• Longtemps bien seul, dès 2013, dans le Delanopolis et Atlantico, j’ai révélé aux Parisiens et aux Français qu’Anne Hidalgo avait bénéficié d’une scandaleuse retraite à l’âge de 52 ans tout en cumulant sa pension avec de grasses indemnités à la mairie de Paris.

    Puis j’ai posé la question : qu’avait-elle bien pu faire au cabinet du Garde des Sceaux puis à l’Inspection du Travail tout en étant candidate aux élections et par la suite première adjointe au maire de Paris ?

    Sans compter qu’elle y a ajouté un mandat de conseiller régional en 2004.

    Un cumul impossible à tenir physiquement car il s’agit d’au moins deux sinon trois activités à plein temps. C’est ce cumul qui lui a, du reste, permis de bénéficier d’une retraite aussi confortable qu’anticipée.

    Hidalgo, favorisée par l’omerta des médias qui lui mangent dans la main, n’a pas cru devoir répondre.

    « Notre-Drame-de-Paris », le très documenté livre d’Airy Routier et Nadia Le Brun a reposé ces questions sans davantage obtenir de réponse.

    Enfin, grâces lui en soient rendues, un journaliste courageux, Philippe Eliakim, vient dans « Capital » d’enfoncer le clou en détaillant la période où, entre 2000 et 2003, Hidalgo faisait campagne électorale puis était élue alors qu’elle était censément membre d’un cabinet ministériel puis retournée au ministère du travail.

    Hidalgo est désormais coincée et ne peut plus faire jouer la loi du silence.

    Elle avance donc des explications vasouillardes et annonce qu’elle va porter plainte pour diffamation.

    Mais sa contre-offensive ne tient pas la route.

    Explications …

    Fais comme moi, barre toi !

    Fais comme moi, barre toi !
    Reprenons très synthétiquement les faits tels qu’on peut les établir en y intégrant les explications trouvées par Eliakim.Jusqu’en avril 2002, l’inspectrice du travail en chef Anne Hidalgo a été mise à disposition du cabinet de Marylise Lebranchu, alors ministre de la Justice. Problème : après quelques semaines de travail à son arrivée en novembre 2000, « elle est partie faire sa campagne municipale, et on ne l’a pratiquement plus revue » indique un ancien conseiller cité par Capital. Après la défaite de Lionel Jospin à la présidentielle, Anne Hidalgo est ensuite officiellement réintégrée à la direction régionale du travail d’Ile-de-France et touche le salaire correspondant, sans pour autant y mettre les pieds poursuit le mensuel.

     

    « Une situation, poursuit Capital, qui prend finalement fin début 2003 sous pression du syndicat SUD-Travail qui s’était emparé du dossier, avait entamé des démarches auprès de la Cour des comptes, de la Commission des comptes de campagne, de la mairie de Paris et avait saisi la Cada (Commission d’accès aux documents administratifs). »

    Un arrêté du 7 janvier 2003 place Anne Hidalgo rétroactivement en détachement à la mairie de Paris et lui réclame le remboursement d’un peu plus de 21.000 euros, correspondant à ce qu’elle a perçu depuis la fin du cabinet Lebranchu.

    Il faut bien comprendre que, durant tout ce temps, le cumul d’emplois auquel elle s’est livrée est matériellement impossible.

    Mais il faut pousser plus avant dans le temps les investigations de Capital car, en réalité, le scandale Hidalgo est loin de s’arrêter là.

    Quand, en vertu des dispositions qui permettent à un fonctionnaire d’être détaché comme adjoint au maire d’une grande ville, Hidalgo n’est plus payée par l’Etat, à partir de 2003 donc, elle continue néanmoins à bénéficier des droits à l’avancement et à la retraite dans son corps d’origine.

    C’est du fait de ces dispositions qu’elle a pu demander sa mise à la retraite avec autant d’annuités en 2012. Du coup, le cochon de payant, c’est à dire le contribuable français, lui verse depuis cette date une pension qu’elle cumule allègrement avec des indemnités de maire lesquelles, sous différentes formes, atteignent les 9.000 euros mensuels.

    C’est bien pire que tout ce qui a pu être reproché à Wauquiez récemment !

    Tentant de contre-attaquer, Hidalgo s’enfonce pitoyablement.

    Que dit-elle ?

