• Le vieux tyran Mugabé forcé à tirer sa révérence

    Des coups de feu tirés dans la nuit de mardi à mercredi autour du palais présidentiel ont rompu la tradition de calme qui régnait, jusqu’ici, dans ce pays soumis à une dictature féroce par le président Mugabe depuis le début du siècle. On disait, en effet, des habitants du Zimbabwe que la seule préoccupation qu’ils avaient, le matin en se levant, était d’aller chercher de quoi manger et non pas de faire la révolution…

    Depuis deux jours déjà régnait à Harare comme un air de putsch militaire. Des chars convergeaient vers la capitale sans qu’on sache trop ce qu’ils allaient y faire.

    On est maintenant certain que c’est le dernier épisode en date de la terrible guerre de succession du vieux tyran de 94 ans qui a fait descendre l’armée dans les rues. Il y a une semaine, en effet, le président Mugabe révoquait son dernier vice-président, Emmerson Mnangagwa, qui était surtout hostile aux agissements en coulisses de (Dis)Grace, l’épouse du président qui ne cachait pas ses intentions de succéder à son vieillard de mari. Un an plus tôt, c’était au tour de la première vice-présidente Joice Mujuru d’être démissionnée pour les mêmes raisons.

    Après avoir pris le bâtiment de la radio sans coup férir, il semble que les militaires se soient ensuite dirigés vers le palais présidentiel pour « protéger le président en le mettant en résidence surveillée ». De là, probablement, l’origine des coups de feu échangés entre les mutins et la garde rapprochée du président .

    Dans une déclaration faite à la presse, le brigadier-major Sibusiso Moyo a déclaré être toujours fidèle à Robert Mugabe et vouloir s’en prendre surtout aux criminels qui l’entouraient. Mais personne n’est dupe à Harare. Emmerson Mnangagwa, qui avait fui le pays après son éviction, est revenu et a tweeté dans un message à la population de rester calme et qu’il allait prendre contact avec elle en temps et lieu, « les prochains jours devant être très chargés pour lui ». Aux dernières nouvelles, le pays est définitivement sous la férule des militaires, ces derniers ayant décidé de dissoudre le Parlement, de nommer un nouveau conseil militaire et d’engager des discussions avec Joice Mujuru, Emmerson Mnangagwa et Morgan Tsvangirai, ancien Premier ministre et fondateur du MDC (Movement for Democratic Change). Quant au président Mugabe, sa femme et son entourage proche, ils sont officiellement en état d’arrestation et confinés au palais présidentiel.

    Jean-Pierre Lenoir

    Source : http://bvoltaire.com


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  • Trois cornichons tiennent un ballon…

    La photo des trois cornichons tenant un ballon pour commémorer les attentats sanglants du 13 novembre vaut à elle seule toutes les analyses et autres chroniques zemmouriennes.

    Tout est résumé dans ce cliché. L’air absent de Hollande qui semble tenir un préservatif dans lequel il vient de souffler, la mine enfantine de Macron accompagné de sa maman qui lui a promis une barbe à papa… Il lorgne du côté du vendeur… Ah, ça fait envie. Mais à quelle heure vais-je l’avoir ? Maman, s’il te plaît…

    Le marchand de ballons qui se tient sur la droite du cliché tente de convaincre la responsable du trio d’en acheter trois autres… Mais rien à faire. Elle est inflexible. Le budget de l’État ne permet pas de faire de telles dépenses. Derrière, on devine quelques manèges… Marcel Campion ne doit pas être bien loin. Il veut sa grande roue devant le Bataclan. Ah, elle aurait belle allure ! Un stand de pommes d’amour, des statuettes de terroristes… Le créneau festif est évident.

    Et ce sont donc ces trois cornichons pitoyables de niaiseries et d’inconséquences que certains appellent l’élite. D’accord. Le gratin de la clientèle qui fréquente « la fête à neuneu ». Dans le cadre d’une fête foraine, l’appellation « élite » est pertinente. Bien habillés, brushing impeccable malgré les tours de grand huit. Quelle tenue ! On dira ce qu’on voudra, ma chère, mais l’ENA, ça vous façonne son homme.

