• Par :Sylvestre Brunaud..

    NOS SANS DOMICILES FIXE
    Un billet de juillet 2015.

    Mesdames ,Mesdemoiselles, Messieurs;
    La pauvreté en abondance en France ou même de nombreux suicides a la clé suite à des crises familiales détruite pas ce venin de contribution de nos élus qui non rien fait et ne feront rien ,a part protègés leurs bons portefeuilles dorés ...
    Pour les SDF « Les dispositifs d’aide ne sont plus adaptés » et se sont engorgés », explique Manuel Domergue, directeur des études de la Fondation. Ainsi, 1,8 million de ménages sont en attente d’un logement social, alors que seulement 450.000 sont attribués chaque année,et cela étant des chiffres de 2014 en mains, donc de même, 355 000 demandes d’hébergement pour SDF ont été formulées durant l’hiver 2013-2014 selon le baromètre du 115, mais seulement 140 000 places ont été attribuées. Et les familles sans domicile, en priorité hébergées à l’hôtel, notamment en Ile-de-France, se retrouvent aussi à la rue, sous bâches de fortune ou autres,voiture, etc., car le dispositif, qui coûte très cher, arrive à saturation pour les uns mais pas pour les migrants bien invité sur notre sol de France .
    La mobilité ne se fait plus, les gens ont du mal à sortir des dispositifs d’aide. Résultat, certaines personnes, désabusées, renoncent à demander de l’aide de par honte et dont un respect aussi de lui-même, préférant parfois rester dans un logement insalubre ou dormir dans la rue plutôt que de faire appel à des gens de compétences ...
    Alors que le nombre de sans-domicile fixe a augmenté de 44 % en 11 ans, c'est un drame dans un pays comme la France , les femmes et les enfants représentent une part de plus en plus importante parmi cette population, selon une étude de l'Insee publiée en 2014 ...
    À vrai dire en courant 2014, plus de cent douze mille personnes en France n'ont pas d'adresse. Sans logement personnel, elles dorment dans la rue, les jardins publics, les gares, les squats, ou sont hébergées dans des structures d'accueil qu'elles doivent quitter chaque matin. C'est le constat alarmant que dresse l'Insee dans son étude "Portrait social de la France", qu'elle publie chaque année depuis 2001.
    Pour cette population mal connue ou beaucoup de braves gens qu'on laisse pourrirent vers une mort certaine, ces enquêtes de l'institut de la statistique ont montré au fil des ans une constante augmentation de la population des SDF, laquelle a atteint plus de 81.000 adultes en 2010, accompagnés de plus 31.000 enfants, soit une hausse de 44 % en 11 ans. (chiffré toujours en 2014) Une réalité qui doit être encore plus tragique si l'on tient compte des personnes qui ne fréquentent jamais de structures d'accueil ou qui vivent dans des communes de petite taille, qui n'ont pas été prises en compte dans ce rapport...
    Ressources mensuelles très faibles
    Les causes de cette paupérisation sont multiples : 86 % des SDF interrogés expliquent avoir connu la galère dès leur plus jeune âge en ayant vécu un événement douloureux pendant leur enfance (problème de santé grave, handicap, décès d'un parent). Un quart a dû être placé en famille d'accueil ou en foyer.
    Constat encore plus alarmant, 4 SDF sur 10 n'ont jamais eu de logement personnel. Pour ceux qui en ont déjà eu un, 35 % l'ont perdu à cause de difficultés familiales (séparation, décès du conjoint, violences conjugales), 30% en raison de problèmes financiers (perte d'emploi, loyers trop élevés, expulsions, etc.). Dont surtout ses pertes d'emploi en son la cause d'un divorce et d'une perte de vie familial ...
    Sans surprise, dans la spirale de la pauvreté, 80 % des sans-abris touchent moins de 900 euros par mois. Pis, 30 % n'atteignent pas les 300 euros. Plus des trois-quarts sont inactifs ou au chômage et, plus inattendu, une partie touche rien du tout, 24 % travaillent, mais occupent souvent des emplois à temps partiel, peu qualifiés et précaires. Ils sont majoritairement employés ou ouvriers, et 22 % n'ont aucun contrat de travail. Dont des chiffres établis en année 2013, élaboré en dossier en 2014 ... Je vous remercie...
    Sylvestre Brunaud ...


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  • Salauds de travailleurs !

    Randa Ph 2.jpgLa chronique de Philippe Randa

    « Les gens ne veulent pas de travail, ils veulent de l’argent ! » : ce constat n’échappe plus à personne.

