• Immigration : les réfugiés "Merkel" arrivent à Paris

    Chaque jour, entre 50 et 100 migrants déboutés du droit d’asile en Allemagne entreraient en France. À Paris, les centres d’accueil sont saturés.

    Des migrants arrivent quotidiennement en provenance d'Allemagne. (Christophe Ena/AP/SIPA)

    C'est le nouveau casse-tête du gouvernement. Combien de migrants, déboutés en 2016 de leur demande d'asile en Allemagne vont tenter leur chance en France? Selon nos informations, depuis le début de l'année, la préfecture de police estimerait qu'ils sont entre 50 et 100 à arriver chaque jour dans la capitale, leurs conditions de séjour outre-Rhin étant de plus en plus difficiles.

    Thomas de Maizière, le ministre allemand de l'Intérieur, a décidé de renvoyer à Athènes les migrants entrés dans l'espace Schengen par la Grèce. Cette procédure avait été suspendue en 2011. Mais depuis le 19 décembre et l'attentat de Berlin, la police fédérale a intensifié les expulsions de sans-papiers, déboutés du droit d'asile compris…

    Lire aussi la tribune : "La crise des migrants nous interpelle sur notre humanité et notre efficacité"

    En 2016, Berlin a enregistré quelque 280.000 nouvelles demandes d'asile sur un total de 745.545 en cours de traitement, parmi lesquelles 162.510 ont été déposées par des Syriens et 127.892 par des Afghans… Or si les premiers obtiennent un titre de protection dans près de 100% des cas – lorsqu'ils réussissent à prouver leur identité –, ce n'est pas le cas des seconds. L'Allemagne refuse une demande afghane sur deux. Et la plupart de ces derniers atterrissent donc à Paris.

    Le centre de la porte de la Chapelle déjà saturé

    Un phénomène inquiétant car la capitale n'a plus de capacité d'accueil. La "bulle", le centre humanitaire de 400 places ouvert porte de la Chapelle au mois de novembre par Anne Hidalgo, est déjà saturée. La Mairie de Paris vient d'ailleurs d'annoncer l'ouverture prochaine de 200 places supplémentaires. Depuis quelques jours, les associations tirent la sonnette d'alarme, car les campements sauvages commencent à se reformer. En France, les demandeurs "Dublin" (du nom du règlement européen en matière d'asile) seraient déjà actuellement 20.000.

    Lire également : La "Mama" retraitée qui sauve des réfugiés en Autriche

    Il s'agit de migrants dont les empreintes ont déjà été enregistrées dans un autre pays de l'UE. Ce statut les oblige à attendre entre six et dix-huit mois avant de déposer une nouvelle demande en France. Tous ces naufragés du droit d'asile européen ne sont pas originaires d'Allemagne, certains sont passés par d'autres pays, principalement l'Italie ou la Norvège, mais la part des "réfugiés Merkel" ne cesse de progresser. 

    Marie-Christine Tabet - Le Journal du Dimanche


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  • Les touristes chinois fuient Paris: "Pour eux, la petite délinquance est devenue un vrai fléau"

     

    Les vols et les agressions auraient provoqué une baisse de 25% du nombre de touristes chinois à Paris en 2016. Un chiffre qui grimpe à 46% chez les Japonais.


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  •  Calais:  Une responsable caritative trompait son mari avec un migrant. Le « réfugié » menace de tout divulguer.

    Clare Moseley

    Christian Hofer: A noter que cette femme provoquait déjà les Européens en prétendant que "les camionneurs de Calais qui se plaignaient des agressions des réfugiés devaient changer de métier", réaction caractéristique de la gauche où les victimes européennes n'ont aucune valeur.

    Ces femmes se portent souvent "volontaires" afin d'assouvir leurs besoins sexuels, en profitant justement de ces frontières qu'elles haïssent tant, qu'elles cherchent à détruire mais qui leur donnent du pouvoir, en faisant miroiter aux migrants une "régularisation". De part et d'autre, nous avons donc affaire à des gens qui ne respectent aucunement nos pays et notre identité mais qui profitent hypocritement de ce que nous défendons.

