• 15 clandestins supplémentaire hébergés dans un CAO à Verfeil (82)

    Les Halles de Verfeil (Tarn-et-Garonne)

    Arrivés de Paris ce mercredi, une quinzaine de clandestins sont logés dans un nouveau centre d’accueil et d’orientation (CAO) à Verfeil (82). Ils seront hébergés et nourris pour une période minimale de trois mois. 

    Ils sont arrivés hier en bus depuis Paris. 15 clandestins sont depuis ce mercredi hébergés dans un gîte privé à Verfeil, où un nouveau centre d’accueil et d’orientation (CAO) a ouvert.

    Ils seront logés et nourris, et pourront aussi bénéficier d’un indispensable accompagnement social et administratif. Leur séjour est prévu pour une durée d’environ trois mois, le temps qu’une solution pérenne soit trouvée. L’Udaf (Union Départementale des Associations Familiales), ainsi que des bénévoles sont mobilisés pour favoriser le bon déroulement ce séjour.

    Dans le Tarn-et-Garonne, un autre CAO est déjà ouvert depuis l’automne dernier et accueille une vingtaine de clandestins venus de la « jungle » de Calais après son démantèlement, dans les locaux de l’ancienne gendarmerie de Bruniquel. Le centre d’accueil des 50 migrants mineurs de Réalville a été, quant à lui, fermé.
     
    Source : infos-toulouse

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  • « En un siècle, à force de bras, les colons ont, d’un marécage infernal, mitonné un paradis lumineux. Seul, l’amour pouvait oser pareil défi… Quarante ans est un temps honnête, ce nous semble, pour reconnaître que ces foutus colons ont plus chéri cette terre que nous, qui sommes ses enfants » (Boualem Sansal – 2002)

     Au fil des générations, nos hommes politiques et les médias qui les soutiennent, n’ont eu de cesse de cultiver le mythe de la culpabilité nationale : Colonisation… Repentance… Soumission… ignorant, comme le disait Charles Péguy, « qu’il y a des contritions plus sales que les péchés ». C’est pourquoi, le « remords » aidant, ils s’interdisent (et nos magistrats avec eux) toute action systématique de reconduite à la frontière qui pourrait être interprétée par le lobby pro-immigrationniste comme un acte raciste… Et de cette façon, la misère s’ajoute à la misère… et déjà dans ce pays, la démocratie ipso facto repose sur la cosmopolite reconnaissance du peuple français à disparaître inéluctablement. Ainsi, inexorablement, toutes les traditions historiques qui ont fait la grandeur de la France sont en train de se dissoudre dans un pluralisme qui admet tout et comprend tout et qui n’est que trop voisin de la lâcheté pure et simple. Elle agit, cette France-là, comme si elle n’était plus intéressée à maintenir sa position dans le monde. Elle s’accuse elle-même et se déclare honteuse de son passé guerrier, impérialiste et colonialiste, oubliant toutefois que le passé des autres nations n’est ni plus paisible, ni plus vertueux…

    Dénigrer l’histoire de son pays, de son passé, sa grandeur et le sacrifice de ses aînés est un acte criminel. Nous n’avons pas à tronquer notre histoire pour faire plaisir à telle minorité, telle association au « cœur sur la main » ou tel parti politique. « Dans cette rumination morose, les nations européennes oublient qu’elles, et elles seules, ont fait l’effort de surmonter leur barbarie pour la penser et s’en affranchir » écrivait Pascal Bruckner. Que ceux qui s’adonnent à ce type d’autoflagellation jouissive n’oublient pas cette mise en garde de Henri de Montherlant : « Qui a ouvert l’égout périra par l’égout. »

