mort. Pendant plus d’un an, il a alterné entre la rue, les appartements de ses amis et les chambres d’hôtels. Depuis juin, il a intégré le programme Elan et vit, désormais, dans sa nouvelle « famille d’accueil ». Au départ, il ne connaissait pas un mot de français hormis les chiffres,  » j’avais besoin de les connaître si je voulais acheter des choses « . Depuis son arrivée dans « sa famille » comme il l’appelle, ses progrès sont spectaculaires :

    Je me sens bien, je sens qu’ici j’habite avec ma famille, j’ai franchi une étape par rapport à avant. Quand je suis arrivé, j’avais pleins de questions, je demandais toutes les 5 minutes :  » C’est quoi ça ? Et ça ? » Pour moi, c’était une surprise quand j’ai vu la chambre, je me suis dit  » c’est grand ! « 

    Il a aussi découvert les vacances, un concept qu’il ne connaissait pas en Somalie. Paul et Brigitte, sa « famille » d’accueil, est ravi de l’intégration réussie d’Ilias dans leur cercle familial. Même si Paul reconnait qu’il y avait une certaine « appréhension » au début, tout s’est dissipé très vite au vue du projet et de la motivation d’Ilias pour sa nouvelle vie française.

    Ce qui était important pour nous, c’était le sérieux de sa motivation. C’est à dire que l’on ne fasse pas ça pour rien. Il nous a dit tout de suite, je veux m’intégrer, je veux parler français, je souhaite fonder une famille. Je pense qu’il a une réelle motivation et ça nous plaît beaucoup parce qu’on l’impression de servir cette motivation. S’il arrive vraiment à une autonomie complète, c’est gagné.

    Paul, retraité à Gif-sur-Yvette (Essonne) :  » Ce programme, ça nous change vraiment le regard sur l’autre  »

    En France, de nombreux migrants n’ont pas accès aux centres d’hébergements d’urgence, par manque de place ou parce qu’ils sont sur le territoire illégalement. C’est le cas des migrants qui ont déjà été fichés dans un autre pays de l’Union Européenne. Discuter avec Ilias, des difficultés concernant l’immigration mais aussi de parler de la vie en générale a permis à Paul de prendre conscience de certaines réalités concernant la vie des réfugiés :

    D’un point de vue mathématique, on peut se dire que s’il y avait seulement 1 famille française sur 1000 qui faisait cet effort-là, il n’y aurait plus de problème de migrants. Le deuxième point que je trouve aussi, très important, dans cet accueil, c’est justement de faire disparaître le mot  » problème de migration ». Pour nous, Ilias, ce n’est pas un migrant, c’est Ilias et ça permet finalement de voir la personne derrière.

    Aujourd’hui, des liens forts se sont créés entre la famille de Paul et Ilias. Paul sait qu’ils ne « vont pas disparaître comme ça ». Des cas comme Ilias, il y en a 34 en Île de France. Nadège Letellier est responsable du programme Elan au Samu Social de Paris, elle voit que cette méthode fonctionne et permet au réfugié logé, de se faire une place dans la société française. Cette cohabitation permet d’offrir de beaux échanges à la famille qui l’accueille :

    Rencontrer l’autre et l’accepter en tant que tel, découvrir sa culture, sa manière de penser et de voir les choses, c’est forcément des expériences qui enrichissent personnellement. Je pense qu’une intégration réussie, ce n’est pas avant tout, travailler et avoir un logement. Je pense que pour se sentir bien, avoir une place, sa place, il faut aussi un réseau amical et familial. Le fait d’être accueilli, comme ça, dans une famille française, renforce ce sentiment d’inclusion et ça leur redonne confiance.

    Pendant qu’Ilias vit chez Paul et Brigitte, le programme Elan l’aide dans ses démarches administratives. Une méthode qui fonctionne puisque certains réfugiés qui ont intégré le programme sont devenus autonomes.

    France Culture via fdesouche


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  • Immigration – Des Paras italiens lancent au pape : « Ça suffit, Bergoglio ! L’ennemi est dans la maison ! »

     par  

    Italie – Francesco Crippa, président de la section provinciale de Brianna de l’Association Nationale des Parachutistes Italiens, ne supporte plus les messages du pape en faveur de la submersion migratoire et a diffusé sur les réseaux sociaux un message explicite : 
    « Ça suffit Bergoglio ! Nous avons un ennemi dans la maison et beaucoup trop de gens continuent à faire semblant de rien. Les paroles de celui qui l’a précédé devraient réveiller nos consciences de chrétiens et l’isoler ».
       Bien sûr, Francesco Crippa n’est pas mandaté pour parler au nom de tous les parachutistes. Il précise d’ailleurs : 
    « C’est mon avis personnel de chrétien et de croyant qui n’approuve pas l’attitude de ce pape et son prêche. Avez-vous remarqué que la Place Saint Pierre le dimanche est à présent toujours à moitié vide et les cadrages de prises de vues des Télévisions sont toujours filmées par le bas ? »
     Mais il ne fait aucun doute que cet homme très connu parmi les bérets rouges italiens s’exprime avec l’assentiment de beaucoup de ses camarades. Ils savent, eux, le prix qu’il faudra payer tôt ou tard pour se débarrasser de cette situation. 

