• Dans le Morbihan, les parents d’une cinquantaine d’enfants sont scandalisés par le comportement d’un transporteur qui a tenté de dissimuler un accident de car.

    Il est 8 heures et le jour n’est pas encore levé. Sous une pluie fine, les rues du centre-ville de Malestroit, dans le Morbihan, sont envahies par une dizaine de cars scolaires qui déversent une nuée d’élèves aux abords des deux collèges de la commune. Juste à temps avant le début des cours. Lundi, pourtant, une cinquantaine d’enfants sont arrivés en retard, à cause d’un petit accident de car. Ce dernier aurait presque pu être banal si le transporteur n’avait pas réagi d’une manière pour le moins surprenante, comme s’en émeuvent aujourd’hui les parents. « On a l’impression qu’il a cherché à camoufler quelque chose », s’étonne une mère.

    Vers 7h30 ce jour-là, au lieudit La Pagdolay, à Missiriac, la conductrice d’un car de ramassage scolaire Voyages Roger Loisirs 2000 se range sur le côté pour laisser passer une voiture. Manque de chance, l’engin glisse et se retrouve dans le fossé avec 51 enfants à bord. Plus de peur que de mal mais impossible de les faire sortir par les portes car elles sont bloquées. La conductrice appelle alors son patron qui se rend sur les lieux.

    « J’ai entendu du bruit alors je suis sorti voir, raconte un homme qui habite à proximité. C’est là que j’ai vu le transporteur qui évacuait tous les enfants. » Comment ? Par la fenêtre du chauffeur ! « J’ai proposé mon aide pour sécuriser la route et les enfants sont repartis dans un autre car affrété par le voyagiste. » Ni vu, ni connu. Aucun appel passé aux gendarmes ou aux pompiers. Le transporteur n’a pas jugé opportun de faire vérifier l’état de santé des élèves. Ce sont les établissements qui s’en sont chargés. « Dans la matinée, nous les avons tous reçus avec une infirmière afin de vérifier qu’ils n’avaient pas de séquelles physiques et psychologiques. Deux ou trois avaient des contusions. J’ai prévenu les parents », indique Tugdual Claquin, le principal du collège Yves-Coppens.

    Un transporteur négligeant et violent

    Pendant ce temps, le transporteur, lui, fait appel à deux agriculteurs pour sortir le car du fossé avec des tracteurs, avant de se résoudre à faire appel à une dépanneuse. Un journaliste local, Jacky Guyon, qui passait par là, assiste à la scène. « Je me suis approché pour saluer le transporteur. Il s’est mis à me menacer de représailles si j’en parlais. Il m’a attrapé par le bras, traîné sur une dizaine de mètres et a essayé d’arracher l’appareil photo », explique-t-il. Même tentative d’intimidation auprès des enfants. « Il leur a interdit de faire des photos et les a prévenus que s’il en trouvait sur les réseaux sociaux, il y aurait des sanctions, qu’il leur retirerait leur carte de bus. Ma grande fille a d’ailleurs mal dormi la nuit après l’accident », affirme Guillaume, père de deux filles scolarisées à Saint-Julien.

    « J’ai reçu des coups de fil de parents. Certains, en colère, se sont présentés à la mairie. Ils se demandaient ce qu’aurait fait le transporteur si ça avait été plus grave. C’était vraiment stupide de sa part de ne pas respecter la procédure. Imaginez qu’un enfant ait été fauché par une voiture au moment de l’évacuation », explique Jean-Yves Laly, le maire de Missiriac.

    Depuis lundi, le patron de l’entreprise Voyages Roger, à Réminiac, refuse de s’expliquer. « On aimerait qu’il reconnaisse son erreur, ou au moins discuter avec lui. Comment, sinon, lui faire encore confiance ? » remarque Guillaume. « Un accident, ça peut arriver, mais le transporteur est-il médecin pour préjuger de l’état de santé de nos enfants ? Quand on est blessé, ça ne se voit pas forcément, notamment quand on se cogne la tête. C’est de la non-assistance à personne en danger », estime une mère de famille qui envisage de créer un collectif de parents afin de connaître la vérité. Une enquête de gendarmerie est en cours. De son côté, le conseil régional de Bretagne, en charge des transports scolaires, affirme qu’il « prendra les sanctions nécessaires au regard de l’analyse à froid de la situation ». Un rappel à l’ensemble des transporteurs va être fait concernant les procédures à mettre en œuvre en cas d’accident.

    http://www.leparisien.fr


    votre commentaire
  • Méditerranée : Les migrants musulmans balancent les chrétiens à la mer


    votre commentaire
  • Terrorisme : L’ADN de Jawad Bendaoud découvert sur l’adhésif du bouton-poussoir d’une ceinture d’explosif.

       par C. Laudercq et R. Lefras.

    Jawad Bendaoud, le « logeur » de terroristes, aurait peut-être participé à la confection de ceintures d’explosif utilisées lors des attentats du 13 Novembre 2015.