    La réduction du temps de travail est devenue l’obsession d’une grande partie des citoyens, car on les a convaincus lentement, mais sûrement, que leur emploi était aliénant, forcément aliénant. La preuve : un siècle durant – le siècle dernier – on a eu de cesse de réduire les heures de labeur ; qu’on en juge :

    – Loi de 1906 instituant la semaine de six jours (jour de repos hebdomadaire) ;

    – Loi de 1919 instituant la semaine de 48 heures et la journée de 8 heures ;

    – Loi de 1936 instituant la semaine de 40 heures ;

    – Loi de 1982 instituant la semaine de 39 heures ;

    – Lois de 1986 et 1987 introduisant la possibilité de déroger par accord de branches, puis d’entreprises à certaines dispositions légales ;

    – Lois de 1992 et 1993 incitant à la réduction du temps de travail et au développement du temps partiel ;

    – Accords interprofessionnels de 1995 organisant la répartition du temps de travail sur l’année ;

    – Loi de Robien de 1996 offrant des allégements de charges patronales en contrepartie de réduction du temps de travail ;

    – Lois Aubry du 13 juin 1998 et du 19 janvier 2000 instituant la semaine de 35 heures ;

    Ces dernières « Lois Aubry » ont eu, plus que les autres encore, un effet pervers : elles étaient devenues un véritable tabou.

    Quiconque tentait une critique était couvert d’opprobre citoyen. Pensez, un tel acquis so­cial… Il n’y a vraiment que la « France d’en bas » qui ne comprend décidément rien à rien pour avoir sanctionné électoralement – nous étions alors en 2002 – une gauche si généreuse en lui reprochant d’avoir supprimé des heures supplémentaires qui permettaient de mettre quelque beurre dans les épinards quotidiens.

    Et encore cette France-là n’avait-elle pas compris alors qu’outre cette perte, cette loi d’apprentis démagogues, allait aussi bloquer les salaires. Ils le sont toujours !

    Puis, certains, moins couards que d’autres ou plus inconscients, ont susurré qu’il serait bon d’en aménager les contraintes, pour permettre aux entreprises françaises de faire face à la concurrence étrangère.

    Cela a été fait, timidement, presque en s’excusant, sous les quinquennats chiraquien, puis sarkozyste, mais dans l’urgence de ralentir quelques imminents dépôts de bilan et laisser le temps aux patrons qui en ont encore les moyens, de délocaliser leur entreprise avant son prévisible dépôt de bilan : ce fut la loi du 17 janvier 2003 flexibilisant largement le temps de travail sans revenir formellement sur le principe des 35 heures.

    Aujourd’hui, on tente, ici ou là, de dire qu’il est nécessaire d’abroger cette loi débile et de renégocier branche par branche, la durée et la modalité du temps de travail en fonction des impératifs de chaque secteur et de chaque profession et certains candidats à la prochaine élection présidentielle émettent désormais à leur tour quelques réserves sur ces lois restrictives de travail hebdomadaire.

    Le tabou fait donc long feu et l’on peut espérer que l’avenir fasse rendre gorge à la calamiteuse rengaine du « travail aliénant ».

    Une anecdote en dit long à ce sujet ; elle date d’il y a tout juste dix ans : dans la nuit du samedi 6 au dimanche 7 janvier 2007, les sénateurs ayant maintenu la création d’une taxe sur la distribution de textile pour financer les organismes recyclant les vêtements, un journaliste interrogeait une femme concernée par la question.

    Divorcée, sans emploi, avec trois enfants à charge, elle s’était retrouvée en foyer avant d’être salariée par Emmaüs grâce à cette taxe. Elle avait ainsi pu remonter la pente et expliquait alors que sa fille de quinze ans lui avait déclaré que, plus tard, elle ambitionnait de travailler à son tour pour les entrepôts Emmaüs car «… depuis que j’y suis employée, elle me voit tellement heureuse et épanouie ! »

    À croire qu’il n’y a que ceux qui, un jour, ont tout perdu, pour reconnaître encore quelques vertus au travail…

    Source EuroLibertés


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  • PSA coulé par l’islam au travail

    Jean-Christophe Lagarde, le maire UDI de Drancy, lève l’omerta. Il a affirmé que la fermeture de PSA à Aulnay-sous-Bois était en partie due aux revendications communautaristes et à l’omniprésence de l’islam qui empêchait l’usine de fonctionner à un rythme efficace.

