•  Drancy : handicapée, la retraitée préfère sa voiture à un logement inadapté

    Drancy. Ana Zec vit depuis près de six ans dans sa voiture faute de pouvoir bénéficier d’un logement adapté à son lourd handicap. LP/F. NI.

    Drancy. Ana Zec vit depuis près de six ans dans sa voiture faute de pouvoir bénéficier d’un logement adapté à son lourd handicap. LP/F. NI.

    Une montagne de couvertures recouvre le fauteuil passager qu’Ana a incliné au maximum pour pouvoir étendre ses longues jambes. Autour de ce lit de fortune, de la paperasse, des livres et quelques CD s’entassent en vrac dans l’habitacle, tandis que le coffre fait office de garde-manger. Cela fait maintenant près de six ans que la jeune retraitée de 62 ans a élu domicile dans sa voiture… garée juste devant le logement dont elle est propriétaire, dans un quartier pavillonnaire de Drancy.

    Ana Zec est restée lourdement handicapée à la suite de trois accidents vasculaires cérébraux (AVC) en 2003 et 2006. Insuffisante cardiaque, elle a été contrainte de mettre entre parenthèses sa carrière dans le textile. Pour elle, le moindre effort est un calvaire : elle se déplace avec peine, avec l’aide d’une canne, le souffle court. En 2011, elle obtient d’être relogée dans le parc HLM de Drancy car son appartement est trop petit et difficilement accessible, avec une vingtaine de marches à grimper.

    Problème, le logement de repli qu’on lui propose est, explique-t-elle, inadapté à son handicap. Ana en paye toujours le loyer aujourd’hui mais refuse de s’y installer. « Il se trouve au rez-de-chaussée, mais je ne peux pas vivre là. Il est étroit, mal ventilé et en mauvais état. Je ne respire pas, j’ai des vertiges. J’ai déjà fait trois chutes dans la salle de bains », déplore la sexagénaire.

    Accompagnée par la Maison départementale des personnes handicapées de Seine-Saint-Denis (MDPH 93), qui confirme, rapports d’ergothérapeutes à l’appui, que l’appartement « ne convient pas à son état respiratoire », elle a multiplié en vain, ces dernières années, les demandes de mutation auprès de l’office public de l’habitat de Drancy. « Elle n’est pas la seule personne handicapée de la ville et les logements adaptés en rez-de-chaussée ne sont pas si nombreux. Etant à la fois propriétaire d’un bien et déjà locataire, même si le logement a des défauts à ses yeux, elle n’était pas prioritaire », justifie Anthony Mangin, le président du conseil d’administration du bailleur social.

    En 2015, une proposition de relogement lui a été faite par la ville, dans un autre parc HLM. Mais là encore, le studio ne convient pas. Cette année-là, le sort s’acharne même sur Ana Zec : son vieil appartement, qu’elle ne peut plus occuper mais où elle continuait d’aller chercher quelques affaires, est détruit dans un incendie. Son assurance mandate une entreprise pour les travaux, qui fait faillite. Le chantier est actuellement à l’arrêt. Une difficulté de plus à gérer…

    La situation de la retraitée pourrait néanmoins évoluer très rapidement, selon l’OPH de Drancy qui annonce qu’une nouvelle proposition doit lui parvenir « dans les prochains jours ». Un deux-pièces « en rez-de-chaussée et accessible PMR (personne à mobilité réduite) dans une construction neuve » et qui pourrait enfin changer la vie d’Ana.

      leparisien.fr (18 janvier 2017)


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  • Obama : Bon débarras !

    obama-1.jpgDans le film Quo Vadis, tiré du livre de Henryk Sienkiewicz, Pétrone fait ses adieux à Néron qui se croyait un grand artiste : « Passe encore, Néron, que tu aies assassiné ta mère et ton épouse, incendié Rome et autres ignominies, mais comme tu as massacré la musique, comme j’ai souffert à écouter tes vers insipides… »

    Pareillement, on pourrait tenir à Obama ce langage :
    « Passe encore, Barack, que tu aies voulu transformer l’Amérique à ton image, en en faisant une république bananière, l’endettant plus à toi tout seul (20 trillions de dollars) que tous tes prédécesseurs, tout en accroissant la pauvreté et le chômage alors que toi, tu passais plus de temps à jouer au golf, à lever des fonds pour ton parti, ou encore à te prélasser en vacances luxueuses de 3 semaines avec une suite pléthorique, plus de temps qu’à travailler.

