• INDRE 36

    Forêt domaniale de Châteauroux, à Jeu-lès-Bois.

    Le cerf aux abois charge celui qui devait l'achever

     
    « Le dernier accident de ce type avec un cerf remonte à 1994 »,<i/>se souvient Arthur de Fougère. - « Le dernier accident de ce type avec un cerf remonte à 1994 »,&lt;i/&gt;se souvient Arthur de Fougère. - (Photo archives NR) 
     
    « Le dernier accident de ce type avec un cerf remonte à 1994 »,se souvient Arthur de Fougère. - (Photo archives NR)

    Jeu-les-Bois. Dans un ultime élan, un cerf a chargé son exécutant, le coinçant entre ses bois et un arbre. Ce chasseur de la Vienne a été sérieusement blessé.

    Samedi, 14 h, forêt domaniale de Châteauroux, à Jeu-lès-Bois. « Tout s'est passé en quelques secondes », confie Arthur de Fougère, membre de l'association de chasse. Un groupe d'une quinzaine de chasseurs à courre pourchasse un cerf. Après une longue poursuite à cheval, « l'animal s'est retrouvé aux abois ». Épuisé, il est encerclé par les chiens. « Une tradition ancestrale veut qu'un cavalier s'approche de lui et l'achève d'un coup de dague. » Un geste précis qui n'est confié qu'à un chasseur expérimenté. Ce fut le cas, samedi. « Nous avons demandé à un de nos cavaliers invités d'effectuer ce geste. » L'homme d'une cinquantaine d'années descend de sa monture, sort sa dague et s'approche du cerf, afin de lui porter le coup fatal. « L'animal était en fait au milieu de branches jonchant le sol et alors que notre invité se trouvait tout près de l'animal, il s'est soudainement pris les pieds dans ces branches. » Instant d'hésitation qui laissait une respiration à l'animal qui, dans un ultime sursaut, chargeait son exécutant. Un violent coup de tête et le chasseur se retrouvait coincé entre les bois du cerf et un petit arbre. Après plusieurs coups de tête, l'animal qui avait été dagué lors de ce mouvement « est allé mourir à quelques mètres de là ». Quant au chasseur, « nous avons vite compris que c'était sérieux ». Par chance, un médecin et une infirmière se trouvaient dans le groupe et « ont donné les premiers soins en attendant les secours ». Des secours difficiles à joindre par téléphone dans cette zone forestière où les ondes téléphoniques ne passent pas.

    Touché au niveau de l'artère fémorale

    L'alerte était finalement transmise et la victime, un exploitant agricole de Paizay-le-Sec (Vienne), était tout d'abord médicalisée sur place par les pompiers et le Samu. « Il était notamment touché au niveau de l'artère fémorale » et en raison d'une hémorragie interne, « il y avait urgence à ce qu'il soit hospitalisé ». Quelques minutes plus tard, l'hélicoptère du Samu se posait dans une prairie voisine et le cavalier prenait les airs en direction de l'hôpital de Châteauroux. Il était opéré avec succès et devrait sortir, ce mercredi, avec une convalescence qui va forcément durer plusieurs semaines.

    Jean-Luc Pavot    La nouvelle république 

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  • Nos SDF et nos retraités dans la misère

    En parallèle à quelques lieux de là, de chez vous comme chez nous, des dizaines d’immigrés clandestins de la «jungle» ou pas d'ailleurs comme chargé comme des bestiaux dans les bus et sans connaitre leurs vrais noms , ben ma foi sont accueillis dans la ville aux frais du contribuable sans avis ,des avis des habitants par voie référendaire.

    ...

