• OUI !... Comme tout finira comme les départements Français d'Algérie ...


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  • Le journal de 7h : violents incidents à Bobigny lors d'une manifestation de soutien à Théo

    REPLAY - Réunis en hommage à Théo, jeune homme arrêté à Aulnay-sous-Bois le 2 février dernier, des manifestants se sont réunis à Bobigny, samedi 11 février, et des incidents ont été signalés.

     
    Le journal de 7h : violents incidents à Bobigny lors d'une manifestation de soutien à ThéoCrédit Image : RTLTélécharger
     

    Ils étaient environ 2.000, samedi 11 février, réunis devant le tribunal de Bobigny (Seine-Saint-Denis) en soutien à Théo. Le jeune homme noir de 22 ans avait été interpellé le 2 février dernier dans la cité des 3.000, à Aulnay-sous-Bois et victime d'un viol présumé de la part d'au moins un des policiers présents.

    Selon la préfecture de police, "plusieurs centaines d'individus violents et très mobiles" ont commis diverses "exactions et dégradations", ce samedi à Bobigny. La préfecture a notamment ajouté que des projectiles ont été lancés contre "des bâtiments publics, des établissements commerciaux".

    Dans le même temps, un véhicule de RTL a été pris pour cible et incendié. L'équipe sur place a été "choquée mais pas blessée" et la rédaction condamne cet acte de violence, réaffirmant qu'elle ne cédera à aucune forme d'intimidation.

    RTL


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  • Seine-Saint-Denis :desviolences urbaines dans 21 communes la nuit dernière, 25 interpellation

    La nuit dernière, vingt et une communes de Seine-Saint-Denis ont connu des violences urbaines. [...] Pas une soirée sans que des voitures ou des poubelles s’enflamment. Une quarantaine dans la nuit de jeudi à vendredi, autant la soirée précédente. « C’est l’équivalent d’un 31 décembre et cela fait six nuits que l’on a des 31 décembre », indique un officier.

    D’abord circonscrits à Aulnay, puis aux villes voisines, les débordements contaminent tout le département. Même la tranquille commune de Vaujours a déploré une voiture brûlée et du mobilier urbain dégradé. La nuit dernière, l’Ile-Saint-Denis, Noisy-le-Grand, La Courneuve… ont été à leur tour le théâtre d’incidents.

    A Montfermeil, c’est une patrouille de police qui est prise dans un guet-apens. Les dégâts les plus importants seront recensés au Blanc-Mesnil, deux voitures brûlées dans le quartier Pasteur et surtout un incendie allumé dans les sous-sols de la Maison pour tous de la cité des Tilleuls. Dans la nuit de mardi à mercredi la maison pour tous de la cité Pasteur avait été aussi la cible d’incendiaires. [...]

    A Noisy-le-Grand, neuf personnes ont été interpellées après des tirs de mortiers dans le quartier du Pavé Neuf. [...] De l’aveu d’un policier : « Il n’y a pas de violences urbaines à Saint-Ouen car le trafic prend le dessus ».

    Le Parisien


    Vingt-cinq personnes ont été interpellées en Seine-Saint-Denis cette nuit, dont une à Aulnay-sous-Bois, après une nouvelle nuit de violence  [...]

    La nuit de jeudi a vendredi a été « comparable à la nuit précédente », avec des incidents « éparpillés » sur le département, a indiqué une source policière qui indique qu’au total, 25 personnes ont été arrêtées dans la nuit. Quelques véhicules et poubelles ont été incendiés à Tremblay-en-France, Pierrefitte, Bobigny, Noisy-le-Grand notamment. Il y a également eu des « jets de projectiles », qui n’ont pas fait de blessés, a précisé cette source. Selon une autre source policière, les jets de projectiles et les voitures brûlées étaient toutefois « en nette baisse ». [...]

    Europe 1

    http://www.fdesouche.com/820697-seine-saint-denis-des-violences-urbaines-dans-21-communes-la-nuit-derniere


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  • Guerre du gel migratoire : Trump gagne 20 millions d’électeurs supplémentaires

    Le 27 janvier 2017, le président Trump signe un décret présidentiel visant à temporairement geler l’admission sur le territoire américain des ressortissants de sept pays considérés par l’administration Obama et le Congrès comme des foyers de terrorisme. Objectif : mettre en place, avant réouverture des frontières, de nouvelles mesures de dépistage du terrorisme beaucoup plus contraignantes. Ce texte inclut également le gel, pour aussi longtemps que nécessaire, de l’admission de réfugiés, principalement syriens et irakiens, dont le « criblage » se faisait jusque-là par les Nations unies.