    « Elue en mars 2001 et enceinte de son troisième enfant, elle a exercé son droit au congé maternité puis au retour de son congé maternité, elle a demandé au ministère du Travail de la placer en position de détachement « avec cessation du paiement de sa rémunération, en raison de sa fonction de première adjointe au maire de Paris ». Une demande qui a, dit-elle, été validée par un arrêté ministériel du 7 janvier 2003.

    L’entourage d’Hidalgo, interrogé par LCI, tente d’argumenter un peu plus en précisant qu’en mars 2001, élue conseillère de Paris puis Première adjointe, Anne Hidalgo a « poursuivi en parallèle son activité professionnelle ».

    En octobre 2001, elle a pris six mois de congé maternité « car il s’agissait de son troisième enfant ». En mai 2002, indique aussi son entourage, Anne Hidalgo a demandé « à être détachée sans solde en raison de sa fonction de Première adjointe », ce qui a été entériné par l’arrêté de janvier 2003. « Elle a évidemment reversé les salaires perçus entre sa demande et l’arrêté », conclut la Ville.

    Fadaises !

    Tout d’abord, jusqu’en octobre 2001, Hidalgo était bel et bien en campagne électorale ou élue de Paris tout en émargeant au cabinet de Lebranchu.

    Ensuite, Hidalgo fait mine de croire que son congé maternité aurait comme interrompu son activité au ministère du travail où elle était revenue besogner. Que nenni ! Elle est partie en congé maternité payée par le ministère alors pourtant qu’elle n’y travaillait plus depuis longtemps. Rappelons que le fonctionnaire en congé maternité garde son traitement indiciaire (à l’Inspection du travail pour ce qui la concerne) et sa nouvelle bonification indiciaire (NBI).

    Sur toute cette période, elle n’a rien reversé.

    Enfin, elle ne dit évidemment rien de l’ancienneté qu’elle a continué à cumuler au ministère tout en étant détachée à la mairie et qui lui a permis de bénéficier d’une retraite généreusement calculée.

    Là où Hidalgo retrouve un sens du droit plus aigu, c’est pour souligner que les « faits sont prescrits » ! Quelle belle défense et quel merveilleux exemple de bonne foi et de probité !

    A suivre …

    Serge Federbuschhttp://www.delanopolis.fr/Scandale-des-emplois-fictifs-d-Hidalgo-enfin-les-langues-se-delient-_a3260.html


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  • Deux Maghrébins sur trois en situation illégale n’ont pas été expulsés

     

    Minute a consulté le rapport rendu en juin dernier, portant sur l’année 2016, réalisé par un collectif d’associations d’aide aux immigrés (composé de l’Assfam, du Forum réfugiés, de France Terre d’Asile, de la Cimade, de l’Ordre de Malte et de Solidarité Mayotte).

    Sur les 2.684 Algériens expulsables, seulement 925 ont été virés, soit un taux d’éloignement de seulement 34,5 % ! Avec le Maroc, ce taux est de 38,4 % et avec la Tunisie, de 32,4 %. Au total sur les 6.700 représentants de ces trois pays d’Afrique du Nord, seuls 2.349 ont été renvoyés de l’autre côté de la Méditerranée. Cela signifie que deux Maghrébins sur trois en situation illégale n’ont pas été expulsés."

    Parallèlement, la France a délivré 410.000 visas à des Algériens en 2016. L’année 2017 devrait battre tous les records : au 31 août, 417.000 demandes avaient déjà été déposées.

    Source : http://lesalonbeige.blogs.com


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  • LA FRANCE, PAYS À LA DÉRIVE

     
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    Je me suis rendu voici peu à Paris, où je n’étais pas allé depuis seize mois, et ce que j’ai vu m’a serré la gorge et donné les larmes aux yeux.

    Ce n’était pas très différent de ce que j’avais quitté quand je suis parti, mais c’était pire.

    L’aéroport de Roissy est de plus en plus mal entretenu et ressemble à l’aéroport d’un pays du tiers-monde – encore que je connaisse des aéroports du tiers-monde qui ont meilleure allure. À la sortie, j’ai retrouvé l’asphyxie de la circulation que je ne connais que trop bien, en plus grave.

    J’ai songé, une fois de plus, que, dans un pays censé être une démocratie, le gouvernement devrait veiller à ce que les habi­tants puissent chercher librement le bonheur et je me suis dit à nouveau que la France était un pays où, comme en Union soviétique autrefois, le gouvernement cherche plutôt à créer le malheur, le souci, l’oppression.

