• Le génocide voilé : une enquête historique

    Tidiane N’Diaye a mené une carrière de chargé d’études à l’INSEE, de professeur d’économie descriptive et directeur de recherches à Sup de Co Caraïbes. Il est l’auteur de plusieurs études économiques et sociales de l’INSEE sur les Départements français d’Outremer (DOM). Également chercheur spécialisé dans l’histoire et l’anthropologie des civilisations négro-africaines et de leurs diaspora. Il est l’un des principaux chercheurs-historiens sur l’histoire de la traite africaine, vus sur les plans économiques, démographiques, stratégiques…

    Le génocide Voilé, son livre majeur sur ces sujets est un incontournable pour approcher la vérité cachée par les bien-pensances et la novlangue de nos faux maîtres-à-penser.

    traite arabo-musulmane de l'Afriqueextrait de sa préface :

    « Les arabes, au cours de leurs mouvements de conquête ont d’abord pris, soumis et islamisé l’Afrique du Nord avant de se diriger vers l’Espagne. Dans ce pays, ils développèrent une brillante civilisation, basée sur les connaissances et pratiques des juifs et chrétiens dhimmisés, symbolisée par les émirats et califats de Cordoue.
    Puis à leur retour en Afrique, dans une nouvelle vague d’islamisation des peuples, ils amenèrent avec eux une cascade de malheurs. Sous l’avancée arabe, la survie était un véritable défi pour les populations.
    Des millions d’africains furent razziés, massacrés ou capturés, castrés et déportés vers le monde arabo-musulman : cela dans des conditions inhumaines, par caravane à travers le Sahara ou par mer, à partir des comptoirs à chair humaine de l’Afrique orientale. Telle était en réalité la première entreprise de la majorité des arabes qui islamisaient les peuples africains, en se faisant passer pour des piliers de la foi et les modèles des croyants.
    Ils allaient souvent de contrée en contrée, le coran d’une main, le couteau à eunuque de l’autre, menant hypocritement une « vie de prière », ne prononçant pas une parole sans invoquer allah et le hadiths de son prophète. Car derrière ce prétexte religieux, ils commettaient les crimes les plus révoltants et les cruautés lés plus atroces.

    Alors que la traite transatlantique a duré quatre siècles, c’est pendant treize siècles sans interruption que les arabes ont razzié l’Afrique subsaharienne.La plupart des millions d’hommes qu’ils ont déportés ont disparu du fait des traitements inhumains et de la castration généralisée.

    Il serait grand temps que la génocidaire traite négrière arabe-musulmane soit examinée et versée au débat, au même titre que la ponction transatlantique. Car, bien qu’il n’existe pas de degrés dans l’horreur ni de monopole de la cruauté, on peut soutenir, sans risque de se tromper, que le commerce négrier arabe-musulman et les jihad provoqués par ses impitoyables prédateurs pour se procurer des captifs furent pour l’Afrique noire bien plus dévastateurs que la traite transatlantique. »

    Tidiane N’DIAYE

    Et ce encore sous nos yeux aujourd’hui, avec son lot de massacres, son génocide à ciel ouvert et son esclavagisme déguisé (Soudan, Darfour, Emirats, ArabieSaoudite, Syrie,…), ses pratiques juridiques (charia, droit des migrants, …)

    https://lahuppe.com

     


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  • Le contribuable, vache à lait des politiciens ...

                                                

    Les politiciens, de gauche comme de droite, traient à longueur de journée cette inépuisable vache à lait qu’est le contribuable qui beugle mais qui laisse faire. Ce pauvre contribuable paie de sa poche l’incroyable cirque où s’agitent dans le plus grand confort ces milliers d’apparatchiks qui nous gouvernent et nous mènent à la ruine.

    En moyenne, le contribuable français travaille jusqu’au 29 juillet pour le secteur public qui ramasse 1 151 milliards d’euros par an (chiffres de 2012), dont 525 milliards pour la Sécurité sociale et la protection du même nom. Si, à sa mort, il reste quelque chose au malheureux contribuable, dont le nom commence si mal, « l’État bienfaiteur » s’empare de l’essentiel. Une étude publiée par le « Figaro magazine » du 7 février établit que, sur 1 000 euros, il reste en fin de course aux héritiers 140 euros !

    Globalement, la protection sociale absorbe 42,6 % de la dépense publique contre 3,2 % à la Défense et 3,1 % à la sécurité (police et gendarmerie), ce qui explique que ces dernières sont contraintes de laisser souvent à la « diversité » toute latitude pour se « distinguer »… Ayez de bonnes serrures !