    S’imaginer la rigolade des djihadistes devant ce spectacle ridicule vous fait monter une de ces hontes… L’indécence d’une telle cérémonie devrait se dérouler huis clos. Dans un souterrain, dans une cave… Entre cornichons. Tous réunis dans le même bocal. Et tant pis si le lâcher de ballons bute contre le plafond. C’est le geste qui compte. Qu’ils se livrent à leurs pitreries en cachette. De grâce… Ce cliché avoue de manière trop flagrante l’absence de volonté d’en finir avec ces barbaries. L’infantilisme y est trop fort. La décadence trop voyante. L’envie de perdre est là tout entière. Étalée sans pudeur, montrée à tous. Allons enfant de la patrie, le jour de défaite est arrivé… Allez, changeons les paroles de l’hymne et n’en parlons plus.

    Jany Leroy

    Source : http://bvoltaire.com


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  • Paris 11 novembre: La tombe du soldat inconnu profanée par des centaines de Marocains

    Comme à Bruxelles,  la qualification pour la coupe du Monde de football a été l’occasion pour des centaines de supporters Marocains de venir profaner la tombe du soldat inconnu sous l’Arc de triomphe en haut des Champs Élysées.  « Face à l’afflux de supporteurs sortis fêter une victoire sportive du Maroc, tous les accès au rond point de l’Etoile ont été fermés. Des camions de CRS ont également bloqué l’accès aux Champs-Elysées. Ces Marocains hurlaient « On est chez nous » Source

    Comportement abjects: « les Marocains en France viennent de piétiner la tombe du Soldat inconnu le jour de l’armistice de la guerre de 14-18. Tout ça pour une victoire de football dans un autre état africain ».

    Emilie Defresne

    Source : medias-presse.info


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  • FACE AUX ACCUSATIONS DE HARCÈLEMENT OU DE VIOLENCE, LE FN A UNE SOLUTION : DÉCRÉDIBILISER LA VICTIME PRÉSUMÉE

    Créer une affaire dans l'affaire. Ou, plus simplement, décrédibiliser l'émetteur, la personne qui lance les accusations ou le média qui les relaye. Telle est la ligne de conduite suivie par le Front national dès qu'une affaire de viol, d'agression – sexuelle ou non – ou de harcèlement vient éclabousser l'un de ses membres. 

    L'illustration en est donnée, ce mardi 14 novembre, par Louis Aliot. Invité de Sud Radio, le vice-président du parti, également député des Pyrénées-Orientales, est interrogé sur les accusations formulées par deux anciens assistants parlementaires. Dimanche, dans C Politique  sur France 5, Mickaël Ehrminger et Alexandre Benoît ont affirmé, face caméra, avoir été harcelés sexuellement par un "proche incontournable de Marine Le Pen depuis des années" qui est aujourd'hui député

    Louis Aliot est donc questionné sur ces accusations. Le parti "tête haute et mains propres" doit-il lui aussi faire le ménage dans ses rangs ? Voici l'échange : 

    -          Sud Radio : Les affaires de harcèlement, Louis Aliot, touchent tout le monde, tous les secteurs, y compris les partis politiques. Le FN doit faire le ménage aussi chez lui ?

    -          Louis Aliot : Ecoutez, le ménage par rapport à quoi ?

    -          Sud Radio : Il paraît qu'il y a des affaires chez vous, qui ont été sorties récemment, de harcèlement.

    -          Louis Aliot : Oui j'ai vu que Closer, qui a sorti cette affaire-là [il s'agit en fait d'entretiens diffusés sur France 5, NDLR], a pris pour argent comptant les dires d'un ancien assistant qui lui tweete des choses antisémites en faveur de Soral, etc. J'ai trouvé ça curieux.

    -          Sud Radio : Oui, oui.

    -          Louis Aliot : En revanche, elle n'a pas sorti ses tweets antisémites. Elle sort cette affaire-là, sur des on-dit, mais elle ne sort pas les tweets de cette personne-là.

    Louis Aliot estime qu'"il ne faut pas tomber dans la caricature permanente où les gens s'accusent les uns les autres" et, en même temps, "il faut faciliter le dépôt de plainte des gens qui sont harcelés". 

    La technique du député frontiste consiste donc à décrédibiliser la parole de l'une des victimes présumées en l'accusant de tout autre chose, ici d'avoir tenu des propos antisémites sur Twitter. Dans l'esprit du n°2 du FN, les accusations contre un député FN sont donc nulles car l'un des accusateurs aurait publié des messages anti-juifs par le passé. Louis Aliot ne dit cependant rien sur les accusations portées par le deuxième assistant, Mickaël Ehrminger. Sur le fond non plus, et notamment sur les accusations de harcèlement portées contre un député FN, le n°2 du FN ne se prononce pas. 