    Peu importe, du reste, que tu n’aies jamais sérieusement travaillé, utilisant ton « téléphone et ton stylo » comme un gangster son arme à feu, pour décider et signer, unilatéralement, des décrets présidentiels ineptes et même des accords internationaux sans consulter le Congrès : 90 % de tes décisions et lois anticonstitutionnelles, dont ton abominable Obamacare, pourront être annulées.

    Passe encore, Barack, que tu aies menti au peuple américain, avant et pendant toute ta présidence funeste, sur tout, et rejeté le blâme pour tous tes échecs sur Bush, les républicains, Fox News ou des pays étrangers… Que tes deux élections soient dues à des mensonges élaborés avec un cynisme rare (2008), des faits sanglants soigneusement travestis et des trahisons cachées au public (2012) et que tu te sois tiré de l’obscurité, et aussi toujours tiré de tout, grâce à la discrimination positive : le peuple a fini par voir quel charlatan tu étais et il a choisi ton exact contraire pour oblitérer ton œuvre maligne.

    Passe encore, Barack, que tous les scandales de ta présidence aient été étouffés par les médias complaisants et par tes ministres de la justice, outrageusement politisés comme tous tes agents gouvernementaux ; que tu aies délibérément créé ou attisé les divisions nationales, en jouant la carte de la race et des droits civils, tes obsessions. Tes scandales seront tous jugés tôt ou tard. Tu as bradé l’Amérique aux ayatollahs et aux Frères musulmans et, de Benghazi à Alep, par ton manque de leadership et tes politiques absurdes, tu as du sang sur les mains. Et là, il devient impossible de ne pas te condamner, Barack, d’autant que tes victimes, ce sont aussi tous les citoyens américains qui subissent tes libérations de prisonniers récidivistes, ou encore les policiers, blancs et noirs, abattus par une vermine que tu soutiens ouvertement.

    Ton cas est accablant, Barack ! Non seulement tu n’as jamais été un vrai président des États-Unis, plutôt pantin placé à la Maison Blanche par ceux qui tirent tes ficelles, chargé de miner le pays et la civilisation occidentale de l’intérieur, mais tu ne montres aucun signe de réflexion sur toi-même, encore moins de contrition, et en plus, tu persistes à te croire moralement supérieur à ceux, majoritaires désormais, qui te méprisent.

    Surtout, toi, l’individu mal élevé et sans culture, tu crois vraiment au mythe bâti dans un but politique, selon lequel tu serais « un être d’exception, cérébral et grand orateur » ! Tu ne mérites pas plus cette réputation surfaite que ton prix Nobel. Il y a des cerveaux dans la gauche radicale américaine, ô combien pervers, mais toi, Barack, tu n’es qu’un bon exécutant.

    Quant à tes discours, ils nous auront assommés par leur longueur, leurs platitudes et tous les mensonges révisionnistes, les contre-vérités, les statisti­ques truquées, les vantardises et tes plaisanteries tellement minables suivies des gros rires des crétins qui t’écoutent, au point que, oui, Barack, nous avons toujours fini par zapper tes oraisons comme tes geignardises.

    Et, sans ton téléprompteur, tu sais bien que tu bégaies.