    Interrogé par Jean-Michel Apathie sur les dérives islamistes dans son département comme l’interdiction pour les femmes d’entrer dans certains cafés de Sevran, il a dévoilé la chose suivante : « On ne l’a jamais dit, mais une partie de la fermeture de PSA était liée aussi à l’omniprésence religieuse et au fait qu’il y avait des exigences religieuses au travail, d’arrêt de travail, de baisse de productivité et dans le choix de PSA de fermer Aulnay, il y a eu aussi cet aspect-là. Le prosélytisme n’est pas le fait de beaucoup de gens, mais ce sont des gens très actifs qui mettent une pression régulière. »

    L’usine PSA d’Aulnay était connue pour employer un très grand nombre d’ouvriers musulmans pratiquants. Comme d’autres sites de production du groupe, elle abritait même une salle de prière qui a été agrandie en 2010. Pendant la période du ramadan les pauses déjeuners étaient adaptées aux horaires de la rupture du jeûne. La cantine proposait des sandwiches hallal. Les hijabs étaient tolérés s’ils étaient recouverts d’un foulard coloré… En 2011, un calendrier musulman illustré d’une photo de La Mecque avait été distribué par le syndicat fortement dhimmitisé Force Ouvrière aux salariés des usines PSA d’Aulnay, de Saint-Ouen et de Poissy dans les Yvelines. Affiché à la cafétéria, on pouvait y lire les horaires de prière à Paris ainsi que divers conseils sur les ablutions, la prière ou encore le pèlerinage. « En aucun cas, il ne s’agit de l’envahissement du site de production par l’islam » avait alors déclaré Brahim Aït Athmane de FO. « C’est un service qu’on rend aux salariés et pas du tout du communautarisme, cela contribue au bien-vivre ensemble. »

    Alors que l’on venait d’apprendre que la RATP était l’entreprise publique qui employait le plus grand nombre de fichés « S », la conductrice de bus Ghislaine Dumesnil, victime des discriminations quotidiennes des barbus, avait déclaré à Présent en janvier dernier : « Les syndicats fortement engagés dans la cause palestinienne et la lutte contre le Front National n’expliquent la radicalisation islamique que par le social et le passé colonial et ne peuvent pas revenir sur ce fonds de commerce très juteux qui leur assure, pour la plupart, leurs bonnes places et leurs mandats ».

    Caroline Parmentier

     

    https://present.fr/2017/01/04/psa-coule-lislam-travail/


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  •  Pologne : Quatre musulmans massacrent un jeune Polonais, la population lance les représailles...
    (vidéo)

    BREIZATAO – ETREBROADEL (02/01/2017) La télévision polonaise a rapporté la mort d’un Polonais de 21 ans, lynché par les employés musulmans d’un restaurant oriental. Le jeune homme a été poignardé fatalement à deux reprises. Parmi les tueurs on compte deux algériens, un tunisien et un marocain.

    La population a commencé a lancé les représailles pour punir les mahométans suite à leur campagne de terreur.

    Russia Today (source) :

    Le 1er janvier, entre 200 et 300 personnes se sont en effet rassemblées devant le café Prince Kebab où Daniel, un Polonais de 21 ans, avait été tué le 31 janvier. La police n’a pas révélé la nationalité des quatre suspects qui ont été arrêtés mais des médias polonais ont rapporté qu’il s’agissait de deux Algériens, un Tunisien et un Marocain. Tous étaient employés de ce café.

    Et encore :

    Le mouvement a rapidement dégénéré,  les manifestants commençant à crier des slogans nationalistes et à jeter des pierres sur le café. Après avoir brisé la vitrine, ils ont saccagé l’établissement. La police a tenté de mettre fin à ces violences, mais les manifestants se sont alors retournés contre elle.

    Des slogans anti-islam ont été tagués dans la ville de Lublin par la population :

    #Lubin Atak na lokal Hindusa sprzedającego kebaby [ZDJĘCIA] [WIDEO] https://t.co/QFFiL0YUfT pic.twitter.com/jIXOiEVZg7

    — Polska The Times (@polskathetimes) 1 janvier 2017

     


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  • Allemagne La réédition de "Mein Kampf" d'Hitler remporte un gros succès en Allemagne

    (AFP)

    Publiée en Allemagne en janvier 2016, l'édition commentée de "Mein Kampf" d'Adolf Hitler est un succès en librairies : 85.000 exemplaires ont été écoulés, a annoncé son éditeur mardi.

    L'Institut d'histoire contemporaine (IfZ) de Munich, qui avait tiré tout d'abord 4.000 exemplaires, en est à sa sixième édition en un an.

    Le texte original d'Hitler a été assorti de 3.500 notes historiques pour éviter son utilisation à des fins de propagande nazie. Mais certains s'inquiétaient de la sortie de ce livre en deux tomes. "Mein Kampf" n'avait pas été republié depuis 1945.

    Selon les données collectées par l'Institut, les acheteurs de cette réédition sont principalement "des consommateurs intéressés par l'Histoire et la politique ainsi que des professionnels de l'enseignement".

    Après avoir été détenus depuis 1945 par le Land de Bavière, les droits pour le livre sont tombés dans le domaine public le 1er janvier 2016, d'où la publication de cette nouvelle édition commentée.

    (Avec AFP)

    http://tempsreel.nouvelobs.com/en-direct/a-chaud/31939-allemagne-reedition-kampf-hitler-remporte-succes.html


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