• Cachez-moi ces blessés du 13 novembre, vraiment gênants pour les élections

    attentats-paris
    C’est vraiment très gênant ces blessés du 13 novembre. Ce sont des boulets, des empêcheurs de voter en rond dans le sens urgé par le politiquement correct.
     Alors, on pratique l’omerta.
     On n’en parle plus.
     Jusqu’au prochain attentat. 
    Ils pourraient donner de mauvaises idées de vote.
    Le Figaro d’aujourd’hui parle bien des blessés psychologiques, plus distingués, romantiques, pas de compresses ni de sang coagulé, juste une mèche triste sur l’oeil, on ne nie pas leur traumatisme.

     Mais des blessés physiques beaucoup moins beaux à voir, qui languissent encore dans leurs multiples perfusions entre deux opérations, ne se parfument pas Hermès mais plutôt transfusion de plaquettes, bétadine, antibiotiques et désinfectants, et doivent sonner car complètement incapables de se mouvoir pour se rendre aux toilettes, rien. 

    On les a dispatchés dans les nombreux hôpitaux parisiens, ce qui permet de minorer le problème en ne le voyant pas trop.
     Cachez-moi ces blessés que je ne saurais voir.
     Pour avoir des nouvelles de ces blessés, il faut se donner beaucoup de mal.
     On apprend quand même en cherchant bien, que sur 450 blessés, il en reste 60 ou 75, on ne sait pas trop car les sources divergent, qui sont encore hospitalisés, dont une dizaine en réanimation.
    Le 23 novembre, un médecin parlait de blessures de guerre et disait ceci :
    « Parmi ceux qui ont survécu, beaucoup auront subi de très lourds dégâts fonctionnels. Pour certains, le chemin sera très long. Ils ont perdu un bras, une jambe, ce sont des traumatisés à vie »

    http://www.20minutes.fr/societe/1736447-20151http://www.20minutes.fr/societe/1736447-20151124-attentats-paris-comment-vont-blesses-plus-dix-jours-apres124-attentats-paris-comment-vont-blesses-plus-dix-jours-apres

    Mais à la veille des élections, on n’en parle presque plus.
     On sait que nombreux sont les blessés qui ont reçu des boulons dans le corps, mais on ne parle que de Mme Pavlovic qui en a reçu un dans le crâne et risque d’être hémiplégique :

    http://www.telestar.fr/2015/articles/attentats-de-paris-le-blesse-oublie-du-13-novembre-temoigne-183004
    Où sont passés les autres ?
     Le secret médical, c’est bien facile.
    On sait que Laura Croix vient de sortir du coma après un mois, criblée de balles, on se demande quel avenir elle a devant elle.

    http://www.huffingtonpost.fr/2015/12/03/attentats-13-novembre-blesses-ile-de-france-sante_n_8706276.html?utm_hp_ref=france&utm_hp_ref=France

    Cyril quant à lui, a eu le pied arraché et doit encore subir des opérations :

    http://www.20minutes.fr/societe/1749187-20151211-attentats-paris-temoignage-glacant-cyril-mutile-bataclan

    Mais pour un nom qui est prononcé, combien sont confinés dans le silence blanc, anonyme et fétide, des hôpitaux ?
     Une voisine vient de me dire qu’une de ses proches a été criblée de balles, elle aussi. 
    Elle est restée entre la vie et la mort jusqu’à aujourd’hui même. 
    On ne sait pas si cette grande sportive pourra remarcher, on a failli l’amputer d’une jambe, elle a subi vingt opérations,  mais déjà elle s’estime moins malheureuse que ceux qui ont perdu un œil ou une main.
     Ce qui ressort de ces conversations entre voisins est terrifiant et donne envie de prendre le maquis…

    Alors les blessés du 13 novembre, s’il vous plaît, soyez gentils, faites-vous petits, discrets, transparents, pas de vagues, au moins jusqu’à la fin de ce week-end, silence, on vote. 

    Car vous êtes la preuve vivante que nos gouvernants ont laissé des milliers de terroristes entrer en France en toute liberté, aidés et accompagnés par des bénévoles d’assos aux ordres, subventionnées et complices, avec accueil par les pompiers, les élus, les préfets, logés et nourris à nos frais, couverts d’allocations et d’argent de poche.
     Et n’ayant qu’à se baisser pour ramasser des armes dans certaines cités ou certains lieux de culte.
    Je ne sais pas comment vont réveillonner ces blessés : à la perfusion aromatisée au foie-gras, me suggère empli d’humour très noir un auteur de RL. 