    Voilà où tu rejoins Néron, Barack, dans cette illusion ultime sur toi-même, entretenue par les sycophantes américains et européens, qui te fait croire que tu peux continuer à nuire et te pavaner à Washington, au lieu de retourner à Chicago, dans le but précis, autant que mauvais, de diriger une obstruction systématique et organisée contre ton successeur, à la tête d’un groupe financé par Soros, dit Obama Inc., et de faire de toi le président en exil de tous les irrécupérables d’extrême gauche ! Sera-t-on, un jour, débarrassé de toi ?

    Même ta sortie manque de classe, Barack. Jamais canard boiteux n’avait boité si bas ! »

     

    Source : les4verites


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  •  Tours: Une demi-tonne de cannabis saisie après une course-poursuite avec le trafiquant sur l'A10

    STUPEFIANTS Les motards de la douane de Poitiers ont du prendre en chasse un trafiquant sur plusieurs dizaines de kilomètres avant de l'intercepter. Il transportait 475 kilos de résine de cannabis...475 kilos de résine de cannabis ont été saisis par les douaniers475 kilos de résine de cannabis ont été saisis par les douaniers - Douane Française

    Mickaël Bosredon

    Il aura fallu une course-poursuite effrénée sur plusieurs dizaines de kilomètres pour intercepter le trafiquant. Lundi, les motards de la douane de Poitiers ont tenté d’intercepter un véhicule immatriculé en Espagne avec un seul individu à bord.

    >> A lire aussi : Une tonne de cocaïne interceptée à Bayonne, soit «10 % de la saisie annuelle en France»

    A la vue des motards, le conducteur accélère fortement pour échapper au contrôle. A la sortie de Sainte-Maure-de-Touraine, au sud de Tours, le véhicule percute la barrière de péage mais poursuit sa fuite sur les routes environnantes.

    Sortie de route et course-poursuite à pied

    Après plusieurs dizaines de kilomètres de poursuite, le véhicule fait finalement une sortie de route. Le conducteur tente alors de s’enfuir à pied à travers bois mais les douaniers réussissent à l’intercepter.

    Au total, 475 kg de résine de cannabis sont découverts dans le coffre et sur la banquette arrière du véhicule. La marchandise est estimée à plus de 3 millions d’euros sur le marché illicite de la revente au détail de stupéfiants.

    La marchandise se trouvait dans le coffre et sur le siège du véhiculeLa marchandise se trouvait dans le coffre et sur le siège du véhicule - Douane Française

    Les suites judiciaires ont été confiées à la police judiciaire de Tours.

    Le Parisien


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  • Un auditeur de France Inter à Manuel Valls : « On est 66 millions à vouloir te la mettre, la claque ! »

    Mardi 17 janvier, lors d'un déplacement en Bretagne, Manuel Valls a été visé par un jeune homme de 18 ans qui a tenté de lui mettre une gifle et est parvenu à le toucher. Il a annoncé avoir porté plainte contre l'auteur. La scène, notamment filmée par Le Télégramme, a beaucoup tourné. Et a fait des émules. Au micro de France Inter ce 18 janvier, un autre jeune homme - un certain Guillaume, de Grenoble - est parvenu à interpeller en direct l'ancien Premier ministre. Mais en lieu et place de question, il lance : "C’était pour te dire Manu… Je sais pas si tu trouves ça normal ou pas mais la claque on est juste 66 millions à vouloir te la mettre, c’était juste trop bon ! Sans déconner quoi, il a été parfait le bonhomme !"

    Il est immédiatement interrompu par le journaliste Patrick Cohen : "Alors cet appel à la violence sur l'antenne de France inter, c'est non !" On ne sait pas encore si le jeune homme a pu prendre l'antenne sous un prétexte fallacieux ou si le programmateur était conscient du propos qui serait tenu.

    Manuel Valls est pour sa part resté sur sa ligne de conduite depuis l'épisode de la gifle : dénoncer "toute forme de violence", "la violence de notre société" qu'il "combat". Visiblement un peu perturbé par l'intervention, il évoque du tout au tout "les gens qui souffrent, ceux qui sont au RSA" puis son "combat contre Dieudonné", puis ajoute : "Quand, sur une antenne, on fait profession de violence, ça veut dire qu'il y a quelque chose qui bascule." Il conclut : "C'est parce que je peux gagner qu'on me vise, je ne me laisserai pas impressionner".