    Ce dénigrement perpétuel de la France et de son passé colonial par nos « bien pensants »,martyrocrates de profession, faussaires de l’antiracisme, est le pire danger auquel elle est confrontée. L’historien Max Gallo, dans son essai « Fier d’être Français », déclare : « Il faut bien que quelqu’un monte sur le ring et dise : “Je suis fier d’être français”. Qu’il réponde à ceux qui condamnent la France pour ce qu’elle fut, ce qu’elle est, ce qu’elle sera : une criminelle devenue vieillerie décadente. […] Ils exigent que la France reconnaisse qu’elle les opprime, qu’elle les torture, qu’elle les massacre. Seule coupable ! Pas de héros dans ce pays ! Renversons les statues, déchirons les légendes. Célébrons Trafalgar et Waterloo et renions Austerlitz ! Ils veulent que la France s’agenouille, baisse la tête, avoue, fasse repentance, reconnaisse ses crimes et, tondue, en robe de bure, se laisse couvrir d’insultes, de crachats, heureuse qu’on ne la “nique” qu’en chanson et qu’on ne la brûle que symboliquement chaque nuit ! Il est temps de redresser la tête, de hausser la voix, de monter sur le ring… et de boxer à la française ! »

    Et Malika Sorel, française d’origine algérienne, de renchérir : «Au Maghreb, les gens sont consternés par ce qui se passe en France. Pour eux, la situation est liée à cette « repentance » et la responsabilité en incombe aux adultes français qui passent leur temps à se prosterner et être à genoux…»

    – Repentance ! C’est un mot que les Français commencent à connaître tant ils l’entendent ! Celui-ci désigne la manifestation publique du sentiment personnel qu’est le repentir pour une faute que l’on affirme avoir commise et dont on demande le pardon.

    – Pardon ! Mais quelle faute a bien pu commettre la France pour demander pardon ?

    Et à qui ? Pardon d’avoir un passé colonial ? Mais, Messieurs les détracteurs, le colonialisme que vous décriez, la main sur le cœur aujourd’hui, n’est rien d’autre que ce phénomène qui a poussé l’Occident à partager l’essentiel de son avance technique avec le reste du monde qui ne l’avait même pas entrevue. L’entreprise s’est accompagnée de souffrances, certes, mais il n’est pas d’aventure humaine qui ne s’accompagne de ce douloureux cortège… Il est le prix de sueur et de sang qu’il faut payer, mais le bilan est positif. J’en appelle à tous ceux qui ont atterri dans une colonie soumise à la loi et aux méthodes de l’Occident. Le changement de tableau est subit. Des récifs, elle a fait des ports ; de la poussière et des marais, elle a édifié des villes ; dans cet air embrasé, elle a fait pousser des feuillages et des jardins. Quand un contraste crie, il faut l’entendre, et ce serait être apocryphe en nature humaine, en morale pure, que de ne pas comprendre la puissance occidentale.

    Voyez donc, en exemple, ce qu’est devenue l’Algérie en un siècle seulement de colonisation… Au départ des Européens en 1962, les terres arables et fertiles ont été gagnées sur le désert et sur les marais au prix de tant de tombes qui jalonnent l’Afrique du Nord que le terme même de « colonisation » est aujourd’hui dépassé. Comment oublier que ce sont les premiers Européens (les pères de ces enfants qui ont été chassés) qui ont asséché les marais, ensemencé les maquis, transformé les douars, les casbahs, les repaires de pirates en paisibles villages, en cités prospères, en ports dignes de ce nom, bâti les écoles, les universités et les hôpitaux, tracé les routes et édifié les ponts, chassé la maladie, la famine, fait jaillir des pierres la vigne généreuse et les orangers ? Comment oublier que c’est la France, et elle seule, qui a fait gicler du sable du désert le pétrole et le gaz ? Et c’est pour toutes ces réalisations qu’il faudrait demander pardon ? A cela, qu’ont opposé les révolutionnaires ?… La révolte, le terrorisme, l’abomination et pour finir, la dilapidation de l’héritage « colonial ».
    Avant que la France ne vienne dans ce pays, les autochtones jouissaient-ils de toutes ces réalisations ? Les avaient-ils réalisées ? La France les en avait-t-elle privées ? La réponse est NON ! Et ce qu’ils n’ont pas su faire eux-mêmes en tant de siècles, voici qu’ils se l’approprient aujourd’hui et qu’ils accusent la France de n’avoir rien fait pour eux en 132 ans… Dès lors, les voix des apparatchiks du FLN, au pouvoir depuis 1962, conscients de leur responsabilité dans la misère qui frappe le peuple, n’ont de cesse de façonner les esprits en utilisant invariablement ce même refrain, vieux d’un demi siècle, qui répète sans cesse que les Français sont des ravisseurs et des bourreaux, qu’ils ont dévasté par le fer et par le feu la patrie algérienne en pillant ses richesses et exigent aujourd’hui réparation etrepentance.

