• Drame de Millas : la conductrice n'aurait pas dû conduire sous anxiolytiques

    Suite au drame de Millas ayant entraîné la mort de plusieurs collégiens, la Commission des Citoyens pour les droits de l'Homme (CCDH) dénonce les effets dévastateurs des anxiolytiques pouvant être responsables d'accidents graves de la route.
    Pour rappel, le 14 décembre 2017 à Millas, une conductrice d'un car scolaire s'engageait sur un passage à niveau et entrait en collision avec un TER, entraînant ainsi la mort de six collégiens.
    D'après BFM TV, une élève de quatrième qui a survécu à ce drame a raconté ce qu'elle a vu : « J'ai vu que la barrière était fermée. Le bus l'a poussée. Elle s'est cassée. Le bus a continué à rouler doucement. Le train rouge est arrivé à ce moment. Ensuite, je ne me souviens plus de rien ».
    Deux automobilistes présents de l'autre côté de la barrière affirmaient également que celle-ci était fermée et que le bus aurait forcé le passage. L'enquête aurait récemment révélé que des traces de frottement sur le devant du bus pourraient attester d'un choc avec une barrière fermée.
    Les analyses de sang effectuées sur la conductrice ont révélé des traces d'anxiolytiques et de somnifères. Les anxiolytiques, qui font partie de la classe des « benzodiazépines », sont des psychotropes pouvant entraîner de nombreux effets secondaires graves.
    En avril 2017, dans son rapport « État des lieux de la consommation des benzodiazépines en France », l'ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament) affirme que, malgré une baisse de la consommation, le nombre d'utilisateurs de benzodiazépines reste très élevé. Pourtant, l'ANSM rappelle que ces médicaments peuvent entraîner des effets indésirables tels que : perte de mémoire, altération des fonctions psychomotrices, troubles du comportement, insomnie, agitation, nervosité, idées délirantes, hallucinations, dépendance physique et psychique, etc..

    De plus, l'Agence Nationale de Sécurité du Médicament affirme que la prise de benzodiazépines entraîne une altération des capacités de conduite. Des études internationales montrent une augmentation de 60 à 80% du risque d'accidents. En France, une importante étude a été menée et il a été mis en évidence une augmentation hautement significative du risque d'accident chez les conducteurs exposés aux benzodiazépines.
    Depuis 2005, une classification des substances actives susceptibles d'altérer les capacités à conduire un véhicule a été mise en place sous forme de pictogramme indiquant le niveau de risque. Le 13 mars 2017, tous les benzodiazépines ont été classés en niveau trois de danger, se traduisant par une incompatibilité majeure avec la conduite automobile.
    Au vu de la dangerosité de cette classe de psychotropes, il n'est absolument pas normal qu'une personne consommatrice d'anxiolytiques aient pu prendre le volant d'un car scolaire et avoir la responsabilité de la vie de plusieurs adolescents. 
    Ainsi, la CCDH alerte les autorités et demande qu'une enquête soit menée afin de savoir pourquoi cette femme a eu l'autorisation de conduire, sous l'emprise d'anxiolytiques.
    Depuis sa création en 1974, la CCDH dénonce les effets secondaires des psychotropes ainsi que les traitements barbares et inhumains administrés au sein des hôpitaux psychiatriques français. L'association lutte pour le respect des droits humains en psychiatrie. Elle reçoit chaque semaine de nombreux témoignages de victimes de ces traitements.
    OCCITANIE - Drame de Millas : la conductrice n'aurait pas dû conduire sous anxiolytiques

    OCCITANIE - Drame de Millas : la conductrice n'aurait pas dû conduire sous anxiolytiques

    La Commission des Citoyens pour les droits de l'Homme (CCDH) (29-01-18) 
    http://www.herault-tribune.com/articles/166788


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  • Valenciennes : après avoir agressé sexuellement 4 filles dont une de 15 ans, le réfugié afghan repart libre

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    Un « migrant » afghan de 22 ans, en France depuis plus d’un an et hébergé dans un foyer valenciennois, a été laissé libre par les magistrats après une série d’agressions sexuelles commises sur quatre filles âgées de 15 à 24 ans.

