•  Rennes.  Agressions, vols, cambriolage : des « migrants » ont semé la terreur samedi soir

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    08/08/2016 – 05H30 Rennes (Breizh-info.com) Proie des trafiquants de drogues, la ville de Rennes connait aussi une explosion des exactions commises souvent par de jeunes immigrés – qui se revendiquent souvent « mineurs isolés étrangers ».

    Samedi soir, onze individus – issus d’Algérie, du Maroc, de Syrie et de Libye – ont ainsi été interpellés. Quatre d’entre eux ont agressés un contrôleur de la Star qui souhaitait contrôler leurs titres de transports – qu’ils ne possédaient pas.

    Trois autres ont agressé et dépouillé un passant, place Sainte-Anne à Rennes, avant d’être arrêtés par la police. Dans la foulée, un vol par effraction était constaté place Hoche, avant qu’en fin de soirée, un autre homme se fasse agresser et dépouiller par trois individus. Là encore, des « migrants ».

    Trois d’entre eux étaient toujours en garde à vue dimanche soir, les autres ayant été remis en liberté et lâchés dans la nature.

    Depuis des mois, les agressions ne cessent de se multiplier dans la capitale bretonne. Celles-ci sont très souvent le fait d’individus d’origine étrangère. Certains d’entre eux n’hésitent d’ailleurs pas à se prétendre « mineurs étrangers isolés » car la loi française protège ces derniers et la collectivité les prend en charge.

    La justice affirme qu’ils ne bénéficient d’aucune impunité, mais ni la police qui croise toujours les mêmes individus au quotidien, ni les victimes de ces vols, agressions, et trafics en tout genre, ne partagent cet avis.

    La semaine dernière, trois affaires avaient déjà comme protagonistes de prétendus mineurs isolés étrangers, l’un d’entre eux révélant d’ailleurs devant le juge avoir menti sur son âge, comme la plupart le font.

    Toujours la semaine dernière, le tribunal de Rennes a accordé un sursis de six mois à l’expulsion de « migrants » qui squattent un foyer pour personnes âgées, à Rennes, quartier de la Poterie. Ils sont 170, déboutés pour la plupart du droit d’asile – et donc qui devraient être expulsés du territoire – à occuper illégalement cet immeuble sous le contrôle et la direction de l’association « Un toit c’est un droit ».

    « La justice par cet acte se montre d’une grande mansuétude envers ces délinquants qui ne respectent pas la loi», écrit le Front national dans un communiqué. « Le Front National, lorsqu’il sera au pouvoir, prendra toutes les mesures afin que les demandeurs d’asiles, s’ils sont déboutés de leur demande, soient effectivement renvoyés dans leur pays d’origine.».

    « On se demande parfois si la justice n’attend pas que des citoyens se fassent justice eux-mêmes face à ces indésirables », nous confie un policier rennais en off, inquiet de voir « l’évolution dramatique de la situation à Rennes ».

    Crédit photo : DR
    [cc] Breizh-info.com, 2016 dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine


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  •  Pillage pendant les incendies à Vitrolles

    Des habitants parlent de pillage pendant les incendies à Vitrolles : « Ils viennent cagoulés en scooter »

    Témoignage d’un journaliste à La Provence :


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    Posté par: Pieds Noirs 9A..

     

    C'est parfait ...Bravo la France ... 

    MUNI DE DEUX COUTEAUX ,
    D'UNE DJELLABA ET D'UN CORAN ,
    IL SE REND Â LA CAF DE L'AUDE
    POUR FAIRE ENTENDRE SES DROITS !...!!
     

    L'indépendant de Carcassonne :

    Comme souligné laconiquement dans un communiqué adressé à notre rédaction ce mercredi, la Caisse d'allocation familiale (Caf) de l'Aude "a vécu une situation particulière (mardi), lors de la venue d'un allocataire". Une situation des plus inquiétante, plutôt, si on en croit les informations qui nous ont été livrées...

    Mardi, c'est vers 13 h 30 que les services de police de Carcassonne ont été requis, pour un individu supposé être armé dans les locaux de la Caf, situés le long de l'avenue des Berges de l'Aude.

    • Des prestations impayées ?

    Selon les renseignements que nous avons pu obtenir, ce Carcassonnais âgé de 30 ans s'était rendu à la Caf pour obtenir des explications sur une prestation qu'il n'aurait pas touchée depuis un mois. N'arrivant pas à obtenir gain de cause, il aurait littéralement pété les plombs, en tenant des propos menaçants et insultants. Notamment : "Je vais faire un carnage".

    Alors que les policiers avaient été alertés, l'homme serait ensuite ressorti sur le parking où il a récupéré un sac de sport dans sa voiture en stationnement. Là encore, il est revenu en direction de la Caf en clamant haut et fort qu'il allait commettre un carnage. Un dessein qu'il n'a pas eu le temps d'accomplir, puisqu'il a aussitôt pu être interpellé par les policiers arrivés sur les lieux.
    • Deux couteaux, une djellaba et un coran dans le sac

    Maîtrisé, le suspect a été conduit au commissariat, où il a été placé en garde à vue. Aussi, nous avons appris que dans le sac de sport du trentenaire carcassonnais, les enquêteurs ont mis la main sur deux couteaux de cuisine, dont un de boucher, ainsi que sur une djellaba, un coran ou encore une paire de chaussure de rechange. Dans le contexte actuel de menace permanente sur le territoire français, si les motivations de cet homme restent floues, sa personnalité l'est tout autant. Si ce n'est que l'on sait qu'il est déjà connu des services de police pour des faits de violence, et qu'il est converti à l'islam.