    Bref, le but est atteint qui est la confiscation des patrimoines, le nivellement par le bas, la suppression de la classe moyenne supérieure composée de Français honnêtes, travailleurs, épargnants et donc suspects aux yeux des socialistes, au profit d’un prolétariat tiers-mondiste, principalement arabo-africain qui remplace ce que les socialo-communistes appelaient naguère la classe ouvrière, une classe ouvrière estimable qui, elle, autrefois, travaillait sans être assistée.

    La réalité, aujourd’hui, c’est une dette de 2000 milliards d’euros, en réalité 4 000 mil­liards en tenant compte de la provision constituée pour la retraite des fonctionnaires, soit plus de 60 000 euros par habitant. Ceci étant, l’État socialiste paraît s’en moquer. La dette coûte pourtant chaque année près de 50 milliards d’euros d’intérêt. Le mieux est de ne pas en parler. Les étrangers, parfaitement informés, ne s’en moquent pas, eux. En, 2013, la France socialiste a enregistré en matière d’investissements la plus mauvaise performance mondiale avec un effondrement de 77 % des investissements étrangers, contre une augmentation de 392 % en Allemagne ! Partout dans le monde, le message des investisseurs étrangers se résume à un principe simple : « Tout sauf la France ! » Nicolas Baverez dans le Figaro du 3 février constate : « Avec la fermeture de 283 usines en 2013 et la chute de 28 % des créations de sites », l’industrie française est en voie de disparition.

    Maintenant, si vous voulez savoir ce qu’on fait du produit des impôts, lisez la dernière enquête de « Contribuables Associés » (n° 3 de février 2014). Vous y apprendrez que la dépense publique – 57 % du PIB –, outre les taxes qui coûtent plus cher qu’elles ne rapportent et les 10 000 euros d’allocations que perçoivent sans rien faire les milliers de polygames musulmans, c’est, à Montpellier, une série de 10 statues en bronze de 800 kg et 3,2 m de haut de Lénine, Mao et… de Georges Frêche, l‘ex maire socialo-communiste de la ville qui a plongé le contribuable montpelliérain dans un véritable enfer fiscal. C’est la charmante commune de Vernouillet qui a offert aux contribuables, pour orner la cité, des « carcasses creuses ». Plus de 40 000 ronds-points, bubons horribles, ont été construits en France depuis les années 1970. Coût moyen d’une installation « ornementée » : 1 million d’euros.

    À Strasbourg, pour les « gens du voyage » (Tsiganes), 50 maisons ont été inaugurées en septembre 2012 dans le quartier de Neuhof. À Paris, dans le même esprit, il est prévu d’aménager une aire de stationnement, toujours pour les « gens du voyage », dans le bois de Boulogne – de manière, on peut l’imaginer, à rapprocher ces populations de leur lieu de travail…

    N’oublions pas aussi la culture de nos élus, et donc les voyages aux multiples destinations, toujours payés par le contribuable. Une escouade interparlementaire d’amitié France-Cambodge et Laos, conduite par la socialiste Catherine Tasca, est ainsi récemment allée faire une petite virée d’amitié en Indochine. En septembre 2008, l’association des maires de France s’est aussi offert un séjour à Marrakech pour étudier la « chaleur de la ville et de sa médina ».

    D’autres groupes d’amitié s’en vont régulièrement faire des études de sociologie approfondie en Thaïlande.

    Mais le plus beau, ce sont les campagnes électorales payées par le contribuable lui-même. On appelle cela les « dépenses de communication » – 1,5 milliard d’euros en 2012, chiffre révélé par la Cour des comptes. Dans cette dépense, la Cour des comptes souligne le coût des déplacements et réceptions pour plus de 300 millions en 2012. Combien faut-il de feuilles d’impôts pour ramasser 300 millions ? Coût global de ces « plaisanteries » : 60,7 milliards de dettes accumulées par les 36 700 communes tricolores en 2012.

    Et, après spoliation du contribuable, on a en France 5 millions de demandeurs d’emploi, 3.5 millions de mal-logés, 70 000 SDF et une dette gigantesque. Peut-on faire plus mal ?

    Les choses étant ce qu’elles sont, il est évident qu’aucun espoir de redressement n’est autorisé dans notre pays, aucun, avec un système pareil de corruption légale, gauche caviar et fausse droite réunies.

    La seule solution – et il y va de la survie du pays – est de placer en « congé maladie » pour 20 ans ce parlementarisme démagogique, ainsi que les partis et les syndicats politiques abreuvés de subventions. Un gouvernement composé de personnalités connues pour leur intégrité et leur compétence (12 ministres suffiraient) remplacerait avantageusement l’armée mexicaine actuellement aux affaires, dirigée par un président incapable. Les économies qui en résulteraient pourraient être de 200 milliards d’euros par an, l’efficacité en, plus. Le rêve est permis. Hélas le scepticisme aussi !