    La Voix du Nord :

    Le mode opératoire est sensiblement le même. Il les accoste et exerce des attouchements, les embrasse, leur lèche le visage et les invite chez lui. L’une d’elle sera même mordue au visage. Mais l’agresseur sera piégé par sa dernière victime âgée de 20 ans.

    À 16 h 45, dans le tram, il s’installe près d’elle, lui prend son téléphone et rentre son numéro pour qu’elle puisse le rappeler. Il devient insistant et déplacé, elle décide de descendre. Il n’abandonne guère, la suit, puis la plaque contre un mur pour l’agresser. Elle sera sauvée par l’arrivée d’un groupe de jeunes.

    Après avoir déposé plainte et en accord avec les enquêteurs, la victime le rappelle et lui fixe un lieu de rendez-vous où il sera interpellé. Les investigations permettent le rapprochement avec trois autres faits. Faire face à leur agresseur est un moment difficile, c’est visible, pour les victimes assises près de leur avocate.

    Sur le chemin de l’école

    Le soutien des parents leur est nécessaire lors de l’audience. M.A., lui, le prévenu, répond à la présidente Pollet par le truchement d’un interprète. Me Honnart se dit effrayée. Quatre victimes agressées sur le chemin de l’école ou du travail en quelques jours. Le procureur Colomar dénonce un comportement de prédateur. Il requiert dix-huit mois ferme, l’interdiction de séjour dans le Nord et l’inscription au FIJAISV (fichier judiciaire automatisé des auteurs d’infractions sexuelles ou violentes). Le tribunal le suivra sur tous les points, troquant le ferme pour du sursis.

    Le prédateur sexuel étranger est donc libre.

     

    Source :  breizatao via contre-info


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  • France multiculturelle. Seine-Saint-Denis : un homme battu à mort par une quarantaine d’individus

    police française France
    Un homme de 30 ans est mort samedi soir à Montreuil (Seine-Saint-Denis). Il a été tabassé par plus de 30 personnes. Tout serait parti d'une altercation avec le conducteur d'un scooter.
     

    La rixe a viré au drame. Samedi soir à Montreuil (Seine-Saint-Denis), un homme de 30 ans a perdu la vie après avoir été roué de coups par « trente à quarante individus », précise une source policière à BFMTV.

    Laissé inconscient sur la voie publique, il n’a pas pu être réanimé malgré l’arrivée des secours.

    Les faits seraient liés à un différend entre la victime et le conducteur d’un scooter.

    Des circonstances encore floues

    Selon un témoin, la victime aurait eu une altercation avec le conducteur d’un scooter, une dizaine de minutes avant la bagarre. Accompagné de deux amis, le trentenaire est entré dans une épicerie et c’est en sortant de l’établissement qu’il a été pris à partie par plusieurs individus, rapidement rejoints par d’autres.

    Ses deux amis ont réussi à s’enfuir, et leur témoignage sera précieux pour permettre aux enquêteurs d’identifier les auteurs. À l’heure actuelle, personne n’a été interpellé, et rien ne permet de lier l’altercation et le passage à tabac.

    Une autopsie sera pratiquée. L’enquête a été confiée à la police judiciaire de Seine-Saint-Denis.

    Source


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  • 6 MILLIONS € POUR LA MERCEDES 770 K D’ADOLF HITLER !

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    Mieux vaut être en bons termes avec votre pompiste
    Pierre-Benoît Sepulchre
    18-01-18 15:37:43
     

    C’est hier à Scottsdale aux États-Unis qu’une Mercedes-Benz 770 K Grosser Offener Tourenwagen de 1939, ayant appartenu à Adolf Hitler, a été proposée aux enchères. Une monture exceptionnelle et à l’histoire sulfureuse puisqu’utilisée par le Chancelier du Troisième Reich ainsi que par ses proches au cours de la Seconde Guerre mondiale.