    Ce mercredi, le parquet de Carcassonne a décidé de prolonger la mesure de garde à vue du suspect et demandé à ce que soit pratiqué un examen psychiatrique. Du côté de la Caf, toujours dans le communiqué qui nous a été adressé, la direction indique que, "dans un souci de précaution, il a été décidé de l'ajout d'un vigile supplémentaire jusqu'au vendredi 26 août, afin de procéder à une inspection visuelle des sacs


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  • Le dossier médical d'Hillary Clinton dévoilé: épilepsie, démence?



    Le dossier médical d' Clinton dévoilé: épilepsie,.
    S'il est vrai, la disqualifie pour la présidence

       

    2 commentaires
  • MA NUIT AUX URGENCES D’UN HÔPITAL TIERS-MONDISÉ DE LA BANLIEUE PARISIENNE

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    Dans la nuit du 4 août sur les coups de 3 h 30 du matin, j’ai eu la chance de faire une immersion aux urgences d’un hôpital d’une banlieue de l’est parisien.

    Tandis que les pompiers, très efficaces et sympathiques, remettaient mon fils à l’équipe soignante chargée de lui remettre son épaule en place après une lutte malheureuse contre un moustique, il me fallait me rendre à l’accueil, accueil que je n’ai pas de suite repéré puisqu’il était plongé dans le noir.

    J’ai poussé une porte sur laquelle était collé l’inévitable « Vigipirate » à usage purement décoratif puisque personne ne surveille les entrées du lieu où n’importe quel porteur de bombe peut pénétrer sans encombres. Mais il en va ainsi de la plupart des lieux où l’affiche est placardée.

    J’ai avancé dans le noir jusqu’à un bureau derrière lequel se tenait un homme d’origine africaine, écouteurs plantés dans les oreilles. Face à lui, deux Africains en kami se tenaient assis, somnolant pendant que s’égrenaient les heures.

    Le réceptionniste m’a proposé d’appuyer sur l’interrupteur derrière moi pour éclairer le lieu. C’était en effet plus pratique pour lire les renseignements sur la carte d’identité… Après quelques instants, la lumière s’est éteinte. J’ai à nouveau tendu le bras vers le bouton. A peine avais-je appuyé que l’obscurité est cette fois aussitôt revenue. Dans un gloussement commun avec mon interlocuteur, il m’a dit d’abandonner, que ça ne faisait rien, tout en tapant des choses sur son clavier.

    Puis je suis allée m’installer dans une salle d’attente improbable, à mi-chemin entre l’hôpital de brousse et la cantine de l’ex RDA. La seule trace de modernité résidait dans un petit écran télé diffusant en continu des clips vidéos avec le son au maximum. Devant moi étaient assises trois Africaines dont une voilée, la plus âgée dormant, les deux autres tentant de faire de même.

    Les peintures, alliant une heureuse association de gris et de marron du meilleur goût, étaient écaillées de partout, des papiers traînaient au sol. Je n’ai pu m’empêcher de penser à ces clichés de maternités algériennes dans un état déplorable. Le lieu où je me trouvais ne pouvait être celui d’un hôpital de France, à voir cet état de décomposition avancée, il n’y avait pas de doute, j’étais dans le tiers-monde.

    Un couple est passé dans le couloir, une femme maghrébine entièrement voilée avec son barbu tenant une poussette. Le service de pédiatrie se trouvait en face de la salle d’attente. A un moment donné, j’ai entendu des cris de protestations puis une femme répondre d’un ton sec « calmez-vous, monsieur ! ».

    Insupportée par les vociférations musicales de la télé, je suis sortie m’aérer un peu. Quelques personnes ont fait de même, les deux Africains en kamis, un médecin fumant sa cigarette, ainsi que deux juifs portant leur kippa.

    Je remarquai trois ambulances marquées « Pédiatrie CHU Avicenne », l’hôpital des musulmans…

    A l’intérieur, deux hommes passaient une serpillière qui semblait encore plus crasseuse que le sol. Mon fils m’a raconté un peu plus tard que l’un d’eux chantait du zouk à tue-tête à proximité de la salle de soins où il se trouvait…

    Il m’a relaté aussi que la procédure consiste à endormir le patient au dernier moment (il n’en est pas à son premier déboitement d’épaule !). Or là, l’infirmière a commencé à lui poser le masque sur le visage dès son arrivée avant d’être stoppée in extremis par le médecin, lequel parlait un français mâtiné d’arabe faisant que mon fils n’a pas compris la totalité de ce qu’il lui disait.

    Une fois les soins achevés, une infirmière lui a dit qu’il pouvait partir, sauf qu’il avait encore le cathéter planté dans le bras…

    En le voyant sortir, j’imaginais le voir plâtré ou au moins avec un support de bras. A ma grande surprise, celui-ci n’était maintenu qu’avec un bout de tissu déchiré à la va-vite, large de 3cm. Comme je m’en étonnais, il m’a dit en riant que l’hôpital était en rupture de stock du matériel idoine et qu’il faudrait prendre RV pour en récupérer un. J’en restai estomaquée.

    Nous avons quitté les lieux vers 4 h 30 du matin, à pied, lui en chaussons et torse nu, sans savoir où nous nous trouvions précisément, sans transports en commun pour rentrer, sans âme qui vive dans la rue. Par chance, un taxi est passé par là…

    Caroline Alamachère

     

    Source : ripostelaique


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