• Dominique Biry, Délégué départemental du PdF, prend en charge le Comité Jeanne pour la Moselle

    Voici l'article du Républicain Lorrain :

    Il y a quelques jours, le Sarrebourgeois Dominique Biry, fidèle de Jean-Marie Le Pen, a été nommé responsable du Comité Jeanne pour la Moselle. Objectif : préparer les législatives en défendant la ligne historique du FN.

    Vous venez d’être élu président du Comité Jeanne pour la Moselle. En quoi consiste ce Comité ?

    Dominique BIRY : Les Comités Jeanne ont été lancés en mars 2016. Ils ont pour but d’affirmer la marche du Front national. Depuis son exclusion du FN en 2015, Jean-Marie Le Pen souhaite peser sur la ligne politique du parti en ne le laissant pas seul, livré aux dérives imposées par Florian Philippot. Il s’agit de rassembler les patriotes restés fidèles au Front national "canal historique".

    Vous êtes aussi responsable départemental du Parti de la France. Comment les deux structures peuvent-elles cohabiter ?

    L’union entre les Comités Jeanne de Jean-Marie Le Pen et le Parti de la France de Carl Lang offre une nouvelle perspective en Moselle pour tous ceux qui n’acceptent pas la ligne politique souverainiste-ouvriériste de Florian Philippot, qui a décidé de liquider tous les fondamentaux du FN. L’existence de ces deux lignes politiques différentes au sein du FN s’est encore vue il y a quelques jours lors de l’affrontement médiatique entre le gauchiste Philippot et Marion Maréchal-Le Pen, qui elle s’inscrit dans la ligne de son grand-père. Ces mêmes valeurs sont défendues à la fois par le Parti de la France et les Comités Jeanne. Dans plusieurs départements, dont la Moselle, l’union de nos deux mouvements permettra de présenter en commun des candidats locaux non-parachutés lors des prochaines élections législatives de 2017.

    Vous serez présents dans toutes les circonscriptions de Moselle ?

    Nous y œuvrons. Pour l’instant, nous avons des candidats à Forbach et à Sarrebourg, circonscriptions où les candidats imposés par Philippot et sa bande ont été parachutés lors des dernières élections. L’an prochain aussi, on nous annonce un nouveau parachutage de Florian Philippot à Forbach, et de son assistante parlementaire dans notre circonscription de Sarrebourg. Il convient de rappeler aux électeurs les trahisons vis-à-vis des populations locales de ces candidats, qui se sont fait élire en 2014 conseillers municipaux pour démissionner rapidement : Florian Philippot à Forbach et Dominique Bilde à Sarrebourg. Nous en avons assez de cet art du mensonge utilisé par les parachutés du FN en Moselle.


    votre commentaire
  • Quand les flux de « migrants » correspondent aux attaques terroristes

    La presse anglaise est plus libre que la nôtre. On y trouve fréquemment des informations très intéressantes qui ont été passées sous silence de notre côté de la Manche, souvent par incompétence et parfois pour des raisons de basse propagande. Quotidien le plus vendu en Grande-Bretagne, de tendance plutôt conservatrice, le Telegraph s’insurge contre la politique dite des « frontières ouvertes » menée par Angela Merkel et appuyée par la Commission européenne, Jean-Claude Juncker en tête, échappé de son asile lunaire.

    Reprenant six exemples éloquents d’actes terroristes islamistes perpétrés depuis mai 2014, le quotidien démontre qu’ils sont liés aux déplacements migratoires :

    – En mai 2014, Mehdi Nemmouche, binational franco-algérien qui aurait dû être déchu de sa nationalité française fictive, ouvrait le feu sur le Musée juif de Bruxelles. Après avoir combattu un an dans les rangs de l’État islamique en Syrie, l’homme était revenu en Europe en passant par l’Allemagne. Schengen est donc clairement en cause.

    – Le 13 novembre 2015, le Bataclan et le Stade de France étaient attaqués par un commando de dix islamistes. Sept d’entre eux avaient des papiers européens, revenant de Syrie.

    La Hongrie de Viktor Orbán, l’un des rares pays en Europe à essayer de surveiller ses frontières, avait révélé que ces hommes s’étaient infiltrés en Europe en se faisant passer pour des « réfugiés » de manière à passer sous les radars des services secrets… Deux autres terroristes étaient des Irakiens munis de faux papiers syriens arrivés en Grèce en 2015. Une autre faille béante causée par le laxisme allemand.

    – À Bruxelles, en mars 2016, cinq djihadistes « européens » attaquaient l’aéroport. Encore une fois, il s’agissait de personnes qui avaient combattu en Syrie. Bien sûr, comme l’ont affirmé certains services secrets, au moins un d’entre eux avait réussi à pénétrer incognito en Europe grâce à… de faux papiers !

    – Les trois derniers attentats en Allemagne ont aussi été commis par de faux demandeurs d’asile. À Wurtzbourg, l’assaillant du train était un faux réfugié afghan de 17 ans. Idem à Ansbach, où un partisan syrien s’est fait exploser dans un festival de musique après avoir demandé l’asile en Bulgarie, en Autriche et en Allemagne. Quant à Anis Amri, vous connaissez tous son parcours, exemplaire des errements européens…

    Qui aura l’outrecuidance de dire qu’il faut continuer à ouvrir les frontières et que Schengen ne doit pas être suspendu un certain temps ? Qui pourra continuer à dire que l’immigration (d’aujourd’hui et d’hier) est une chance pour l’Europe ? Lénine disait que les faits sont têtus…

    Gabriel Robin

    Source : http://www.bvoltaire.fr


    votre commentaire
  • Près de 55 000 Algériens ont été poursuivis en justice pour terrorisme ... 