    Source : http://www.marianne.net


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  • Valls : après la farine alsacienne, la gifle bretonne

     Après la farine alsacienne, la gifle bretonne

    Il y a des jours où l’actualité morose, à l’égal du temps, nous sert sur un plateau un évènement de choix qui ne manquera pas de faire, selon les sensibilités, pleurer de rire dans les chaumières, ou carrément sangloter.

    On se souvient que Manu avait déjà goûté à la farine alsacienne, lors de son premier déplacement…

    En Bretagne, un véritable drame s'est joué hier ! Quittant l’hôtel de ville de Lamballe où il venait sans doute de faire son numéro de citoyen bien sous tous rapports (pour les citoyens atteint d’Alzheimer profond qui auraient déjà oublié ses discours anti patriotes) la main sur le cœur, l’éminent ex-premier sinistre, en campagne pour la primaire socialiste qui désignera son candidat à la présidentielle de 2017, a brusquement été agressé par un individu, forcément louche et nauséabond, qui l’aurait giflé ! Donc, après la farine alsacienne, il a eu droit à la gifle bretonne… Si j’osais, je dirais : après la farine, la tarte !

    Bon, vérification faite sur la vidéo, en passe de faire une belle carrière sur les réseaux sociaux, il s’agirait juste d’une pichenette, qui n’a pas dû lui faire grand mal (que les âmes sensibles se rassurent, Manu a encore toutes ses dents… lui !).

    En revanche je n’en dirais pas autant du jeune homme qui a courageusement tenté de faire ce dont rêve une quantité impressionnante de patriotes, vu que le cordon sanitaire de Valls (souvenez-vous qu’il a gardé les gardes du corps et policiers qui étaient attachés à la fonction de Premier ministre !) est entré en action dans le dixième de seconde qui a suivi, pour le plaquer à terre avec une brutalité inouïe ! Pour un peu on se serait cru aux beaux jours des manifs anti mariage pour tous, où les sbires du même Manu, alors ministre de l’Intérieur, gazaient les dangereux vieillards et les enfants dans les poussettes.

    Pour une fois, Monsieur Valls s’est enfin trouvé face à un vrai Français, non les ersatz de citoyens venus d’ailleurs, sur lesquels ils comptent pour se faire élire.

    Il ne s’agit pas d’un manque de respect envers une « personne détenant l’autorité » comme il est spécifié dans les procès intentés aux lanceurs d’alertes, mais bel et bien de la réponse de la bergère au berger : c’est-à-dire qu’à force de mépriser le peuple, de lui mentir à longueur de temps, de le rouler dans la farine en permanence, il faut bien s’attendre un jour à recevoir la monnaie de sa pièce.

    Nos dirigeants au plus haut niveau, s’imaginant qu’une élection équivaut à un chèque en blanc leur donnant les pleins pouvoirs pour faire tout et n’importe quoi, font preuve d’un irrespect total des citoyens et ne doivent pas se plaindre quand ils en reçoivent des semonces.

    Les pleureuses de BMF-TV ont beau crier au charron, dénonçant une violence et un manque de respect inacceptables … de même que la copine Sylvie Pinel rappelant que l’Etat ne peux cautionner aucun acte de violence, ne convaincra certainement que l’armé des bien-pensants, soudain inquiets que l’on s’en prenne à l’une de leurs idoles !!!

    Et l’établissement en douce d’une véritable dictature socialiste qui ne dit pas son nom, mais que le citoyen lambda peut constater chaque jour dans la vraie vie (hors bunkers sécurisés, voitures blindées, gardes du corps), ce n’est pas de la violence infligée au peuple, Madame Pinel ?

    Source : http://ripostelaique.com

     

     


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