    Cette situation est inacceptable.
    Nous invitons les maires à s’occuper en priorité des nôtres avant les autres ce qui devrait être logique dans un pays rongé par un chômage de masse de plus de 6 millions de chômeurs,
    Une précarité accrue (près de 8 millions de pauvres) et plus de 3 millions de mal-logés ce qui constitue un scandale pour un pays comme la France...
    Pendant que des millions de Français attendent un logement social,parfois plus d'un an , pendant que des millions de Français ne sont plus en mesure de se soigner, parfois même de se nourrir correctement, alors qui paie des impôts ...,l’argent du contribuable est distribué à des immigrés qui ne travailleront pour la plus part jamais ,rentrés illégalement sur notre sol. Comment accepter que les logements réquisitionnés pour les migrants ne bénéficient pas en priorité aux Français qui en ont besoin ? C’est inacceptable, et il s’agit bien d’une véritable priorité étrangère voir anti France , et d'ailleurs bien dommage ...,car cela à était bien voulu par les urnes
    L’arrêt de l’immigration massive implique une lutte implacable contre l’immigration clandestine d’une part, et une réduction drastique de l’immigration légale d’autre part...Je vous remercie...
     


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  • M. Hollande, vous ridiculisez la France ! Posté par: Pieds Noirs 9A ..

     Piqure de rappel pour Monsieur Hollande et les mémoires courtes  socialo collabos communistes de savoir dire Amen ...

    Manuel Gomez, ancien journaliste à L’Aurore, témoin des événements d’octobre 1961 à Paris : M. Hollande, vous ridiculisez la France !

     

    Comment pouvez-vous croire tous ces mensonges ? Pourquoi vos services ne vous apportent pas les preuves qu’il s’agit de mensonges ? On abuse de votre crédulité, on se gausse de votre « normalité » et vous sombrez dans le ridicule.

    On vous raconte le 17 octobre 1961 et vous les croyez : 

    « Ce fut un « massacre », une hécatombe de corps, 300 Algériens assassinés et 2.300 blessés. Vraiment les forces de l’ordre parisiennes ont fait fort, les mains des gardiens de la paix, des gendarmes mobiles, des CRS et des forces auxiliaires de harkis, sont couvertes de sang à jamais ».

    Il est de notre devoir, à nous journalistes présents sur les lieux, de rétablir la vérité quand elle est évidente et incontestable.

    À l’époque j’appartenais à la rédaction du quotidien L’Aurore et j’ai enquêté dès le lendemain auprès de la morgue et des services hospitaliers, également auprès des établissements et des riverains qui longeaient la Seine. J’ai accompagné le colonel Raymond Montaner, commandant de la force auxiliaire des harkis de Paris, dont le rôle principal était la protection des Algériens de la région parisienne contre les exactions du FLN, qui a enquêté en compagnie de ses deux adjoints le capitaine de Roujoux et le lieutenant Champsavin et voici le résultat absolument vérifiable de ses conclusions :

    Il n’y eut cette nuit du 17 octobre aucune intervention anormale des pompiers parisiens, ni de police secours, ni de la croix rouge, ni d’aucun service d’ambulance.

     Aucun service d’urgence des hôpitaux de Paris et de la banlieue n’a reçu un afflux anormal de blessés. 2.300 blessés en une seule nuit cela laisse pourtant des traces, non ? Toutes les urgences et même les cliniques privées auraient dû être totalement débordées. Où sont donc passés ces 2.300 blessés ? Disparus comme par magie ! Il paraîtrait qu’ils auraient été jetés dans la Seine en même temps que les 300 morts !

    L’enquête auprès des barrages en aval de Paris n’a révélé aucune découverte de noyés. Pourtant 300 corps ne se dissolvent pas dans l’eau de la Seine. Les berges sur des kilomètres auraient dû être parsemées de cadavres mais aucun riverain n’en a signalé !!

    La réalité est tout autre. En vérité il n’y eut au cours de cette nuit du 17 octobre que sept morts, dont deux seulement sont imputés aux forces de l’ordre, Achour Belkacem et Amar Malek, tous deux agents du FLN. Les cinq autres morts sont quatre Algériens et un Français, Guy Chevalier.

    Voilà le bilan exact de ce « massacre » du 17 octobre 1961.

    En revanche voici un autre bilan qu’il ne faut pas laisser sous silence mais dont on ne parle jamais : entre janvier 1955 et juillet 1962, les groupes armés du FLN ont assassiné, en France, plus de 6.000 Algériens, tués par balles, strangulation, égorgement. Également 9.000 cas de mutilations (ablation du nez, des oreilles, des lèvres) soit une moyenne de cinq tués ou blessés par jour, pendant sept ans !