     Source : medias-presse.info


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  • Par : Sylvestre Brunaud ..

    Millas (accident) Ayant fait 6 victimes innocentes 

    <<A QUAND LA PROCHAINE PÉTITION A LA MODE DE CHEZ NOUS ! >>

    Ou des politiques à quatre sous cherchant faire besogne au profit d'un accident ou d'un attentat  ...Ou est le respect aux familles ?...

    Mesdames ,Mesdemoiselles ,Messieurs ;
    À tous ses assoiffée de haine contre la SNCF ou autre sans raison valable pour en tirer profit, sans aucune pensée au conducteur du train traumatisé de non sa responsabilité ... Je ne suis pas toujours d'accord avec la SNCF si elle a des torts comme pour les grèves ou des retards ...Mais là, a priori, ce n'est pas le cas ,cela aurait été un homme au volant du bus ,on l'aurait assassinée ,car le comportement du Français ce comporte comme cela ...
    Dès le départ de cette affaire, j'ai pensé au téléphone ! Et ensuite au caché qu'elle avait prit le soir pour dormir ...
    Alors ; combien de chauffeurs de bus et de routier masculin ou féminin - j'ai déjà pu croiser avec le téléphone à l'oreille !... Et je ne parle pas des dingues même en véhicules légers. Ce truc au volant (sans parler des gadgets audio-visuels qui inondent désormais les tableaux de bord des nouveaux modèles de véhicules !) devient aussi dangereux que l'alcool ou la drogue ! . Il faut une répression impitoyable envers les utilisateurs en train de téléphoner, ou consulter leurs messages, tout en conduisant !. Et cela se passe tous les jours, et même pour ceux qui vous double sur route sans se rend compte qui franchit une bande Blanche ...
    Et lorsque je pense aux sots qui ont signé une pétition, sans rien connaître des éléments de l'enquête, sans seulement faire une étude de fond avant de faire une pétition de soutien à cette "conductrice", j'ai honte pour eux vis-à-vis des victimes et de leurs parents. Quelle indécence ! ... Quelles inconsciences de ses gens-là ? Et le pire certain de ses donneurs de leçons font parti d'un parti politique pour se donner des ailes en leurs faveurs ,alors vous voyez tous les pigeons qui s'agenouille devant ses excentrique fanatique pour se faire bien connaître et vendre des adhésions...
    Il s'agit de demi-barrières en matière composite.Pour les casser, il suffit de foncer dedans. 
    Méfiez-vous toujours des photos sur internet de barrières qui ne marchent pas elles ont toutes été prises dans des pays de l'Est ! j'ai vu des barrières en panne : dans tous les cas la barrière descend même sans train en cas de dis-fonctionnement (c'est une sécurité) ! Quant à la conductrice c'était le jour anniversaire de la mort de son père, SMS reçu (mais non lu), habituellement jamais de train à l'heure de son passage ( ce jour là il avait 9 mn de retard)...Bon breff ...Il faut pas oublier que sa firme de transport en a une grosse part de responsabilité aussi ...Il y a conducteur et conducteur...
    Sa culpabilité ne fait plus guère de doute ! Son épouvantable faute est encore aggravée par son mensonge. Elle l'égard de toutes les victimes, ces pauvres enfants décédés dans leur prime jeunesse et leurs malheureux parents, les blessés qui souffrent dans leurs chairs, elle aurait dû avoir l'honnêteté de dire ce qui s'est passé et de demander un impossible pardon, car deux conducteurs adultes s'arrêtent au passage à niveau en face du bus, car la barrière est baissée est à l'arrêt, témoins de toute la scène à seulement quelques mètres avec une vue directe sur le bus. Comment ces deux témoignages de personnes neutres ayant une vue parfaite de la situation sans ambiguïté pourraient-elles mentir ? Et comme par hasard de leur côté, la barrière est intacte, et du côté du bus la barrière est brisée. Et feux rouges en fonctionnement. Et en rajoutant la fille de 13 ans à l'avant du bus voyant clairement la scène de cette barrière fermée ... Je vous remercie ...Sylvestre Brunaud ..