    J’ai songé un instant à louer une voiture, mais j’ai renoncé : je ne pouvais ignorer que je serais confronté sans cesse à des embouteillages délibérément fa­briqués.

    J’ai regardé ceux qui m’entouraient et j’ai vu de la tristesse sur nombre de visages, de l’irritation, et de l’énervement dans les gestes. Je n’en ai pas été surpris, hélas.

    J’aurais pu prendre le métro, mais je savais que, voici peu, deux hommes avaient été poignardés par un autre homme qui criait « Allahou Akbar » (mais qui, bien sûr, était juste un malade mental). J’ai donc pris un taxi. Je savais que je n’échapperais pas aux embouteillages, mais je n’aurais au moins pas à me garer. Je savais que j’allais payer cher, mais que ce n’était pas la faute du chauffeur.

    Je n’ignore pas, depuis longtemps, que tout ce qui doit être versé à l’État augmente tous les prix et que, dès lors, si les prélèvements obligatoires en France s’élèvent en moyenne à 57 %, quiconque gagne correctement sa vie en France verse, si l’on ajoute impôts et taxes multiples, bien davantage.

    Je n’ignore pas non plus que cela accroît la pauvreté et que le nombre de pauvres en France ne cesse d’augmenter.

    J’ai pu le constater jusqu’à l’obscénité : la pauvreté n’est pas visible partout, mais elle est désormais flagrante dès qu’on quitte les beaux quartiers.

    J’ai pu voir le long de l’autoroute, alentour de la porte de la Chapelle, au bord du boulevard périphérique, de véritables bidonvilles faits de tôle et de planches bâtis par les migrants que la police est parfois chargée de déplacer, mais qui reviennent inlassablement.

    J’ai constaté que l’islamisation était plus flagrante que jamais : les femmes portant le voile sont plus nombreuses, les hommes en djellaba aussi.

    Je n’étais pas à Paris lors des récentes manifestations, mais ce que j’ai vu en photo des manifestations m’a semblé pathétique. Comment peut-il y avoir encore des adhérents à la CGT (et à tout autre syndicat français d’ailleurs) ?

    Je sais depuis des années que des casseurs utilisent les manifestations pour commettre des actes de vandalisme, et j’ai pu observer le long du parcours traditionnel République-Bastille, des magasins et des banques dont la façade était couverte de plaques de bois en attendant que vienne le vitrier.

    J’ai entendu à nouveau en direct, et non de l’étranger, les « informations » à la radio, et j’ai pu constater, une fois de plus, que les « informations » en France ont elles-mêmes une dimension soviétique.

    Je me suis souvenu de ce que me disait un dissident qui avait pu quitter Moscou, il y a une trentaine d’années, et qui, comprenant le français, m’avait dit que la population russe avait plus de chance que la population française : en Union soviétique, m’avait-il expliqué, il y avait une seule « Pravda » et ceux qui la lisaient ou qui écoutaient son équivalent radiophonique savaient que rien de ce qui était écrit ou dit n’était vrai. En France, avait-il ajouté, il y a plusieurs « Pravda » et nombre de gens pensent qu’elles disent la vérité.

    Je vis désormais dans un pays qui n’est pas parfait, mais où il reste tout un ensemble de libertés qui ont disparu en France.
    J’aimerais regretter d’être parti. Je ne regrette pas.

    Je suis juste révolté en constatant ce que devient la France.

    J’aimerais qu’une immense colère s’empare de la population française et vienne stopper ce que je perçois comme un immense assassinat.

     

    Source : les4verites


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  • Le dessinateur Marsault adresse un avertissement aux déchets « antifas » qui veulent perturber ses dédicaces

    Régulièrement, la mouvance d'extrême-gauche tente, souvent en vain, de perturber les dédicaces du dessinateur anticonformiste Marsault qui vend ses albums par palettes entières sans aucun soutien médiatique.

    Avec son style bien à lui, alors que c'est un gars plutôt calme, il avertit, sur sa page Facebook, les crasseux qui essaieraient de l'empêcher à l'avenir de rencontrer son public :

    « Je m'adresse à présent aux antifas.