    En guise de conclusion, afin d’éviter de plonger les lecteurs dans la morosité, je rappellerai (Cf. n° 912) la comédie du timbre Femen, validé par François Hollande lui-même. C’est une grande chance que ce soit le visage d’Inna Shevchenko, de nationalité ukrainienne, qui ait été reproduit sur ce timbre français et pas « le bas » de la demoiselle.

    Toujours dans le domaine de la culture, François Hollande pourraient aussi valider le tatouage que Julie porte au bas de ses reins, où se concentrent tant de valeurs républicaines, comme on peut l’admirer sur internet et sur n’importe quel smartphone ! Bref, le socialiste Dominique Strauss-Kahn aurait été président de la République, avec Dodo la Saumure comme secrétaire général de l’Élysée, ça n’aurait peut-être pas été plus mal !  

    Christian Lambert


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  •  PARIS :les « cadenas d’amour » vendus aux enchères au profit d’associations d’aide aux migrants

    Plusieurs centaines de kilos de « cadenas d’amour », ces cadenas gages de fidélité que les touristes accrochent aux grilles des ponts et que la Ville de Paris enlève, seront vendus aux enchères le 13 mai en faveur d’associations d’aide aux migrants. 45 tonnes de métal avaient ainsi été enlevées lors du nettoyage du Pont des Arts.

    Quinze grilles portant des centaines de cadenas, pesant jusqu’à 500 kg, et 150 grappes de cadenas de tailles diverses, seront proposées à la vente. Les bénéfices iront à trois associations mobilisées dans l’accueil et l’accompagnement des réfugiés accueillis par la Ville : Solipam, l’Armée du Salut et Emmaüs Solidarité.

    Cette « vente au profit des associations qui accompagnent les réfugiés, c’est notre façon de respecter le geste de tous ceux qui ont choisi de venir célébrer leur amour dans une ville ouverte et généreuse« , a assuré Bruno Julliard, premier adjoint de la maire PS de Paris Anne Hidalgo. […]


    Source : fdesouche via  Le Nouvel Obs


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  • La famille de Théo Luhaka de nouveau soupçonnée d’escroquerie aux aides sociale

    Le Parisien révèle, ce vendredi, que la justice soupçonne « l’existence d’un véritable système familial d’escroquerie aux aides d’État » concernant la famille de Théo.

    Il nous en livre le dernier élément et, pour le moins, celui-ci ressemble comme deux gouttes d’eau à celui déjà dénoncé fin février 2016.

    « Le 10 avril, l’administration a effectué un signalement (article 40) auprès du parquet de Paris concernant une association domiciliée dans le XVIIIe arrondissement de la capitale dans laquelle apparaît en sous-main Michaël Luhaka, 33 ans, un des frères de Théo… » Cette association « spécialisée dans le secteur des organisations religieuses » a obtenu seize emplois d’avenir, dont les aides de l’État ont été suspendues dès que la justice s’est intéressée à l’affaire… « Le parquet de Paris a immédiatement transmis le rapport de l’inspection du travail au parquet de Bobigny où une enquête préliminaire est ouverte depuis juin 2016 pour suspicion d’abus de confiance et escroquerie. »

    Le journal rappelle également que c’est le troisième signalement fait par l’inspection du travail à la justice et… la cinquième procédure en cours ! Quels problèmes posent ces associations ? « À chaque fois, les salariés sont recrutés sous contrat d’avenir mais ne sont jamais payés et l’URSSAF ne perçoit pas les cotisations. »

    Et Le Parisien d’évoquer les faits plus anciens : « Les policiers de la PJ de Seine-Saint-Denis avaient découvert qu’une association domiciliée à Aulnay et dirigé par Michaël Luhaka aurait reçu, entre janvier 2014 et juin 2016, 678.000 € de subvention d’État, dont 170.000 € directement virés sur les comptes de huit membres de la famille et 80 000 € retirés en liquide. Théo a perçu à lui seul 52.000 €. Un flux inexpliqué. »

    Pour l’instant, à part Valeurs actuelles, aucun autre périodique n’a repris cette nouvelle, certainement trop explosive en cette époque d’élection présidentielle.