    La mise en doute de la crédibilité de l'accusation est régulièrement soulevée en matière de harcèlement, de viol ou d'agression. Et elle a déjà été utilisée au FN, notamment par Marine Le Pen

    Début novembre, Le Monde rapportait le témoignage de deux femmes se disant victimes d'agression de la part de membres du parti d'extrême droite. Il était notamment question d'Aurélie Cournet, conseillère régionale FN d'Île-de-France. Cette dernière accuse son collègue Pierre-Charles Cherrier de violences. "[Il] a voulu me parler, et comme j’ai refusé il m’a forcée à le suivre en m’arrachant des mains mon téléphone portable. Il m’a piégée en m’entraînant jusqu’à l’intérieur de la salle de réunion du conseil régional, où il m’a arraché ma robe puis m’a giflée et m’a ensuite poussée violemment contre le mur où je me suis écroulée par terre", racontait-elle dans un mail adressé à Marine Le Pen le 7 septembre. Selon plusieurs sources, citées par Le Monde fin octobre, Aurélie Cournet a porté plainte contre Pierre-Charles Cherrier. 

    Interrogée sur ces informations le 5 novembre sur France 3, Marine Le Pen avait trouvé la parade : s'en prendre au quotidien. "J'ai trouvé l'article du Monde profondément scandaleux car, dans deux affaires, en l'occurrence, il ne s'agit pas de harcèlement. On mélange tout. Il s'agit de séparations de deux couples, séparations qui se sont mal passées", avait-elle déclaré. 

    Deuxième salve. Elle ajoutait : 

    On ne peut pas quand on est un journal comme Le Monde, porter de telles accusations pour des raisons bassement politiques. Mais peut-être est-ce pour détourner le regard des horreurs que l'on apprend sur l'ancien propriétaire du Monde Pierre Bergé, accusé dans un livre d'avoir autorisé des actes de pédophilie dans sa maison de Marrakech.
     

    Ou comment remettre en cause une nouvelle fois une accusation en évoquant un autre fait, une autre affaire, destinée à jeter le trouble sur la crédibilité de l'émetteur ou son transmetteur, ici Le Monde. Marine Le Pen faisait référence au livre Saint-Laurent et moi : une histoire intime  et dont l'auteur, Fabrice Thomas, affirme avoir été l'amant du couturier Yves Saint-Laurent et de son compagnon Pierre Bergé. Il rapporte notamment des scènes d'orgies dans lesquelles des mineurs auraient été impliqués selon lui. 

    Ou comment, une nouvelle fois, créer une affaire dans l'affaire.  


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  • Collomb part à la chasse aux patriotes

    Finalement, aujourd’hui plus que jamais, la France ressemble à celle qu’elle était dans les années 60/62, en Algérie.

    Elle combat, de toute sa puissance policière, les résistants patriotes et protège les terroristes, ces fellaghas nouvelle génération, qui ont décidé d’islamiser la France.

    Quand, révoltés par la soumission de De Gaulle à l’islam terroriste algérien, les vrais Français ont décidé d’agir enfin, les forces de police, l’armée et toute la barbouzerie se sont alliées au FLN pour traquer du résistant Algérie Française

    Ce matin, le ministre de l’intérieur, aux ordres du président, est parti à la chasse aux patriotes.

    C’est une habitante des Pyrénées Atlantiques, vraie française, qui s’est vue interpellée et emmenée manu-militari par un commando du GIGN, pas moins. Elle est coupable d’adhérer au Siel, à Génération Identitaire, à Résistance Républicaine, aux VPF et à Vigilance Halal. Autant dire, un crime de haute trahison, pour l’équipe gouvernante !

    Depuis quelques temps, perquisitions, saisies de documents, de téléphones et d’ordinateurs, de gardes à vue, sont le lot de tous ceux qui osent s’élever contre la politique macronique (et la hollandesque, avant elle) qui tend à offrir la place de leader à l’islam en France.

    Les responsables des sites anti islamiques se voient surveillés et traqués comme de vulgaires délinquants et la magistrature prend un plaisir jouissif à les condamner, pour le plus grand bonheur des musulmans qui se voient, déjà, propriétaires de notre pays.