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  • FRONT NATIONAL : LA GRANDE LIQUIDATION

    SAUF ÉNORME surprise, le Front national ne passera pas le printemps.

    FRONT NATIONAL : LA GRANDE LIQUIDATIONAprès quelque quarante-cinq ans d’existence, sa présidente Marine Le Pen a décidé de le saborder, de le liquider, de l’assassiner. Faisant fi de l’avis du père fondateur, des militants et cadres historiques, et même des adhérents actuels qui, d’après plusieurs sources concordantes, restent très majoritairement attachés au nom Front national et à son logo, la flamme tricolore copiée de celle du MSI italien et symbole de l’espérance, la quinquagénaire acariâtre a choisi d’en finir avec un mouvement qui a suscité depuis près d’un demi-siècle tant de dévouements militants, tant de combats désintéressés, tant de sueurs, de joies et de larmes, tant d’espoirs, de rêves et de désillusions, tant de bonheurs et de sacrifices. Marine Le Pen a décidé de tout changer, sauf elle-même. Tout doit disparaître, sauf elle. Tout doit s’évanouir, tout doit être détruit, anéanti, jeté aux oubliettes, sauf elle. Tout doit être jeté par-dessus bord, sauf le chef qui a mené ses troupes au désastre.

    Il y a dans la démarche obsessionnelle et macabre de Marine Le Pen une logique implacable. Après avoir liquidé les fondamentaux du mouvement, après avoir passé à la centrifugeuse des pans entiers du programme historique, de la défense de la famille et de la vie innocente à la réduction de la pression fiscale en passant par l’abrogation des lois liberticides et le rétablissement de la peine capitale, après avoir traîné en commission de discipline, suspendu puis exclu, et de quelle odieuse manière, le père auquel elle doit la vie, son patronyme, sa carrière, son pouvoir, ses SAUF ÉNORME surprise, le Front national ne passera pas le printemps. Après quelque quarante-cinq ans d’existence, sa présidente Marine Le Pen a décidé de le saborder, de le liquider, de l’assassiner. Faisant fi de l’avis du père fondateur, des militants et cadres historiques, et même des adhérents actuels qui, d’après plusieurs sources concordantes, restent très majoritairement attachés au nom Front national et à son logo, la flamme tricolore copiée de celle du MSI italien et symbole de l’espérance, la quinquagénaire acariâtre a choisi d’en finir avec un mouvement qui a suscité depuis près d’un demi-siècle tant de dévouements militants, tant de combats désintéressés, tant de sueurs, de joies et de larmes, tant d’espoirs, de rêves et de désillusions, tant de bonheurs et de sacrifices. Marine Le Pen a décidé de tout changer, sauf elle-même. Tout doit disparaître, sauf elle. Tout doit s’évanouir, tout doit être détruit, anéanti, jeté aux oubliettes, sauf elle. Tout doit être jeté par-dessus bord, sauf le chef qui a mené ses troupes au désastre.

    Il y a dans la démarche obsessionnelle et macabre de Marine Le Pen une logique implacable. Après avoir liquidé les fondamentaux du mouvement, après avoir passé à la centrifugeuse des pans entiers du programme historique, de la défense de la famille et de la vie innocente à la réduction de la pression fiscale en passant par l’abrogation des lois liberticides et le rétablissement de la peine capitale, après avoir traîné en commission de discipline, suspendu puis exclu, et de quelle odieuse manière, le père auquel elle doit la vie, son patronyme, sa carrière, son pouvoir, ses la pelouse de Reuilly à l’occasion des BBR et où des Français venus de tous les horizons communiaient dans une même ferveur, un même enthousiasme, une semblable espérance ?