    Poutine, invité par Hollande à un dîner à 500 euros par tête de pipe plus les vins, a poliment décliné l’invitation, en raison des victimes des attentats.

     Ayons nous aussi une pensée pour eux non seulement le 31 décembre, mais tous les jours.

     Ce sera une pensée résistante et militante.

    Sophie Durand
     sur lesobservateurs.ch 

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  • Skövde (Suède) : Comme il n’y a plus beaucoup de Suèdois dans cette ville, les panneaux sont désormais en Arabe

    La municipalité de Ryd à Skövde est une zone dite « extra-urbaine » et est dominée par les habitants de la communauté arabe. Ol été décidé que les informations municipales seront rédigées en Arabe.

    (…) samnytt.se via fdesouche


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  • François, Nicolas, Alain : les has been font leur come-back !

    En une semaine, ils ont fait leur réapparition sur les écrans. Ils ? Les vaincus de Macron, les perdants, les has been – pour ne pas dire les « had been » – de la politique française. Les battus du monde d’avant. Un come-back de tous les instants, sur presque tous les sujets. Et cela nous laisse un sentiment partagé : pitié pour eux, admiration pour ce Président qui les a poliment rangés dans le grenier de la République.

    Le premier à revenir, ce fut François Hollande. Après les piques et les conseils adressés à son successeur, qui sut saisir son destin en se faisant le Brutus d’un César déjà moribond, il est de toutes les commémorations : 11 novembre, mais aussi 13 novembre, puisqu’il fut le Président qui « géra » cela. Il multiplie également les conférences, pendant que ses conseillers essaient de nous faire vibrer sur la gestion de l’affaire Merci pour ce moment dans les coulisses de l’Élysée. Réaction des Français ? Elle est catégorique. Les Français ne veulent absolument pas revoir M. Hollande. Dans le sondage Elabe pour Les Échos et Radio Classique, il perd six points en un mois, à 16 % de bonnes opinions ! Et la part des mauvaises opinions à son égard progresse à 71 %. Du jamais vu pour un ancien Président.

    Pour le 11 novembre, le Président Macron a pris soin d’inviter également M. Sarkozy. Et, à l’occasion de l’hommage rendu à Clemenceau, M. Sarkozy n’a pas hésité à se comparer au Tigre ! Les temps ont changé, mais pas M. Sarkozy. Cela devrait conduire M. Wauquiez à relativiser les conseils que vient de lui donner son ancien mentor : « Celui qui ne rassemble pas, qui pense qu’une famille politique, c’est une secte, ne peut pas défendre ses convictions. » Le parcours de M. Sarkozy, dans les temps nouveaux du macronisme, n’est peut-être pas le modèle à suivre.

    Ce souci des usages républicains, qui honore M. Macron, particulièrement auprès de l’électorat âgé et qui eut la faiblesse de voter un jour pour un Sarkozy ou un Hollande (et cela fait beaucoup de monde), le sert bien au-delà : la photo souligne le contraste, rappelle la jeunesse et la nouveauté de celui qui a tout balayé du monde d’avant. Et le monde d’avant, tel qu’en lui-même, se prête de bonne grâce à marteler le message. MM. Hollande et Sarkozy ? De splendides utilités dans le ballet macronien. De petites lueurs déclinantes qui en font un Roi-Soleil.

    Mais nous allions oublier un dernier revenant. Le meilleur pour la fin : M. Juppé. D’après Sud-Ouest, il a été enthousiasmé par le discours de M. Macron sur l’Europe à la Sorbonne et souhaite participer, pour les prochaines élections européennes, à un grand courant pro-européen que conduirait le chef de l’État. Rien d’étonnant du point de vue politique. Rien d’étonnant non plus, d’un point de vue médiatique, que les brumes bordelaises de novembre poussent M. Juppé à vouloir lui aussi capter un peu de la lumière macronienne.

    Mais on se demande si M. Macron a vraiment intérêt à ce rapprochement. Deux anciens Présidents, qui incarnèrent chacun, avec leurs défauts, la droite et la gauche d’avant, cela a du sens. Mais M. Juppé, qui ne fut jamais Président et qui n’incarna finalement qu’un gaullisme creux, un centrisme indécis et une béatitude confondante sur les questions d’Europe et d’immigration, est-ce vraiment utile ? N’a-t-il pas déjà donné avec M. Bayrou ? Maintenant qu’il est Président, quelle utilité de ringardiser sa personne et son projet par un Juppé qui n’a cessé de se « bayrouiser » ? N’a-t-il pas pris, avec M. Philippe, un technocrate falot que l’on dit bon gestionnaire, le meilleur de ce qu’il avait à prendre chez M. Juppé ? Pourquoi vouloir aller plus loin dans cette voie ?