    Seulement 88 exemplaires de cette limousine hors norme ont été assemblés et il s’agit ici de l’un des rares exemplaires toujours entier. Sous le capot, on trouve un 8 cylindres de 7,7 litres et 400 ch qui permet à l’engin de frôler les 180 km/h. Une vitesse plus qu’honorable sachant que la belle accuse quelque 4,8 tonnes sur la bascule ! Du côté de la consommation, on parle d’un bon 60 l/100 km ! Oui, vous avez bien lu…

    Le modèle a été adjugé et vendu hier pour la coquette somme de 6 millions € !

    https://www.vroom.be/fr/blog/6-millions-pour-la-mercedes-770-k-d-adolf-hitler-19684


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  • Nicolas Bay, le nouvel homme à abattre au FN ?

    Paris (VIIe), lundi. Marine Le Pen et Nicolas Bay ont tenu ensemble une conférence de presse pour critiquer le traité de coopération entre la France et l’Allemagne.

    LP/JEAN-BAPTISTE QUENTIN

    Après le départ de Florian Philippot, c'est au tour du nouveau vice-président du parti de susciter les tirs de barrage des proches de Marine Le Pen.

    La nature a, paraît-il, horreur du vide... Aussi au Front national, après des mois de conflits larvés entre les pro et les anti-Philippot — qui se sont soldés par le départ fracassant de l'ex-bras droit de Marine Le Pen —, couve une nouvelle guéguerre intestine. Cette fois-ci, dans la ligne de mire de certains proches de Marine Le Pen, le vice-président du parti, Nicolas Bay. « C'est l'une des rares personnalités qui tiennent la route au FN. Du coup, les autres, en particulier le député Sébastien Chenu et le conseiller de Marine Le Pen Philippe Olivier, tirent dessus à boulets rouges. A croire qu'ils ont toujours besoin de se déchirer... » se désole un ancien soutien du Front qui, depuis la fin de la présidentielle, a pris ses distances avec le parti d'extrême droite.
     

    Officiellement pourtant, entre la patronne et son nouveau vice-président aux affaires européennes — il a été nommé en septembre à ce poste —, tout va bien. Lundi encore, ils animaient ensemble une conférence de presse à l'Assemblée nationale pour s'insurger contre le traité de l'Elysée de coopération entre la France et l'Allemagne. Tandis que Nicolas Bay continue de courir les plateaux télé et les matinales radio pour porter la parole du FN.

    Tout n'est pas si rose

    Mais dans la coulisse, les relations sont nettement plus fraîches. Nicolas Bay a beau être coprésident du groupe Europe des nations et des libertés qui fédère les partis populistes au Parlement européen, son nom n'est jamais cité par les dirigeants du Front parmi les profils susceptibles de conduire la liste du parti pour les élections européennes de 2019. Début janvier, le député Sébastien Chenu lançait même sur France Info : « Il ne faut pas forcément être adhérent au Front national pour mener la liste du Front national. » Marine Le Pen, qui a confirmé qu'elle ne souhaitait pas y aller, confiait récemment à un proche qu'elle verrait bien « une femme issue de la société civile » s'y coller. Tandis que certains plaident pour une liste d'alliance conduite par un chef de file d'une autre couleur politique... « C'est vrai que ça fait un peu : tout sauf Bay », s'amuse un membre du bureau politique.

    La présidente du FN se méfierait-elle, désormais, de l'ancien secrétaire général de son parti ? « Un jour, en parlant de Bay, elle m'a lâché : Il me fait tellement ch... celui-là », raconte, encore médusé, un politique de leur connaissance. Il est vrai qu'au FN, on n'apprécie guère les têtes qui dépassent. « Marine Le Pen se laisse infuser par sa petite cour. Les mêmes qui poussaient au départ de Florian Philippot canardent aujourd'hui Nicolas Bay. Ils sont animés par la jalousie », constate un cadre du parti.

    Toutefois, les proches de l'eurodéputé minorent l'ampleur du désamour : « Marine Le Pen reprend une partie des inflexions qu'il avait suggérées sur la ligne du parti, notamment sur l'Europe. C'est donc que leur relation de confiance n'est pas rompue », assène l'un d'eux. Comme pour tenter de se rassurer...

    http://www.leparisien.fr


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