    Faites attention, vraiment. A chaque fois que vous m'empêchez de rencontrer mes lecteurs, la tension monte, chez eux et chez moi, et ça va vous revenir en pleine gueule avec la puissance d'un train en marche.

    Ce qui va se passer si vous continuez à nous casser les couilles, je vous le dis calmement car je ne suis pas un sanguin, est très simple: la prochaine fois que vous viendrez perturber physiquement une de mes dédicaces, mes lecteurs et moi-même on va vous arracher la tête.

    L'immense majorité de mes lecteurs sont des adultes, responsables, avec un métier et/ou une famille. Le contraire de vous. Ces gens-là sont calmes, et l'affaire de Strasbourg prouve qu'ils savent se tenir (si mes lecteurs étaient des bœufs, les 4 antifas seraient morts en moins de 10 secondes). Je suis calme, mes lecteurs sont calmes. Méfiez-vous des calmes. Et si c'est moi, en personne, qui vous tombe dessus: courez. Ne nous poussez pas à bout et restez chez vous. Ne venez surtout pas à notre rencontre.

    J'en devine qui ricanent. "Marsault il joue le warrior derrière son clavier mdrrrrr". Non, Jean-Kévin, je ne joue jamais le warrior en jouissant de la sécurité qu'offre mon écran d'ordinateur, c'est sans intérêt. C'est vous qui faites les warriors, c'est vous qui menacez par téléphone, c'est vous qui menacez sur Facebook, c'est vous les planqués. J'ai l'occasion de vous prévenir à l'écrit, profitez-en et ne venez pas pleurer quand vous serez en soins intensifs.

    Mes lecteurs et moi on est là pour se marrer, et vous m'obligez à publier ce post qui plombe l'ambiance et qui va énerver tout le monde. Vous ne jouez pas avec le feu : vous jouez avec l'arme nucléaire. »

    Soutenons cet artiste qui ne fait pas de politique mais s'en prend aux terroristes intellectuels de notre époque : féministes, gauchistes, pseudo-écolos, obèses, pseudo-humanistes, politiciens corrompus, etc.

    Ses albums sont en vente sur Amazon


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  • De la mère de Merah à Christine Angot : la grande vérité des visages

    Les visages en disent autant que les mots, et même davantage, surtout quand on ne voit pas les premiers, et quand on ne comprend pas les seconds. C’est l’impression que donnent deux femmes que la télévision montre régulièrement, ces jours-ci, et que l’idée de rapprocher paraît incongrue, tant elles sont éloignées : la mère du tueur islamiste Merah et l’« écrivaine » Christine Angot.

    La première, Zoulikha Aziri : on ne comprend rien de ce qu’elle dit, elle est en France depuis des décennies, elle ne parle pas le français ; pour le procès de son fils, il lui faut un interprète. Mais c’est sans importance. Son visage, enfoulardé jusqu’au menton, fermé, raconte le refus de s’intégrer, un horrible amour pour ses fils, le mensonge jusqu’à l’absurde, l’esprit tribal, roublard, et obstiné dans sa roublardise – ce que l’on appelle « une chance pour la France ».

    La seconde, on ne la comprend pas davantage : elle bredouille, elle « coq-à-l’âne », elle s’échauffe. Mais ce n’est pas grave non plus : ses mots n’expriment rien, sinon sa propre confusion, son visage suffit, il compense tout, il remplace l’essentiel, car Angot, c’est d’abord un visage fermé, arrogant, équipé d’un œil en dessous qui dit « Regardez comme j’ai l’air mauvais, intraitable, regardez comme je méprise mon interlocuteur, mon regard, c’est déjà une insulte… » Angot, c’est la haine préhistorique ; celle d’avant le langage articulé.

    Il n’y a aucun lien apparent entre ces deux femmes : tout éloigne la première, issue du bled, et la seconde, représentant une prétendue élite culturelle française. Elles en ont un, pourtant : elles sont le produit du même pays, de la même imposture, celle d’une supposée intégration qui désintègre tout sur son passage, et de la même inculture, celle de l’intelligence qui ne comprend rien. C’est la grande leçon des visages, qui nous apprend que l’analphabète d’Afrique du Nord et la romancière de la rue du Bac possèdent une langue également dénaturée, et inutile, puisqu’elle n’exprime rien, sinon une hargne qui n’a pas besoin de mots pour se faire entendre.

    Bruno Lafourcade

    Source : http://bvoltaire.com


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