     

    Enfin, personne ne sera surpris de constater qu'une telle femme a été érigée en exemple par un média mainstream, The Guardian allant même jusqu'à la présenter en femme de l'année alors qu'elle a abandonné mari et enfants pour des envies sexuelles sous l'excuse valorisante "d'humanitaire". C'est dire à quel point nos médias ne sont plus crédibles.

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    La responsable d'une organisation d'entraide pour les migrants de Calais a eu une relation avec un Tunisien qui lui servait de jouet sexuel et de garde du corps alors qu'elle était déjà mariée. Mais en même temps, elle insistait pour que ses bénévoles n'aient pas de relations sexuelles avec les migrants.

    • La relation de Clare Mosely avec Mohamed Bajjar était «bien connue» dans la jungle de Calais
    • La femme de 46 ans a mis sur pied l'organisation Care4Calais en 2015, qui avait pour règles l'interdiction des relations sexuelles entre bénévoles et migrants.
    • Il est allégué qu'elle a emménagé avec le Tunisien de 27 ans, connu sous le pseudo de Kimo
    • A présent, elle a rompu avec lui parce qu'elle craint qu'il l'ait escroquée

     

    Clare Moseley, fondatrice de Care4Calais, a eu une relation avec un migrant tunisien nommé Mohamed Bajjar.

    Plus tôt ce mois-ci, il est apparu que Madame Moseley, 46 ans, a interrompu sa relation avec Bajjar,  27 ans, car elle craignait qu'il lui escroque des milliers de livres sterling indique The Sun.

    Amis de Mme Moseley a affirmé que Bajjar avait menacé de dire à son mari de l'affaire et de lui envoyer des photos du couple pendant qu'ils étaient ensemble. L'organisme de bienfaisance Care4Calais a été mis en place en 2015 après Mme Moseley a été ému aux larmes par le sort des migrants vivant dans la Calais Jungle et l'organisation a obtenu le statut de charité.

     

    Les amis de Madame Moseley ont affirmé que Bajjar avait menacé de dévoiler la relation au mari et de lui envoyer des photos intimes.

    L'organisme de bienfaisance Care4Calais a été mis en place en 2015 après que Madame Moseley ait été émue par le sort des migrants vivant dans la Jungle de Calais. L'organisation a obtenu le statut d'œuvre de charité.

    "Tout le monde dans le camp savait à leur sujet. Les migrants pensaient qu'ils étaient mari et femme."

    A présent, Madame Moseley accuse Bajjar de la duper, après qu'il ait demandé d'envoyer de l'argent à sa famille. Le migrant a été arrêté par la police le 6 janvier. Il est soupçonné d'avoir volé le téléphone de Madame Moseley.

    A l'époque, Madmae Moseley s'est exprimée afin de condamner les bénévoles qui avaient des relations sexuelles avec les migrants et elle a déclaré que son organisation Care4Calais avait une politique de tolérance zéro envers de telles pratiques.

    "Il est révoltant qu'elle ait été si loquace concernant l'interdiction des relations sexuelles entre les bénévoles et les migrants."

     

    Clare Moseley

     

    The Sun a également affirmé que Bajjar avait déjà escroqué une femme britannique afin de se marier en Tunisie après s'être fait passer pour un réfugié syrien.

    Ils se seraient rencontrés dans la station balnéaire tunisienne de Sousse il y a six ans, mais la relation s'est rompue lorsque la mariée a refusé de débourser les 1'500 livres sterling pour son visa.

    Une porte-parole de Care4Calais a déclaré: "Notre priorité reste le soutien et la protection des réfugiés à Calais, dont beaucoup fuient une violence et une horreur inimaginables, et cela ne va pas nous distraire de cette mission vitale."

    En 2015, Madame Moseley a écrit un article d'opinion dans le Guardian dans lequel elle admettait qu'elle avait abandonné son entreprise, son mari et sa famille ".

    Se référant à sa famille, elle a déclaré: «Ça a été dur pour eux, mais ils savent c'est quelque chose que je devais faire. Je ne peux pas rester en toute conscience et ignorer ce qui se passe.