    Au cours de ces 7 années il y eu en métropole, 120 gardiens de la paix et 150 civils français assassinés.

    Il faut que cela se sache : il y avait la guerre en Algérie mais il y avait également la guerre en France métropolitaine.

    Malheureusement la très grande majorité du peuple français qui n’a pas vécu ces évènements ignore la vérité qui est souvent déformée et parfois même occultée.

    Quand donnera-t-on enfin la parole à ceux qui peuvent apporter la contradiction à ces menteurs qui salissent l’histoire de la France ?

    Note NPInfos : nous avons illustré ce texte avec quelques unes de quotidiens de l’époque parues au lendemain des faits. Ces documents illustrent parfaitement l’ambiance d’alors : la violence fut essentiellement du côté des manifestants et la répression fut particulièrement limitée du côté des forces de l’ordre.

    Nous vous conseillons vivement de lire également l’article de Bernard Lugan 

    Après l’esclavage, le 17 octobre 1961… La coupe de la repentance déborde !


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  • Dans les 4% de satisfaits du quinquennat Hollande, figurent...

    -Non au Hollande bashing-20.11.2016 C'est la grande semaine du dénigrement. Après le dénigrement du beaujolais nouveau qui a fait suite au dénigrement de Donald Trump, une palanquée de gauchos de luxe couleur caviar se sont coalisés pour proclamer que le président Hollande n'est pas si décevant que le prétendent ces 96% de Français bas de plafond qui n'ont pas la chance d'être dotés de la finesse d'analyse d'une Catherine Deneuve, d'un Benjamin Biolay, d'un Dominique Besnehard. Parcourez cette liste de noms. Le Journal Du Dimanche les qualifie de "personnalités", comprenez : des gens dont l'avis a un pouvoir d'influence dû à leur prestige. La plupart, je veux bien le croire, sont considérés comme des personnalités intéressantes par leurs voisins d'immeuble, mais pour moi ce sont de parfaits inconnus et ce qu'ils pensent m'est totalement équilatéral. Vous êtes à l'écoute de ce que pensent Marie d'Ouince, Layla Metssitane, Rachid Benzine, Sakina M'sa, Yonan Diniz... vous ? Hier ils n'existaient pas, demain ils auront disparu, le Journal du Dimanche étant périmé dès lundi matin. Agnès B., Catherine Deneuve, Benjamin Biolay, Juliette Binoche, Denis Podalydès, Irène Jacob, Sylvie Testud, Laure Adler, Patrick Chesnais, Gérard Darmon, François Marthouret, Dominique Besnehard, Jean-Michel Ribes, Mazarine Pingeot, Claudine Nougaret et Raymond Depardon, Andrée Zana Murat et Bernard Murat, Michel Rotman, Patrick Pelloux, Laurent Davenas, Gilles Achache, Gabriel Gautier, Marie d’Ouince, Bruno Masure, Dany Dan - Melopheelo - Zoxea, Layla Metssitane, Touria Benzari, Emilie Chesnais Laurent Hébert, Bertrand Van Effenterre, Anna Medvecsky, Gaëlle Bayssière, Fethi Benslama, Pierre Douglas, Rachid Benzine, David Kodsi, Florence Muracciole, Stephane Distinguin, Jean Minondo, Yohann Diniz, Jean-Philippe Derosier, Sakina M’sa, Éric Dussart, Évelyne Schapira, Philippe Lemoine, Nicole Baldet, Anne Baveray, Rachel Khan, Michel Cantal-Dupart, Anne-Carole Denès, Yves Denès, Gerard Cicurel, Gisela Blanc, Mathieu Sapin, Françoise Huguier, Édouard Brézin, Julie Saavedra, Alex Menu, Pierre-Emmanuel Guigo, Jean-Philippe Derosier, Leïla Grison, Alexandre Leroy, C215, Dominique Miller, Christian Zerbib, Christiane Hessel… SOURCE : le JDD


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  • Communique

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    Ne pas faire comme lui ;

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