    Or, deux semaines après, 77 % des 1.100 réfugiés admis sur le territoire proviennent des territoires suspects visés par le décret : soit le double des entrées des deux semaines précédentes…

    Récapitulons : le gel temporaire présidentiel a été suivi par une explosion de manifestations « spontanées », soutenues par un quarteron de parlementaires démocrates. Tous déplorant que certains immigrants légaux, vivant aux États-Unis, s’étaient vu refuser l’entrée (ce qui fut rectifié immédiatement), ou que des malades trouvaient porte close.

    Suivit une éruption d’activisme judiciaire : les États démocrates invoquèrent les dommages irréparables causés par le décret à leur économie comme au fonctionnement de leurs universités et exigèrent de surseoir à la mesure.

    Cet argument fut rejeté par un juge de Boston, mais endossé par un juge de Seattle, qui ordonna le 3 février, en quinze minutes, de surseoir à l’application du décret sur l’ensemble du territoire américain, le temps d’en juger la constitutionnalité.

    La Maison-Blanche a fait appel le lendemain, auprès de la cour californienne, dite du 9e district (connue pour avoir vu annuler, en douze ans, 85 % de ses décisions par la Cour suprême). Ses trois juges ont rendu leur jugement le 9 février : le gouvernement n’ayant pas fait la preuve de l’urgence à barrer l’entrée du territoire aux ressortissants des sept pays en question, il est probable qu’il n’a pas respecté les droits des personnes, et donc la justice doit suivre son cours sans qu’un gel soit justifié.

    Ainsi, le choix judicieux des machines Soros et American Bridge 2020 ont fait usage de leur panoplie judiciaire (environ 50 procès lancés), permettant l’entrée d’un maximum de migrants avant que le président Trump n’ait pu obtenir gain de cause devant la Cour suprême. Divers juristes, tous invoquant une loi de 1952 visant la santé publique et la sécurité nationale, estiment pourtant que le président des États-Unis n’a pas à faire la preuve du risque terroriste, et les juges n’ont pas à juger du bien-fondé de sa politique étrangère ou de sa stratégie de sécurité nationale (domaines qui ont préséance sur toute considération visant la non-discrimination visée par une loi sur l’immigration de 1965).

    Si la logique des juges se confirmait, cela signifierait que non seulement la politique étrangère et migratoire serait décidée par les tribunaux – non élus -, mais surtout que n’importe quel citoyen du monde, vivant hors des frontières américaines, serait automatiquement protégé par la Constitution américaine, l’immigration devenant pour eux un droit irrévocable. Chic !

    Trump avait gagné avec 46 % des voix en novembre. Depuis l’affaire, 52 % à 55 % des Américains soutiennent son décret. Vingt millions de nouveaux électeurs potentiels…

    André Archimbaud

    Source : http://www.bvoltaire.fr


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  • L’élu le plus cumulard de France totalise 26 mandats et fonctions

    michel-delebarre


    C’est un surhomme, c’est Super Delbarre ; il a le don d’ubiquité, 10 paires de mains et 12 cerveaux. Vous voulez savoir et comprendre pourquoi et comment la France a coulé, pourquoi elle est ruinée ? Très simple : elle est prise en main par des escrocs, frères la truelle certes, mais surtout par des incompétents, incapables de faire leur travail correctement puisqu’ils cumulent 10 ou 20 fonctions différentes et très lourdes.


    Le sénateur-maire de Dunkerque, Michel Delebarre, arrive en tête d’un classement établi par « L’Express ».

    Vingt-six mandats et fonctions. Tel est le tableau de chasse de Michel Delebarre, sénateur-maire (PS) de Dunkerque (Nord), qui dirige également la communauté d’agglomération, révèle une enquête de L’Express, mardi 10 septembre. En plus de ces trois mandats, l’élu siège dans pas moins de 23 établissements publics, syndicats intercommunaux, sociétés d’économie mixte, associations et autres organismes. Dont 20 fois en tant que président.

    Sur le podium du classement établi par l’hebdomadaire figurent le socialiste Jean Germain, sénateur-maire de Tours (Indre-et-Loire), puis le radical de gauche Jean-Michel Baylet, sénateur et président du conseil général du Tarn-et-Garonne. Ils totalisent respectivement 12 et 10 mandats et fonctions. Le premier représentant de l’UMP, Christian Estrosi, député-maire de Nice, pointe en 5e position.

    Pour établir son palmarès, qui porte sur 1 573 personnalités politiques, L’Express a non seulement comptabilisé le nombre de postes détenus par chaque élu, mais assigné un coefficient à chaque mandat, selon son importance. Ainsi, Jean-François Copé, qui n’occupe « que » cinq postes, se retrouve en 8e position.

    France TV Info

    http://www.lelibrepenseur.org


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