•  Chelles : Béatrice Troussard quitte le groupe FN Île-de-France Bleu Marine

    Chelles, avril 2017. Conseillère municipale d’opposition Chelles et conseillère régionale, Béatrice Troussard a décidé de quitter le groupe d’opposition frontiste à la région et devrait bientôt le faire également à Chelles. DR

    « Malgré mes nombreux signalements j’ai eu l’impression d’être abandonnée par la direction de mon parti et par la direction fédérale du département ». Conseillère régionale et municipale dans l’opposition, Béatrice Troussard a décidé de démissionner vendredi dernier du groupe d’opposition du Front national à la région avec deux autres conseillères régionales : Yasmine Benzelmat (Yvelines) et Vanessa Juille (Essonne).

    Candidate du FN aux dernières législatives dans la 7e circonscription, l’élue frontiste avait déjà rendu sa carte du parti en septembre dernier. Un départ qu’elle explique par le manque de soutien de sa hiérarchie et le virage à gauche de Marine Le Pen.

    « Lors de la campagne des législatives, j’ai demandé des conseils sur les questions écologiques au référent on m’a répondu que je devais me débrouiller toute seule. Les valeurs du travail et de la famille ont été délaissées par le FN, je croyais qu’avec le départ de Florian Philippot, le FN reviendrait à ses fondamentaux ». Malgré une entrevue « trop tardive » avec Marine Le Pen, Béatrice Troussard ne reviendra pas sur décision et devrait également démissionner du groupe « Chelles Bleu Marine », mais restera dans l’opposition sans étiquette.

     http://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/chelles-beatrice-troussard-quitte-le-groupe-fn-ile-de-france-bleu-marine-05-12-2017-7435071.php

    1 commentaire
  •  Marine en à fait un parti de gauche 

    **************************************************

    Trois conseillères d'Île-de-France quittent le FN, «trop à gauche»

    Par: 

    Trois élues FN du Conseil régional d'Île-de-France ont annoncé aujourd'hui leur démission du groupe d'extrême droite à la région, en déplorant «le virage à gauche du Front national» et «un autoritarisme dans les relations entre les responsables et les élues de terrain». Yasmine Benzelmat, Vanessa Juille et Béatrice Troussard siégeaient jusqu'alors dans le groupe présidé par Wallerand de Saint-Just, un proche de Marine Le Pen, par ailleurs trésorier du parti.

    «Le virage à gauche du FN s'est de plus en plus accentué, et des désaccords idéologiques se sont multipliés à cause d'une ligne trop ancrée à gauche, alors que nous sommes trois femmes de droite», écrivent les trois élues dans un communiqué. «La refondation telle qu'elle est mise en oeuvre ne fait que reproduire les mêmes méthodes d'action, de harcèlement ou de désorganisation généralisée qui ont conduit aux échecs électoraux et déçu nos militants et nos électeurs», poursuivent-elles.

    Interrogées par l'AFP, les trois conseillères régionales ont indiqué qu'elles étaient «en discussion» avec «Les amoureux de la France», un mouvement lancé la semaine dernière par les députés Nicolas Dupont-Aignan (Debout la France) et Emmanuelle Ménard (soutenue par le FN), ainsi que Jean-Frédéric Poisson (PCD) et Nicolas Dhuicq (LR). Le mouvement, «ouvert à tous les sympathisants de droite, aux patriotes, aux républicains», entend élaborer «un programme commun d'alternance pour la France», selon M. Dupont-Aignan.

     
    Le Figaro.fr avec AFP

    1 commentaire

  • votre commentaire
  • La générosité des Français est en baisse… Peut-être s’interrogent-ils sur ce qu’on fait de leur argent ?

    Il y a, dans notre beau pays, un réseau Recherches et Solidarités qui se charge d’examiner nos comportements et d’éplucher nos comptes. Manière détournée qui prétend sonder les cœurs en passant par le porte-monnaie. Je me dis bien que l’argent dépensé en études serait plus utile aux solidarités en question, mais bon, que serait l’administration sans ses machins à machiner ?