    On se demande quand – mais ça viendra – les forces de police sur ordre de leurs patrons, Collomb et Macron, viendront envahir, au petit jour, les quartiers non-musulmans pour y débusquer les éventuels résistants à l’islamisation, mettant à sac les appartements à la recherche d’armes ou de tracts patriotiques contraires à leur politique.

    Parce que c’est exactement ce qui est arrivé en Algérie. Quand, révoltés par la soumission de De Gaulle à l’islam terroriste algérien, les vrais Français ont décidé d’agir enfin, les forces de police, l’armée et toute la barbouzerie se sont alliées au FLN pour traquer du résistant Algérie Française.

    On se souvient de ces manifestations franco-françaises réprimées jusqu’au massacre des populations civiles désarmées dans les rues d’Alger sur lesquelles l’armée n’a pas hésité à tirer faisant des centaines de morts et certains blessés, même, achevés d’une balle dans la tête.

    Les gardes mobiles, ce ramassis de condamnés libérés des prisons françaises et les CRS, grassement payés pour nous pourchasser et casser du vrai Français, s’en sont donné à cœur-joie. La fibre patriotique, chez ces gens-là, n’existe pas, seule compte la solde.

    Et que vous le veuillez ou non, nous sommes, présentement, dans la même situation.

    Cela fait plus de six ans, déjà, que les dirigeants français ont interdit à leurs forces de police de poursuivre les délinquants, s’ils sont issus de l’immigration musulmane vivant dans les cités qu’ils ont envahies. La première consigne nous est venue de M. Alliot-Marie qui avait donné l’ordre de ne plus poursuivre les motos, scooters et autres deux-roues par crainte qu’ils ne se tuent en voulant échapper à la police.

    Depuis, ils en ont fait du chemin ces immigrés musulmans. Ils ont mis au pli toute la classe politique du pays. Ils sont devenus intouchables.

    La police ne s’aventure plus dans les quartiers arabes. Elle intervient très peu dans les manifestations où ils cassent et brûlent tout sur leur passage. On ne les condamne pas quand ils crient : « A mort les Juifs » ou « Nique la France ». Ils ont tous les droits, même celui d’attaquer la police aux cocktails Molotov ou à l’arme de guerre !

    Pendant ce temps, on condamne les kippas, les crèches et les croix sur la voie publique et la police protège les musulmans dans les rues pour qu’ils prient quand bon leur semble.

    Et si les Français ont le malheur de critiquer l’islam ou les musulmans, sur un site ou dans une réunion, pour peu qu’il y ait des taupes qui les dénoncent comme le préconise notre président, ils seront traduits en justice et condamnés à payer… pour l’instant.

    Au train où vont les choses, ils seront bientôt condamnés à la prison. Et quand ils embastilleront  les résistants, ils les auront livrés pieds et poings liés aux musulmans qui foisonnent dans nos pénitenciers.

    Tout comme ils le faisaient en Algérie où ceux qui se faisaient arrêter, arbitrairement, par les gardes mobiles étaient remis aux arabes du FLN sans autre forme de procès.

    La situation est devenue gravissime. Les dirigeants français n’ont pas encore compris que ce favoritisme affiché pour l’islam, au détriment de nos religions chrétienne et juive, ne pouvait que creuser le fossé qui est d’ores et déjà insurmontable envers ces communautés.

    Quel Français, juif ou chrétien ou athée, devant le spectacle que lui offrent ces musulmans, chaque jour à chaque moment, peut dire qu’il les supporte ? Aucun. Les Français en sont arrivés à haïr le fait même qu’ils soient de type arabo-africain. Ils les fuient comme ils fuiraient la peste. Ils n’en veulent pas. Ils n’en veulent plus.

    Est-ce que des hommes qui ont la responsabilité de gouverner un Etat ne sont pas capables de comprendre que leur politique fait plus de mal que de bien ?

    Est-ce qu’ils consentiront à redresser la barre rapidement ou attendront-ils que la colère qui gronde explose tout à fait ?

    C’est la question que l’on peut se poser.

    Pourtant, l’Histoire nous a appris qu’un chef d’Etat buté et imbu de sa personne pouvait entraîner tout un peuple à la révolte.

    Et toute révolte condamne, forcément, des innocents.

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