    Un chiffre impressionnant qui prend en compte toutes les poursuites pour terrorisme depuis le début des années 90. Soit environ 6 poursuites par jour en moyenne sur 26 ans.

    Capture d'image d'une vidéo de "Canal Algérie" le 5 juillet montrant le président algérien Abdelaziz Bouteflika lors d'une cérémonie, le 5 juillet 2016, à Alger.© afp.com Capture d'image d'une vidéo de "Canal Algérie" le 5 juillet montrant le président algérien Abdelaziz Bouteflika lors d'une cérémonie, le 5 juillet 2016, à Alger.

    Près de 55 000 personnes ont été poursuivies en justice en Algérie pour des affaires de terrorisme depuis le début des années 90, a indiqué le ministère de la Justice algérien ce mardi. C'est le premier chiffre global communiqué par les autorités concernant les poursuites pour terrorisme depuis la fin de la décennie noire au début des années 2000.

    *Le ministre de la Justice Tayeb Louh a expliqué lundi devant les sénateurs que son ministère avait établi "une base de données centralisée (...) pour les individus poursuivis pour crime terroristes". Cette base de données, mise en place en 2014, a répertorié les dossiers depuis le début des années 90, a précisé mardi le ministère.

    Un chiffre large qui englobe même les amnistiés

    "Le nombre global d'individus poursuivis pour crimes terroristes et inscrits sur la base de données (...) s'élevait au 21 décembre à 54 457 personnes", a indiqué Tayeb Louh.

    Ce chiffre englobe des personnes qui n'ont pas encore été jugées, qui ont été condamnées par contumace ou non, ou encore qui ont été amnistiées dans le cadre de la politique de réconciliation nationale mise en oeuvre par le président Abdelaziz Bouteflika. Certaines de ces personnes ont par ailleurs pu avoir été tuées par les forces de sécurité.

    Aucun condamné exécuté depuis 1993

    Tayeb Louh n'a pas fourni de détails sur les différents cas. La justice algérienne a prononcé des centaines de peines capitales. Mais aucun condamné n'a été exécuté depuis 1993.

    La guerre civile a commencé début 1992, après la décision des autorités d'annuler les élections législatives à la suite de la large avance au 1er tour fin 1991 du Front islamique du salut (FIS), dissous par la suite. Elle a fait 200 000 morts (officiel). Près de 15 000 islamistes ont déposé les armes depuis 1999.

    L'Express


    votre commentaire
  •  Givors : la mairie vend un terrain pour y construire une mosquée

    Marie de Givors qui a autorisé la construction d'une mosquée de 600 m2. Capture d'écran Google map
    Marie de Givors qui a autorisé la construction d'une mosquée de 600 m2. Capture d'écran Google map
     

    Islam. Le conseil municipal de Gisors, à quelques kilomètres de Lyon, a autorisé la vente d’une parcelle communale à une association musulmane pour que cette dernière construise une mosquée chiite.

    D’ici 2021, une mosquée de 600 m2 sera édifiée sur un terrain de 3000 m2 dans la commune de Givors, en Auvergne-Rhône-Alpes. La parcelle communale a été vendue à l’association cultuelle musulmane chiite Al Nour, installée dans la ville depuis 34 ans.


    votre commentaire
  • Un diplomate français condamné à 15 ans de prison pour pédophilie en Russie

    Un diplomate français condamné à 15 ans de prison pour pédophilie en Russie© FAMILY HANDOUT Source: AFP
    Yoann Barbereau a été condamné par contumace à 15 de prison par un tribunal en Sibérie pour pédophilie
     

    Yoann Barbereau a été condamné par contumace à 15 ans de prison pour actes à caractère sexuel sur sa fille âgée de cinq ans. L'ancien directeur de l'Alliance française d'Irkoutsk, qui a disparu depuis septembre, aurait depuis contacté sa famille.

    Yann Barbereau a été condamné à 15 ans de prison par contumace par un tribunal de la ville d'Irkoutsk en Sibérie. L'ancien attaché aux Affaires culturelles et ex-directeur de l'Alliance française à Irkoutsk, a été jugé coupable par la justice russe d’actes à caractère sexuel sur mineur de moins de 14 ans – en l’occurrence sa propre fille âgée de cinq ans – ainsi que de production et diffusion d’une photo et d’une vidéo pédopornographiques et de trois photos pornographiques.

    «Monsieur Barbereau est condamné à 15 ans de prison dans une colonie pénitentiaire. Il lui est interdit de se livrer à l'enseignement pendant six ans», précise le service de presse de la cour d'Irkoutsk.

    Le diplomate français avait été arrêté en février 2015 puis relâché deux mois plus tard pour être assigné à résidence. Il avait disparu en septembre 2016, les autorités locales expliquaient alors que le bracelet électronique, qu’il portait dans le cadre de son assignation à résidence, n’avait pas été trouvé à son domicile et qu'il se pouvait qu’il l’ait désactivé.

    Dans un message adressé à l'AFP, son père, Bernard Barbereau, expliquait qu'il avait émis fin septembre deux messages sur Facebook afin de rassurer sa famille : «Yoann est sain et sauf et hors de danger, mais nous ne pouvons rien dire de plus sur l'endroit où il se trouve ni sur la manière dont il a recouvré la liberté.» Selon ses dires, la femme et la fille de Yoann Barbereau ont quitté la Russie dès mars 2015 et vivent actuellement à Londres.

    https://francais.rt.com/international


    votre commentaire