    Il faut se remémorer que Libération avait titré, le 24 février 2017 : « L’opportune fuite de l’enquête financière visant la famille de Théo L. »

    Nous expliquant que cette attaque sortait comme par hasard au bon moment : « C’est un classique dans les histoires de violences policières […] On sort les vieux dossiers, les casiers judiciaires et les enquêtes en cours. » « À part pour allumer un contre-feu sur la question des violences policières, il n’y a aucune raison que ça sorte maintenant, réagit Simon Picou de la CGT-Travail. Dans un communiqué, son syndicat dénonce toute tentative d’instrumentalisation de l’action des services d’inspection du travail à des fins qui lui sont étrangères. »

    Un papier assez surprenant, quand on sait la campagne qui a été menée contre François Fillon et Marine Le Pen à un mois de l’élection présidentielle. Pour ces deux candidats, on avait aussi sorti très à propos « les vieux dossiers, les casiers judiciaires et les enquêtes en cours », mais Libération, bizarrement, ne s’en était pas indigné.

    En ce qui concerne Théo et ses frères, posons-nous les deux vraies questions :

    – Pourquoi en sommes-nous à la cinquième procédure en cours sans qu’aucune n’ait entraîné les protagonistes devant un tribunal ?
    – Combien, dans les quartiers sensibles, y a-t-il de Michaël Luhaka recourant aux mêmes pratiques ?

    Pour la première question, la visite hospitalière de notre Président « bien aimé » offre peut-être un début de réponse.

    J-P Fabre Bernadac

    Source : http://www.bvoltaire.fr


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  •  TOULOUSE 

    Un gang jugé pour braquages sur fond de voyage en Syrie

    Cinq jeunes gens de 22 à 30 ans sont jugés pour association de malfaiteurs, accusés d’une série de braquages dans des supérettes toulousaines, courant 2013, et d’une tentative de vol à main armée le 21 décembre 2013 dans un Simply Market, à Launaguet. Cinq faits et une tentative entre mai et décembre 2013, à Toulouse, Colomiers et Launaguet. Impassibles dans leur box, faisant bonne figure et même pressés de s’excuser auprès des victimes, quatre de ces hommes ne reconnaissent que la tentative de braquage de décembre 2013. Le cinquième, Yoann D., 30 ans, est mis en examen pour vol à main armée dans un Carrefour City le 19 juin 2013, avenue de Fronton, à Toulouse.

    Hier, à la barre, experts psychiatres et enquêteurs de personnalité ont dressé un parcours presque banal de ces hommes, «dont l’intelligence aurait pu les emmener plus loin dans leur scolarité ou leur vie professionnelle». Malgré des études écourtées, tous sont insérés, sans antécédent judiciaire et en passe de devenir pères de famille. Entre missions d’intérim et petits boulots, ils cherchent de l’argent, «des motivations purement utilitaires», précise l’expert psychiatre. «La perte de la figure paternelle», pour Mounir D., 22 ans, ou la phobie de la mort obsédante pour Yoann D., a peut-être joué les détonateurs dans cette dérive difficilement compréhensible au regard d’une trajectoire d’adolescents flirtant avec la «normalité». Mais des personnalités dont l’immaturité est frappante. Un mois avant de passer son Bac pro, Rodrigue K., décide de partir en vacances avec ses copains en Tunisie. «Il le regrette aujourd’hui amèrement», affirme l’enquêteur de personnalité. Un voyage en Tunisie qui se poursuit jusqu’en Syrie pour lui et Mounir D. Ce duo, interpellé le 21 décembre lors de la tentative de braquage à Launaguet, avec Mustapha K. et Zied A.,intrigue le président Huet. Lors des perquisitions effectuées par les enquêteurs du SRPJ de Toulouse, on y voit ces deux garçons en tenue militaire, âgés alors de 18 et 20 ans, brandir des fusils d’assaut derrière des drapeaux noirs d’organisations terroristes. Rodrigue K. est photographié en train de porter à bout de bras une tête sanguinolente décapitée. Des documents qui feront l’objet d’une enquête par le parquet antiterroriste. L’instruction n’a pas permis d’établir un financement du jihad par les braquages commis à Toulouse. Mais ce périple syrien, pour le moins gênant pour la défense, s’immisce sournoisement au cours des premiers débats. La présence du Raid, dans les arrière-salles de la cour d’assises sécurise les interruptions de séance. Derrière cette «normalité» évoquée plus tôt, il reste les faits. Pour les victimes, difficile de les oublier. Lors du braquage d’un restaurant Quick, le 5 août 2013 (préjudice 16 000 €) l’un des braqueurs contraint une employée à une relation sexuelle avec son petit ami, lui aussi employé et présent sur les lieux. Aujourd’hui, enquêteurs du SRPJ et experts sont attendus à la barre. Les six faits seront évoqués dès demain. Verdict attendu mercredi 3 mai.

    Source : fdesouche via La Dépêche


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