    Dans les livres d’histoire, écoliers et étudiants retiennent de l’armée française, qu’elle ne s’est strictement et uniquement livrée qu’à des exactions envers la population civile algérienne. C’est proprement odieux ! A l’inverse, rien n’apparaît sur les bienfaits de la Pacification et sur le bien-être que cette armée-là a apporté à l’homme du Bled. Sur les réalisations précitées, rien n’est mentionné. L’Histoire de l’Algérie rapportée par les livres est une Histoire tronquée, falsifiée, vide de toute vérité vraie et injurieuse vis-à-vis de ces milliers d’hommes et de femmes, Européens et Musulmans, qui ont œuvré de concert pour sortir ce pays du cadre moyenâgeux qui était le sien en 1830. Et il se trouve des Français pour soutenir les thèses diffamatoires du FLN !… des nigauds de naissance, champions des « droits de l’homme », de « l’antiracisme » et de « l’antifrance » qui demandent à grands cris la « révision des livres d’histoire ».

    « Rien n’est plus dangereux au monde que la véritable ignorance et la stupidité consciencieuse » a écrit Martin Luther King…

    Dès lors, que peuvent bien retenir les jeunes enfants dès leur scolarité ? Une histoire de France faite d’intolérance, d’inégalités, de compassion excessive, de récriminations et d’accusations qui ne manqueront pas de marquer à jamais leur esprit et d’entacher durablement l’image qu’ils se feront désormais de leur pays. « Vous tenez en vos mains, l’intelligence et l’âme des enfants. Vous êtes responsables de la Patrie. Les enfants qui vous sont confiés… ils sont Français et ils doivent connaître la France, sa géographie, son histoire : son corps et son âme », déclarait Jean Jaurès… ce que dénia Jacques Chirac en interdisant les cérémonies en mémoire de l’Empereur Napoléon Bonaparte au nom du complexe des conquêtes des siècles passés…

    Quant aux immigrés, comment les encourager à s’intégrer à une nation qui n’a de cesse de culpabiliser et de se mépriser elle-même ? Dans le journal « Le Monde » du 21 janvier 1992, Michel Serres suppliait les journalistes : « Si vous pouviez… de temps en temps dire un peu de bien de la France ! » Et en 1947, déjà, Raymond Aron déclarait : « La vanité française consiste à se reprocher toutes les fautes sauf la faute décisive : La paresse de la pensée ».

    « Je vous laisse deviner ce qui se passe lorsqu’un peuple estime que ses élites ne le représentent plus, ne défendent plus son identité, ne défendent plus ce qu’il est, eh bien l’étape suivante, c’est que le peuple reprend son destin en main » a lancé, en guise d’avertissement, Malika Sorel.