    C’est une révélation faite peu avant le procès de Jawad Bendaoud et de deux autres co-accusés qui doit se tenir ce mercredi au Tribunal Correctionnel de Paris.

    Un rebondissement inattendu

    Jamais, cet élément d’enquête issu des constatations de la Police Technique et Scientifique (PTS) n’avait été rendu public. Paris Match a publié l’extrait du procès-verbal sur lequel figurent des informations exclusives. L’ADN de Jawad Bendaoud, le « logeur » de Saint-Denis, a été relevé sur un rouleau  d’adhésif orange, mélangé à l’ADN du « cerveau » des attentats du 13 novembre 2015, Abdel Hamid Abaaoud. De plus, l’ADN de Jawad Bendaoud a été également relevé sur de l’adhésif entourant un bouton-poussoir d’une ceinture d’explosif.

    Extrait du procès-verbal. DR.

    Il pourrait être poursuivi pour « acte terroriste »

    Ces éléments pourraient faire basculer le déroulement du jugement car Jawad Bendaoud est poursuivi actuellement pour « recel de malfaiteurs criminels », sans référence à du terrorisme.

    Actu17.


    votre commentaire
  • Notre-Dame-Des-Landes : Courage, fuyons !

    « Le courage, la fermeté, l’autorité de l’Etat, le respect des lois de la République… » le concert de louanges adressées à Edouard Philippe par le choeur médiatique, qui a repris très fidèlement, comme à son habitude, l’autosatisfaction gouvernementale, laisse pantois. La dictature molle qui s’est installée en France s’appuie sur la saturation de l’information par une pensée unique qui tend à déresponsabiliser les citoyens en leur promettant une évacuation en douceur des problèmes afin de maintenir la quiétude dans les esprits et la passivité dans la politique de l’Etat. Celui qui résiste à cette anesthésie ressemble au personnage de la pièce de Ionesco qui est le seul à ne pas devenir Rhinocéros. Il continue à voir les choses comme elles sont. Il y a encore, Dieu merci, de nombreux Français qui en ont la capacité.

    Il n’y a aucun courage, mais au contraire, une très grande lâcheté à renoncer à un projet uniquement pour éviter l’affrontement avec des groupes de gauchistes qui occupent illégalement un territoire de la République au nom d’une prétendue ZAD. Le courage consiste à accomplir son devoir, à faire respecter une décision démocratique dans le cadre de la continuité de l’Etat. Celui-ci a une fois de plus démissionné, dans la logique du « syndrome Malik Oussekine » qui a paralysé le faux dur Chirac de Décembre 1986 jusqu’à 2007. Le malheureux accident de Sivens, puisque tel est la qualification qu’il faut retenir après la décision judiciaire de non-lieu, a réanimé la peur panique des autorités de devoir répondre de la mort d’un homme pour avoir voulu faire respecter la loi. C’est hélas une attitude qui renverse la hiérarchie de l’Etat de droit, dont on nous rebat les oreilles. Il n’y a pas d’Etat de droit lorsque des territoires de la République échappent à l’autorité de la Loi, lorsque le rapport de forces permet à une minorité violente de s’imposer face à une majorité de citoyens qui, directement ou au travers de leurs élus, ont exprimé la volonté générale.

    On voit bien dans ce triste dossier de Notre-Dame -Des-Landes que les mots employés cherchent à masquer une réalité dont le sens est le contraire de ce qu’ils prétendent affirmer. Cette fois, on pense à 1984, et à la « novlangue » du génial Orwell. Il n’a plus d’autorité de l’Etat, lorsque celui donne raison à ceux qui ne respectent pas la démocratie. L’un des « zadistes » au milieu de la fête de la victoire de son camp, c’est-à-dire de l’illégalité, le proclamait sans vergogne : « nous avons fait plier l’Etat ». Le spectacle des commentaires était d’ailleurs déprimant : face à la joie des gauchistes et de la « France Insoumise », il y avait les malheureux citoyens, les oubliés de la majorité silencieuse, qui s’étaient donné la peine de participer à un référendum et qui croyaient avoir décidé de la réalisation de l’aéroport. Non, ce que les élus attachés à ce territoire, ce que la majorité de la population avaient voté, est effacé d’un revers de manche au nom de l’habileté politique. 51% des électeurs de Loire Atlantique s’étaient déplacés et avaient choisi le « oui » à 55, 7 %. 20 communes soutenaient le projet, conforté par 180 décisions judiciaires. Et l’on voudrait nous faire croire que la France est une démocratie ? Se moquer des électeurs est le meilleur moyen de les convaincre du contraire. La France est plus près d’une République bananière que de la Suisse.