    À moins que le macronisme ne soit qu’un juppéisme juvénile.

    Pascal Célérier

    Source : http://bvoltaire.com


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  • Le tag raciste à l'académie militaire était l'oeuvre d'un élève-officier noir

    Fin septembre, le général Jay Silveria, directeur d'une académie militaire américaine, était subitement passé à la postérité. Dans un discours de quelques minutes, il avait dénoncé avec emphase et trémolos des tags racistes visant cinq Noirs de son établissement. Mais quelques semaines plus tard, on découvrait que l'auteur des insultes haineuses n'était autre... que l'une des victimes visée par les messages insultants !

    Quand le général Silviera s'est exprimé pour dénoncer les inscriptions racistes à l'Académie de l'armée de l'air de Colorado Springs, imaginait-il qu'il toucherait autant de monde ?

    Son discours devant 1.500 élèves-officiers a eu un impact important et a été abondamment relayé par la presse gauchiste nationale et internationale.

    Aujourd'hui, on apprend que tout le monde a été mystifié : l'auteur des messages haineux placardés sur certaines portes était en fait l'un des occupants des chambres visées, un jeune Noir donc, qui voulait sûrement lui-aussi avoir son quart d'heure de gloire victimaire.

    L'académie assure qu'il avait d'autres problèmes, qu'elle ne le compte plus parmi ses membres. Mais cette découverte jette un froid.

    Cela affaiblit la position de tous ceux qui dénoncent hystériquement les prétendus crimes racistes. D'autant que d'autres « manipulations » du même genre ont déjà été relevées ces dernières semaines, dans des universités du Kansas ou du Michigan par exemple.

    Tout ceci donne quelques arguments à ceux qui mettent en cause les statistiques montrant que les actions « haineuses » ont augmenté dans le pays depuis l'élection de Donald Trump.

    Source : http://rfi.fr


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  • Pour justifier son escapade coquine, l'ex-candidate FN avait fait croire à un enlèvement

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    Pour la retrouver, la gendarmerie avait mis en place un important (et coûteux) dispositif de recherche. La jeune femme encourt 6 mois de prison ferme.

    Sandy Gaillard, une ancienne candidate frontiste en Lozère, est jugée à compter de ce jeudi à Mende, signale Le Parisien. Motif: en juillet dernier, elle avait fait croire à son enlèvement afin de justifier une escapade coquine avec son amant. 

    Le soir du pseudo-enlèvement, elle avait envoyé des SMS à un ami, racontant avoir été jetée dans le coffre d'une voiture par un mystérieux ravisseur. Inquiet, l'ami en question avait immédiatement alerté la gendarmerie, qui avait mis en œuvre d'importants moyens pour retrouver la disparue. 

    Dès le lendemain, Sandy avait pu être retrouvée. Mais vite, lors de sa déposition, les gendarmes vont remarquer que quelque chose cloche. La victime ne porte pas de trace de blessure et ne semble pas plus traumatisée que ça par sa mésaventure. 

    6 MOIS DE PRISON FERME

    Pendant la garde à vue, la jeune femme va finalement avouer avoir tout inventé. Elle voulait s'accorder un week-end en amoureux au Puy-en-Velay avec son amant et n'avait rien trouvé de mieux pour cacher la vérité à son mari, dont elle était en train de se séparer. 

    Le mari avait d'ailleurs été soupçonné de l'avoir enlevée. Ce courtier en assurance, lui aussi candidat FN aux dernières législatives en Lozère, avait déjà été condamné pour des faits de violences conjugales sur la jeune femme. 

    Ce jeudi, Sandy Gaillard comparaît au tribunal correctionnel de Mende pour "dénonciation de crime imaginaire", un délit passible de six mois de prison ferme et 7.500 € d'amende. 

    Pour la retrouver, la gendarmerie avait mis en place un important dispositif de recherche. Selon Le Parisien, elle avait notamment "utilisé pendant plus de deux heures un hélicoptère EC 145 dont le coût d’exploitation à l’heure est de 4600 euros, hors équipage". 

     

    Source : news.sfr.fr


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