    Bref, la générosité des Français est en baisse. Selon le baromètre de nos chercheurs se basant sur les déclarations fiscales, les dons ont baissé de 4,2 % en 2016 par rapport à 2015. Dans le magazine La Croix qui publie l’étude ce lundi, Jacques Malet, fondateur du réseau Recherches et Solidarités, déclare : « Depuis vingt-deux ans que je suis ces données, je n’avais jamais vu ça, sauf peut-être en 1995 au moment des grandes grèves contre la réforme Juppé. Et encore, à l’époque, les chiffres étaient moins précis car ils ne permettaient pas de distinguer les dons aux associations et les dons aux partis politiques. »

    Pour les chiffres : ce sont 5,28 millions de foyers qui ont déclaré au moins un don sur leur feuille d’impôt sur le revenu de 2016, cela pour un montant total de 2,49 millions d’euros, contre 2,48 l’année précédente, alors que les années 2014 et 2015 avaient affiché une jolie progression de 7,2 et 3,7 %. Toutefois, éclaircie dans le paysage, la valeur du don moyen est en nette augmentation puisqu’il se situe à 472 euros. Sans surprise, les dons sont majoritairement effectués par les seniors (58 %), les plus de soixante-dix ans étant les plus généreux, avec 536 euros. Les chercheurs relèvent également que « en incluant les dons non déclarés, le montant total de la collecte de 75 grosses associations et fondations a avoisiné les 4,5 milliards en 2016, un montant proche de celui de 2015 ».

    Les premiers bénéficiaires sont évidemment les associations caritatives ou de recherche médicale. Dans l’ordre d’arrivée : l’Association française contre les myopathies, les Restos du cœur, la Croix-Rouge, le Secours catholique et Médecins sans frontières. Quant aux communes où l’on met le plus la main au portefeuille, il s’agit de Versailles, Neuilly-sur-Seine et Strasbourg. Autrement dit, chez les « salauds de riches ».

    À noter également, ce qui ne surprendra personne : les dons aux partis politiques ont chuté de 11 % en 2016. Et vu la déconfiture des uns et des autres, on doute fort que les Français ne banquent demain pour les renflouer…

    Voilà donc pour les dons officiels, ceux qui sont assez conséquents pour faire l’objet d’un reçu et apparaître sur la feuille d’impôt. Depuis, en gros, la crise des années 2010, le réseau Recherches et Solidarités observe des changements dans nos comportements. Sans surprise, là encore, les dons des plus aisés ont augmenté quand ceux des moins bien lotis diminuaient. Le quinquennat Hollande ayant asséché la classe moyenne, les solidarités se sont déplacées : on soutient en priorité ses proches et l’aide aux « nécessiteux », comme on disait autrefois, se fait de la main à la main.

    On a « ses pauvres à soi »; comme chantait Jacques Brel en raillant les dames patronnesses.

    Et pourquoi pas ? Pourquoi ne serait-il pas légitime d’aider ceux qui nous sont familialement, puis culturellement les plus proches ? On peut préférer aider le clochard au coin de la rue ou les chrétiens d’Orient plutôt que les Érythréens ou les Libyens en exil. On peut surtout ne pas en rendre compte au fisc, qui sonde assez les portefeuilles pour ne pas exiger, en plus, de sonder les âmes.

    Enfin, puisqu’il est question de générosité, on est assailli quasiment chaque semaine maintenant par les collectes alimentaires. Au point qu’on s’interroge sur la réalité de toutes ces associations qui se relaient aux caisses des supermarchés, n’ayant à offrir pour justificatif de leur action qu’une feuille imprimée distribuée aux chalands.

    Charité, business, escroquerie ? Qui contrôle ?

    Marie Delarue

    Source : http://bvoltaire.com


    votre commentaire
  • La principale musulmane du collège « François Rabelais » (06) veut forcer les élèves à apprendre des chants en arabe ..

    Le collège François Rabelais de L’Escarene, dans le département des Alpes-Maritimes (06), est au cœur d’une polémique depuis plusieurs jours. Motif : la colère des parents d’élèves qui voient leurs enfants contraints d’apprendre des chants en arabe.

    Pour protester, ces derniers ont diffusé la copie du document.

    Cette protestation n’a pas été du goût de la principale du collège, Salima Boussehaba, d’origine musulmane. Cette dernière est donc venue menacer les élèves concernés directement en classe, assurant qu’elle « n’avait rien à cirer » des réactions des parents d’élèves qui s’opposent aux manifestations les plus grossières du prosélytisme arabo-islamique.

    On pourra légitimement s’interroger sur les priorités éducatives de l’établissement sous la direction de la responsable précitée, puisque le collège François Rabelais de l’Escarenne affiche des résultats particulièrement médiocres en termes de réussite scolaire. En 2015, le taux de réussite au brevet des collèges était de 71 % contre 86 % pour la moyenne hexagonale (source).

    Source : http://breizatao.com


    votre commentaire