    Mais Marine Le Pen et ses conseillers, l’homosexualiste Chenu et l’ectoplasmique Philippe Olivier, l’assemblage de Gay-Lib et du grand vide, de Têtu et des malotrus, n’ont cure de ces souvenirs. Ils ne peuvent donner ce qu’ils n’ont pas, transmettre ce qu’ils n’ont pas reçu, ils sont sans cœur, sans principe et sans honneur. Ils se moquent éperdument de tous ces militants anonymes qui, par amour de leur pays, au nom de leur idéal, ont perdu leur travail, leur conjoint, leur famille, leur santé, leur liberté ou leur vie. Ils piétinent sans vergogne les huit militants du Front national qui ont été assassinés parce qu’ils étaient fiers de porter les couleurs de ce mouvement et qui l’ont payé de leur vie, à commencer par François Duprat tué par un engin explosif activé à distance pendant l’entre-deux-tours des législatives de mars 1978. Ils oublient Robert Lagier, mort en prison et que Thémis a laissé expirer derrière les barreaux alors qu’il était atteint d’un cancer pour avoir fait usage dans la panique d’une arme à feu, lors d’un collage nocturne à Marseille, ayant tué accidentellement un Comorien, alors qu’il se sentait menacé et encerclé. Ils n’ont cure des combats, ô combien courageux, d’une Marie-France Stirbois, poursuivie dans sa ville de Dreux par des hordes, et face auxquelles elle n’a jamais reculé, cette même Marie-France Stirbois que Marine Le Pen traitait élégamment de “mémère” et contre laquelle elle se déchaînait en bureau exécutif alors que la malheureuse était atteinte d’un cancer du péritoine en phase terminale ! La quinquagénaire et sa bande d’arrivistes et de dégénérés sont totalement insensibles à l’histoire de France, à ses traditions, à ses terroirs, à ses paysages, à ses monuments, à sa foi, à ses héros, ses soldats, ses saints et ses martyrs, à la messe traditionnelle, latine et grégorienne. Ils n’aiment et ne connaissent que les discothèques et les night clubs, les chansons et les séries télévisées débiles et débilitantes.
    De ce qui était un assemblage de Français aimant charnellement leur pays, elle a fait un lupanar pédérastique, une cage aux folles, un sauna gay, une immense et vomitive backroom. A l’heure où nous écrivons ces lignes, nous apprenons que Bruno Bilde, député FN du Pas-de-Calais, concubin du maire inverti d’Hénin-Beaumont et secrétaire général du FN Steeve Briois, est accusé par d’anciens salariés du Front, eux-mêmes invertis, de « harcèlement homosexuel ». La réalité dépasse la fiction. Le néo-FN, c’est le vice à tous les étages, c’est l’assemblage de la harpie et de la sodomie, de la furie et des invertis, de la poissonnière et de la pissotière, d’un parti qui périt par les parties !

    SCANDALES sexuels, escroquerie en bande organisée, financement illégal de campagnes électorales et du parti, mises en examen pour abus de confiance, le Front national, à l’ère de Marine Le Pen, se sera vraiment normalisé et aura épousé les mœurs nauséabondes des autres partis du Système. Comme le notait fort justement Carl Lang, le président du Parti de la France, dans un tweet, comment se fait-il que le Front national soit par deux fois mis en examen, en tant que personne morale, ce qui n’avait jamais été le cas pendant les quelque trente-neuf ans de présidence de Jean-Marie Le Pen ? Comment se fait-il que toutes les campagnes électorales du Front national depuis que Marine Le Pen a pris la tête du parti ont systématiquement fait l’objet d’instructions, de mises en examen et de renvois devant le tribunal correctionnel des principaux dirigeants et que l’on ne compte plus les scandales politico-financiers, de l’affaire des kits de campagne à celle des assistants parlementaires ? Comment se fait-il que les enquêteurs suspectent la mise en place et l’organisation d’un système mafieux au niveau du conseil régional du Nord-Pas-de-Calais où siège Marine Le Pen et du Parlement européen ?

    Alors que les réadhésions sont en chute libre, que les doutes taraudent jusqu’à la base militante et jusqu’au noyau dur des électeurs, que beaucoup de responsables du mouvement n’hésitent plus à dire en off aux journalistes tout le mal qu’ils pensent de Marine Le Pen qui ne sait plus où elle habite et qui est incapable de fixer un cap et de s’y tenir, la simple dignité et le sens des responsabilités auraient dû conduire le chef de cette faillite à quitter la scène et à laisser à d’autres, plus compétents et plus sages, la conduite du navire. Mais pour cela il faudrait beaucoup d’humilité, de courage et d’honneur, qualités dont est totalement dépourvue l’enfant gâtée qui préside aux destinées du mouvement et qui n’a d’autre but que de se maintenir à la présidence du parti pour continuer à bénéficier jusqu’à la retraite sans se fatiguer de la manne publique et des mandats électifs grâce à son seul patronyme qu’elle n’a pourtant de cesse de déshonorer. Mais peut-on attendre autre chose d’une femme qui danse sur sa défaite comme elle le fit le soir du 7 mai, guinchant et se déhanchant jusqu’à l’aube sur des rythmes endiablés comme si elle avait perdu en finale d’un jeu télévisé et qu’elle pouvait enfin s’amuser et s’éclater ? C’est le constat cruel et définitif que fit ces jours-ci Philippe de Villiers, invité de BFMTV : « Une femme qui danse sur sa défaite n’a pas d’avenir ». On ne saurait mieux dire.

    Jérôme Bourbon

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