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  • POUR LES MYOPES .

    Carte des affrontements récents entre racailles et police. Guerre civile larvée et quasi-permanente désormais.

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  • Emeutes Banlieues

    L’embrasement des banlieues, c’est maintenant !

    50 émeutes dans 30 communes en Ile-de-France, des attaques ultra-violentes de bandes armées en majorité musulmanes, des tentatives d’assassinat contre les policiers. Tétanisé et soumis, le gouvernement fantôme Hollande-Cazeneuve-Le Roux est le pire que l’on pouvait avoir en pareille situation.

    Bernard Cazeneuve a longuement reçu lundi matin des associations de lutte contre le racisme : SOS Racisme, Ligue des droits de l’homme et Licra. Il se croit toujours en 1985. Tout comme les Victoires de la Musique avec leurs piaillements « Touche pas à mon Pote » et leurs cris de haine anti-flics. Hollande, l’homme qui donne des leçons politiques à Donald Trump, a choisi de se rendre au chevet de Théo ce qu’il n’a jamais fait en personne pour les policiers brûlés vifs de Viry-Chatillon. Il a clairement choisi son camp. Il envoie aux cités ce signal clair et engagé. Bruno Le Roux plus ectoplasmisque que jamais, est en dessous de tout. Toute cette classe politique française de gauche, en justifiant la révolte et l’embrasement, est la complice de ces exactions. Mais c’est Marine Le Pen qu’ils accusent de mettre de l’huile sur le feu parce qu’elle refuse de clouer les policiers au pilori.

    Pourquoi le gouvernement a-t-il autorisé la manifestation de dimanche, point de départ des émeutes et des saccages en série (commissariat des Ulis attaqué, voiture incendiée malgré la présence d’une petite fille, bâtiments administratifs et nombreux commerces pillés) tout cela en plein état d’urgence alors que l’on savait le risque de troubles à l’ordre public maximum ?

    « De nombreuses violences urbaines se déroulent depuis des mois dans une discrétion médiatique quasi absolue » analyse l’avocat spécialiste Thibault de Montbrial. « Les casseurs de samedi viennent de différents horizons et n’attendaient qu’un prétexte pour passer à l’acte avec une telle ampleur. »

    Selon lui, on trouve deux types de population dans les rangs : « des jeunes de banlieues dans une logique ethnico-territoriale, souvent d’origine maghrébine et subsaharienne – certains, depuis le début des émeutes, allant même jusqu’à scander Allah akbar – qui recherchent un affrontement systématique avec la police et les forces de l’ordre ». Et un second type d’agitateurs et de milices : « des personnes d’extrême gauche, mélange d’anarchistes, et de gauchistes en tout genre. Ce mouvement est plus politique, on l’a vu à l’œuvre lors des violences contre la loi travail ».

    Avec une grande lucidité, Montbrial préconise le courage politique « denrée rare lorsque l’on constate le niveau de compromission de nombreux élus locaux » :

    « Un jour, il faudra avoir le courage d’organiser les opérations policières et judiciaires d’ampleur nécessaires pour reconquérir ces territoires perdus de la République. »

    Un jour aussi, il faudra que Montbrial ait le courage de déclarer publiquement que seule Marine Le Pen propose les moyens pour le faire.

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 15 février 2017
    sous le titre « L’Embrasement »

    http://fr.novopress.info


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  • Émeutes en banlieue parisienne : la police craint la contagion 

    Les échauffourées consécutives au viol présumé de Théo à Aulnay-sous-Bois prennent un tour de plus en plus radical. Les autorités se mobilisent pour empêcher qu’elles ne dépassent les frontières de la Seine-Saint-Denis. 

    [...] Samedi, en fin d’après-midi, à Bobigny, un rassemblement sous les fenêtres du palais de justice a viré à la guérilla urbaine. De multiples incidents ont aussi été relevés un peu partout dans le département, justifiant 37 interpellations au total. Il y a eu d’autres dans le 93 depuis bientôt plus d’une semaine. «Rien qu’à Bobigny, les unités de forces mobiles engagées samedi soir ont dû tirer plus de 100 grenades lacrymogènes pour faire reculer les assaillants!», révèle un gradé des CRS. [...]

    Dans les mots d’ordre des manifestants, le parallèle est établi entre cette affaire et le sort des deux jeunes de Clichy-sous-Bois, Zyed et Bouna, dont la mort, dans un transformateur électrique après une course-poursuite avec la police, le 27 octobre 2005, avait conduit aux émeutes, obligeant l’État à décréter un couvre-feu. [...] Les forces mobiles, très mobilisées sur les frontières, de Calais à Menton, n’ont pas le don d’ubiquité et il ne faudrait pas que les banlieues s’embrasent. [...]

    Pour l’heure, les échauffourées où s’illustrent les bandes restent circonscrites au 93: Aulnay, Bobigny, Tremblay-en-France, Le Blanc-Mesnil, Stains, Neuilly-sur-Marne. Mais un préfet le dit: «Le risque de contagion ne saurait être négligé.» D’autant que la liste des grandes villes françaises où se déroulent des manifestations s’allonge: Nantes, Rennes, Bordeaux, Rouen, Toulouse, Marseille, avec souvent des débordements à la clé. À Paris, vendredi soir, 150 manifestants mobilisés via les réseaux sociaux par des mouvements d’extrême gauche s’étaient rassemblés aux Halles, dans une ambiance très tendue. Le centre commercial avait été plongé dans un nuage de gaz lacrymogène. [...]

    Le Figaro


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  • Il s'appelait Dylan Bouvier

    Ce suicide d'un jeune Français n’émouvra ni la bien-pensance médiatique ni le Président de notre chère République.

    Il s'appelait Dylan Bouvier. Il avait à peine 20 ans et un parcours chaotique.

    Il s'était joint aux manifestants d'Arzon pour dénoncer l'agression sexuelle par un migrant et la colonisation de son pays.

    Suite à la cohue générale, il fût dans la foulée arrêté et jugé à Vannes avec trois autres camarades.

    Un jugement durant lequel le procureur lui demanda scandaleusement, « s'il avait pris du plaisir » à frapper l'éducateur que Dylan avait, dans la confusion, pris pour un migrant.

    Le verdict - le procureur avait requis plusieurs mois de prison ferme - devait être rendu au mois de mars 2017.

    Dylan Bouvier n'entendra pas ce verdict prononcé au nom de la République française.

    En effet, et sans doute aussi pour beaucoup d'autres raisons, Dylan a mis fin à ses jours en ce lundi 13 février 2017 au matin.

    Repose en paix Dylan. Loin de ce monde absurde dans lequel tu as estimé ne plus avoir ta place.

    Nous n'oublierons pas ceux des nôtres qui un jour, ont combattu.


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