    «Je ne peux pas imaginer vivre ma vie normalement, aller au restaurant, à des fêtes, en oubliant la façon dont les gens ici ont besoin d'aide.»

    The Guardian a nommé Mme Moseley comme l'une des «Six femmes qui ont fait 2015».

    Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch


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  • Un militaire tué à coups de couteau près de la gare de Chambéry

    Le jeune homme âgé de 25 ans est mort après avoir reçu des coups de couteau près de la gare de Chambéry - Challes-les-Eaux.

    Le meurtre a eu lieu près de la gare de Chambéry - Challes-les-Eaux © Maxppp - Maxppp

    Un jeune homme de 25 ans a été tué samedi vers 18h30 près de la gare de Chambéry - Challes-les-Eaux. Il a reçu un coup de couteau au niveau du cœur. Mais il présenterait deux autres plaies sur le corps. Les pompiers, rapidement arrivés, n'ont pas pu le réanimer.

    Tout a commencé dans l'enceinte de la gare. À la sortie d'un train, trois hommes, deux jeunes et un SDF selon des témoins, se disputent. Tous sont visiblement alcoolisés. Très vite, la dispute évolue en bagarre et des voyageurs les séparent.

    Les trois hommes s'éloignent à une dizaine de mètres de là dans une petite rue à côté de l'hôtel Mercure. Ils se battent à nouveau. C'est là, que l'agresseur sort un couteau. Selon l'ami de la victime, le suspect poignarde alors le jeune homme, un militaire en fin de contrat qui allait avoir 25 ans.

    Les enquêteurs recherchent toujours activement le suspect.

    Source : https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/un-jeune-homme-tue-coup-de-couteau-pres-de-la-gare-de-chambery-1484467996


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  • Voici ce qui est dit aux enfants belges à propos du radicalisme…

    « On peut pratiquer sa religion, même de façon radicale parfois, sans pour autant basculer dans la violence. »

    Ou ceci : « Des milliers [de] personnes qui pensent que le magazine [Charlie Hebdo] était raciste, notamment à l’égard des musulmans, ont lancé le slogan Je ne suis pas Charlie. »

    Et encore : « Quand un jeune est suspecté de vouloir se radicaliser, il est très vite surveillé, arrêté et parfois même enfermé en IPPJ [Institutions publiques de protection de la jeunesse], même s’il n’y a pas encore toutes les preuves qu’il risque de passer à l’acte.

    Or, pour ce jeune qui se sent déjà rejeté par la société, cela ne fait que renforcer son sentiment d’injustice et renforcer sa radicalisation: c’est un cercle vicieux ! »

    Ce sont là quelques phrases tirées d’une brochure [PDF] adressée aux enfants (!) belges francophones par le délégué général de la Communauté française aux droits de l’enfant.

    Dans la version « pour adultes » du rapport annuel présenté par Bernard De Vos devant les parlementaires de la Fédération Wallonie-Bruxelles, l’auteur, islamologue de formation, rappelle cette fois, à coups de tirades enflammées, que le radicalisme n’a absolument rien à voir avec l’islam, dénonce l’enfermement de mineurs radicalisés pour ne pas les radicaliser davantage et estime qu’il ne faut en aucun cas faire appel aux solutions sécuritaires.

    L’homme n’est pas un inconnu. Au lendemain de l’attentat qui a endeuillé Nice en juillet dernier, il avait déclaré, sans aucune compassion pour les enfants victimes de la tuerie : « Je ne pense pas que l’on soit face à un problème de radicalisation mais plutôt à une série de situations individuelles qui explosent car les jeunes issus de l’immigration subissent une stigmatisation et victimisation importante. »

    Évidemment, dans son rapport, Bernard De Vos omet de préciser, par exemple, que certains enfants belges sont conspués, dans leurs écoles, parce qu’ils mangent des tartines au jambon ou se voient interdire de manger des bonbons contenant de la gélatine. Il ne faudrait surtout pas stigmatiser les petits musulmans, car ça pourrait les radicaliser.

    Grégory Vanden Bruel

    Source : http://www.bvoltaire.fr


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