    La fermeté brandie par le Premier Ministre ressemble aux communiqués de guerre qui annoncent une retraite impeccablement exécutée, promesse des victoires à venir, quand elle n’est que l’aveu d’une bataille perdue. Palsembleu ! les drôles vont déguerpir, mais après les grands froids, des zones dont ils se sont emparées. Evidemment, puisqu’ils ont eu gain de cause. Et pourtant non ! L’autorité de l’Etat, le respect de la loi sont tombés à un tel niveau en France que cet espace soustrait à la République va sans doute lui être disputé au nom d’une prétendue supériorité « morale » du gauchisme archi-minoritaire sur les décisions d’une démocratie qui ne croit plus en elle-même. « Nuit debout » a fait école ! Mais comment faire respecter des gouvernants qui n’ont aucune parole ? M. Macron, le matamore qui clame faire ce qu’il dit, s’était engagé, comme Edouard Philippe d’ailleurs, à respecter le choix des électeurs. On voit qu’il n’en est rien.

    Il restera la facture que paieront comme d’habitude les Français, y compris ceux qui seront les victimes directes de l’agrandissement de l’aéroport de Nantes, les habitants de Saint-Aignan, dont on se soucie comme d’une guigne. Il faudra indemniser Vinci, peut-être à hauteur de 350 Millions, traiter la délicate question des ventes de terrains et d’immeubles déjà réalisées, la compensation des dépenses des communes impliquées dans le projet, négocier en position de faiblesse avec l’opérateur, en lui abandonnant « Aéroport de Paris » par exemple. Sans doute le projet de Notre-Dame-Des-Landes était-il contestable à l’origine. Etait-il vraiment nécessaire, compte tenu des chiffres actuels de la fréquentation de celui de Nantes ? Il s’agissait d’un pari sur le développement du Grand-Ouest. Mais ce qui est sûr, c’est que la France devient incapable de mettre en oeuvre les grands équipements qui ont marqué l’épopée de la DATAR. On peut s’en réjouir en y voyant un recul de l’Etat. On peut au contraire y voir l’inefficacité grandissante d’un Etat obèse gorgé d’élus et de fonctionnaires et incapable d’éviter les débâcles qu’entraîne sa gestion calamiteuse : après la gabegie du retrait des portiques de l’écotaxe, au grand dam de Ségolène Royal, qui sort de son igloo pour savourer sa revanche, voici la grandiose faillite de Notre-Dame-Des-Landes !

     

    Source : ndf


    votre commentaire
  • 21 janvier : anniversaire de l'assassinat du roi de France par la pourriture révolutionnaire

    Le 21 janvier 1793, la racaille révolutionnaire, ivre de haine et de rage, assassinait le roi de France, Louis XVI, âgé de 38 ans.

    Cet acte sauvage recelait une grande force symbolique : en décapitant celui qui était le père de la nation organique et le sommet de L’État monarchique, c’était l’ordre ancien qui était abolit, en profondeur, au profit d’une contre-civilisation qui allait s’instaurer progressivement et inexorablement et dont nous connaissons aujourd’hui une certaine étape.

    Pour l’anecdote, et contrairement à ce que laissait espérer l’innovation technique que constituait la guillotine, l’exécution du roi martyr fut particulièrement horrible.

    Revenons donc à ce triste épisode, au cœur des heures les plus sombres de notre Histoire.

    Craignant un ultime rebondissement si le roi faisait un discours devant la foule, le commandant de la garde nationale donna l’ordre de faire jouer tous les tambours au pied de l’échafaud, qui était d’ailleurs fortement protégé.

    Sur la dernière marche cependant, le roi fit un signe impérieux aux tambours qui, surpris, cessèrent de battre, et cria d’une voix tonnante : « je meurs innocent de tous les crimes qu’on m’impute. Je pardonne aux auteurs de ma mort, et je prie Dieu que le sang que vous allez répandre ne retombe jamais sur la France. Et vous, peuple infortuné… »

    Déjà, des ordres étaient donnés et les tambours reprenaient. Un journaliste de l’époque écrivit : « est-ce bien le même homme que je vois bousculé par quatre valets de bourreau, déshabillé de force, dont le tambour étouffe la voix, garrotté à une planche, se débattant encore, et recevant si mal le coup de la guillotine qu’il n’eut pas le col mais l’occiput et la mâchoire horriblement coupés ? »

    D’après certains témoignages, il fallut s’y reprendre à deux fois pour trancher la tête, tandis que d’autres affirment que le bourreau dut appuyer de tout son poids sur la lame qui avait à peine entamé le crâne – au lieu du cou – afin de détacher la tête…

    Le prêtre présent raconta qu’ensuite « le plus jeune des gardes, qui semblait avoir dix-huit ans, saisit immédiatement la tête, et la montra à la populace en faisant le tour de l’échafaud ; il accompagna cette monstrueuse cérémonie des gestes les plus atroces et les plus indécents ».

    Certains spectateurs se barbouillèrent le visage du sang du malheureux. On notera avec inquiétude que l’idéologie républicaine, contre-nature et forgée dans le sang de très nombreux Français, connaît aujourd’hui un regain de popularité dans la « mouvance nationale », même si certaines associations et publications ferraillent inlassablement contre la doctrine mortifère issue des Loges.

    Source : http://contre-info.com


    votre commentaire