    Quant aux adeptes de la « repentance » et de l’anticolonialisme, ils devraient s’inspirer de cette cinglante leçon d’histoire que nous donne Walter Williams, Africain-Américain et professeur d’économie à l’université George Mason de Virginie (Etats-Unis) : « Peut-être que votre professeur d’économie vous a enseigné que la pauvreté du Tiers-Monde est l’héritage de la colonisation. Quel non-sens ! Le Canada a été une colonie, comme l’Australie, la Nouvelle-Zélande ou Hong-Kong. En fait le pays le plus riche du monde, les Etats-Unis, fut jadis une colonie. Par contraste, l’Ethiopie, le Liberia, le Tibet, le Sikkim, le Népal et le Bhoutan ne furent jamais colonisés et pourtant ils abritent les populations les plus pauvres du monde… » Mortifiant sujet de réflexion…

    José CASTANO

    Source

    e-mail : joseph.castano0508@orange.fr


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  • Venezuela communiste : du sang et des larmes

    Dans un pays classé parmi les dix premiers plus grands producteurs de pétrole et dont les réserves seraient parmi les premières du monde, mais qui est ruiné par une gestion politique, économique et sociale catastrophique, le président Maduro continue de s’arc-bouter sur son pouvoir puisqu’il aura réussi à éviter le référendum révocatoire pourtant inscrit dans la Constitution de la République bolivarienne du Venezuela.

    Au prix du sang et des larmes de son peuple, dont il n’a visiblement que faire, malgré l’amplification de la contestation populaire depuis plusieurs semaines et les manifestations monstres à Caracas mais aussi dans tout le pays aux cris de « No a la dictadura » et « Eleccionnes ».

    Des manifestations toujours plus violentes : onze morts dans des affrontements avec les forces de l’ordre et une dizaine de personnes ont également perdu la vie au cours des nombreux pillages…

    Selon le dernier sondage de l’institut Venebarómetro, 68 % des Vénézuéliens souhaitent le départ de Nicolás Maduro… Dans un pays non seulement frappé par la pénurie mais aussi la criminalité sous toutes ses formes : plus de 28.000 morts violentes en 2016, selon l’ONG Observatorio Venezolano de Violencia, dans un pays de 30 millions d’habitants qui souligne le délitement de la société vénézuélienne !

    Enfermé dans une stratégie de fuite en avant, Maduro cherche — par des manœuvres multiples et dilatoires (appel à la tenue des élections régionales qui avaient été annulées en décembre, déclarations ambiguës sur la reprise du dialogue avec l’opposition, demande d’une nouvelle intercession papale dans ce conflit), et fort de la confiance de l’armée et des principaux cadres chávistes — à gagner du temps et faire face à la fronde populaire (rappelons qu’il avait remporté de justesse l’élection présidentielle en 2013 : 50,62 % des suffrages contre 49,38 % pour Henrique Capriles Radonski, l’un des principaux leaders de l’opposition, qui vient d’être déclaré inéligible pour quinze ans !).

    Une stratégie qui repose sur une éventuelle et significative remontée des cours du pétrole qui serait inespérée sur le plan économique et/ou une éventuelle intervention « extérieure » qui serait, elle, inespérée sur le plan politique…

    Ceci explique la position très prudente des pays leaders de l’OEA (Organisation des États américains) — Argentine, Brésil et Colombie —, qui « incite » à une élection présidentielle anticipée. Quant aux États-Unis, après la confiscation, la semaine dernière, de l’usine de Valencia du groupe américain General Motors et la multiplication des manifestations, le secrétaire d’État américain Rex Wayne Tillerson a déclaré « suivre les événements avec préoccupation »

    Jean-Marie Beuzelin

    Source : http://www.bvoltaire.fr


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  • Présidentielle : quand le FN drague les Insoumis de Mélenchon avec un tract

     Les militants frontistes diffusent un tract mettant en relief les points communs des deux candidats. 

    Pour espérer l'emporter dimanche, le parti de Marine Le Pen part à la conquête des électeurs de Jean-Luc Mélenchon. 

    Candidats «hors-système», critiques de la mondialisation et de l'Europe...Il existe des points communs entre le programme de Jean-Luc Mélenchon et Marine Le Pen. Et le parti frontiste n'est pas prêt à les laisser passer. Pour le second tour de la présidentielle, le FN part à la conquête des Insoumis. 

     

    Arrivé quatrième lors du premier tour, avec 19,5% des suffrages, Jean-Luc Mélenchon n'a pas donné de consignes de vote. Le candidat souhaite s'en remettre aux membres de son mouvement et devrait s'exprimer vendredi. Une décision saluée par le fondateur du FN, Jean-Marie Le Pen. Alors du côté du Front national, on n'a pas attendu les résultats de cette consultation : l'opération séduction des Insoumis est en route. 

     

    «L'Avenir en commun, c'est aussi avec Marine»

     

    Sur les réseaux sociaux, les militants diffusent depuis dimanche un tract énumérant les points de convergence des deux partis politiques et de deux personnalités. Intitulé «L'Avenir en commun, c'est aussi avec Marine», du nom du programme de Jean-Luc Mélenchon, il dresse la liste des propositions communes. «Abrogation de la loi Travail, majoration des heures supplémentaires, augmentation des petites retraites...» Quitte à en faire un peu trop. Le tract avance notamment que le leader de la France insoumise, veut, comme Marine Le Pen, sortir de Shengen alors qu'il souhaite en réalité faire de la «désobeissance» quant au pacte de stabilité.

    Voir l'image sur Twitter

    L'avenir en commun, c'est aussi avec Marine. Insoumis, ne vous trompez pas de combat.

    Et en bas du papier, une inscription très claire : «Insoumis, ne vous trompez pas de combat, ne votez pas Macron». Une récupération que dénonce déjà les membres de la France insoumise. 

      leparisien.fr

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  • Une femme voilée hystérique vandalise une église à coups de hache en hurlant « vous êtes tous des mécréants ! »

    Dimanche matin vers 9h, une Maghrébine d’une vingtaine d’années, seule, habillée d’un manteau noir, se présente à l’office de tourisme de Rennes-le-Château pour demander les horaires d’ouverture de l’église. Elle avait, disait-elle, l’intention de la visiter. L’employée du site lui indique les horaires. La visiteuse décide alors de boire un café puis de déambuler dans les ruelles. Vers 11h15, elle demande à un restaurateur de se laver les mains. Quelques minutes plus tard, elle réapparaît habillée d’une longue cape blanche, d’un voile sur la tête et d’un masque style vénitien sur le visage.

    Devant des touristes surpris, la jeune femme se réfugie dans la grotte dite de la vierge, à proximité de l’église, et téléphone longuement en arabe, puis rentre tranquillement dans l’église, sort une hache et se met à frapper sur le célèbre bénitier surmonté par la représentation d’Asmodée. Elle décapite le fameux diable rouge, lui coupe le bras et pose un coran à ses côtés, puis lacère le bas-relief de l’autel de Marie-Madeleine, devant des visiteurs ébahis. Ces derniers donnent l’alerte, le maire, Alexandre Painco, intervient. Il constate les faits et appelle la gendarmerie. Face à la jeune femme étonnamment calme, il lui demande pourquoi elle a commis ces actes. Elle répond posément : « Aujourd’hui, ici, c’est un jour d’élection présidentielle, pendant qu’en Syrie l’Occident bombarde et tue des enfants. Vous êtes tous des mécréants ! Mon mari est là-bas ».

    Rapidement sur place, les gendarmes interpellent la jeune femme sans aucune résistance. Un périmètre de sécurité est établi dans le village, et une équipe de déminage arrivée dans l’après-midi se met à l’œuvre. Le maire n’en revient toujours pas : « Cette femme était déterminée et son geste prémédité. Elle a choisi ce jour d’élection, ce lieu précis, pour qu’il ait un impact médiatique important et ainsi porter atteinte à la République française. »

    Source : http://www.fdesouche.com


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